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Un petit morceau du Puzzle

Commençons par quelques noms :

Rockefeller David, Zbigniew Brzeziński, Peter Sutherland, Donald Rumsfeld, Étienne


Davignon, Herman Von Rompuy.

Voyons maintenant leurs fonctions :

Rockefeller David :

Milliardaire et ancien président de la Chase Manhattan Bank , Président du groupe


Bilderberg fondé en 1954 à l'invitation du Prince Bernhard des Pays-Bas, co-fondateur du
Groupe avec David Rockefeller, Fondateur et Président honoraire de la Commission
Trilatérale, Président honoraire de la Société des Amériques, Président Honoraire du
CFR ( Council on Foreign Relations ) ; Actionnaire de ExxonMobil et des affaires
aussi dans l’immobilier.

Zbigniew Brzeziński :

Politologue américain, Conseiller du Président Jimmy Carter de 1977 à 1981, Conseiller du


Président Barak Obama, membre du CFR et de la Commission Trilatérale entre
autres choses.

Peter Sutherland :

Président de l'European Policy Centre, de Goldman Sachs International, de BP (British


Petroleum), et aussi de la section Europe de la Commission Trilatérale. Il est
également membre du comité de direction du groupe Bilderberg. Il est aussi
directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland. Il a été en poste à Bruxelles en
tant que commissaire responsable de la politique de concurrence. Entre 1989 et
1993, Président de Allied Irish Banks. Il fut directeur général du GATT et de l'OMC
de 1993 à 1995. Il est aussi au Conseil d’administration du TPN (Transatlantic Policy
Network).

Donald Rumsfeld :

Secrétaire à la Défense des États-Unis, de 2001 à décembre 2006, et entre 1975 et 1977,
dans le gouvernement du président Gerald R. Ford (En 1975, Rumsfeld est nommé
secrétaire à la Défense alors que George H. W. Bush, son rival, est nommé directeur
de la CIA.). Ancien membre du CFR. Membre de la Commission Trilatérale.
Directeur exécutif de Gilead Sciences INC (Brevet Tamiflu entre autres) de 1993 à
2001 et en reste un des plus gros actionnaires (Il quitta cette place pour entrer dans le
Gouvernement Busch). Membre fondateur du think tank néoconservateur Project
for the New American Century.

Étienne Davignon :

Homme d'État et homme d'affaires belge. Ancien chef de cabinet de Paul-Henri Spaak
et de Pierre Harmel de 1964 à 1969, il fut également le premier président de
l’Agence internationale de l'énergie de 1974 à 1977, le vice-président de la
Commission européenne de 1981 à 1985 et président de l'Institut Royal des
Relations internationales. Membre du groupe de Bilderberg depuis 1974 et
maintenant président, il en est le président honoraire depuis 1999. En 1985 il
entre à la Société Générale de Belgique dont il a été le président d'avril 1988 à
février 2001, puis vice-président jusqu'à la fusion du 31 octobre 2003 de la
Société Générale de Belgique et de Tractebel. Il devint alors vice président de
Suez-Tractebel. En 2004, le roi Albert II lui a octroyé le titre honorifique de
ministre d'État.

Fonctions et mandats : Président de la Table ronde des Industriels européens (ERT), de


la Société générale de Belgique, Union minière du Haut Katanga (UMHK), de la
Compagnie maritime belge, de la Compagnie des wagons-lits, Recitel, SN Airholding.
Vice-président d’Accor, Arbed, Tractebel, Fortis Belgique, Umicore, Sibeka. Membre du
conseil d'administration de Anglo American Mining, Gilead Sciences, ICI, Pechiney,
Foamex, Kissinger Associates, Fiat, Suez, BASF, Solvay, Sofina, Recticel, CMB,
Cumerio SN Brussels Airlines, BIAC, Pétrofina, Real Software. Président de
l’Association pour l’union monétaire en Europe depuis 1991, de la Fondation Paul Henri
Spaak et d'EGMONT. Membre de la Commission Trilatérale et de la Fondation Ditchley.
Membre du directoire du think tank Centre for European Policy Studies. Ainsi que
président de Friends of Europe, un think tank influent.

Herman Von Rompuy :

Homme politique belge néerlandophone, actuel président du Conseil européen. Membre du


Christen-Democratisch en Vlaams (CD&V), il est président de la Chambre des
Représentants du 12 juillet 2007 au 30 décembre 2008. Herman Van Rompuy est nommé
« formateur », par le roi Albert II, le 28 décembre 2008, pour former un nouveau
gouvernement, en remplacement du gouvernement Leterme, démissionnaire. Représentant
l'aile conservatrice du CD&V, il prête serment le 30 décembre 2008 et devient le 48e Premier
ministre. Le 19 novembre 2009, Herman Van Rompuy est choisi par les 27 chefs d'État et de
gouvernement de l'Union européenne, réunis en conseil à Bruxelles, pour devenir le premier
président permanent du Conseil européen à compter du 1er janvier 2010. Il est un ami très
proche d’Etienne Davignon et a été invité quelques jours avant sa nomination à la Présidence
du Conseil Européen à une réunion secrète du groupe Bilderberg et compagnie de son
ami Davignon le 12 Novembre 2009 (Voir l’article de la RTBF à ce sujet en date du
14/11/2010 : http://www.rtbf.be/info/economie/m-van-rompuy-se-devoile-devant-le-groupe-
de-bilderberg-lecho-de-tijd-160590 ).
Composition du Bilderberg et quelques uns de ses membres :

Très structuré, le groupe Bilderberg est organisé en 3 cercles successifs.


Le "cercle extérieur" est assez large et comprend 80% des participants aux réunions. Les
membres de ce cercle ne connaissent qu'une partie des stratégies et des buts réels de l'organisation.

Le deuxième cercle, beaucoup plus fermé, est le Steering Committee (Comité de Direction). Il est
constitué d'environ 35 membres, exclusivement européens et américains. Ils connaissent à 90%
les objectifs et stratégies du groupe. Les membres américains sont également membres du CFR.

Le cercle le plus central, le 3ème cercle, est le Bilderberg Advisory Committee (Comité consultatif). Il
comprend une dizaine de membres, les seuls à connaître intégralement les stratégies et les buts
réels de l'organisation.

Parmi les membres du groupe Bilderberg, on trouve :


David Rockefeller, Jean-Claude Trichet (gouverneur de la banque centrale européenne), Bernard
Kouchner, Christine Ockrent, Dominique Strauss Kahn, Patrick Devedjian, Jean-François Copé,
Nicolas Beytout (rédacteur en chef des Echos), Alexandre Adler (conseiller éditorial au Figaro),
Henry Kissinger, Bill Clinton, José Manuel Barroso (président de la commission européenne),
Muhtar Kent (PDG de Coca-Cola), Klaus Keinfeld (PDG de Siemens), Franck Riboud (PDG de
Danone), Laurence Parisot (présidente du MEDEF), Robert Zoellick (président de la Banque
mondiale) Dominique de Villepin, Valéry Giscard D'Estaing, Pierre Lellouche, et bien d’autres
encore…

Qu’est ce que le CFR (Council on Foreign Relations) ?

Le Council on Foreign Relations (C.F.R) a été créé à l’initiative du Colonel Edward


Mandel House au Majestic Hotel de Paris les 19 et 30 mai 1919.

Les statuts de l’organisation furent déposés en 1921. Le CFR s’y présentait comme un
groupe d’étude dont l’objet était d’assurer un dialogue permanent sur les questions
internationales intéressant les États-Unis, en réunissant des spécialistes en diplomatie,
finance, industrie, enseignement et sciences.

Malgré l’appui du groupe de J.P Morgan et l’affiliation d’importantes personnalités, le CFR


ne fit guère preuve d’activité jusqu’à ce que, en 1927, les Rockefeller aient commencé à lui
porter intérêt. Ce sont eux, en particulier, qui financèrent l’achat du siège du C.F.R. en 1929 :
la très luxueuse Harold Pratt House, 58 East 68 th Street à New-York City.

Les fondations Carnegie, puis la Fondation Ford, apportèrent leur contribution. Et bientôt,
on retrouvait parmi les affiliés au CFR tous ceux qui avaient travaillé à l’institution de la
Fédéral Réserve Système, qui avaient soutenu l’intervention des États-Unis dans la Grande
Guerre, le Sionisme et la révolution Russe (les intérêts Schiff, Warburg, Morgan et
Rockefeller principalement).

Le Council on Foreign Relation est un groupement restreint mais tous ses membres
occupent des situations importantes dans le gouvernement, la politique, les affaires, la
finance, l’enseignement, la presse écrite et parlée, la télévision, etc.

Le Council on Foreign Relation est certainement l’une des organisations semi-publiques les
plus influentes. A noter le fait qu’ont été membres du C.F.R :

- Cinq présidents des Etats Unis, dont trois Républicains, Herbert C. Hoover, le général
Dwight Ike Eisenhower, Richard Nixon, et deux démocrates, Franklin D. Roosvelt et John
Kennedy. Confirmant un certain souci d’avoir un pied dans chaque camp, et ceci surtout en
période de tensions, de révolutions ou de guerres.

Une vingtaine d’anciens ministres dont John Foster Dulles, Clarence Douglas Dillon,
Robert Strange Mc Namara (président de la banque mondiale en 1968), Dean Rusk, le général
Gorge Marshall, Averell Harriman (qui a entretenu une collaboration financière active avec le
régime nazi via l’Union Banking Corporation) et Arthur Goldberg, nommé juge à la Cour
Suprême par le président Kennedy en 1962

Au moins soixante dix membres de l’Administration Nixon dont «l’éminence grise de la


Maison Blanche, Henry Kissinger, membre appointé dans l’équipe dirigeante du CFR qui
réussira le tour de force d’être resté sans interruption le conseiller de cinq présidents, et depuis
sa nomination auprès de Nixon le 23 août 1973, la politique du Council On Foreign Relation
est devenue la politique officielle des Etats Unis.

Ci-dessous, La Cabbale du CFR à la Maison Blanche sous G.W Bush en 2005. 14 des 17
décideurs présents sur l’image appartiennent au CFR, comprenant entre autres, Madeleine
Albright, Dick Cheney, William Cohen, Collin Powell, Condoleeza Rice ainsi qu’en ancien
membres Donald Rumsfeld (Commission Trilatérale) et Melvin Laird de la Défense.

Le CFR publie Foreign Affairs, un magazine bimestriel mondialement connu et diffusé à


environ 100 000 exemplaires en 2004. Le magazine parle essentiellement de relations
internationales et de terrorisme et comment pourrait évoluer l’économie mondiale dans les
années futures.
Dès 1922, le journal prestigieux du CFR, appella à un “gouvernement mondial” comme
substituant de notre indépendance nationale. En émettant à plusieurs reprises ce même voeux
au cours des années suivantes, Foreign Affairs publia son appel le plus explicite pour la fin
de la souveraineté américaine comme l’as démontré l’article de 1974 de Richard N.
Gardner intitulé “La Difficile Route Vers Un Ordre Mondial (The Hard Road To World
Order)“

Autre éminent membre du CFR, le mentor de Bill Clinton,Carroll Quigley, professeur


d’histoire à l’université de Georgetown, mentionne dans son livre “Tragedy & Hope : The
History of the World in Our Time” dont la version fut rachetée et les planches détruites
jusqu’à ce qu’internet permette une réédition complète de l’ouvrage d’origine de 1966 :

« En addition à ces objectifs pragmatiques, les autorités du capitalisme financier ont un autre
but de grande envergure, rien de moins que celui de créer un système mondial de contrôle
financier dans des mains privées, capable de dominer le système politique de chaque pays et
l’économie mondiale dans son ensemble. Ce système devant être contrôlé en mode féodal par
les banques centrales du monde agissant de concert, par des accords silencieux, a vu le jour
lors de fréquentes réunions et conférences privées. Le sommet du système était la Banque des
Règlements Internationaux de Bâle en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par
les banques centrales du monde qui sont elles-mêmes des sociétés anonymes. Chaque banque
centrale a cherché à dominer son gouvernement par sa capacité à contrôler les prêts du
Ministère des Finances, à manipuler les échanges avec l’étranger, à influencer le niveau
d’activité économique dans le pays, et à influencer les hommes politiques coopératifs par des
récompenses économiques dans le monde des affaires. » (Tragedy and Hope, p.324)

“Il existe, et a existé depuis des générations, un réseau anglophile qui opère d’une certaine
mesure, comme les communistes, selon l’image qu’en a l’extrême-droite. En fait, ce réseau,
que l’on pourrait identifier comme Groupe de la Table Ronde, n’a pas d’aversion à coopérer
avec les communistes ou tout autre groupe, et il le fait fréquemment. Je suis au courant des
opérations de ce réseau parce que je l’ai étudié pendant vingt ans, et pendant deux ans, au
début des années 1960, j’avais la permission d’examiner ses papiers et ses archives secrets.
Je n’ai pas d’aversion vis-à-vis d’eux ou de la plupart de ses buts, pendant une grande partie
de ma vie j’ai été proche de lui et de beaucoup de ses instruments. J’ai fait des objections,
aussi bien dans le passé que récemment, à quelques unes de ses politiques, notamment à sa
croyance que l’Angleterre est un pouvoir atlantique plutôt qu’européen et qu’elle doit être
associée, voire fédérée aux États-Unis et qu’elle doit rester isolée de l’Europe, mais en
général, ma différence d’opinion la plus importante est qu’elle souhaite rester inconnue,
alors que je crois que son rôle dans l’histoire est assez significatif pour mériter d’être
connu.” (Tragedy and Hope, p.950)

« On doit bien comprendre que le pouvoir que ces énergiques militants de gauche ont exercé
n’a jamais été leur pouvoir ou un pouvoir communiste mais il était en fait le pouvoir de la
coterie financière internationale. » (Tragedy and Hope, p.954)
Qu’est ce que la Commission Trilatérale ?

Zbigniew Brzezinski, co-fondateur de la Commission Trilatérale avec


David Rockefeller en 1973, etc…

Peter Sutherland, président de la Trilatérale Europe, président européen


du TPN (Transatlantic Policy Network, réseau politique transatlantique), président de
Goldman Sachs International, etc…

La Commission Trilatérale a été créée en 1973 par Zbigniew Brzezinski (conseiller du


Président Obama) et David Rockefeller (ancien président du CFR et co-fondateur du
groupe Bilderberg).

Ce think tank est composé de trois entités : l'Amérique du Nord, l'Europe et le Japon.

Le but que s'est fixé la Commission Trilatérale, comme l’affirme Brzezinski dans un article
du Figaro du 25 janvier 1999, est de permettre aux Etats de « faire face à des problèmes de
plus en plus partagés - financiers, économiques et stratégiques - et qu’ils sont de moins en
moins en mesure de régler, sans au moins se concerter plus étroitement dans leur propre
intérêt et dans celui du reste du monde (…). D’où l’idée d’un groupe non gouvernemental de
réflexion et de proposition, une centaine d’hommes et de femmes - d’Etat comme d’affaires,
de syndicat comme d’université -, qui pourrait nous habituer à travailler ensemble et à mieux
réconcilier nos politiques. Un groupe qui a eu le bonheur de compter dans ses rangs des
Français tels que Paul Delouvrier, Robert Marjolin, Raymond Barre, Simone Veil, François
de Rose, Hubert Védrine, parmi tant d’autres … (…). La Trilatérale a beaucoup fait en son
temps pour nous rapprocher - nous Américains, Européens et Japonais (…). L’un de ses
rejetons a été le groupe des Sept (le G-7) » .

En réalité, la Commission Trilatérale travaille en faveur d’une gouvernance mondiale


en opérant par étape. Ainsi, l’une d’entre elle consiste à créer un bloc euro-atlantique unifié
dans les domaines politiques, économiques et militaires. Les personnes clefs au sommet de cet
institut le confirment aisément.
Le président de la Trilatérale Europe est l’Irlandais Peter Sutherland. Outre son passage
à la tête de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce), il est aussi le président européen
d’un institut euro-américain ultra puissant oeuvrant en faveur d’une Union atlantique : le
TPN (Transatlantic Policy Network, réseau politique transatlantique). Ce TPN soutenu
par les grandes multinationales (Boeing, Michelin, Coca-Cola, Bertelsmann, Nestlé,
Microsoft, etc) a énoncé clairement ses objectifs : la création d’un seul bloc atlantique à
l’horizon 2015. Le rôle de Peter Sutherland à la tête de ces deux instituts est de mener à bien
cette ambition. Face à ces objectifs, il n’est donc pas étonnant de relever le nom du vice-
président de la Trilatérale Europe, Hervé de Carmoy. En effet, ce dernier est l’auteur d’un
ouvrage au titre explicite et résumant la finalité du projet transatlantique, Euramérique
(Editions PUF, 2007).

Dans cette perspective, la Commission Trilatérale ne laisse rien au hasard. En effet, lors des
travaux de Valéry Giscard d'Estaing en 2003 et 2004 en faveur d’une constitution
européenne, le véritable meneur fut l’Anglais Lord Kerr of Kinlochard, membre de la
Trilatérale Europe. Ancien président de la société pétrolière Shell, ancien ambassadeur aux
Etats-Unis, il fut aussi le secrétaire général à la Convention européenne auprès de Valéry
Giscard d’Estaing. Une telle fonction est logique puisqu’il s’avère nécessaire de créer un
pilier politique européen associé au pilier nord-américain dans le but de donner naissance à
une Union atlantique. Cet idéal était déjà affiché par le Fondateur de la Paneurope,
Richard de Coudenhove-Kalergi qui, dans un discours de 1950, appelait à la naissance
d’une « Union atlantique » aboutissant à une « fédération à trois », « l’Angleterre faisant le
pont entre l’Europe et l’Amérique » (in La Décomposition des Nations Européennes, de
l'union euro-atlantique à l'Etat mondial, Annexe 11, Pierre Hillard, Editions François-
Xavier de Guibert, 2005).

La Commission Trilatérale est donc un think tank dont l'influence est très importante. Elle
contribue à l'instauration d'une gouvernance mondiale destructrice des nations et des
traditions.

Liste complète des partenaires financiers du TPN (Business members) :

ABB,Accenture,Allianz,Arcelor Mittal,BASF,Bayer,Bertelsmann
AG,Boeing,BP,Caterpillar Inc.,Citigroup, Coca-Cola,Daimler AG,Deutsche Bank,Dow
Chemical,First Solar,GE, Hewlett Packard,Honeywell,IBM,Intel Corporation,The
McGraw-Hill Companies, Merck,Michelin,Microsoft, Nestlé,Oracle,Pfizer
International,Philips,SAP AG,SAS Institute,Siemens AG,Syngenta,Telefónica,Time
Warner,Tyco International,Unilever,United Technologies Corporation,UPS,Veolia
Environment,Volvo Group,Walt Disney Company

http://www.tpnonline.org/business.html

Liens Officiels :

http://www.europarl.europa.eu/oeil/resume.jsp?
id=5454852&eventId=994699&backToCaller=NO&language=fr

http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?
reference=IP/04/218&format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=en

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