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Alexandru Davila

OLARU STEFANA
Professeur coordonnateur: Iulian Untaru
Alexandru Davila (né le 12 février 1862, à Golesti), dramaturge et homme de
théâtre, fils du docteur Carol Davila et arrière-petit-fils de Dinicu Golescu et Zinca
Golescu. Il fait ses premières années d’étude à l`École de Golesti. Son instruction et son
éducation sont continuées à L`École Luthérienne en allemand et après, entre 1872 et
1874, il continue ses études gymnasiales à L`Institut particulier de V. A. Ureche de
Bucarest.
Son enfance a été profondément marquée par le décès prématuré de sa mère. Après
la mort de sa mère, en 1874, son père envoie Alexandru Davila à Paris, au Lycée St.
Louis, où il connaît Tache Ionescu, V. Morţun, Nicu Xenopol, Nicoale Filipescu et
d`autres jeunes Roumains…
Son activité professionnelle : secrétaire du ministre des affaires étrangères, D.
Sturza ; enseignant de langue française à l’Asile Elena Doamna, où il met en scène
quelques pièces de théâtre pour les élèves ; inspecteur de police à Bucarest ; préfet de
Tulcea.
Il publie des poésies dans la revue « Revista Literara » d’ Alexandru Macedonski, et
des chroniques de théâtre : « Epoca », « Independenta romana », « Literatura si arta
romana ». Le 1er mars1886, paraît, dans la revue « Convorbiri Literare » la poésie « Iaca
timpul ».
Poésies occasionnelles en français : « À une mondaine », « La Lune », « À une
amie », mais de la prose aussi : « Les Contes du paravent », « La Raison des fous »
inspirées des lecture de : Pierre Loti, G. Flaubert, P. Bourget et d`autres.
Comme auteur dramatique il reçoit le sobriquet de « feu de scène » avec une pièce
surnommée : « Le Cotillon ».
Son activité littéraire est « couronnée » par la
représentation de son chef-d'oeuvre « Vlaicu
Voda » sur la scène du Théâtre National de
Bucarest et la publication de la première édition de
ses écrits aux éditions Socec. La même année,
1902, paraissent dans la revue « Semanatorul »,
ses poésies: « Revedere », « Pasare Sfioasa » et
« Balada stramosilor ».
D`autre jalons culturels : « Duda si Mura »,
« Scrisori catre actorul X » (1917) ; « Vorbe de
claca » (1918) ; la version roumaine de la pièce
« Ulcica sparta » de Heinrich von Kleist (1923) ;
« Din torsul zilelor » (1928) et le Prix National
Littéraire (1929).
Le 19 octobre 1929, dans L`Hôpital militaire de
Bucarest, le grand dramaturge meurt, après 14 ans
de maladie.

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