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Introduction.......................................................................................................................................1
L’histoire de l’histoire........................................................................................................................1
Un crime sans cadavre.....................................................................................................................4
Le savoir païen...............................................................................................................................12
Pierre Hardy
Le 15 décembre 2004
Introduction
L’histoire de l’histoire
L’histoire ancienne orthodoxe, celle enseignée dans les écoles, est en réalité très simple.
L’homme semblable à ce que nous sommes, vit sur terre depuis 400,000 ans.
Des hommes des cavernes apprirent a faire du feu et des peintures dans les cavernes il y a
20,000 ans.
Il y a 6000 ans : Des tribus et des villages barbares s’établissaient ici et là près des cours d’eau et
des terres arabes.
Il y a 4000 ans : Certaines de ces tribus se regroupent en villages et en micro société et laissent
des vestiges de dimension gigantesques qui, pour la plupart sont identifiés comme des tributs à
leurs Dieux ou à leurs propres narcissismes.
Il y a 3500 ans : Une de ces tribus barbares fit une échappé par le détroit de Bering sur la glace et
aboutit au Pérou et en Colombie construisant au passage quelques pyramides.
Il y a 2000 ans, le Christ est venu au monde et de cette même période origine notre monde
moderne tel qu’on le connaît.
De la richesse de l’histoire, il nous est possible de tirer le fil tisseur qui nous servira à comprendre
le présent et planifier le futur.
Pour arriver a rencontrer de tels objectifs, L’histoire, tel tout autre science doit fonctionner selon
une méthode de travail débutant par un cadre précis d’analyse des données factuelles connues.
Ce concept fut appliqué par exemple à la physique lorsque Newton découvrit les équations
relatives à la gravitation. Alors que le temps passait et que de plus en plus d‘éléments menaçaient
le modèle mis en place par Newton, un nouveau modèle s’imposa, s’appuyant sur la relativité
d’Einstein, et ainsi de suite.
Les périodes entre les changement des différents modèles utilisés varie considérablement selon
le domaine de la science ainsi que les niveaux de recherche effectués. Le dynamisme ou les
restrictions imposés par les décideurs seront déterminants de la vitesse de l’évolution. Il arrive
parfois que les concepts stagnent, tel la science mature de la métallurgie qui origine de la
révolution industrielle, ou qu’ils subissent une évolution accélérée comme il fut possible de
constater depuis les années 60 dans le domaine de l’électronique de pointe et de l’informatique..
À l’analyse des périodes de changements, force est de constater que tout ceci n’est vrai que
depuis 400 ans. Jusqu'à ce moment et aussi loin que l’histoire puisse remonter, les poussés
inquisitrices effectuées sous le couvert d’un fondamentalisme religieux empêchaient toute forme
de développement des sciences.
L’éveil scientifique du 15ième et 16ième siècles fut directement relié à la création d’une communauté
d’intérêts duquel il fut possible pour les chercheurs de documenter et de publier le résultat de
leurs travaux mais aussi de s’appuyer sur des modèles et des résultats de travaux antérieurs.
Depuis cette époque, les modifications apportées aux modèles scientifiques existants ou les
changements de modèle furent légion quelque soit la sphère de la science observée. Physique,
chimie, mathématiques, astronomie, géologie, tous, sauf l’histoire.
Très curieusement l’histoire est en effet, la seule sphère de la science ou le modèle n’a pas
changé depuis le début de l’ère Chrétienne. Il y a 3500 ans, alors que les Israélites poursuivaient
leurs traversés de l’Égypte à la Terre Promise, l’histoire se figeait sourdement pour devenir en
quelques siècles exactement ce qu’elle est aujourd’hui.
Même le phénomène de la Renaissance n’eut que peut d’effet sur le développement de l’histoire.
Même si le développement des sciences n’était que peu encouragé par les administrations
dogmatiques de l’époque, elles étaient nettement un frein en ce qui concernait l’histoire
contraignant le cautionnement d’un modèle à l’approbation du Vatican.
Bien que dans une moindre mesure, cette situation perdure encore aujourd’hui, puisque encore à
ce jour, la plupart des découvertes archéologiques sont soumise à l’approbation de cette
organisation qui est de loin le plus important repositoire de l’histoire ancienne de l’homme.
Datant du 2ième siècle avant JC. Ces textes d’une grande portée
historique furent attribués aux esséniens qui était une communauté juive
en rupture avec la religion officielle de l’époque.
D’une simplicité enfantine car il n’y avait qu’à traduire les documents, les
choses furent beaucoup plus complexes. Les polémiques s’enclenchèrent
autour de la propriété du site et des manuscrits tant et si bien que 50
ans après la découverte, certains des manuscrits ne sont toujours pas
traduit.
Volonté de cacher des extraits ou incompétence des scientifiques ayant travaillé à ces documents,
nul ne sait. Accusations et théories foisonnent à ce sujet.
Dans le livre « Les manuscrits de la mer morte révélés », les deux chercheurs et auteurs du livre
Eisenman et Wise prétendent que la recherche scientifique et les publications sur les textes
anciens sont sujet à omerta qu’ils leurs faut briser.
Même s’il est possible de conclure que de tels gestes ne sont motivés que par la protection d’un
dogme religieux et donc n’ont que peu de conséquence sur notre développement, il s’avère
rapidement que les choses ne sont pas aussi simples.
Aujourd’hui, même si les nouvelles recherches ne sont plus l’apanage le plus stricte des autorités
religieuses depuis le 18ième siècle, il ressort néanmoins que les témoignages de notre histoire sont
torturés entre l’omniprésence de l’ecclésiaste, un financement déficient faisant figure d’enfant
pauvre en comparaison des autres branches de la science, un marché noir très ciblé et très
agressif initiés par des collectionneurs d’élites anonyme capable d’influencer, tel en Suisse, les
lois à leurs avantages.
Extraits de son livre « Bloodline of the Holy Grail, l’auteur Sir Laurence Gardner nous apprends
ceci :
Une de ces autorités nouvelles s’appelait le Fond d’exploration de l’Égypte et fut établi en Grande
Bretagne en 1891. Sur la toute première page de son mémorandum et autres articles de
l’association, il y était stipulé que les objectifs du fond était d’effectuer des fouilles dans le but
d’élucider ou d’illustrer les textes de l’ancien Testament. »
Ce qui signifiait que toute nouvelle découverte ne respectant pas les enseignements bibliques ne
serait pas divulgué au publique. Ce qui n’existe pas, n’existe simplement pas et n’existera pas.
Le caractère épuré jusqu’à l’os du peu d’artefact de l’histoire ancienne qui arrivent tant bien que
mal jusqu’à nous ne permets que d’alimenter un débat d’amateur contre le modèle orthodoxe qui
sera jugé par les instances orthodoxes, tel qu’il se pratiquait couramment dans les donjons de
l’inquisition.
La mise sur pied il y a quelques années d’une nouvelle science appelé l’archéoastronomie et qui
fit suite à une surprenante explosion de découvertes démontrant la connaissances
particulièrement précise de l’astronomie chez nos ancêtres n’est qu’un exemple de ce manque de
connaissance de notre histoire ancienne.
Notre histoire est enveloppée d’une grande noirceur, résultat d’un effort soutenu et
concerté à travers les siècles par l’orthodoxie monarchique chrétienne et juive. Ces actions
vise à soustraire de nos yeux des connaissances dites « païennes » et implanter ce qui
sera convenu d’appeler « L’Organisation de la Terre Plate ». En fait, l’ensemble des
menaces qui se sont opposées à la libre connaissance de notre histoire sont telles qu’il est
possible d’identifier ceci sous l’étiquette d’un véritable génocide culturel.
Il faut songer aux différentes guerres et conquêtes qui se sont produites au cours de l’histoire et
qui visaient une conversion sauvage au christianisme. La conversion de cultures païennes au
christianisme fut de loin la plus coûteuse des guerres de l’histoire, prenant plus de 20 millions de
vies à travers l’histoire. Ferveur religieuse, mœurs de l’époque.
Et si en fait les motivations réelles n’étaient pas tant d’enrôler dans la chrétienté, que d’effacer la
culture païenne à tout prix.
Pour ce faire, « la communauté » chrétienne fera disparaître tout ce qui ne rencontre pas le cadre
en allant jusqu’à menacer, diminuer ou même détruire la vie du porteur de connaissance
païennes.
Cette chasse aux sorcières que fut l’inquisition s’est fait poursuivi jusqu’au début 20ième siècle
alors que des villages Européens étaient ravagés sous un prétexte de sorcellerie. Et même en
1950 moment jusqu’ou se poursuivit le génocide des communautés Indiennes de la Colombie
Britannique et de l’île de Victoria au Canada.
Crime sans cadavre, la reconstruction d’une Histoire n’est pas chose facile, durant cette grande
noirceur, des pans entiers furent escamotés aux profits de d’autres à saveur plus orthodoxe. Des
auteurs tels Velikovsky ou Sitchin ont clairement démontrés dans leurs travaux la présence de tels
chevauchement et de raccords remontant à la période Égyptienne et Sumériennes.
Des références historiques de moments important furent littéralement transfigurés par une armé
de scribes et de moines de façon à brouiller les intentions et évènements réels.
« Celui qui porte le crayon porte aussi l’histoire. » Et il fut une époque ou l’écriture était l’apanage
des Rois. Un tel effort n’est pas à la portée de tous et implique de fait un pouvoir peu commun. Un
pouvoir semblable à celui dont pouvait disposer la grande famille Italienne Piso dans lequel
trouvent racine les Medecis, quelques papes et la plupart des familles Royales au sang bleu de
l’Europe actuelle ainsi que de leurs alliés.
Au cours de notre histoire et encore à ce jour, des dizaines de gens ont essayés d’exprimer des
visions de l’histoire menaçant le modèle orthodoxe. Tué, blessé, banni, ridiculisé, censuré,
menacé, l’acharnement contre ces gens fut sévère, beaucoup plus sévère qu’on ne pourrait
s’attendre de voir contre un illuminé quelconque, quelque soit la période.
Que penser de Socrate, Platon, Bacon, Linda (Orea Linda), Galileo, Newton, Agrippa, Pythagore?
Que penser de Schliemann, Mesmer et Nicolas Tesla qui bien qu’à l’origine de toutes les grandes
découvertes sur l’électricité fut privé de financement de recherche à l’annonce d’une électricité
gratuite?
Que penser de T.T. Brown dont les résultats de travaux de recherche disparurent de la surface de
la planète à sa mort?
Que penser de Velikovsky avec le mouvement des pôles, de Harpgood avec la science des
anciens Sea Kings?
Santillana fut un professeur d’histoire émérite du MIT. Spécialisé en histoire ancienne et disposant
de ses entrées à la bibliothèque du Vatican, il fut congédié de son poste d’enseignement après
avoir publiés des théories historiques qui entraient en contradiction avec le cadre orthodoxe.
Fleishman et Pons furent ridiculisés après leur compte rendu publique sur la fusion froide. Encore
aujourd’hui, des études et comptes rendus désastreux pour leurs carrières sont financés par
l’establishment.
Et il y eut aussi bien sur, ceux qui furent portés en triomphe par l’establishment pour leur immense
imagination et grande intelligence, DaVinci, Einstein, Franklin, Edison, Wells, Bell. Si géniaux
qu’ils inventent, conçoivent des douzaines de nouveautés dans les sphères les plus variés de la
Ces gens et bien d’autres effleurent ce que furent les connaissances païennes de notre histoire
ancienne.
Mais qu’est donc ce savoir et ces connaissances païennes tant redoutée par le « Christiendom ».
Tellement redoutable que les tortures cruelles de l’inquisition n’ont eu leur pareil d’imagination
nulle part ailleurs dans l’histoire humaine. Que l’establishment n’hésita pas à détruire des
communautés entières et à tuer froidement plus de 12 millions de personnes plutôt que de courir
un risque. Qu’aujourd’hui même, elle n’hésitera pas à détruire une carrière ou même utiliser des
moyens plus coercitif pour atteindre ses fins.
Si l’or représente une façon de soutenir le royaume aujourd’hui, il faut admettre que la possibilité
d’acquérir les particularités d’une science différente de la notre, représente une chance facile de
s’améliorer rapidement et d’être meilleur à soutenir le royaume demain.
L’histoire traditionnelle nous apprends qu’ils ont tous été brûlés malicieusement, par peur de
l’ancienne magie ou par inconscience. Pour le moins ahurissant dirions-nous.
Dans son excellent livre « Hamlet Mill », l’historien Santillana nous dit les choses suivantes :
« Peu après Pythagore enseigna que les choses étaient des nombres. De
ce moment, les mathématiques furent nés. Le mystère entourant
l’origine réelle des mathématiques est encore avec nous à ce jour. »
À son vieil âge, le mathématicien et philosophe Bertrand Russel qui étudia toute sa vie durant les
travaux de Pythagore se sentit forcé d’avouer que s’il est une conclusion qu’il pouvait tirer des
enseignements de Pythagore elle concernerait la nature de la clarté de la logique et qu’elle n’avait
rien à voir avec la philosophie.
« L’utilisation des nombres tel qu’il l’a fait continue d’être un mystère à
ce jour et de ce mystère est née la métaphysique. »
Il est constant à la lecture des anciens textes d’être frappé par cette clarté d’esprit et cette logique
qui caractérise les gens cultivés et matures issues de société évoluées, terreau nécessaire a un
tel résultat. Bref, tout à fait à l’opposé de l’image traditionnelle de barbares vivant dans des huttes.
Des sociétés développées utilisant des techniques basées sur des connaissances similaires aux
nôtres et qui parfois se servent de matériaux de façon inusité et incomprise.
Que dire des cartes géographiques des anciens « Sea Kings » qui provenant du fond
des âges nous montrent des continents différents et des cotes inexistantes.
Que dire de cette connaissance particulière de l’astronomie. Tant par les dizaines de
références fournis par Santillana et bien d’autres historiens, que dans les centaines
d’artefacts retrouvés aux quatre coins du monde, une de ces science antique était
sans aucun doute celle du ciel, de ces dieux dont Aristote disait à qui voulait
l’entendre que les dieux des anciens étaient en fait les étoiles du firmament.
De par le monde aujourd’hui, tous les bâtiments connus datant de l’ère pré-chrétienne qui ont
survécu au passage du temps, possèdent des références astronomiques très précises à l’intérieur
de leurs constructions. Et dans les bâtiments les plus anciens, se trouve les références
astronomiques les plus incroyables.
Devant l’explosion de telles découvertes faisant suite aux théories de Santillana , une nouvelle
dimension de l’archéologie fut crée depuis une dizaines d’années, l’astroarchéologie. Cette
science a pour objectif spécifique de découvrir les différentes relations qui existaient entre les
Santillana avait bien raison. Il est très vrai qu’à la lecture de l’histoire ancienne, on ne peut que
s’étonner de cette obsession. Elle y est véritablement omniprésente jusque dans les cours
Royales d’Europe.
Platon, qui vécut en 350 de l’ère précédente nous donnent quelques indices lorsqu’il parle des
multiples catastrophes qui ont frappé la terre de façon cyclique.
La description qu’en font les récits d’Orea Linda de ces mêmes catastrophes sont terrifiants. Il n’y
a pas de façon d’envisager qu’une telle description ne puissent être qu’a une échelle locale.
Une partie de cette chape de secret est soulevée lorsque à cette analyse est ajouté les cartes de
l’Amiral Piri Reis réputé utiliser des références très anciennes.
Colonnes
d'Hercules
Côte de
l'Afrique
du nord
Atlantide
Amérique
du Sud
Banquise
du pôle
sud
De plus, l’amiral Reis nous apprends que l’Antarctique d’une certaine époque lointaine possédait
des cotes dégarnies de glace.
Les mers du globe étaient sillonnées par une marine commerciale permettant l’échange des
ressources entre les cités états. Le savoir, riche de milliers d’années d’observations était répandu
de façon homogène à travers les peuples de la Terre.
Il y a 5000 ans, le quotidien de l’homme fut changé à jamais lorsqu’un événement inconnu vint
rompre la balance isostatique de la planète terre libérant du même coup des quantités
gigantesques de lave et de gaz carbonique dans l’atmosphère. Une catastrophe d’envergure
planétaire que l’histoire biblique appelle le déluge.
Platon nous dit que les terres furent emportées par la pluie jusqu'à la mer, ne laissant que la
rocaille la misère et la famine.
Et la fonte des glaces se fit à une vitesse vertigineuse. Les surfaces qui n’étaient pas protégées
par la lourde protection de la glace étaient dépouillées par la pluie jusqu’à en faire des déserts. Le
niveau des mers remonta a une vitesse inimaginable, engloutissant les villes établi le long des
littoraux.
Tous les peuples de la Terre ont leur propre légende traitant de la dévastation des leurs lors d’une
catastrophe majeure. Mais Orea Linda, un ancien texte originaire de la région des basses terres
hollandaise nous le décrit avec une simplicité désarmante :
Platon disait : « Les cités disparaissaient, il ne restait que l’inculte et le montagnard pour rebâtir la
société. »
Dès le passage de la crise, les survivants se regroupaient et repartaient une société. Tout à fait
comme si ce genre de catastrophe était cyclique.
Le savoir ancien prenait à un moment ou à un autre une valeur inestimable, ceux qui sauraient le
conserver se verraient nettement avantagé. L’or pour aujourd’hui mais le savoir pour demain.
Une filiation de malfrats puissants et sans scrupules, réfugié derrière des icônes
orthodoxes de notre société, possédant des moyens et une capacité d’action hors de la
portée du commun des mortels. Cette meute, profitant des conséquences d’une
catastrophe astro-climatique, décimant la vie sur Terre de façon périodique, s’est
appropriée les connaissances et l’intelligence des générations ancestrales.
Brandissant Feux, sang, meurtres, guerres, génocides, loi divines, Bibles, religion, bâton, science
et dollars, ils ont terminés le ramassage de ce qui en restait de cette science. Distiller au
« vulgaire » de la façon la plus profitable possible au prix du marché servile, l’ancienne science en
attendant sagement le prochain tiraillement astro-climatique prévu et il n’y avait qu’à tout
recommencer.
Amputé de notre histoire ancienne, il ne nous reste maintenant que mythes et légendes
fantastiques et des monuments ahurissants. Le rythme d’évolution de notre société s’est
pratiquement arrêté ensuite sur plus de 4500 ans.
Mutilations des suites de ce génocide culturel, nous vivons dans une société rempli de tabou face
à des mots tels conspirations, catastrophes, force céleste périodiques, alignements de
planètes, génocides, le tabou du mot étant une promesse de la protection du concept.
Significativement plus religieux, les petits morceaux d’histoire restants furent soigneusement
cachés et transmis à l’intérieur d’ordre secrets.
Une société contrôlée, dans laquelle le mérite financier est le moteur même de sa censure et dans
laquelle la lumière du succès se manifeste honteusement plus forte et plus souvent le long de
certaines affiliations génétiques. Une société dans laquelle des DaVinci, Einstein, Franklin,
Edison, Wells, Bell n’ont pas joué le rôle génial que l’histoire leur a attribué.
Une société qui doit aujourd’hui supporter les actions et les conséquences d’un crime qui n’aura
jamais pu être empêché. Le succès aussi odieux soit-il, étant la rançon du secret. Comment
pardonner le motif d’une soif obscène de pouvoir alors que ce devait être au nom d’une ferveur
religieuse.
Celui qui possède le crayon possède l’histoire. Celui qui possède le mégaphone possède la foule.
Le savoir païen
Mais qu’est donc ce savoir et ces connaissances païennes tant redoutés par le « Christiendom ».
Aux dire de nos ancêtres ayant vécu sur terre à la suite du déluge, le savoir des anciens
précédant le déluge était incomparable et provenait de leurs pères ou d’une génération
précédente.
La société d’après déluge n’avait plus la masse d’individus suffisants pour poursuivre cette
connaissance, la perdant au fil des générations sans éducation ne conservant que l’essentiel.
Toujours aux dire de nos ancêtres d’après déluge, cette connaissance, ce savoir s’est peu à peu
transformé en objet de pouvoir et d’adoration, suscitant convoitise et envie à travers mythes et
légendes. L’établissement du rituel et de la légende devint nécessaire pour se remémorer de
génération en génération ce qui ne devenait guère plus qu’un mythe
Le peu de monument, temple, écrit et artefacts de l’époque mégalithique sont les témoins de cette
science que nous ayons, vu à travers d’énormes catacyclismes et 5000 ans de chasse aux
sorcières meurtrières fait de main de maîtres par cette meute de loups affamés que nous
appellerons « Les chevaliers de la Terre Plate »
Voici avec le recul d’une analyse objective et du haut de notre science actuelle, les bribes de ce
savoir ancestral parvenues jusqu’à nous.
La reconstruction de notre histoire ancienne ne sera pas chose facile. Il nous faut faire une
analyse objective des bribes de ce savoir ancestral parvenues jusqu’à nous, du haut de ce que
nous permets la science d’aujourd’hui.
Vannevar Bush, à l’instar des Da Vinci et Edison, fut l’un de ces chevaliers de la Terre
plate. Affiliation de sang bleu, il fut l’un des traducteurs de l’ancienne science au
monde moderne des plus prolifiques.
Le Dr Bush n’est pas le premier venu. Scientifique au collet blanc, il fut directeur du
bureau de la recherche et du développement scientifique des États-Unis de l’après
guerre des années 40 et 50. Il fut responsable de la coordination des activités de plus
de 6000 scientifiques de haut calibre dans l’application de la science de la guerre
incluant Einstein, Von neuman, Von Braun, Oppenheimer.
« S’il avait été donné à un Pharaon d’Égypte les plans et usages détaillés
d’une automobile; et s’il avait été donné à ce même Pharaon de les
comprendre entièrement, il aurait eu alors à taxer toutes les ressources de
son royaume pour en fabriquer les pièces et ne réussir qu’à façonner un
prototype qui aurait flanché à son premier voyage à Giza. »
Bien respectueusement,
Pierre Hardy
phee@videotron.ca