Você está na página 1de 72

1- Accueil

La Constitution algérienne de 1976 révisée en 1989 et 1996 érige la Cour


des Comptes en Institution supérieure chargée du contrôle a posteriori des
finances de l'Etat, des collectivités territoriales et des services publics.
Mise en place en 1980, la Cour des Comptes est actuellement régie par l
´ordonnance n° 95-20 du 17 juillet 1995 qui détermine ses attributions, son
organisation et son fonctionnement ainsi que la sanction de ses
investigations.

2- Organisation et fonctionnement

La Cour des comptes est organisée en chambres à compétence


nationale (au nombre de huit), et en chambres à compétence
territoriale (au nombre de neuf) et une chambre de discipline
budgétaire et financière.
Elle est dirigée par un Président nommé par le Président de la
République, assisté d´un vice-président.

Le rôle du Ministère public au sein de la Cour des comptes est assure


par un Censeur Général assisté de censeurs.

Elle dispose également d´un greffe confié à un greffier principal


assisté de greffiers.

a) -Les chambres nationales


Les chambres à compétence nationale sont chargées du contrôle des
comptes et de la gestion financière des ministères, le contrôle des
établissements et organismes publics de toute nature dépendant d´un
ministère ou recevant des subventions inscrites à son indicatif ainsi
que le contrôle des entreprises publiques économiques dont l´activité
est liée au secteur couvert par ledit ministère.

b) Les chambres territoriales

Les chambres à compétence territoriale sont chargées de contrôler les


finances des collectivités territoriales (wilayas et communes) relevant
de leur compétence géographique. Les chambres territoriales peuvent
également contrôler les comptes et la gestion des organismes publics
auxquels les collectivités territoriales concèdent des concours
financiers ou détiennent partiellement ou majoritairement leur
capital.

c) -La chambre de discipline budgétaire et financière

La chambre de discipline budgétaire et financière (CDBF) est


compétente pour juger et sanctionner certaines fautes ou irrégularités
commises par les gestionnaires publics et agents assimilés ayant causé
un préjudice certain au trésor public ou au patrimoine des organismes
publics.

d) - Le Censorat général
La Cour des comptes comprend un Censorat général exerçant le rôle
de Ministère public. Il est dirigé par un Censeur Général assisté de
censeurs et a pour mission de suivre les attributions juridictionnelles
de la Cour des comptes et, de veiller à la bonne application au sein de l
´institution des lois et règlements en vigueur.
e) - Le greffe central

La Cour des comptes dispose d´un greffe dirigé par un greffier


principal chargé de recevoir et d´enregistrer les affaires de l
´Institution d´une part, et de préparer matériellement les audiences de
la Cour des comptes siégeant toutes chambres réunies d´autre part.

f) -Le bureau des rapporteurs généraux

Il est créé auprès du Président de la Cour des comptes, président du


comité des programmes et des rapports, un bureau des rapporteurs
généraux (au nombre de trois) qui sont chargés respectivement des
travaux liés à la préparation du projet de rapport annuel, du projet d
´appréciation sur l´avant projet de loi de règlement budgétaire et de l
´avant- projet de programme annuel d´activité de la Cour des comptes
et de son bilan.

g) -Les services administratifs et techniques


Enfin, la Cour des comptes fonctionne avec l´appui de structures de
soutien sous forme de départements techniques et administratifs dont l
´animation, le suivi, la coordination sont assurés, sous l´autorité du
Président de la Cour, par le Secrétaire général

3-Chambres territoriales

Les domaines d’intervention respectifs des chambres territoriales:

Chaque chambre est compétente pour exercer son contrôle sur les
collectivités locales, les établissements et organismes locaux implantées sur
un ensemble de Wilayas, bénéficiant d’un concours financier total ou
partiel de l’Etat inscrit à leur indicatif.
Il en va de même pour les autres organismes qui reçoivent des fonds publics
sur lesquels le contrôle exercé est facultatif, comme la gestion des
participations publiques des organismes dans lesquels les collectivités
détiennent une partie du capital social, ou qui gèrent des régimes
obligatoires d’assurance et de protection sociales, ou enfin, ceux qui font
appel à la générosité publique pour des causes humanitaires, éducatives ou
scientifiques.
Le domaine d’intervention de chacune des chambres territoriales est
reparti entre deux sections comme suit :

CHAMBRES Wilayas

TERRITORIALES
Annaba Annaba, Skikda et El-Taref Guelma, Souk-Ahras, Tébessa, Oum
El Bouaghi
Constantine Constantine, Mila, Jijel Batna, Biskra, Sétif, Khenchla,

Tizi-Ouzou Tizi-Ouzou, Bejaia, Boumerdès, Bordj Bou Arréridj, M’sila,


Bouira
Blida Blida, Ain Défla, Médéa, Chlef, Djelfa, Tissemsilt.

Alger Alger, Tipasa.

Oran Oran, Mostaganem, Relizane, Mascara, Saida

Tlemcen Tlemcen, Sidi Bel abbés Ain-Temouchent, Tiaret, Naâma,

Ouargla Ouargla, Ghardaia, Laghouat. Illizi, El oued, Tamenghasset.


Béchar Béchar, Tindouf, Adrar, El bayadh.
Chapitres 1 : Maintenance

Définition de

Maintenance
Selon la définition de l'AFNOR, la maintenance vise à maintenir ou à
rétablir un bien dans un état spécifié afin que celui-ci soit en mesure
d'assurer un service déterminé 1.

La maintenance regroupe ainsi les actions de dépannage et de réparation,


de réglage, de révision, de contrôle et de vérification des équipements
matériels (machines, véhicules, objets manufacturés, etc.) ou même
immatériels (logiciels).

Un service de maintenance peut également être amené à participer à des


études d'amélioration du processus industriel, et doit, comme d'autres
services de l'entreprise, prendre en considération de nombreuses
contraintes comme la qualité, la sécurité, l'environnement, le coût, etc.

Cette définition recouvre deux types de mesures, curatives et préventives :

a)-Maintenance curative

La maintenance curative correspond notamment à des mesures


correctives ou curatives après incident qui s’inscrivent généralement
dans l’urgence et nécessite une définition stricte de délais d'intervention,
à la mise en place d'astreintes en industriel, aux services de hot line et
autres services de télémaintenance en informatique.

b)-Maintenance préventive

Ces services de maintenance correspondent à des mesures programmées


soit parce que l’évolution de l’état du bien en fonctionnement ou du
service est prévisible avant même la mise en route, soit parce qu’elles
résultent de constatations qui incitent les responsables de l’entretien à
faire des réparations avant qu’un risque se réalise.
2- Maintenance et garanties

Lorsque la fourniture du bien à maintenir intervient, elle s’accompagne


souvent d’une période de garantie durant laquelle le fournisseur est tenu
de fournir à son client le même type d’actions que celles définies ci-
dessus.

C’est pourquoi, lors de l’établissement des contrats de maintenance, et


tout particulièrement pour des parcs de matériels, il est essentiel de
veiller à prendre en compte la période de garantie afin de ne pas être
amené à payer deux fois le même service.

3- Origines

Les activités de maintenance, au sens de dépannage d'un équipement, ont


toujours existé. Mais ces activités étaient au départ peu ou non formalisées :
elles n'étaient pas nécessairement assurées par du personnel spécialisé, ni
encadrées par des méthodes spécifiques. De plus, elles consistaient
essentiellement à réparer un équipement une fois que celui-ci était
défaillant, mais n'intégraient que peu la notion de « préventif », c'est-à-dire
des interventions visant à prévenir une panne.

La notion formalisée de « maintenance » (à l'origine, on parlait d'


« entretien ») est née dans l'industrie de production de biens vers la fin des
années 1970. Puis, dans les années 1990, elle commença à gagner le secteur
de production de services. Aujourd'hui elle est susceptible de concerner
tous les secteurs d'activité : services généraux, immobilier, transport,
logiciel, etc.

Typologie de la maintenance des machines


Il existe 2 façons complémentaires d'organiser les actions de maintenance :

• La maintenance corrective, qui consiste à intervenir sur un


équipement une fois que celui-ci est défaillant. Elle se subdivise en :
o Maintenance palliative : dépannage (provisoire) de
l'équipement, permettant à celui-ci d'assurer tout ou partie
d'une fonction requise ; elle doit toutefois être suivie d'une
action curative dans les plus brefs délais.
o Maintenance curative : réparation (durable) consistant en une
remise en l'état initial.

• La maintenance préventive, qui consiste à intervenir sur un


équipement avant que celui-ci ne soit défaillant, afin de tenter de
prévenir la panne. On interviendra de manière préventive soit pour
des raisons de sûreté de fonctionnement (les conséquences d'une
défaillance sont inacceptables), soit pour des raisons économiques
(cela revient moins cher) ou parfois pratiques (l'équipement n'est
disponible pour la maintenance qu'à certains moments précis). La
maintenance préventive se subdivise à son tour en :
o Maintenance systématique, périodique ou programmée : Ces
trois termes sont synonymes. Ils désignent des opérations
effectuées systématiquement, soit selon un calendrier (à
périodicité temporelle fixe), soit selon une périodicité d'usage
(heures de fonctionnement, nombre d'unités produites, nombre
de mouvements effectués, etc.) ;
o Maintenance conditionnelle : réalisée à la suite de relevés, de
mesures, de contrôles révélateurs de l'état de dégradation de
l'équipement.
o Maintenance prévisionnelle : réalisée à la suite d'une analyse de
l'évolution de l'état de dégradation de l'équipement.
Diverses méthodes permettent d'améliorer la planification et
l'ordonnancement des actions de maintenance :

• Réseau PERT
• Diagramme de Gantt
• Méthode MERIDE
• Analyse AMDEC

Par ailleurs, il existe des logiciels de gestion de maintenance assistée par


ordinateur (GMAO), spécialement conçus pour assister les services de
maintenance dans leurs activités.

4- Typologie de la maintenance des logiciels

En informatique logicielle, on parle assez régulièrement de 3 types de


maintenance :

• la maintenance corrective : elle consiste à corriger les défauts de


fonctionnement ou les non-conformités d'un logiciel,
• la maintenance évolutive : elle consiste à faire évoluer l'application
en l'enrichissant de fonctions ou de modules supplémentaires, ou en
remplaçant une fonction existante par une autre, voire en proposant
une approche différente.
• la maintenance adaptative : sans changer la fonctionnalité du logiciel,
elle consiste à adapter l'application afin que celle-ci continue de
fonctionner sur des versions plus récentes des logiciels de base, voire
à faire migrer l'application sur de nouveaux logiciels de base (un
logiciel de base étant un logiciel requis pour l'exécution d'une
application; exemples : système d'exploitation, système de gestion de
base de données).
5-l’ensemble d’un ordinateur :

1 Composants d'un ordinateur :

Il s'agit des composants matériels d'un ordinateur.

Les composants de l'ordinateur

Les entrées sont réalisées au moyen d'un matériel spécifique: clavier,


lecteur de disquette, disque dur, CD-ROM, scanner ...

L'unité centrale effectue le traitement. Nous pouvons distinguer deux


composantes physiques dans l'unité centrale :

• la mémoire centrale qui permet de stocker des informations quand la


machine est sous tension,
• le processeur qui agit sur ces informations ; c'est le noyau de
l'ordinateur.
La sortie des résultats s'opère par l'intermédiaire de matériels tels que
l'écran, l'imprimante, le lecteur de disquette, le disque dur. Les matériels
d'entrée et de sortie sont regroupés sous le terme d'unités périphériques
(photos/motherboard1-2).
Chapitre 2 : Installation de système d’exploitation

1-Définition de Système d'exploitation

Sans le système d'exploitation, l'ordinateur n'est qu'un radiateur.

Lire une donnée inscrite sur une disquette est une opération très
dépendante du lecteur et de l'ordinateur utilisés. On peut imaginer les
instructions requises: faire tourner le plateau du lecteur, s'assurer de la
présence d'une disquette, calculer le déplacement et la position de la tête de
lecture, déplacer le bras, etc. Ces opérations «proches» de la machine font
partie de la première fonction du système d'exploitation. Ce système est la
première couche logicielle développée sur un ordinateur qui libère le
programmeur de la complexité du matériel. La deuxième fonction consiste
en l'exploitation des ressources de la machine. Imaginez deux programmes
utilisant l'imprimante. Pour résoudre les conflits d'accès ou éviter le
désordre sur les pages imprimées, le système d'exploitation gère les conflits,
priorités et autorisations.

Le système d'exploitation des machines PC le plus courant est MS-DOS


(MicroSoft Disk Operating System). Windows 95 tend à le remplacer.

Le démarrage d'un ordinateur se déroule de la façon suivante:

1. L'utilisateur met la machine sous tension.


2. Un programme minimum se met en activité, vérifie la machine et
recherche le programme plus complet (système d'exploitation) qui va
lui indiquer le fonctionnement interne de la machine. Le système se
trouvera soit sur le disque dur, soit sur une disquette qu'il faut
introduire dans le lecteur.
3. Le système d'exploitation est copié dans la mémoire de la machine.
4. Quand le système d'exploitation est chargé, la machine est prête à à
l'utilisation.

Le système d'exploitation gère la communication entre les différents


éléments de l'ordinateur, l'enchaînement des actions, l'utilisation de la
mémoire... L'individu désirant développer une application sur l'ordinateur
n'aura plus à s'occuper de ces problèmes.

Pour illustrer le démarrage de l'ordinateur: imaginez un robot qui peut se


déplacer (il a des articulations, des pistons...) mais il ne sait pas comment
fonctionnent ses articulations. Par contre, il sait lire (et comprend ce qu'il
lit). Quand on le met sous tension, il demande simplement son propre mode
d'emploi, le lit. Une fois qu'il l'a lu, il connaît le fonctionnement de ses
articulations, de ses pistons... il sait se déplacer mais ne sait pas quoi
faire!!... Il attend qu'on lui donne un but.

Quand la machine a chargé le système d'exploitation, elle est capable de


gérer ses différents organes. Elle est à la disposition de l'utilisateur.

Pour obtenir une machine dédiée à une utilisation particuliè re, il faut
ajouter une nouvelle couche logicielle. Par exemple, en ajoutant le logiciel
Turbo Pascal, vous obtenez une machine dédiée à la programmation en
langage Pascal; en ajoutant le logiciel Word , vous obtenez une machine
dédiée au traitement de texte... Autres logiciels, autres utilisations possibles:
bases de données, logiciels de jeux...
Déjà au niveau du système d'exploitation, certaines activités sont possibles.
Elles concernent principalement les fichiers. Des commandes permettent de
copier, d'effacer, de répertorier... les fichiers.

Lorsque le système d'exploitation est chargé, vous avez donc la possibilité:

• d'agir sur les fichiers,


• de dédier votre machine à une activité particulière: avec un logiciel
spécialisé, ou avec un logiciel généraliste (de programmation).

2- L’application :

Envie de réinstaller Windows XP à cause de lenteurs, de changement de


configuration ou d'un test de Vista vous ayant déçu ? Rassurez-vous,
installer Windows XP se fait en très peu d'étapes. Il existe deux types
d'installation de Windows :

• L'installation sur un PC neuf ou encore sur un disque dur


vierge de toute donnée

• La mise à jour, qui se fait en ayant préalablement


démarré son PC, lancé le système d'exploitation (Windows) et
en insérant le CD.

Nous allons détailler la procédure permettant d'installer Windows XP et ce


avec un disque dur vierge (ou avec pertes de données si votre disque n'est
pas vierge) avec un ou plusieurs disques durs SATA (serial ATA), afin de
vous montrer la manoeuvre la plus compliquée au cas où vous y seriez
confronté(e).

Si vous avez un disque IDE la procédure est exactement la même mais


simplifiée ! Vous sauterez uniquement l'étape consistant à appuyer sur F6
pour insérer la disquette et les drivers SATA

Il vous faut tout d'abord configurer votre BIOS pour qu'il recherche un
système bootable sur le CDROM en premier, sinon vous aurez beau insérer
le CD puis relancer votre PC, il démarrera comme il le fait habituellement
et vous ne pourrez donc installer Windows.

Une fois ceci fait, insérez le CD de XP et relancez votre ordinateur.


Appuyez sur une touche pour démarrer à partir du CDROM lorsque le
message vous y invitant apparaît en bas de votre écran. L'installation se
lance. Une fois le matériel inspecté, vous arrivez devant cet écran :
Appuyez sur la touche F6 pour activer l'option d'installation de disques
SCSI ou SATA

Appuyez sur la touche Entrée. Le programme d'installation vous informe


ensuite qu'il n'a pas trouvé de disque dur pour installer Windows.

Appuyez sur la touche S pour spécifier un matériel supplémentaire. Insérez


alors la disquette contenant les drivers SATA (cherchez sur le CD de votre
carte-mère) et appuyez sur Entrée. La liste possible des pilotes installables
s'affiche. Choisissez le pilote approprié et appuyez sur Entrée.
Si vous avez un périphérique supplémentaire, appuyez encore sur S et
répétez la manœuvre. Dans le cas contraire appuyez une nouvelle fois sur
Entrée. Appuyez ensuite sur F8 pour accepter le contrat de licence. Vous
vous retrouvez ensuite devant le gestionnaire de partitions. Si votre disque
n'est pas partitionné, appuyez sur C pour créer une partition. Indiquez sa
taille en Mo et appuyez sur Entrée.

La création des partitions est une étape importante. Je vous conseille de


créer plusieurs partitions (une pour Windows et le système, au moins une
autre pour vos documents) car si vous êtes contraints de formater la
partition système ultérieurement, vos documents ne seront pas affectés.
Pour plus de détails concernant la création d'une partition, vous pouvez
consulter le tutorial suivant : Partitionner son disque dur
Ensuite, sélectionnez la partition dans laquelle installer Windows et
appuyez sur Entrée. On choisira par commodité la partition C

Il faut maintenant formater la partition. Choisissez l'option Formater la


partition en utilisant le système de fichiers NTFS (rapide) et appuyez sur
Entrée.
Le programme d'installation formate la partition. Au prochain
redémarrage, vous vous retrouvez devant cet écran :

Au bout d'un certain moment, Windows vous propose de configurer les


paramètres linguistiques. Si vous désirez changer les touches Majuscules,
etc. cliquez sur Détails, sinon sur Suivant. Vous aurez de toute façon la
possibilité de faire tout ça ultérieurement dans le panneau de configuration.
Vous devez ensuite Rentrer un nom (qui ne sera pas votre nom
d'utilisateur) et éventuellement votre organisation. Cliquez sur Suivant une
fois ceci fait. Vous devez maintenant rentrer la clé qui a été fournie avec
votre CD de Windows. Une fois la clé rentrée, cliquez sur Suivant.
Rentrez ensuite un nom que vous donnerez à votre ordinateur (il s'agit d'un
nom réseau, évitez donc de lui donner plus de 8 caractères, et ne mettez que
des caractères non spéciaux). Si vous le désirez entrez un mot de passe
administrateur. Cliquez ensuite sur Suivant.

Configurez ensuite la date, l'heure et cliquez sur Suivant. Windows vous


indique qu'il va configurer automatiquement la résolution de votre écran.
Cliquez sur Ok. Vous voici maintenant devant cet écran :
Cliquez sur Suivant. Renseignez ensuite votre nom, ainsi que les noms ou
pseudonymes éventuels des autres utilisateurs possibles. Cliquez ensuite sur
Suivant.

L'installation de Windows est terminée ! Cliquez sur Terminer. Au


prochain redémarrage, vous devrez activer votre système d'exploitation par
téléphone ou internet sous peine de ne plus pouvoir l'utiliser 30 jours après
l'installation.
Chapitre 3 : Réseaux & Internet

1- Internet :

Visualisation des multiples chemins à travers une portion de l'Internet.

Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public


des services comme le courrier électronique et le World Wide Web. Ses
utilisateurs sont désignés par le néologisme « internaute ». Techniquement,
Internet se définit comme le réseau public mondial utilisant le protocole de
communication IP (Internet Protocol).

Internet ayant été popularisé par l'apparition du World Wide Web, les
deux sont parfois confondus par le public non averti. Le Web est une des
applications d'Internet, comme le sont le courrier électronique, la
messagerie instantanée et les systèmes de partage de fichiers poste à poste.

Par ailleurs, du point de vue de la confidentialité des communications, il


importe de distinguer Internet des intranets, les réseaux privés au sein des
entreprises, administrations, etc., et des extranets, interconnexions
d'intranets pouvant emprunter Internet.

L'accès à Internet peut être réalisé auprès d'un Fournisseur d'accès via
divers moyens de télécommunication : soit filaire (réseau téléphonique à bas
débit ADSL ou xDSL, câble coaxial, fibre optique, courant électrique
porteur CPL), soit sans fil (Wifi, Wimax, Internet par satellite, 3G...).

2- Historique :

Les mémos que Licklider du Massachusetts Institute of Technology (MIT)


écrivit en juillet 1962 sont les plus anciens textes décrivant les interactions
sociales qui seraient possibles avec un réseau d'ordinateurs. Cela devait
notamment faciliter les communications entre chercheurs du Defense
Advanced Research Projects Agency (DARPA). En octobre 1962, Licklider
fut le premier chef du programme de recherche en informatique du
DARPA. Il persuada ses successeurs Ivan Sutherland, Bob Taylor et le
chercheur du MIT Lawrence G. Roberts de l'intérêt des réseaux
informatiques.

En 1961, Leonard Kleinrock du MIT avait publié le premier texte théorique


sur les télécommunications par paquets et en 1964 il publia le premier livre
sur le sujet.

En 1965, Roberts testa avec Thomas Merrill la première connexion


informatique à longue distance, entre le Massachusetts et la Californie. Le
résultat montra que des ordinateurs pouvaient travailler ensemble à
distance, mais que le mode de télécommunication par établissement de
circuit du système téléphonique était inadapté. Le concept de
communication par paquets de Kleinrock s'imposa.

En 1966, Roberts fut engagé par Taylor au DARPA pour concevoir


l'ARPANET. Il publia les plans en 1967. En présentant ce texte, il découvrit
deux autres groupes de chercheurs travaillant indépendamment sur le
même sujet : un groupe du National Physical Laboratory (NPL) du
Royaume-Uni avec Donald Davies et Roger Scantlebury, et un groupe de la
RAND Corporation avec Paul Baran.

Entre 1962 et 1965, le groupe de la RAND avait étudié la transmission par


paquets pour l'armée américaine. Le but était de pouvoir maintenir les
télécommunications en cas d'attaque (éventuellement nucléaire), ce que
permet une transmission par paquets dans un réseau non centralisé. Il
s'agissait d'un développement indépendant d'ARPANET : bien que
probablement robuste face à une telle attaque, ARPANET n'a pourtant été
conçu que pour faciliter les télécommunications entre chercheurs. Le
rapport de Paul Baran est resté purement théorique, et est rapidement
tombé dans l'oubli. Mais le mythe d'« ARPANET comme dernier rempart à
une attaque atomique » trouve là son origine.

Pendant ce temps, au British National Physical Laboratory, l'équipe de


Donald Davies avait progressé : NPL Network, le premier réseau maillé
fondé sur la transmission de datagrammes (packets) était fonctionnel. Mais
l'histoire d'Internet n'a pas été écrite par les Européens : ARPANET sera
désormais l'origine officielle d'Internet.

En août 1968, le DARPA accepta de financer le développement du matériel


de routage des paquets d'ARPANET. Ce développement fut confié en
décembre à un groupe de la firme BBN (Bolt Beranek and Newman) de
Boston. Ce dernier travailla avec Robert E. Kahn (Bob Kahn) sur
l'architecture du réseau. Roberts améliorait les aspects topologiques et
économiques du réseau. Kleinrock préparait des systèmes de mesures du
réseau.

En septembre 1969, BBN installa le premier équipement à l'UCLA où


travaillait Kleinrock. Le second nœud du réseau fut installé au Stanford
Research Institute (SRI) où travaillait Douglas Engelbart sur un projet
d'hypertexte. Deux nœuds supplémentaires furent ajoutés avec l'université
de Santa Barbara et l'Université d'Utah. Fin 1969, ARPANET comptait
donc quatre nœuds.

Le Network Working Group (NWG) conduit par Steve Crocker finit le


protocole de communication poste-à-poste NCP en décembre 1970. Ce
protocole fut adopté entre 1971 et 1972 par les sites branchés à ARPANET.
Ceci permit le développement d'applications par les utilisateurs du réseau.

En 1972, Ray Tomlinson mit au point la première application importante :


le courrier électronique. En octobre 1972, Kahn organisa la première
démonstration à grande échelle d'ARPANET à l'International Computer
Communication Conference (ICCC). C'était la première démonstration
publique.

Le concept d'Internet est né d'ARPANET. L'idée était de permettre la


connexion entre des réseaux divers : ARPANET, des communications avec
les satellites, des communications par radio. Cette idée fut introduite par
Kahn en 1972 sous le nom de Internetting. Le protocole NCP d'ARPANET
ne permettait pas d'adresser des hôtes hors d'ARPANET ni de corriger
d'éventuelles erreurs de transmission. Kahn décida donc de développer un
nouveau protocole, qui devint finalement TCP/IP.

En parallèle, un projet inspiré par ARPANET était dirigé en France par


Louis Pouzin : le projet Cyclades. De nombreuses propriétés de TCP/IP ont
ainsi été développées, plus tôt, pour Cyclades. Pouzin et Kahn indiquent
que TCP/IP a été inspiré par Cyclades.

En 1973, Kahn demanda à Vinton G. Cerf (Vint Cerf) (parfois appelé père
d'Internet) de travailler avec lui, car Cerf connaissait les détails de mise en
œuvre de NCP. Le premier document faisant référence à TCP est écrit en
1973 par Cerf : A Partial Specification of an International Transmission
Protocol. La première spécification formelle de TCP date de décembre
1974, c'est le RFC 675.

La version initiale de TCP ne permettait que la communication en


établissant un circuit virtuel. Cela fonctionnait bien pour le transfert de
fichiers ou le travail à distance, mais n'était pas adapté à des applications
comme la téléphonie par Internet. TCP fut donc séparé de IP et UDP
proposé pour les transmissions sans établissement d'un circuit.

À la fin des années 1980, la NSF (National Science Foundation) qui dépend
de l'administration américaine, met en place cinq centres informatiques
surpuissants, auxquels les utilisateurs pouvaient se connecter, quel que soit
le lieu où ils se trouvaient aux États-Unis : ARPAnet devenait ainsi
accessible sur une plus grande échelle. Le système rencontra un franc
succès et, après la mise à niveau importante (matériels et lignes) à la fin des
années 1980, s'ouvrit au trafic commercial au début des années 1990.

Le début des années 1990 marque, en fait, la naissance d'Internet tel que
nous le connaissons aujourd'hui : le web, un ensemble de 'pages' en HTML
mélangeant du texte, des liens, des images, adressables via une URL et
accessibles via le protocole HTTP. Ces standards, développés au CERN par
Tim Berners-Lee devinrent rapidement populaires grâce au développement
au NCSA par Marc Andreessen et Éric Bina du premier navigateur
multimédia Mosaic.
1- Définition de réseau :

Entrelacement.
Ensemble de voies, de lignes, de routes, etc.
Organisation clandestine, composée de plusieurs personnes réparties en
différents secteurs.
[télécomm.] Réseau de télédistribution: ensemble de câbles et d'installations
permettant d'assurer une télédistribution vers un certain nombre
d'emplacements.
L'expression imprécise "réseau câblé" est à proscrire pour désigner un
réseau de télédistribution.
Elle désignerait d'ailleurs tout autre réseau utilisant des câbles, par
exemple le réseau téléphonique ordinaire.
[télécomm.] Réseau local d'entreprise ou réseau local ou RLE: réseau de
télécommunication, généralement multiservice, établi sur un site restreint
au sein d'un domaine privé connexe.
(Anglais: local area network ou LAN).
[télécomm.] Réseau local de raccordement ou réseau local: ensemble des
moyens de télécommunication destinés à relier les abonnés à un même
centre de raccordement qui leur permet l'accès au réseau général.
[informatique] Réseau local:
Ensemble d'ordinateurs reliés entre eux par des câbles. Ces ordinateurs
peuvent ainsi partager des ressources (modem, disque dur, lecteur de CD-
Rom, applications etc.) et échanger des données.

2- Catégories de réseau informatique


Il existe plusieurs façons de catégoriser un réseau informatique.

Les réseaux informatiques peuvent être catégorisés en terme d'étendue :

• Personal Area Network (PAN) : Réseau personnel


o Wireless PAN : Réseau personnel sans fil
• Controller Area Network (CAN) : Réseau personnel pour les
systèmes électroniques(bus)-Notamment utilisé dans le secteur
automobile
• Local Area Network (LAN) : Réseau local
o Wireless LAN (WLAN) : Réseau local sans fil
• Metropolitan Area Network (MAN) : Réseau métropolitain
• Wide Area Network (WAN) : Réseau étendu
• Storage Area Network (SAN) : Réseau de stockage
• Réseau Bureautique

Les réseaux informatiques peuvent aussi être catégorisés par relation


fonctionnelle entre les composants :

• Client-serveur
• Architecture multi-tiers
• Peer-to-peer (P2P ou Poste à poste)

Ils peuvent également être catégorisés par topologie de réseau :

• Réseau en étoile
• Réseau en bus
• Réseau en anneau
• Réseau en grille
• Réseau toroïdal ou en hypercube
• Réseau en arbre
Les réseaux informatiques peuvent être implémentés en utilisant plusieurs
piles de protocoles, ou avec des combinaisons de médias et de couches de
protocoles. Une liste des protocoles existants est disponible à Protocole de
communication et IEEE 802.

2- Équipements de réseau

Les équipements de réseau sont l'ensemble des équipements relatifs à la


communication d'informations entre des appareils informatiques. Les
équipements servent à l'envoi d'informations, à la réception, à la
retransmission, et au filtrage.

Les communications peuvent se faire par câble, par onde radio, par
satellite, ou par fibre optique.

Un protocole de communication est une norme industrielle relative à la


communication d'informations. La norme établis autant autant le point de
vue électronique (tensions, fréquences) que le point de vue informationnel
(choix des informations, format) ainsi que le déroulement des opérations de
communication (qui initie la communication, comment réagis le
correspondant, combien de temps dure la communication,...).

Selon le modèle OSI - qui comporte 7 niveaux, une norme industrielle (en
particulier un protocole de communication) d'un niveau donné peut être
combinée avec n'importe quelle norme industrielle d'une couche située en
dessus ou en dessous.

Une carte réseau est un circuit imprimé qui sert à recevoir et envoyer des
informations conformément à un ou plusieurs protocoles.
Un modem est un équipement qui sert à envoyer des informations sous
forme d'un signal électrique modulé, ce qui permet de les faire passer sur
une ligne de communication analogique telle une ligne téléphonique.

3- Protocoles ;

Internet fonctionne suivant un modèle en couches, calqué sur le modèle


OSI. Les éléments appartenant aux mêmes couches utilisent un protocole de
communication pour s'échanger des informations.

Un protocole est un ensemble de règles qui définissent un langage afin de


faire communiquer plusieurs ordinateurs. Ils sont définis par des normes
ouvertes, les RFC.

Chaque protocole a des indications particulières et, ensemble, ils


fournissent un éventail de moyens permettant de répondre à la multiplicité
et à la diversité des besoins sur Internet.

Les principaux sont les suivants :

• IP (Internet Protocol) : protocole réseau qui définit le mode


d'échange élémentaire entre les ordinateurs participants au réseau en
leur donnant une adresse unique sur le réseau.
o TCP : responsable de l'établissement de la connexion et du
contrôle de la transmission. C'est un protocole de remise fiable.
Il s'assure que le destinataire a bien reçu les données, au
contraire d'UDP.
 HTTP (HyperText Transfer Protocol) : protocole mis en
œuvre pour le chargement des pages web.
 HTTPS : pendant du HTTP pour la navigation en mode
sécurisé.
 FTP (File Transfer Protocol) : protocole utilisé pour le
transfert de fichiers sur Internet.
 SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) : mode d'échange
du courrier électronique en envoi.
 POP3 (Post Office Protocol version 3) : mode d'échange
du courrier électronique en réception.
 IMAP (Internet Message Access Protocol) : un autre
mode d'échange de courrier électronique.
 IRC (Internet Relay Chat) : protocole de discussion
instantanée.
 NNTP (Network News Transfer Protocol) : protocole de
transfert de message utilisé par les forums de discussion
Usenet
 SSL ou TLS : protocoles de transaction sécurisée, utilisés
notamment pour le paiement sécurisé.
o UDP : permet de communiquer, de façon non fiable mais
légère, par petits datagrammes.
 DNS (Domain Name System) : système de résolution de
noms Internet.
o ICMP (Internet Control Message Protocol) : protocole de
contrôle du protocole IP.

Indépendamment du transfert entre deux points, quelques protocoles sont


nécessaires aussi pour que les passerelles puissent s'échanger des
informations de routage. Ce sont Interior Gateway Protocol (IGP), Exterior
Gateway Protocol (EGP) et Border Gateway Protocol (BGP).
4- L’application:

Poste client

Dans un premier temps il faut vérifier que le problème ne vienne pas du


logiciel utilisé, ou de la configuration réseau du poste.

Sur le poste, vérifier d’autres sites Web externes (www.edres74.ac-


grenoble.fr, www.google.fr, ...).

Vérifier le fonctionnement d’autres postes du réseau, pour voir si seul ce


poste pose problème. Si les autres postes présentent les mêmes problèmes
passer à la suite, sinon revérifier entièrement ce poste.

Voir si le navigateur Web est bien configuré :


si le poste est dans une classe d’adresse IP, nécessitant la présence du
proxy, vérifier que le proxy est bien configuré (adresse :
proxy.domaine.etab ; port : 3128).

Vérifier la configuration réseau du poste :


adresse IP (+ masque)
DNS
Passerelle

Réseau local

Si les postes ne présentent pas de problème (logiciel, configuration), il faut


s’assurer que le réseau local est en état de marche.

Vérifier si l’on arrive bien à "pinguer" le PingOO


commande : ping -t 192.168.0.1
Si le PingOO est inaccessible : "pinguer" un poste du réseau (dans la même
salle ou sur le même hub/switch)
commande : ping -t 192.168.x.y

Si le poste ne communique pas avec le réseau local vérifier le cablage :


le poste est-il bien relié au hub/switch ?
le hub/switch est-il bien allumé ?

Le PingOO

Si le réseau local semble bien fonctionner, mais que le PingOO est


inaccessible :
vérifier qu’il est bien allumé,
s’il est allumé mais qu’il semble bloqué : essayer de le redémarrer via le
clavier [Ctrl] + [Alt] + [Suppr] et si rien ne répond appuyer sur le bouton
reset (ou on/off).
Attendre la ligne : « PingOO login :» [1] ; à ce moment là vous êtes
certains que le PingOO est complètement démarré.

Si les postes du réseau accèdent bien au PingOO (commande ping) il faut


maintenant vérifier le fonctionnement du PingOO.

Pour cela le plus simple est de se connecter à l’interface PADM, dans :


Serveur > Surveillance > Services :
voir si tous les services fonctionnent.

Le réseau distant

Si le réseau local et le PingOO fonctionnent bien, il faut maintenant vérifier


que vous avez la connection vers l’exterieur.
« Faire un ping » sur le DNS du CITIC74 :
commande : ping -t 195.202.0.99
(attention, il faut que le poste de travail ait une adresse IP l’autorisant à
faire un ping vers l’extérieur)

Si cette commande échoue il faut s’assurer que le routeur (ou le modem) est
bien allumé, si c’est le cas eteignez le et redémarrer le.
Regarder si la commande Ping échoue toujours

Si toutes les étapes précédentes (pour le réseau distant) échouent, vous


n’avez pas d’autres choix que de contacter la Hot-Line.

Você também pode gostar