Você está na página 1de 3

Gymnase de Morges 2009-2010

Antonello Romeo
Romeo Antonello 1M13 Le 20 mai 2010

Sommaire
DÉVELOPPEMENT DURABLE

GYMNASE DE MORGES 2009-2010...................................................................................................................1


SOMMAIRE.......................................................................................................................................................2

LE DÉVELOPPEMENT DURABLE, C’EST QUOI?..............................2


TROIS EXIGENCES :...........................................................................................................................................2

LA DÉGRADATION DE L’ENVIRONNEMENT ET SES


CONSÉQUENCES........................................................................................2
LES ÉNERGIES : COMMENT PRÉPARER L’APRÈS-PÉTROLE ?. .3
ÉNERGIES RENOUVELABLES...............................................................3

Le développement durable, c’est quoi?


Le développement durable a été popularisé, en 1987, par le rapport de la Commission mondiale
sur l’environnement et le développement, dit rapport Brundtland (ancienne première ministre
norvégienne).

Trois exigences :
1. la viabilité environnementale, c’est-à-dire la protection des écosystèmes et des équilibres
dont dépend le maintien de la biosphère, l’entretien des écosystèmes productifs de
ressources pour les activités humaines, et l’établissement d’un environnement sain pour
les habitants
2. la viabilité économique, visant une croissance économique soutenue et durable
3. l’équité sociale, qui inclut la reconnaissance de droits d’accès aux ressources et aux
services pour les plus démunis, ainsi que des droits à l’information et à la participation à
la vie publique.

La dégradation de l’environnement et ses


conséquences
Principalement, les maux qui guettent notre environnement recoupent les
domaines suivants: la pollution, le changement climatique, l’urbanisation,
la désertification, la pénurie en eau et en ressources énergétiques, les
déficits sanitaires.
Ces maux qui visent l’état physique de notre environnement ont bien
entendu des conséquences sur les aspects économiques et sociaux de notre
environnement. Ces différents aspects sont indissociables. Avec le concept
de développement durable est né le concept de «stakeholder», traduit en
français par l’expression «partie prenante». Tous les acteurs jouant un rôle
proche ou lointain dans les domaines économiques, environnementaux ou La forêt amazonienne
sociaux, et bien évidemment politiques sont des parties prenantes déchiquetée jour après
interdépendantes. Le concept de développement durable impose donc jour

AIE (Agence Internationale de L’Energie) 2


Romeo Antonello 1M13 Le 20 mai 2010

désormais de comprendre le monde comme un tout, comme une chaîne d’éléments


interdépendants (paradigme de la complexité d’Edgar Morin). A l’heure de la globalisation, il n’y
a plus d’acteur isolé vivant en autarcie sur des terres inexplorées, il n’existe que des parties
prenantes.

Les énergies : comment préparer l’après-pétrole ?


La demande mondiale d’énergie augmente à un rythme de près de 2 % en moyenne par an depuis
le début de l’ère industrielle. Mais ce rythme peu descendre jusqu’à 1 % ou approcher 5 % selon
les années.

Production énergétique suisse :

60 % de notre électricié est fournie parl’hydraulique

40 % par les 5 centrales nucléaires

Énergies renouvelables
Solaire thermique, photovoltaïque, éolien, géothermie, biogaz…, toutes les filières des énergies
renouvelables sont mises à contribution. Ainsi, selon l'Agence Internationale de l'Energie:

• 80 % à partir de combustibles fossiles, pétrole, charbon ou gaz,


• 14 % de l'énergie consommée dans le monde serait produite à partir d'énergies
renouvelables,
• 6 % proviendraient du nucléaire. Beaucoup d'efforts sont donc encore à fournir.

Au niveau européen les objectifs depuis 2001 sont les mêmes. La part minimale de
consommation en provenance des énergies renouvelables pour 2010 devra atteindre :
21,00 % pour l'électricité
12,00 % pour la consommation énergétique primaire
5,75 % pour les biocarburants

Pourtant, aujourd’hui ces chiffres sont encore loin d’être une réalité. La part des
énergies renouvlables pour l’électricité était estimée à 14.2 % à fin 2004 et 5.61
pour la consommation d’énergie primaire.

Martin, C. (2004). “Développement durable”,


Textes
Source www.jeco.ch, juin 2004, p. 2-3.
s Image http://blogs.sudpresse.be/missterre/files/2008/07/foret-
s amazonienne.jpg

AIE (Agence Internationale de L’Energie) 3

Você também pode gostar