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Bulletin municipal - Mai 2010

Bien vivre à
ARçAIS
Le mot du maire
L’assainissement collectif à Arçais : c’est pour quand ?
Lorsque l’on cherche les effets «retour» bénéfiques de notre appartenance
à la CAN (Communauté d’agglomération de Niort), la compétence assainisse-
ment arrive en bonne place.
En effet, les réflexions portées il y a 20 ans sur le sujet mettaient cet
équipement hors de portée des petites communes de notre taille
parce que les coûts pour l’habitant n’étaient pas acceptables.
Lors de la prise de compétence par la CAN après état des lieux, l’étendue
du reste à réaliser en équipement pour les communes est apparu immense.
Une hiérarchisation des priorités a été faite. Arçais, zone de marais, milieu
sensible, a été placé «prioritaire». Mais des travaux dans d’autres communes
ont été classés «plus prioritaires» et ont été réalisés avant.
Où en sommes-nous, aujourd’hui ?
L’enfouissement des réseaux eaux usées-eaux pluviales est déjà réalisé
dans une partie du bourg, avec des «réseaux à sec», dans l’attente
de la station d’épuration. L’autre partie du bourg, route du Vanneau, rues
des Aubépines et des Erables, est fonctionnelle parce que raccordée
à la petite station située derrière le cimetière.
En fin d’année (3e trimestre) des chantiers importants seront entamés ;
ils s’échelonneront sur toute l’année 2011.
Il s’agira: de construire la station d’épuration, de construire la canalisation
entre la station et la Sèvre pour les rejets d’eau assainie, de faire la jonction
entre le bourg et la station, de procéder à l’enfouissement de la partie du
bourg (rue des Bateliers, route de Saint-Hilaire, quartier des Bouteilles), puis
rues de la Mairie, de la Garenne, de l’Ouche, route de Saint-Georges.
Dès l’automne, des réunions par quartiers vous seront proposées,
de manière à ce que chacun soit informé. Les services techniques de la CAN
sauront se mettre à votre disposition. «L’exécutif municipal» fera, si besoin,
le lien pour que les réalisations s’opèrent sans peur et sans heurt, pour le bien
de tous.
Arçais va être à nouveau un grand chantier, mais dans la perspective d’un
mieux-vivre, avec une atténuation des pollutions sans précédent.
Les réseaux d’eau potable les plus anciens seront aussi remplacés,
quelques portions de routes profiteront, si nos finances le permettent,
de l’effacement des réseaux aériens (électricité et téléphone).
Dès la mise en service de la station, les raccordements pourront s’opérer
là où les enfouissements seront réalisés.
Les coût pour la CAN sont de 1,5 million d’euros pour la construction de la
station et de 1,4 million d’euros pour l’enfouissement des réseaux et postes
de refoulement. Elle finance ces sommes par l’emprunt, les subventions et la
redevance assainissement.
Ensuite viendra le temps de reprendre nos actions pour l’embellissement
du village et de réhabiliter le réseau routier, qui aura inévitablement souffert.
mairie.arcais@orange.fr Je vous souhaite à toutes et tous un très bon été.
Joël BOURCHENIN
www.arcais.fr
Vie
Pratique
Energies renouvelables
Conseils gratuits et personnalisés à destination des particu-
liers sur les énergies renouvelables:
Le Parc interrégional du Marais poitevin a mis en place un
partenariat avec le Centre régional des énergies renouve-
La mairie : 05.49.35.37.12 lables (CRER) pour informer sur les économies d’énergies,
Horaires d’ouvertures : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 9h les énergies renouvelables et les possibilités d’aides finan-
à 12h, et mercredi de 14h à 17h. cières. Ces conseils gratuits sont objectifs, indépendants et
Architecture, nouvelle construction, rénovation neutres. Les conseillers de l’espace info énergie du CRER
Une permanence se tient à la mairie de 9h à 12h le 3e jeudi assureront une permanence ouverte aux particuliers
de chaque mois, principalement par René MATHÉ, architecte le troisième mercredi de chaque mois, à la mairie de
au Parc interrégional du Marais poitevin. La Grève-sur-Mignon.
La location d’un meublé Les rendez-vous se feront auprès de Marie-Line COUTURE
Selon l’article L. 324-1-1 et D. 324-1-1 du code du tourisme, ligne directe : 05.49.08.24.24/mail : accueil@crer.info, du lundi
toute personne qui offre à la location un meublé de touris- au vendredi, de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00.
me doit en avoir préalablement fait la déclaration auprès du Pour plus d’informations :
maire de la commune où est situé le meublé. L’imprimé peut sabrina.mathez@crer.info- www.parc-marais-poitevin.fr
être demandé en mairie ou bien téléchargé sur le site :
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/R14321.xhtml
Le recensement à 16 ans

Carnet
Qui est concerné ?
Toute personne (garçon ou fille) de nationalité française
doit se faire recenser entre la date de ses 16 ans et la fin du
3e mois suivant.
Où et comment ?
des festivités
La personne doit se présenter à la mairie de son domicile, 21 juin - Fête de la Musique, place de l’Eglise
pour déclarer : 25 juin - Fête des écoles à l’école du Vanneau - 18h15
• Ses nom, prénoms, date et lieu de naissance, et les éléments 13 juillet - Défilé aux lampions, traditionnel feu d’artifice
concernant les parents, Bal du 14 Juillet
• Son adresse, 14 juillet - Pêche au camping (toute la matinée)
• Sa situation familiale, scolaire, universitaire ou professionnelle. 7 et 8 août - Féerie batelière. Spectacle nocturne sur le port,
Pièces à fournir: animé par le Comité des Fêtes.
• Une pièce d’identité, 8 août - Vide-grenier toute la journée, de 8h à 18h (5€ le ml)
• Un livret de famille. Renseignements aux 05 49 35 38 43 ou 05 49 35 42 38
Attestation de recensement: comitedesfetesarcais@orange.fr
Une attestation de recensement est délivrée. Elle est notam- 18 et 19 septembre - Journées du Patrimoine, avec 2 circuits
ment nécessaire pour se présenter aux examens et concours pédestres et des expositions (salle du foyer communal).
publics.
Attention, cette attestation doit être conservée soigneuse-
ment car les mairies ne délivrent pas de duplicata. En cas
de perte ou de vol, il est toutefois possible de demander
Carnet
de Vie
un justificatif au bureau du service national dont vous
dépendez. DÉCÈS
Mme Maria-Lise YUKSEL, née GUILLEMOTEAU - 12 janvier
M. Jean-Michel DEBORDE - 6 février
M. René STANISLAS - 1er avril
L’ours Ce bulletin est ouvert à tous, vous pouvez y participer en déposant vos articles, photos, dessins dans «la boîte à idées» qui se trouve à la mairie, nous prendrons contact
avec vous, n’oubliez pas de nous indiquer vos coordonnées, merci. Édité par le Conseil municipal. Textes : Joël Bourchenin - Marylène Bertrand - Bernard Leyssène - Séverine Lamberton
Jacques Nocquet - Jean Leyssène - Philipe Réault - Claude Bertrand Geslin - Christelle Guillot. Crédit photos : Jean-Claude Jamois - Michel Beau - Christelle Guillot.
Mise en page : Christelle Guillot. Impression : Imprimerie Lamiaud.
Arçais
petit village maraîchin
, ,

La commune d’Arçais
(Archraïeum) occupait la butte
de «la vieille église», où subsiste
toujours, sous terre, une nécropole.
En 1990, Sophie Gougnard, dans le cadre de ses études,
a étudié le sous-sol, où ont été découverts une église et son
cimetière.
Après examen de la coupe, elle a découvert 4 sépultures, dont 3 sous forme de
sarcophages et une en « fosse ». Les sarcophages sont en calcaire blanc régional ;
13 tessons de céramique constituaient le mobilier d’une sépulture datant du XIe siècle, 22 tessons de céramique
micacée dataient du XIIe, 7 épingles de bronze, dont 2 seulement sont complètes et ont conservé leur tête.
L’hétérogénéité de la céramique découverte à l’intérieur des cuves (gallo-romaine, médiévale et moderne)
ne permet pas de dater précisément cet échantillon de la nécropole d’Arçais. Les formes en sarcophage apparaissent au
VIe siècle, un sarcophage à trois pans est probablement plus récent, du VIIe, et utilisé jusqu’au IXe.
A partir des archives nous retrouvons d’autres informations : sur ce site l’église aurait été détruite à la fin du Xe siècle,
c’était l’époque des guerres de religion, et beaucoup d’églises sur la route de La Rochelle à Niort furent détruites ou leur voûte
démolie. En mai 1562, les chanoines établissent un état de tous les objets qu’ils intègrent dans le trésor de leurs églises pour
les sauver des pillages des Huguenots : y sont cités les pièces et autres instruments de ladite terre d’Arsay (il y eut sans doute
pillage).
Une deuxième église fut bâtie sur l’actuelle place de l’Eglise, mais dans le sens est-ouest : René Goullard, écuyer, seigneur de la
Roche d’Arsay, signe le 24 août 1626 le certificat de bénédiction de la nouvelle église : « Georges Goullard dans cette reconnais-
sance baille et délaisse dès à présent et à perpétuité pour lui, ceux qui lui seront cause, à la dite fabrique à savoir une portion
de l’ousche qui ès et joignant la dite église, d’autre côté étant portion d’ousche appartenant au dit sieur Goullard d’un bout à
l’ousche du dit seigneur et d’autre bout du chemin qui conduit du four banal à la planche du rivault du dit Arsay laquelle portion
d’ousche ci-dessus confrontée, le dit seigneur a délaissé à la dite fabrique pour servir de cimetière à la dite église, entre lequel
cimetière et les ousches du dit seigneur, les syndicats fabriqueurs de la paroisse du dit Arsay seront tenus de faire faire une
muraille de 6 pieds de hauteur pour renfermer le dit cimetière.» Georges Goullard, en compensation, se réservait, ainsi que pour
ses successeurs, le droit de sépulture en ladite église, droit exercé très rarement; cependant, le 17 avril 1682, Elisabeth Métayer,
première épouse d’Henry Goullard, fut inhumée « en sépulture des seigneurs patron et fondateur de l’église nouvelle de
Saint-Cyr d’Arsay ». Sa pierre tombale était toujours visible dans l’ancienne église.
A partir de février 1817, les délibérations municipales mentionnent le mauvais état de l’église : Le préfet des Deux-Sèvres
demande un état des lieux à l’architecte Chavonnet. Le conseil municipal convoite l’achat de la propriété Griffon pour y construire,
école, mairie église et presbytère; après six ans de négociations, un autre acquéreur l’emporte. Le 8 avril 1853, le préfet demande
à M. Chavonnet plans et devis pour une nouvelle construction, et le 2 mai 1853 l’architecte écrit: «Nous avons planté 3 piquets
dont 2 au couchant parallèlement au mur du cimetière qui nous a servi de base et le troisième au nord, en prolongement du
même mur, nous obtenons un polygone de 51 m de longueur sur 19,61 m de largeur, d’où une superficie de 10 ares.» Suite au
décret du 29 août 1855, la commune est autorisée à construire une nouvelle église après l’acquisition d’un terrain de 11 ares
36 centiares appartenant au sieur Grimouard (successeur des Goullard). Le propriétaire n’acceptant pas la vente à l’amiable ni
l’estimation de M. Chavonnet, il fallut s’en remettre à un jury d’expropriation, qui départagea les plaideurs. La nouvelle
église fut livrée au culte et consacrée le 13 octobre 1862. Les trois cloches (encore présentes de nos jours) furent baptisées
le 3 mars 1875.
Jean Leyssène
Budget
prévisionnel 2010
Il est toujours difficile de présenter un budget sans détailler les différents postes. Nous n’avons pas la place
ici pour entrer dans les détails, mais nous rappelons que chaque habitant peut venir en mairie consulter les
comptes de la commune à tout moment.
Nous prenons donc le risque de présenter les grandes lignes du budget prévisionnel 2010 :
• la section de fonctionnement s’équilibre à hauteur de 631 036e €,
• la section d’investissement s’équilibre à hauteur de 509 795e€.
Ces sommes donnent une idée des masses financières nécessaires à la vie de notre commune durant une
année.
Nous attirons également l’attention sur le fait qu’il s’agit là de budgets prévisionnels. Chaque année, le résultat
définitif est arrêté par le compte administratif qui constate les sommes dépensées, les recettes réalisées
et la régularité des chiffres. Il fait l’objet d’un vote du conseil municipal. Les chiffres peuvent être différents de
ceux des prévisions.
Le compte administratif doit être conforme aux écritures constatées par la trésorerie dans son compte de
gestion.

Bernard Leyssène
Dépenses
Dépenses Fonctionnement
Fonctionnement Recettes
Recettes Fonctionnement
Fonctionnement
Charges
Charges Charges
Charges
financières
financières exceptionnelles
exceptionnelles Autresproduits
Autres produits
1,58 % 1,58 % 0,16 % 0,16 %
dedegestion
gestion
courante
courante
5,70 %
AutresAutres charges
charges de de 5,70 %
Opérations
Opérations de de
gestiongestion courante
courante Charges
Charges à carartère
à carartère
transfert
transfert entre entre Excédents
15,87 %15,87 % général
général
sections
sections 23,27 %23,27 % antérieurs
Excédents
0,74 % 0,74 % Dotations, reportés
antérieurs
subventions 25,40 % Atténuation de
Dotations,
27,16 % reportés
charges
subventions 25,40 %
3,61 %Atténuation de
Virement
Virement à la à la 27,16 %
section
charges
section
3,61 %
d'investissement
d'investissement Charges
Charges de de
28,57 %28,57 % personnel
personnel Impots et taxes
28,94 %28,94 %
33,06 %
Produit des
Impots et taxes services et
33,06 % domaine
5,04 %
Dépenses
Dépenses Produit des
imprévues
imprévues services et
0,16 % 0,16 %
domaine
5,04 %
Dépenses d'investissement Recettes d'Investissement
Recettes d'Investissement
Dépenses d'investissement
Immobilisations
reçues en
Immobilisations déficit d'investis-
affectation
reçues en sement
déficit reporté
d'investis-
2,94 %
affectation sement13,53 %
reporté
2,94 % 13,53 %

emprunts Emprunt
Emprunt
32,07 % %
32,07 Virement de la
Virement de la
6,87 %
emprunts section de fonct.
section de fonct.
6,87 % 35,36 % %
Immobilisations 35,36
Immobilisations incorporelles
Immobilisations
corporelles
Immobilisations 12,02 %
incorporelles
59,58 %
corporelles 12,02 %
59,58 %
Dotations,
Dotations,fonds
fonds
subvention
d'équipement versées
divers
divers
subvention
4,83versées
% et réserves
et réserves
d'équipement Subventions
Subventions 21,96 % % Opérations
Opérations
4,83 % 21,96
d'investis-sement
d'investis-sement d'ordre entre
d'ordre entre
9,699,69
% % sections
sections
0,910,91
% %
Le frelon Asiatique
(Vespa velutina nigrithorax)
Photos de Claude BERTRAND GESLIN et Ludovic MARIE
Quel est cet intrus ?...
Son nom commun, « Frelon Asiatique », rappelle ses origines (Asie du Sud-Est). Il est arrivé accidentellement via des
conteneurs de marchandises en Aquitaine/Midi-Pyrénées. Observé pour la première fois, dans le Lot-et-Garonne en 2004, il est
identifié en 2005. Fin 2006, il est signalé dans les départements alentour. En 2007, il atteint l’Hérault,
l’Aveyron, le Cantal, la Vienne, la Charente-Maritime (La Rochelle) et le sud de la Vienne. En 2009, un nid a été découvert
en Ile-de-France.
Signes distinctifs : son thorax est brun foncé, ses pattes jaunes. L’abdomen présente des segments abdominaux bordés
d’une fine bande jaune. Seul le quatrième segment porte une large bande jaune.
Mode de vie : il n’y a pas de colonie pérenne. La fondatrice (reine) meurt au bout d’un an. Au printemps, ses descendantes,
hivernant dans des cavités protégées, lui succèdent. Une seule reine par nid développe une nouvelle colonie. Les « nids » sont
trouvés majoritairement dans la frondaison des arbres (50%), difficiles à repérer (10 à 15 m de haut), mais aussi dans des abris
aérés (hangars, granges), murs ou arbres creux.
Impact sur les abeilles : tous les frelons sont des prédateurs des abeilles, mais à des degrés divers selon l’espèce et les modalités
d’alimentation. Le régime alimentaire dépend de la nourriture accessible et du stade de développement de la colonie.
Les apiculteurs sont très inquiets car la part protéinée des frelons asiatiques est composée d’environ 50 % d’abeilles en zone
rurale (80% en zone urbaine). En fin de saison, il se nourrit surtout de fruits mûrs. On le sait, les abeilles jouent un rôle important
dans la survie des végétaux grâce à leur travail de pollinisation.
Risques pour l’homme : le frelon n’est pas agressif envers l’homme tant que celui-ci ne se trouve pas à proximité de son nid (3 à 5
m). Leurs piqûres deviennent dangereuses si elles sont multiples. Une piqûre sur une muqueuse ou sur une personne allergique
au venin peut entraîner des complications médicales.
Ce frelon, bien acclimaté en France, est en train de devenir un véritable fléau.
Pour lutter :
*Un geste simple et citoyen : les classiques « pièges à guêpes » contenant bière brune (surtout pas blonde), sucre (pas de miel) et
eau, suspendus au soleil à un arbre (2m de haut), du 15 février à fin mai, pour piéger les fondatrices.
*Actuellement, le Groupement communal de défense contre les organismes nuisibles, présidé par Jean-Yves Leyssène, a pour
mission de recenser les nids (merci de signaler leur présence) et d’endiguer la prolifération des fondatrices.
*La destruction des nids (à risque),assurée par des sociétés agréées,est aux frais du demandeur (de 125 à 350e suivant l’accessibilité).

Claude Bertrand Geslin

Petits Marchés

Écolos
«Les P’tits marchés écolos» sont nés de l’initiative de la commune,
du Syndicat de pays, de familles rurales et du Comité des Fêtes.
C’est une façon de créer un espace convivial où les producteurs
biologiques, des producteurs locaux et des artisans viendront,
le deuxième samedi de chaque mois (sauf en août, où il sera ouvert le
mercredi 11, à partir de 17 heures), sur la place de l’Eglise.
Le succès du marché du 8 mai nous conforte dans cette initiative.
Marylène Bertrand
Employé communal
Contrat C.A.E.
Guy et Carel ne manquent
ni d’énergie ni de savoir-faire mais
,

de temps. Depuis le 1er mars 2010,


Guillaume BONNET leur apporte son énergie,
partage leurs savoir-faire et ajoute 24 heures au temps.
C’est par le biais d’un contrat d’accompagnement vers l’emploi
(CAE) que Guillaume travaille en équipe avec Guy et Carel. Ce contrat est pris
en charge à hauteur de 90 % par le Pôle Emploi et exonéré de certaines charges sociales.
Il permet aux jeunes de 16 à 25 ans qui en bénéficient de développer et de consolider des compétences
qui seront appréciées par les futurs employeurs. Guillaume a pour objectifs de se former sur les espaces verts avec Guy,
sur la ferronnerie avec Carel, sur l’entretien des bâtiments, d’acquérir une capacité à la polyvalence et d’obtenir son permis de
conduire B.
Et comme il conduit déjà fort bien la tondeuse de la commune…

Goûter des aînés


Comme tous les ans, en janvier, le CCAS de la commune a le plaisir de
convier les aînés à un goûter récréatif.
Ce fut l’occasion, cette année, de recevoir et d’écouter les histoires
paysannes racontées par Blandine Clémot.
Celles-ci réveillent en nous la mémoire vive du passé et nous invitent
à partager des réactions et des émotions communes.
Nous remercions Blandine pour la qualité de sa prestation et sa chaleureuse communication.

Commission Jeunes
La commission « Jeunes » s’est réunie à plusieurs reprises afin d’écouter les jeunes exprimer leurs attentes et leurs projets.
Unanimement, ils souhaitent disposer d’un local pour se retrouver et organiser des activités.
Il sera situé derrière le local foot. Les plans d’aménagement ont été demandés à M. Chaillou, architecte. Le permis de construire
a reçu un avis favorable.
Dès que les jeunes auront pris possession de leur local, un animateur sera mis à disposition par le Centre social et culturel de
Mauzé pour les soutenir dans la mise en place d’activités.
La population arçaisienne compte 17 jeunes entre 12 et 15 ans, 18 entre 16 et 17 ans et 42 entre 18 et 23 ans.
Un rendez-vous sera fixé avec l’ensemble des jeunes, courant juin au local, afin de faire le point sur l’avancée des travaux.
Philippe Réault

Place du Tilleul
Il y a un an, un chantier participatif a servi à mettre en valeur la place du Tilleul
située derrière la Coop. Depuis, les commerçants se sont organisés et ont
aménagé cet espace avec convivialité et harmonie. Tables, chaises et bancs vous
attendent pour passer un moment agréable à l’ombre du tilleul.
Christelle Guillot
Nos Hirondelles

reviendront-elles?
Animations-découverte à Arçais : les 22 et 29 mai et les 5 et 26 juin, de 10h00 à 12h00
rendez-vous place de l’église, suite au diaporama organisé par Matthieu Guillot, membre du Groupe
ornithologique des Deux-Sèvres du vendredi 7 mai, où nous étions une quinzaine d’adultes et 4 enfants.
Des animations tout public et gratuites : conférences, sorties sur le terrain, animations pédagogiques axées sur
la sensibilisation à la problématique de la concervation des hirondelles et autres oiseaux des villages encore communs,
à la dégradation de la qualité de l’habitat et à la modification de l’élevage.
Nous avons besoin de votre participation ! : un inventaire grand public, où chacun pourra recenser les nids
d’hirondelles présents chez lui et dans son quartier ou village. Les observations, y compris les plus anciennes,
peuvent être saisies sur le site Internet www.hirondelles79.org.
L’objectif général de cette enquête est de réaliser un état des lieux des connaissances et des causes du déclin
des hirondelles des villages à l’échelle des Deux-Sèvres.

Petites cités

de caractère
Le label national des Petites Cités de Caractère, encadré par une charte de qualité, est destiné à protéger
et à valoriser un patrimoine dense et de qualité, témoin d’une histoire urbaine originale en France. Ce label a pour
objectifs de redynamiser économiquement des agglomérations anciennes en confortant leurs fonctions de centralité,
de développer un tourisme culturel et urbain toute l’année et de faire du patrimoine un moteur d’intégration et de lien social.
Né en Bretagne en 1975, le label Petites Cités de Caractère s’est étendu à d’autres territoires français, tels que
les régions Franche-Comté et Pays-de-la-Loire, les départements des Alpes-de-Haute-Provence, de l’Ardèche, du Var…
L’association des Petites Cités de Caractère des Deux-Sèvres, associant onze communes, a vu le jour en 2002.
Elle regroupe des communes homologuées (Melle, Saint-Loup-sur-Thouet, Celles-sur-Belle et La Mothe-Saint-Héray)
et des communes homologables, c’est-à-dire disposant du potentiel requis mais en cours de progression quant
aux exigences de la charte. Les communes membres de ce réseau mettent en commun des moyens financiers et
techniques permettant d’appuyer leur action locale en faveur de la valorisation du patrimoine et de la promotion
touristique. Elles sensibilisent les habitants et les professionnels à la qualité d’intervention sur le bâti ancien et
ses abords, avec l’expertise d’une architecte du Patrimoine* et la collaboration de l’architecte des Bâtiments de France.
Pour prétendre à la labellisation Petites Cités de Caractère, chaque commune doit avoir une ZPPAUP (Zone
de protection patrimoniale architecturale urbaine et paysagère) afin de conserver sa spécificité et son identité territoriale.
Notre commune est inscrite dans ce dispositif depuis 2002 et renouvellera sa candidature au cours du premier
semestre 2011.
Cette démarche, est appuyée par les collectivités territoriales telles que la Région et le Département, et peut générer
auprès des particuliers des subventions en matière de rénovation (30% du montant des travaux plafonné à 9 000e,
soit une subvention maximale de 2 700e).
Exemple en 2009, sur Melle, 9 dossiers validés ont été subventionnés, pour un montant total de 22 685e.
* Pour toute demande de conseil en vue de travaux de restauration et de mise en valeur du bâti ancien, vous pouvez
solliciter un rendez-vous auprès de la permanence de Marie-Pierre Nigues, architecte du Patrimoine – tél.: 05 49 33 26 47.
Pour plus d’informations, consultez votre secrétariat de mairie.
Contact :
Petites Cités de Caractère des Deux-Sèvres - tél.: 05 49 778 779 – petitescites@cdt79.fr - www.pro-pcc-deux-sevres.com
Séverine Lamberton

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