Stimuler une action collective à l’échelle mondiale
Association canadienne pour les Nations Unies – Montréal
Bulletin de liaison
Since 1946, the Montreal Branch
has actively supported and publi-
cized the activities of the United
Nations Association in Canada
(UNA-Canada) contributing to a
better knowledge of United Nations
by Montrealers.
UNAC-Montreal encourages the
Montreal public to become aware of
the works of the United Nations and
aims to heighten their interest
concerning the critical international
issues confronting the UN.
UNAC-Montreal has a specific inte-
rest in youth. It strives to encourage
young people to become active citi-
zens within a civil society in order
that they may contribute to the great
stakes that challenge the United
Nations and affect us all.
States and Governments do indeed
have duties with respect to ensuring
Peace & Security, Economic &
Social Development as well as
Human Rights, but we, the Citizens,
must also shoulder our responsibili-
ties in those matters.
UNAC-Montreal volunteers truly
believe in the importance of con-
tributing to a greater knowledge and
an improved understanding of the
essential and unique mission of the
UN. Join us now. Sign up for UNA-
Canada membership today and
give us your financial support.
MONTRÉAL | OCTOBRE 2003 | VOLUME 2 | NUMÉRO 2
L’ACNU dans toutes les écoles secondaires
et collèges du Québec
There is cause for rejoicing since the inauguration of the essay contest The UN and you. Everyone,
including the sponsors, approvingly chorused the benefit of Living Safely in a World at Peace.
More information at : http://www.unac.org/montreal/contest
Les motifs de réjouissance étaient nombreux lors du lancement le mercredi 17 septembre à l’UQÀM
du concours L’ONU et vous mis sur pied par l’ACNU-Montréal.
Des milliers de jeunes, de même que le personnel scolaire, seront en effet sensibilisés durant l’année
à ce concours puisque, grâce à l’appui de la CSQ et du ministère de l’Éducation, des affiches
annonçant le concours sont présentes dans les écoles du Québec.
En parfaite symbiose avec sa raison d’être, l’ACNU fait donc œuvre
utile en contribuant à mieux faire connaître et comprendre les Nations
Unies à des milliers d’étudiants, anglophones et francophones, des
niveaux secondaires 4 & 5 et collégial à travers le Québec.
Ensuite, l’ACNU joue la carte de la convergence en s’associant à des
partenaires dont les objectifs rejoignent les siens. Le Secrétaire et
trésorier de la CSQ, M. Alain Pélissier, fut éloquent à cet égard lors du
lancement estimant que « la cause onusienne est une valeur pour la
CSQ » et le thème du concours 2003-04, Vivre en sécurité dans un
Michel Brûlé, vice-président de
monde en paix, ne pouvant qu’enrichir la démarche des enseignants.
l’ACNU-Montréal
De son côté, Mme Arpi Hamalian, présidente de la commission de l’Éducation à la Commission
canadienne pour l’UNESCO, a fait part de son enthousiasme pour le projet de l’ACNU-Montréal qui
s’inscrit parfaitement dans l’esprit des programmes de la CCU. « En procédant au lancement de ce
concours aujourd’hui, a-t-elle expliqué, nous invitons les jeunes de nos écoles à développer une
pensée critique, à prendre la parole pour exprimer et dire sur la place publique leurs espoirs pour vivre
en sécurité dans un monde en paix et à se responsabiliser pour jouer un rôle croissant dans la
promotion de valeurs et de principes tels que les droits de l’homme (de la personne pour le Québec et
le Canada), la démocratie participative, la compréhension internationale et la diversité culturelle. »
Et Mme Hamalian de conclure « qu’il est important de rappeler à cette occasion que (...) ce concours
arrive à l’aube de deux décennies internationales de l’ONU : 2003-2012, Décennie des Nations Unies
pour l’alphabétisation et 2005-2014, Décennie des Nations Unies pour l’éducation en vue du
développement durable. »
Le lancement fut aussi l’occasion d’accueillir d’autres partenaires du concours, notamment le directeur
exécutif de la Quebec Provincial Association of Teachers, M. Alan Lombard et le PDG des Éditions
Hurtubise HMH, M. Hervé Foulon.
Toutes les informations sur le concours sont disponibles sur le site de l’ACNU :
http://www.unac.org/montreal/concours/
Force opérationnelle Kaboul - un mission peu connue
A chat with Jocelyn Coulon (author of Guide du maintien de la paix) reveals the true nature of the role of Canadian Forces in Afghanistan,
and they are in for the long haul.
La mort brutale le 2 octobre dernier dans la banlieue de Kaboul de
deux soldats du 3e bataillon du Régiment royal de Petawawa a
rappelé à tous que le Canada est toujours engagé dans une
difficile mission en Afghanistan.
Avec plus de 1900 soldats sur le terrain, le contingent canadien est
l’un des deux plus importants de la Force internationale d’assistance
et de sécurité (ISAF) qui a été mise en place en décembre 2001
par l’OTAN dans le cadre d’un mandat des Nations Unies. D’ici
quelques mois, ce sera au tour du Canada d’en assumer le
commandement. Pourtant, il semble que cette mission soit mal
connue du grand public. Les soldats de l’Opération Athena sont-ils
des casques bleus? Quel est leur rôle? Leur mission se terminera-t-elle
comme prévu juste après les élections de juin 2004? Pour répondre
à ces questions et mieux comprendre le contexte, l’ACNUexpress
a rencontré Jocelyn Coulon qui vient de publier l’édition 2004 du
Guide du maintien de la paix*.
ACNU : Qu’est-ce qui différencie cette mission de celles
auxquelles le Canada a participé dans le passé?
Jocely Coulon : Tout d’abord, ce n’est pas une mission des
Nations Unies. Il n’y a pas de casques bleus en Afghanistan.
L’ISAF a été créée en vertu d’une résolution du Conseil de sécurité
et est donc mandatée par les Nations Unies, mais elle est entièrement
composée de soldats qui demeurent sous le commandement de
leurs pays et, depuis peu, sous la gouverne de l’OTAN. Cette
Opération Athena est aussi différente de la première mission
canadienne de janvier à juillet 2002 en Afghanistan où les soldats
canadiens étaient sous le commandement des États-Unis et
faisaient partie de la coalition américaine qui menait des combats
contre les Talibans et contre Al-Qaida dans le sud-ouest du pays.
Il s’agissait d’une guerre avec des règles d’engagement très
claires. L’ISAF a également des règles d’engagement claires, mais
c’est avant tout une mission de protection pilotée par l’OTAN.
ACNU : Pourtant, pour beaucoup de Canadiens, les soldats
envoyés en Afghanistan sont des casques bleus alors que ce n’est
pas le cas.
JC : Les politiciens présentent cette mission comme une mission
de maintien de la paix. Ce n’est pas faux, mais ce n’est pas vrai
non plus. Le maintien de la paix n’est plus le maintien de la paix de
Lester B. Pearson tel qu’il l’avait conçu en 1956. On déployait alors
des casques bleus sous mandat de Nations Unies sur une ligne de
cessez-le-feu, habituellement dans une zone tampon, où il n’y
avait plus de belligérants. C’était la mission de maintien de la paix
classique. Ce ne l’était déjà plus en Bosnie et au Kosovo, et ce ne
l’est certainement pas en Afghanistan.
ACNU : La situation sur le terrain est donc complexe et le
contingent canadien n’est pour l’instant déployé qu’à Kaboul et
ses environs dans le cadre du mandat de l’ISAF. Est-ce que cela
pourrait changer?
JC : Le président afghan Hamid Karzaï et certains alliés, les
Allemands par exemple, demandent que le mandat soit élargi à
l’ensemble du pays. Cela ne veut pas dire mettre des troupes
partout, mais au moins pouvoir aller à Kandahar et couvrir l’ensemble
des grands centres.** On parle d’une mission de vingt à cinquante
mille hommes mais il n’y a pas beaucoup de pays prêts à fournir
des troupes. Les Américains ne sont pas très intéressés non plus à
ce qu’une force vienne jouer dans leurs plates-bandes alors qu’ils
sont en train de lutter contre les talibans et Al Qaida dans certaines
régions.
ACNU : Le succès des missions au Cambodge (UNTAC) ou au
Timor (UNTAET) est en grande partie dû au volet civil qui était très
important. Est-ce le cas en Afghanistan?
JC : Il y a une composante de l’ONU de quelques centaines de
personnes en Afghanistan, mais avec un mandat différent de l’ISAF.
Son rôle est de superviser l’aide économique et d’accompagner, en
coordination avec l’ISAF, le processus politique jusqu’en juin 2004,
date des élections générales. Il y a donc, fait assez exceptionnel,
trois organisations qui fonctionnent de façon indépendante dans le
pays : la coalition internationale dirigée par les États-Unis pour
lutter contre le terrorisme, l’ISAF sous mandat de l’OTAN et la
composante ONU dirigée par M. Lakhdar Brahimi. Il y a d’ailleurs
beaucoup de Canadiens qui travaillent avec lui. Donc, oui il y a
des éléments civils, mais il ne sont pas prépondérants pour
l’instant. Ils le seront peut-être d’ici à l’organisation des élections.
ACNU : Est-ce qu’il y a un danger d’enlisement?
JC : Rappelons que les Canadiens sont en Bosnie depuis 1992 et
qu’en 1995, lorsque les accords de Dayton ont été signés, Bill
Clinton disait aux Américains « on est là pour un an ou deux ». Ils
y sont toujours, eux aussi, alors que la situation est moins volatile
et le pays moins détruit que l’Afghanistan qui est complètement
déstructuré. A mon avis, les Occidentaux sont en Afghanistan pour
dix ans.
Propos recueillis par Renato Cudicio et Laura Atar
* Coulon, Jocelyn dir. (2004) Guide du maintien de la paix, Montréal, Éditions
Athéna, co-édition CEPES, 312 p.
** Peu après l’entrevue, le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté la
résolution 1510, mise au point par l’Allemagne, qui étend à l’extérieur de Kaboul le
mandat de l’ISAF.
Voyager mieux, un peu grâce à Montréal
Chacun des millions d’usagers qui chaque
année prennent l’avion sait-il que c’est à
Montréal, dans les bureaux de l’Organisation de
l’Aviation Civile Internationale (OACI), que les
décisions lui assurant un vol dans les meilleures
conditions se prennent? La métropole a raison
de s’enorgueillir d’être l’hôte d’une organisation
internationale qui joue un rôle déterminant dans
le système des Nations Unies.
Tout récemment, du 22 septembre au 3 octobre
dernier, quelque 700 délégués représentant 122
États et 24 organisations internationales ont
convergé vers Montréal pour assister à la
onzième Conférence de navigation aérienne*.
Pour faire le point sur cet événement majeur,
l’ACNUexpress a rencontré le Dr Assad Kotaite
qui assume la présidence du Conseil de
l’Organisation depuis 1976 et dont il en a été le
secrétaire général de 1970 à 1976, après y avoir
représenté le Liban de 1965 à 1970.
La nécessité d’assurer un développement sûr
et ordonné de l’aviation civile partout dans le
monde est à l’origine de la mise sur pied de
l’OACI. C’est à elle que revient d’établir les
normes et règles applicables à tous les pays et
devant assurer la sécurité, la sûreté**, l’efficacité
et la régularité du transport aérien. C’est dans
cet esprit que s’est déroulée la Conférence de
navigation aérienne. Même si les événements
du 11 septembre 2001, la guerre en Irak et la
crise du SRAS ont provoqué une baisse de 2 %
du trafic aérien, on observe cette année un taux
de stabilité qui annonce une reprise de
l’accroissement du trafic mondial des passagers.
L’augmentation prévue pour 2004 est, en effet,
de 4,4 %, pour 2005 de 6,3 % avec, par la suite,
un taux de croissance annuel moyen de 4 %.
D’ici 10 ans, c’est 2 milliards 200 millions de
passagers qui chaque année utiliseront l’avion
comme moyen de transport.
Association canadienne pour les Nations Unies – Montréal (ACNU-Montréal)
Depuis 1946, l ’ACNU-Montréal soutient et
l’action de l’ACNU nationale en cherchant à
faire mieux connaître l’Organisation des
Nations Unies auprès de la population du
Grand Montréal.
L’ACNU-Montréal favorise la participation des
Montréalais à l’action de l’ONU et vise à
développer leur intérêt pour les grands défis
internationaux qui sont ceux de l’Organisation.
L’ACNU-Montréal s’intéresse d’une manière
plus spécifique aux jeunes. Elle cherche à
susciter en eux le désir d’être des citoyens
Lors de la dixième conférence tenue en 1991,
l’OACI avait décidé de passer d’un système
terrestre à un système par satellite de navigation
aérienne. On se donnait de la sorte les moyens
de gérer de façon plus efficace les difficultés
reliées à l’accroissement du nombre d’atterrissages
et de décollages. Cette fois, l’Organisation a mis
de l’avant un système mondial pour les services
de navigation aérienne. L’objectif : renforcer la
sécurité et fournir un meilleur service aux
passagers en réduisant les retards et la durée
des vols. Sa mise en œuvre s’échelonnera
sur les 25 prochaines années.
« La Conférence, explique M. Assad Kotaite, a
atteint son objectif principal qui est d’établir
l’orientation future du développement d’un
système de navigation aérienne harmonisé et
sans discontinuité à l’échelle mondiale, tout en
demeurant centré sur notre toute première
priorité : la sécurité des passagers. »
Parmi les causes de retard dans les déplacements
en avion, signalons celui bien connu du contrôle
des passagers, lequel exige un temps
considérable. À cette fin, l’identification des
personnes par biométrie — grâce à une carte
magnétique insérée dans le passeport et
permettant une identification à partir à la fois de
l’iris et des empreintes digitales — constitue de
ces mesures qui auront des effets tant sur la
protection des passagers que sur la fluidité
de leur gestion.
Louis Dussault
* Les rapports de la onzième Conférence de navigation aéri-
enne peuvent être consultés sur le site web de l’Organisation :
www.icao.int
**Il y a lieu de distinguer la sûreté (security) des vols et de
l’aviation en général de leur sécurité (safety), quoique les
deux disciplines opèrent en synergie.
actifs au sein de la société civile pour qu’ils
apportent plus tard leur contribution au
traitement des enjeux auxquels l’ONU fait
face et qui sont aussi les nôtres.
Les états et les gouvernements ont certes des
responsabilités à l’égard du maintien de la
paix, de la sécurité internationale ou du
développement social et économique et des
droits de la personne, mais les citoyennes et
les citoyens que nous sommes avons aussi
les nôtres en ces matières.
L’OACI et Montréal,
un duo gagnant
Composée de 188 États membres, l’OACI
constitue l’une des plus importantes
institutions spécialisées de l’Organisation
des Nations Unies qui compte 191 membres.
Longtemps logée rue Sherbrooke,
l’Organisation occupe depuis le 10 octobre
1996 un immeuble construit spécialement
pour elle rue University à l’angle de la rue
La gauchetière. L’OACI est donc
stratégiquement située à l’entrée même de
ce qu’il est maintenant convenu d’appeler la
Cité internationale et dont elle constitue le
fer de lance. De fait, c’est depuis son
installation dans la métropole en 1948
que Montréal a acquis la stature de ville
internationale. En raison du statut
diplomatique dont jouissent les
représentants étrangers et les
fonctionnaires internationaux qui y
travaillent en permanence, notre ville
est l’hôte à la fois d’un corps diplomatique
et d’un corps consulaire importants.
La présence dans une ville comme la
nôtre du siège d’une organisation
internationale gouvernementale de
cette envergure entraîne la tenue d’une
foule d’activités qui amènent vers
Montréal des délégués venant des
quatre coins du monde. À titre d’exemple,
sur les 34 sessions de l’assemblée
auxquelles sont tenus d’assister les
délégués de l’ensemble des États
contractants, 26 ont eu Montréal pour
théâtre. La dernière s’y est déroulée du
31 mars au 1 er avril 2003.
LD
Les bénévoles de l’ACNU-Montréal estiment
important de contribuer à mieux faire
connaître et comprendre dans leurs milieux
l’incomparable et indispensable rôle de
l ’ONU.
Joignez-vous à eux. Adhérez à l’Association
canadienne pour les Nations Unies et
soutenez-la financièrement.
 L’ONU à Drummondville
In Drummonville, a UN flag graces Peace Park, once a pacifist symbol of the Cold War era. Thanks to the tireless work of
activists like Jean Verrier, Peace Park has become a concrete example of local community participation in building global peace.
Le drapeau des Nations Unies flotte à
Drummondville, plus précisément dans le
Parc de la Paix, le long du boulevard
Saint-Joseph. Cette étonnante réalisation
est le résultat d’un long processus initié par
M. Jean Verrier qui fut, pendant 25 ans,
président du syndicat des enseignants de
la région de Drummondville.
Le Parc de la Paix est littéralement un work
in progress. L’idée de cet espace urbain
dédié à la paix a germé au sein d’un
groupe de pacifistes au temps de la Guerre
froide. Ceux qu’on percevait alors comme
«gauchistes», pour ne pas dire
«communistes», ont pourtant réussi, à
force de concertation avec les associations
et groupements locaux ainsi que des
organisations non gouvernementales
(comme Amnesty International et
Développement et Paix) à convaincre le
conseil municipal et la commission scolaire
de consacrer un immense espace vert au
est publié quatre fois l’an par
l’ACNU-Montréal
Abonnement gratuit :
acnu@uqam.ca
Coordination :
Renato Cudicio
Rédaction :
Laura Atar
Michel Brûlé
Amélie Hamilton
Collaboration spéciale :
Louis Dussault
Conception graphique et infographie
commanditées par
www.multiple-media.com
L’ACNU remercie Montréal International
pour sa contribution à la publication.
www.montrealinternational.com
L’ACNU remercie l’UQAM
pour son hospitalité
www.uqam.ca
cœur de la ville pour en faire le Parc de la Paix. Son aménagement a été conçu
par de jeunes universitaires sous la direction du professeur John Bruce Macleod
de la faculté de l’Aménagement de l’université de Montréal.
Depuis près d’une dizaine d’années, le parc s’enrichit régulièrement de symboles
axés sur de grandes valeurs, telles la paix, la démocratie, les droits de la personne,
etc. En 1995, l’ancien ministre et ambassadeur, Gérard Pelletier, y a hissé le
drapeau des Nations Unies. L’année suivante, en référence à une tradition
amérindienne, on y a
planté un arbre de la paix,
un pin blanc. Puis, on y
réalisa des aménagements
paysagés inspirés des
traditions anglaise et
française, composés de
chênes pyramidaux plantés
en spirale (pour ne pas
créer d’effet barrière) et
d’un verger où chaque
pommier a été offert par
une des écoles de la
région, le ministère de
l’Éducation et l’UNESCO.
Éventuellement, la place
centrale sera dotée d’un
kiosque qui deviendra un Plantation de pommiers et de chênes pyramidaux par les
lieu d’expression de enfants de Drummondville dans le Parc de la Paix
diverses cultures. Plus tard,
on prévoit l’installation de murets de culture, soit des plaques de granit sur
lesquelles seront gravés de grands textes fondateurs de démocratie, notamment la
Déclaration des droits de l’Homme, la Charte des droits et des libertés, le Manifeste
2000 pour la Paix.
Afin d’assurer sa pérennité et un ancrage dans la communauté, le parc est
administré par Parc de la Paix de Drummondville, un organisme indépendant qui
regroupe des représentants de la ville, de la commission scolaire et du syndicat
des enseignants.
Jean Verrier a gagné son pari. Avec le Parc de la Paix, il a trouvé la réponse à sa
question des années 1980 : comment, de façon concrète, promouvoir localement
de grands idéaux et amener une communauté à les partager activement ?
Michel Brûlé
ACNU-Montréal Adresse postale
Université du Québec à Montréal ACNU-Montréal
Pavillon Judith-Jasmin Université du Québec à Montréal
405, rue Sainte-Catherine Est, bureau J-4350
Bureau J-4350
Montréal (QC) H2L 2C4 C.P. 8888, succursale Centre-ville
Tél. : (514) 987 3000 poste 7621 Montréal (QC) H3C 3P8
Fax : (514) 987 0249