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Mycoplasme, Vagent pathogéne lié aux maladies du systéme neurologique 190 Mountain Street, Suite 405, Sudbury, Ontario, Canada P38 4G2, telV/fax : +1 (705) 670 0180. cs agents pathogenes appe- és « mycoplasmes » sont le produit de Laboratoires de recherche dans le domaine de la guerre bactériologique et biolo- gique. Phusieurs souches de mycoplasmies ont 46 “développées” dans optique de les rendre plus dangereuses, Elles sont aujourd'hui accusées d'étre & Yorigine du SIDA, du cancer, da sym- ‘drome de fatigue chronique, de la sclé- rose en plagues, de la maladic de Kroesfeld-Jacob et d'autres maladies du syst2mo nerveux, EXTRAIT NEXUS N° 17 eae ee os Py ed erty Il existe 200 espéces différentes de mycoplasmes. La plupart sont inoffen- sives ; seules quatre ou cing dentre elles sont pathogénes. Le Mycoplasme Fermentans (variété inconnue) provient probablement de la bactérie de la bru- cellose. Cet agent n'est ni une bactétie, nin Virus ; c'est une forme mutante de la buctérie de 1a brucellose, combinge Page 2 avec le vints visna du mouton, Lragent pathogéne qu’est le myco- plasme était auparavant anodin, mais les recherches dans le domaine de la guerre bactériologique ‘condultes depuis 1942 ont abouti & la eréation de formes plus infectieuses et mor- felles. Les chercheurs ont extrait o& ‘mycoplasme de Ia bactére de la brucel- lose et ont en fait rédit la maladie sous ‘une forme cristalline, Is Pont “arms” et Vont testé sur le public candide 4d’ Amérique du Nord. Le docteur Maurice Hileman, viralo- iste en chef pour les laboratoires phat- aaceutiques Merck Sharp & Dohme, a affirmé que cet agent pathogéne est aiaintenant présent chez tout le monde en Amérique du Nord et vraisemblable- sient dans la majeure partie de la popu- lation monéiale. A Tinverse de ce qui est rapponé, 1a fréquence de toutes les maladies neuo- degénérescentes s'est accrue depuis 1a seconde guetre mondiale et spéciale- ment depuis les années soixante-dix avec apparition de maladies incon- rues jusqu'alors comme le syndrome de fatigue chronique et le SIDA. Le docteur Shy-Ching Lo est diplomé 4e grade supérieur A 'Institut de patho- logie des forces armées et est un cher- cheur de pointe dans le domaine des mycoplasmes en Amérique. Selon Ini, ‘cet agent pathogtne provoque de nom breuses maladies dont le SIDA, le can- cer, le syndrome de fatigue chronique, la maladie de Crohn, le diabéte de type 1, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, 1a maladie de Wegener, et les maladies vasculaires lies au colla- ne comme I'arthrite zhumatoide et la maladie d' Alzheimer. Le docteur Charles Engel, qui travaille pour les National Institutes of Health amézicains (nsttuts nationaux de la sanlé) & Bethesda dans le Maryland, lors <'un de leurs congrés le 7 février 2000, a affirmé “Je sus en passession de tous les docu- ‘ments qui prowvent que le mycoplasme st agent pathogéne du synatrome de fatigue chronique, de la fibromalgie ‘ainsi que du SIDA, de ia sclérose en plagues, ef de nombreuses autres affee- ions. Parmi cewx-ci 80 % sont des pidees émanant des gouvernements américains et canadiens, 20 % issues articles de revues spécialisées telles que le “Journal of the American Medical Association", le “New England Journal of Medecine” ou le “Canadian Medical Association Journal”. Les articles de presse et les documents gouvernememaux se come plétent fes uns les autres”. ‘COMMENT FONCTIONNE LE MYCOPLASME ? Le mycoplasme agit en pénétrant dans Ie cellules du corps, son activité varie en fonction des predispositions géné- tiques du sujet. Ise peut que vous développies une maladie newrologigue si agent détruit certaines cellules de votre cerveau, ou bien une maladie de Crohn s'il envahis- salt et déteuisait des cellules du gros intestin [Le mycoplasne, une fois dans la cell Je, pout y séjoumer de fajon inactive ‘pendant parfois 10, 20 ou 30 ans, jus- qu’ ce qu'un traumatisme ait lien, comme un accident ou une vaccination qui ne pread‘pas, décleachant alors 18 phase active. Parce qu'il n'est constitué que de 'ADN de la bactére, il ne peut ‘tater ses propres mutriments et croft donc ea les prélevant Le cellule héte, ce quila tue litéralement ; elle se rompt et les dBchets sont rejtés dans le Mux sanguin, eed Ieee CO ng red ere eee fae aed Beaucoup de médecins ne connais- sent pas agent mycoplasme parce qu'il fut créé de toutes pitees par Parmée américaine lors d’expé- riences dans le domaine de Parme- ‘ment blologique, restant ainsi caché ‘au public, 1 fut mis au poiat pour I'ar- née par le docteac Shyb-Ching Lo. Je posséde une copie du brevet provenant e bureau américain des brevets (US patents Office)’ ‘Tous les pays impliqués dans Ia secon- de guerre mondiale menaient des expé- rimentations sur des armes biologiques. En 1942, les gouvernements des USA, u Canada et de In Grande-Bretagne, signéreat un accord secret pour produl- re deux armes biologiques (one arine mortelle, et une autre mettant bors tat de muire) destinges& re utilisées conte les alemands et les Japonais, qui 20x aussi mettaient au point leurs armes Diologiques.. Alors qu'lls travaillaient sur divers agents pathogenes, ils focali- sérent leur attention sur le bactéric de lt ‘brucellose et commencérent 2 la rendre dangereuse, Depuis le début, le programme de guer- ze biologique état classifi top secret et caraetérisé par un examen approfondi assuté par la participation des plus émi- nents scientifiques, de consultants smédicaux, d’experts de l'industrie et de ‘membres officiels du gouvernement Les services américains de la santé publique suivaicat également de prés les progsés de cette recherche depuis son tout début ; les centres de dépis- tages américains (Centers for Disease ‘Control - CDC) et les instiuts de santé ‘publique (National Institutes of Health - [NIED travaillaicnt de concert avec Jes smilitaies pour “armer" ces agents. Ces agents existaieat depuis des mulliers d'années,- mais ils ont éé améliorés pour devenir plus contagieux et plus efficaces. Bt aujourd'hui, ls progres- sent et s'stendent. Le programme Special Virus Cancer mis ea ceuvte par la CIA et le NIH pour eréer des agents patho- Fae, coumae, 3/4! emote LA ALA saicot , eutetan ones FaigE Setow Ue pen oo SewranunrFee = les vreccur © sore incewinien TFenurnes, vet QeReeneet our genes pour lesquels Vhumanité ae posstde pas de défenses immuni- taires (SIDA), fut dégui- s€ en une lotte contre le ‘cancer, mais faisait en fait pastie du MKNAO- MP. Beaucoup de membres du Parlement américain ze savent rien de ce qu'il stest alors passé. Par ‘exemple, la Commission sur la réforme gouverne- Page 3 EXTRAIT NEXUS N° 17 mentale du Sénat a recherche dans les archives de Washington et ailews le document intitulé “The Special Virus ‘Cancer Program : Progress report N°B” ‘et ne pu le trouver, D'une fagon ou ‘une autre, ils apprirent que j'en déte- nais une copie, m'appelérent et me emandérent de leur eovoyet. Imagine ‘un peu : un professeur d'école & la revvite, contacé par le Sénat américain aqui lui’ demande un de teur document seoret ! Le Sénat, par Ientremise de sa Commission sur fa réforme gouvemne- mentale, essaie d'empécher ce type de recherche. BRUCELLOSE “CRISTALLINE” La premire poge d'une étude authen- tigne du Sénat, déclassifiée le 24 fevriee 1977, montre que George Merck, des laboratoires. pharmaceutiques Merck ‘Sharp & Dohme (qui commercialisent aujourdhui les moyens de soigner les maladies qu'ls ont auparavant créée), stipolait dans un rapport adressé au Ministre américain de fa guerre que ses chercheurs avaient “pour la premizre fois” réussi a “isoler I'agent pathogéne sous une forme cristalline”? Tis avaient extrait une toxine bactériclo- ‘sique de la bactérie de ta brucellose. La foxine pouvait @tre tansformée sous tune forme cristalline et éue stockée, twansportée et relichée sans détériora- tion, Eile pouvait ire véhiculée par divers vecteurs comme des insectes, des aérosols ou des maillons de la chaine alimentaire (dans Ia nature c'est la bac Arie qui assurait cette fonction), Mais le facteur actif ceuvrant dans la brucellose iat le mycoplasme. [Le brocellose est un agent pathogéne ‘qui ne te pas ; il met les malades hors 4'ézat de nuire. Mais selon le docteur Donald’Me Arthur du Pentagone, lors d'une allocution devant une comrais- sion du Congris américain en 1969 “es chercheurs ont découvert que s'ils isposaient d'un mycoplasme d'une certaine puissance, en fait de 10 a la puissance 10 (10°), il se transformerait en SIDA dont le malade mourrait dans un intervalle de temps raisonnable car ses défenses immunitaires seraient ‘court-circuitées, Si la puissance était de 10, Je malade manifesterait un syndro- me de fatigue chronique ou une fibro- malgie. A 10°, Ia personne s’affaiblirait elle ne mourait pas et powrtat conti ruer de vivre, mis elle ne serait plus stimulée par Ia vie ; elle dépérirait, La majeure partie d’entre nous n'a jamais entendu parler de la brocellose parce qu'elle a dispars depuis que Yon pasteurse largement Ie Ist quien est fe pporteur, Une salidre qui contiendait agent pur de Ia brucellose sous sa forme cristalline pourrait 2 elle seule contaminer toue la population du Canada. Celui-ci est radicalement mot- tel, non en le tuant le comps directement mais en le mettant hors d°état de fone- tioanement, Dans la mesure ol "agent se solutionne dans le sang, les examens sanguins ondi- nites ou de tissus ne peuvent mettre en évidence sa présence. Le mycoplasme cristallise seulement au-dessus d'un PH de 8.1 alors que Te sang a un PH de 7.4. Le médecin vous dira alors au sujet des rmaux dont vous vous pligniez : "C'est dans votre tte” LA BRUCELLOSE CRISTALLINE” ET LA SCLEROSE EN PLAQUES En 1998 & Rochester dans I"Euat de New York, j'ai encontré un ancien militaire nommé PFX Donald Bentley, qui, en ‘me remettant un document, m'a dit “J'ai 606 entrainé A In guerre biologique. ‘Nous possédions une bombe chargée de Ja brucellose ; seulement c*était de la brucellose sans en étre ; Tl s'agissait d'une toxine de la brucellose sous sa forme cristalline. Nous Iépangions sur Ia Chine et la Corée du Nord.” Tl me montra son certficat de service écrivant sa forrantion aux conflits chi- migues, biologiques et radiotogiques et tun document de 16 pages que lui don- nérent les services de I'armée américai ne Jessqu’il fut libéré de ses fonctions. It cnblissit le ten entre Ta brucellose et la selérose en plaques, et une parte préci- soit : “Les vétérons de V'armée atteints de selérose en plaques, tine sorte paraly- sie campante se développant & un stade de 10 %, on plus d'incapacité physique dans les deux ans qui suivent la fin de leur service actif, pourraient faire préva- Joie eur droit & une pension d’invalicité, Celle-ciest payable aux véérans admis- sibles dont les incapacités sont dies & leurs états de service.” En d'autres mots “Si vous tombez malade de la sclérose en plagues, c'est parce que vous mani- puliex cette brucellose, et nous vous donnerons une pension, Ne vous avisez pas de faire de agitation & ce sujet.” Dans ces documents, Je gouvernement américain révélait la cause réelle de 1a sclérose en plaques, mais il ne le fit pas ppubliguement, ni aupres de votre doc- ‘eur Dans un rapport de 1949, les docteurs Kyger et Hadon suggéraient “Ia possibi- 1ité que la sclérose en plaques soit la manifestation de la brucellose chro- nique’ au niveau o&rébral:” Ayant testé 113 malades, ils d¢couvrirent que 95 % étaient porteurs de la brucellose.* Nous disposons d'un article de journal de TPépoque qui conclusit qu'un cas. sur 500 développerat une neuro-brucellose, fend’ autres termes la brucelose dans le cerveau, dans les ventricules latérau, précisément 1A ob se Locals la selérose ‘en plagues.* ‘LA CONTAMINATION DES TRAVAILLEURS DU LABORATOIRE DE CAMP DETRICK Fn 1948, un article da “New England Joumel of Medecine” inttulé “Séreuse contamination de lz brucellose pari le persennel des laboratoires” nous montre A qel point cet agent ait dangereuxTL f'agissit des wavaileus da laboratoice de Camp Detrick & Frederick dans le Maryland, ou !’on mettait au point des armes biologiques. Ceax-ci_svaient méme été vaccinés, portaieat des com- binaisons étanches et des masques et travallaien 2 travers estrous pratique dans des caissons isolés, et malaré cela, ils contractérent Ia terrible maladie, el- Jement celle-ci est infectieuse. Liarticle est signé par le lieutenant Calderone Howell, du comps des Marines, Emilie Kelly, réserviste de la Marine “américsine, et le capitaine ‘Henry Bookman, tous trois militaires impliqués dans Ie transformation do vis de la brucllose en une arme bio logique plus efficace. Ey eee Cede Coocoee a Cer Tea) Les documents prouvent que cette arme Diologique fut tesiée sur le public de diverses communautés & son insu et ‘sans son consentement. Le gouvernement savait que Ia brucello- EXTRAIT NEXUS N° 17 Page 4 se “cristalline” rendait les humains ‘malades mais il avait besoin de savoir dans quelle mesure I'affection s’éten- drait ct comment la disséminer I testa ces méthodes de dispersion pour Ia “brucellose suis” ct la “brucellose meli- tensis” a Dugway Proving Ground dans TUtah en juin et en septembre 1952, si bien que probablement 100 % d’entre ‘nous sommes aujourd'hui infectés par ‘ces deux souches.” Un autre document gouvememéntal secommandait a mise en ocuvze de tests de vulnérabilité en terrain découvert, de programmes de recherche et de déve- loppement clandestins menés par I'ar- imée avec le concours de la CIA. ‘Accette 6poque, le gouvernement améri- cain demanda au gouvemement cana- dien de coopérer aux tests, ce que ce demier fit totalement, Les Américains cherchaient & déterminer si les mous- tiques. pouvaient servir de vecteur & agent pathogéne et aussi si c’était le cas de Pair. A ce sujet, un rapport do gouvernement statuait que “les tests sur Jes agents infectieux en plein air sont considérés comme essentiels & la com- prébension ultime des potentialités de Tarmement biologique & cause’ de la multitude des facteurs entrant en jeu lors de la dégradation des micro-orga- nismes dans I'atmosphére.” ‘TESTS SUR LES MOUSTIQUES EN TANT QUE VECTEUR APUNTA GORDA EN FLORIDE Un atticle du “New England Journal of Medecine” révele que l'une des pre- migres éruptions du syndrome de fatigue chronique evt lieu & Punta Gorda en 1957." Bx par une étrange coinciden- ce, ily avait un ts important afflux de ‘moustigues ta semaine précédant U'ap- perition de la maladie. institut National de Santé affiema que Vamrivée des moustiques était dOe & un feu de foret 2 50 kms de 18. La veri, est Pinfection de ves moustiques ax Canada par les soins du docteur Guilford B, Reed & la Queen's University. On les fit se multiplier & Belleville, en Ontario, puis transportés 2 Punta Gorda pour y étte laches. Bn moins d'une semaine, Les cas pre- riers cas de fatigue chroniques furent ‘observés par la Clinique locale. La maladie progressa jusqu’a un total de 450 personnes qui Ta contractérent. TESTS SUR LES MOUSTIQUES EN ONTARIO Le gouvernement canadien avait établi 1m laboratoire (le “Dominion Parasite Laboratory”) a Belleville, dans Etat de ¥ Ontario, oi étaient levés 100 millions de moustiques par mois. Ils étaient ensuite conduits & la Queen's University, et en d’autres installations, pour y Sires infectés par l'agent patho- gene Sous sa forme cristalline. Les rmoustiques étaient alors reldchés ou sein de certaines communautés en plei- ne nuit, pour que Tes chercheurs puis- sent mesurer le taux de contamination de le population a partir du itombre de. ‘eas de syndromes de fatigue chronique et de fibromalgies, qui étaient les deux ‘premiéres affections & se déclarer ‘Une des communautés qu'ils testérent fut celle de a vallée de St Lawrence Seaway Valley, entre Kingston et ‘Comwall, en 1984. Des centaines de ‘millions de moustiques y furent lich. Plus de 700 personnes développérent des myalgies enoéphalomyelitiques ou des syndromes de fatigue chronique. CR eee Cree ele DEI ‘MALADIE DE LA VACHE FOLLE, KURU - MALADIE DE KREUTZFELDT-JACOB ‘Avant et au cours de la seconde guerre mondiale, les militaies japonais conta- ‘mingrent les. prisonniers de guerre du Camp 731, en Mandchourie, ave plu- sieurs souches de maladie. Is démarrérent d'autres recherches, en 1942, dans un camp en Nouvelle- Guinée oii ils priremt pour cabayes les membres de la tibu des “Anciens Indiens” en leur inoculant une solution Page 5 tirée de cervelles de moutons contemi- ‘ngs parle virus visna qui cause la mala- die de Ja vache folle et son équivalent chez homme, celle de Kreuztfeldt- Tacob. Les Japonais partis, cing ou six ans plus tard, les membres de la communauté indig’ne développérent une maladie qu'ils nommaient “Kuru”, ce qui signi- fie dans leur langue “dépérissement", ils finirent par trembler, perde leur appétit cet mourir. Les autopsies révélerent que leur cerveau était littéralement en ouillie, Lorsque s‘acheva cette méme guerre, Ie docteur Ishii-Shiro, Médecin Général ‘dans V'armée japonaise, et donc suscep- tible de diriger le développement de Varmement biologique, était prisonnier centre 1a possibilité de travaitler pour Trarinée américaine ou celle d'etre exé- ‘cuté comme criminel de guerre. Bien entend, i cist la seconde, et aida les Américains & établir comment es, Japonais avaient inoculé la maladie de Krewztfeldt-Jacob & cete trib. En 1957, alors que te virus était en plet- ne expansion, le docteur Carleton Gadjusek, du NHI américain se rendit en Nouvelle-Guinée pour déterminer comment les cerveaux des_moutons malades avaient pu les contaminer. Hy passa deux années, étudiant le peuple indigene, et éerivit un rapport déaillé. 1 regut un Prix Nobel pour avoir “décou- vert” Ia maladie “Kura” au sein de cette popalation TESTS D'AGENT CANCERIGENES A WINNIPEG DANS LE MANITOBA - CANADA. En 1953, te gouvemmement américain demanda au Canada de tester les effets d'un produit chimique sur la ville de ‘Winnipeg, possédant 500 000 habitants et isolée du monde, Les militares amé- EXTRAIT NEXUS N° 17 ricains répandirent ce produit cancéri- ‘gine sous une forme atténuée un miler do fois, si dituée, d'aprds cux, que per- sone ne tomberait ies melade ;, mais Jes gens consulteraient en hOpital pour tu simple shume ou de petites lesions, ce qui lour permettait de déterminer le ppourcentage de Ia population qui aurait ‘éveloppé un cancer si le produit avait 4&6 dosé normalement. Nous possédons la preuve que les ‘Américains ont effectivement effectué ce rest sur Winnipeg en 1953 en épan-

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