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RETROUVAILLES
CONVERSATIONS
2 - Je trouve ça amusant de voir tous ces gens qui montent et qui descendent pas
l’escalator. On se croirait devant un manège !.
- Et ces nombres qui changent constamment, qu’est-ce que c’est ?
- C’est le nombre de visiteurs qu’il y a à l’intérieur.
- C’est pour les statistiques ?
- Oui, certainement, mais, surtout, c’est qu’il ne doit jamais y avoir plus
10000 personnes dans les étages.
3 - C’est vraiment un lieu de rencontres ! Tous ces jeunes sont venus du monde
entier..... Je les trouve un peu bruyants quand même.......
- Ah ! moi, j’aime bien cette ambiance ! Ils ont l’air de bien s’entendre !
- Il y a quand même trop de bruit !
- Ah ça ! Ce n’est pas ici qu’il faut venir chercher le silence ! Mais moi, je
trouve ça sympathique. Et puis, c’est seulement dehors ; à l’intérieur,
c’était calme.
Julie : Alors, on est tous d’accord pour reprendre la route cet été ?
Julie : Ah bon ! Vous en avey déjà parlé ? Pourquoi est-ce que tu ne nous
as rien dit, Jérôme ?
Philippe : Julie est insupportable, d’accord, mais quand même, nous sommes
touos un peu curieux....
Nina, que fais-tu dans la vie ? Parle-nous un peu de toi.
Nina : Oh, il n’y a pas grand-chose à dire. J’ai vingt ans, je suis
bruxelloise, je prends des cours au Conservatoire, à Paris, je fais du violon, je connais
Jérôme depuis Noël. Voilà. Tu sais tout maintenant.
Philippe : Et mois qui voulais des détails.... Mais pourquoi es-tu venue à
Paris ?
Nina : C’était mon r’eve depuis toujours. Il y a deux ans, après l’athénée,
j’ai passé l’examen de maturité.....
Nina : C’est ça. Et, un beau jour, je suis arrivée à la gare du Nord. Je
devais passer unse semaine chez une amie de ma mère et, finalement, je suis restée chez
elle toute une année. Et, maintenant, je ne retourne que très rarement en Belgique. Je n’ai
pas revu mes parents depuis plusiers mois....Bon, entre-temps, je me suis inscrite au
Conservatoire où j’ai fait la connaissance de Jérôme....
Un peu de Lecture
Une des attractions pricipales de Saint-Malo IntraMuros1 l’été est très certainement la
présence des artistes qui donnent à la vieille ville, l’espace d’un été, l’ambiance d’un petit
Montmartre2.
Sunshine vient à Saint-Malo pour la quatorzième foir. Elle est née à Hongkong et habite à
Saint-Brieuc. Sunshine pratique un art original : elle découpe le profil des touristes. «
J’ai commencé lorsque j’étais étudiante, maintenant je suis devenue saisonnière.... »
Jean-Paul et Françoise viennent depuis dix ans. Originaires de Picardie, ils son
aquarellistes. « Nous faisons notre demande é la municipalité dès janvier. Chaque lundi,
on nous désigne un emplacement. Nous payons 45 euros par semaine. Saint-Malo est une
ville formidable. » Mais les places sont chères. Chaque année, la municipalité reçoit une
grande quantité de demandes, et cela dès le mois de janvier. « Nous sommes obligés d’en
refuser chauqe fois une cinquantaine, indique l’adjoint au maire, il y a ceux qui font leur
demande trop tard, et ceux qui n’entrent pas dans les critères. »
Des critères qui sont trè précis. Les vendeurs doivent proposer des ouvres de leur propre
production, des originaux en matière de sculpture, peinture ou photo. Terminé, donce, les
vendeurs d’oiseux en plastique, de bracelets fluorescents et autre gadgets.
« Avant de prendre une décision, nous prenons des informations sur la qualité de l’artiste.
Nous privilégions les fidèles, ceux qui viennent depuis plusiers années. Nous privilégions
également les personnes de la région malouine. Chaque année, trois à cinq artistes
nouveaux sont acceptés. »
Autre Conversation
Philippe : Nous ne sommes pas encore prêts. Nous n’avons même pas tous les textes.
Julie : Sophie, tu nous avais promis de les terminer pour Pâques. La semaine
prochaine, nous serons déjà en juin, ce n’est pas sérieux !
Hacène : Super ! Comme ça, on pourra encore jouer à Paris pour la fête de la
Musique le 21 juin.
Julie : Ensuite, nous animerons une fête dans un petit village du Cotentin. Et puis
nous resterons quelques jours à Saint-Malo.
Julie : Et le 14 juillet, repos, sauf pour Jérôme et Nina qui feront danser les
touristes le soir.
L’INTERROGATION DIRECTE
L’interrogation directe
2 Un rendez-vous.
-.......................................................
- Rien de spécial.
-.......................................................
- Oui, mais je ne sais pas ce qui passe.
-.......................................................
-Plutôt les comédies et les films d’action.
-......................................
- Si. Je les ai croisés dans l’escalier ce matin.
-......................................
- Plutôt sympatiques.
-......................................
- D’italie. Mais ils parlent très bien français.
EMPLOI
Pour faire un récit au passé, on emplie le passé composé et l’imparfait.
On utilise le passé composé pour.....et l’imparfait pour...............
FORMATION
Mettez les verbes entre parenthèses au passé composé ou à l’imparfait. Justifiez votre
choix. Plusieurs réponses sont parfois possibles.
Nous (vivre) deux ans en France. Je (rejoindre) mon mari mi-juillet 1997 pour
m’ocupper de l’appartement. Nous (déméneger) pendant l’été car la rentrée scolaire
(avoir lieu) début septembre.
À la maison, nous (avoir) une jeune fille au paire qui (s’appeler) Jeanne. Elle
(s’occupper) des enfants et me (aider) pour les tâches ménagères. Nous (habiter) une
grande maison à Nantes dans un quartier très central qui nous (plaire) beaucoup. Le
soir, nous (aller) parfois au restaurant et, le week-end, nous (visiter) la Bretagne.
Nous (passer) plusiers week-end au bord de la mer. Ça (être) une merveilleuse
expérience.
Le plus-que-parfait
Complétez la règle.
EMPLOI
Por exprimer qu’une action a eu lieu avant une autre action passée, on utilise le plus-
que-parfait.
FORMATION
Passé composé ou plus- que – parfait ? Complétez. Quel moment du passé marque
la limite entre l’emploi du passé composé et du plus-que-parfait ?
Hier soir, je (sortir) très tard du dureau et je (rentrer) à la maison à pied. Le dernier métro
(passer).
Cher Marco,
Comme tu sais, j’ai retrouvé Claire à Saint- Malo pour la fête de la Musique qui a lieu
.......chaque année. Elle existe.............1982 :musiciens amateurs et professionnels
descendent jouer dans les rues, les jardins publics, les cafés................quelques heures. Ça
finit en général tard,............. 2 ou 3 heures du matin. Comme prévu, nous nous sommes
retrouvées................ 7 heures pour dîner...............on a écouté dse groupes africains dans
le port, beaucoup de gens dansaient........ est allées sur la plage où il y avait un grand
concert de rap. On y est restées....plus d’une heure.....on est allées prendre un verre dans
le centre-ville.... on s’est promenées, il y avait partout des spectacles de rue. Dans
l’église, un orchestre jouait un concert de musique baroque qui a fini...............minuit. On
est retournées vers le port où on s’est ionstallées à une terrase et ...............on est rentrées
se coucher..... 3 heures du matin. Il faut absolument que tu viennes l’année prochaine !
Bien à toi,
Laurence.
Les préfixes
Avec un préfixe, on peut former, à partir d’un mot connu, un nouveau mot de sens
différent.
1- Quelle est la signification de re- ou ré dans ces deux exemples ? Citez d’autres
verbes qui comment par re- ou ré.
2- Expliquez le sens des verbes reprendre et revoir.
3- Complétez avec le verbe qui convient.
Commencer recommencer
Venir
Prendre
Partir
Quel changement de sens est-ce que le préfixe in- apporte dans les exemples ci-dessus ?
PRODUCTION ORALE
- Ça m’intéresse.
- Je suis/ Je serais curieux/ curieuse de voir/ connaître.....
- J’aimerais bien voir/ apprendre/ savoir...
- Ah oui, en effet....
SE PRéSENTER
- Je suis (le/la) responsable de................/ Je m’ocuppe de............
- Je suis le mari/la femme/ l’ami(e)/ le copain/ la copine/ un(e) collègue
de....
- Je suis votre nouveau guide/conseiller/conseillère....
- Je viens de............
- J’ai fait mes études à ....../J’ai longtemps travaillé à .....
- Avant de....., j’étais/j’avais déjà......
- Nous allons travailler ensemble.......
Un peu de Lecture
L’année en quatre saisons
• En automne, c’est ka rentrée scolaire, mais aussi professionnelle, théâtrale,
culturelle. On remet des prix littéraires en novembre (prix Goncourt, Femina, etc.)
• Au printemps, les gens reprennent leurs activités de plein air, les habitant des
villes qui le peuvent partent en week-end à la campagne, à la mer.
• En Hiver, C’est la saison « morte » : les gens vont au cinéma, resten au chaud
cheu eux. L’activité principale du mois de décembre est la préparation des fêtes de
fin d’année (Noël et le réveillon du jour de l’an). En février, un Français sur dix
part à la montagne, dans une station de sport d’hiver.
• En été, ont lieu les grandes compétitions sportives, il y a des festivals un peu
partout et c’est la période des grandes vacances.
L’Éducation en France
Les étudiants
Un bachelier possède le diplôme du baccalauréat. Tous les bacheliers peuvent suivre des
études à l’université. Il y a en France plus de 2 150 000 étudiants, répartis dans soixante-
dix-sept inversités (treize en région parisienne), quelques grandes écoles et des écoles
d’enseignement supérieur privées.
Ces écoles forment les futurs cadres supérioreurs (dirigeants administratifs, commerciaux
ou scientifiques). On dit des étudiants des grandes écoles qu’ils font parti de l’élite1. Ils
trouvent facilement du travail après leurs études. Les candidats à ces écoles préparent les
concours de sélection pendant deux ans dans des classes préparatoires au lycée.
1. Ensemble formé par les meilleurs éléments d’une communauté.
• Pour les ingénieurs : l’école polythechnique, l’école des mines, l’école des ponts
et chaussées, l’école centrale.
• Pour l’administration : l’école nationale d’administration (ENA)
• Por le commerce : l’école des hautes études commerciales (HEC), l’école
supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC).
• Autres spécialités : les instituts d’études politiques (dont « Sciences-Po », à Paris),
l’école normale supériure (« Normale sup », lettres et sciences ».
50 % des Français estiment que les grandes écoles sont nécessaires pour former l’élite
de la France.
Les universités et les grandes écoles sont publiques : les droits d’inscription sont
assez faibles (entre 300 et 550 euros par an), alors que les écoles supérieures sont
privées et parfois très chères (entre 7500 et 15 500 euros par an).