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of t ~ 2 String quenching Phardss Goren/QURNEES NATIONALES 1986 Arr es fluides jde-fkampes ¢ conception et conséquences qyefal ‘por J. OUVIER(), B. CLEMENT, Jd NCE DEBRIE Cpe 1. Introduction Dans de pombroux cas, obtention ‘des propriétés mécaniques nécessaires fu bon tenctionnement dunepleco Industrielle passe par une opération de trempe. Ce type de traitement, bien ‘quun des plus anciens, reste encore mal conmu au riveau des échanges thermiques mis en ceuvre, Depuis une dizaine dannées ia detini- tion d'un essal de drastioité a permis die faire évoluer consicerablement les liguides de teempe, caci tout particu ligrement dans le domaine des huiles minerales. Maineureusement, ce qui compte pour lullisateur, le praticien, Gest le rosultat métallurgique obtenu Sur la pice traitee et pas seuloment le pouvoir retroldissant’ du produit de trempe quil utilise. (Q¢, entre ces deux notions il existe un foss® Important ié au bressage du fluide de trempe ot a tout Venvironne- ment four (charge, montage, transtert, bac, etc.) sans. parfor de la quance dacier uti Le but de cet exposé est dono de ‘mieux percevoir Yimportance du bres gage dos fluides do trempe et ses conséquences sur la métellurgie au niveau dune trempe massique par Les résultats que nous allons vous pré= Senter font objet dune étude com- ‘mune entre Servimetal — ICI — CNRS. (ENSMIM-Neney) PSA avec Teide de FANVAR. Ik Définition dune éprou- vette de séverité de trempe MISE EN EVIDENCE DE LMPORTANCE DU BRASSAGE SUR LE POUVOIR REFROIDISSANT DES HUILES DE TREMPE Le résultat matallurgique obtenu apres trampe dune pioce mecanique dopond: mu FR = de la nuance de Facer at avs trempablite — da la géaméttie de Ia pide traitor (masse, forme) — du Tice utlisé (nature, temperature): — du brassage ('ype, caractbrisation}; — de Ia technologie environnante (montage, chatge, transtort, bac, etc). La mise au point d'une éprouvene de séverite de tempe a pour but de déter- ‘miner un moyen d'essai permettant de tester les performances d'une installa tion de tcompe indusiriele, Una_des premibres dprowettes de sévérité de trempe fut Iéprouvette en acior 38 C2 & deux diametres (fig.1) présentée par Monsieur Delicy (RNUR) au groupe de travall ATT-SFM fide de trempe en juin 81 De nombreux essals ont até réalises chez RNUA d'une part et chez Peugeot et Citrobn dautre part (1974 a 1981), 4 EPROUVE TE SEVERITE DE TREMPE (3802) ae bo 456 ee ee damage © TEE 22 i ' | + : 4 Hee eee Tolérance générale:+O,) | at Jes plus grandes dlfficultés rencon- {128 provenant du fait que Seuls deux dlametras sont testes, A partir de ces résultats et de Téprou- volte coin danomalie de carboniteura- lion en acier 27 G4 (tig. 2) définie par NUR, nous avons etuaié deux éprou- veties de severite de trempe en 38 C2 = un cbne: figure 3; — un coin dangle 30°: tigure 4. REMARQUE Dos essais préalables sur coin 45° en 27 OD4 ont donné des résultats peu sélectifs Un essai de principe a 66 realise & Belchamp sur four Batch Type avec ces deux éprouvettes. La figure § montre tes résultats obte- rus an faisant varier uniquement eit- ‘eacité du brassage pour une hulle sonnee. ‘Au wu de 8s résultats nous avons teste 14 fours industriels: 8 fours continue et & fours Batch type répartis, Gane nos différentes usines. Loe figures 6 st 7 donnent lensemble dies résultats métallurgiques obtonus tous fluides confondus (Huiles ov ele). Ces résultats montrent = une aifference de trempabilité 185, marquée entre les 2 eprowvattos, le ‘eone aonnant les meilleurs resuiete [mame observation sur l'essai Belehamp); — une difference de trempabitité importante d'une installation @ une faulre, Ia dispersion maximale. étant obteniue sur le cone qui sera done plus Ssélectif. Cette envelope eiant tous fluldes confondus nous avons sur 3 fours, sélectionné deux hulles de trempe wes différentes une tes aces lerde, autre pratiquement une riné- rale pure (fig.8)- Les résultats obtenue confirment Vism- portance du brassage dans les bacs de trempe (fig-5) puisqulune huile de trompe non accelérée permet dobte nie une meilleure pénbtration ds trempe quiune Aulla ‘de tempe dit acceliérée, definitions données par ‘comparison des lols de retroidisse- Tent obtenues dans le cas de la trempe duns éprouvette d'argent dans Thule au repos. En résumé, nous pouvons dire que, tachniquement Téprouvette en cone délinie figure 3, ost tés adapts pour classer la séverté de trempe des ins- tallations, mais mathoureusement son explotiation metalivrgique n'est pas envisageable industrellement, il faut one sorlenter vers une éprouvetic coin & angle optimise. Le plan decette éprouvette de massiveté intermédiaice entre le cone at le coin dangle au Sommel 30° est donné figure 3; son angle au sommet est de 20° et sa lon- 0 ae EPROUVETTE COINS) o/ANGILLIE DE CARBO Miter 27004) pena! { i 1 EPROUVETTE CONE jOE SEVERITE DE TREMPE i (Maize: 38/0.2) : | alee | Fig. 3 SvEPROUVETTE COIN(30) DE SEVERITE DE TREIYPE (ative 38.6.2) Gxtanee te Vorite iW 2 35 80 75 ca cd ‘pavremr enous 20686 600 500 0 300 8 ry af jo ENVELOPPES DE ENSEMBLE DES FLUIDES DE TREMPE PSA i [Enrouvettes cines we ue Ju Hv30 « GOURBES ENVELOPES of Lewsevals DES i MPE ESA [“Bprouvenies “coins 36C2_ angie 30" f mini vie Ean [04 __ tours dene {'™ pioteane cheat) max Wa wo 75 el law ori go-oe fearon e 4 wie w-sore 18 mr MALE Zo SULLY -SUA “LOIRE ~four 8 50" Sas SS inate tet T3-0 i wa eae : sal wane ef fsbel “ 2 SPeRpeL EEE = Seesaet| ‘3802 ange 30° ; Lm Dp ape st 3 Fig. 6 Fig. 7 n a EPROUVETTE CONI20 GE SEVERITE DE TREMPE —38c2 FIGURE 1 gécmétrio de Féprouvette f! FOURE 2~ emplacements des pxinis de mesure de dureté ‘sant plan ‘de coupe AA Fig. 8 2 ESSAIS CE REPETABILITE SUR EPROUVETTES COIN (2272 Trempe H. chaude'Hi sue for contin CFI (SMAED Wy 30 a ete ALESSAIS DE REPETABILITE : SUR EPROUVETTES COIN (20°) Trempe hote-chauesHReut fou 3 charge AUBE (SMAE: Hv 30 ! | alae i | | | | L | eee Fig. 4 2 uur a été portée & 105mm au leu de 00 paur des raisons dexploitation, Outre dee assais on laporatoire, des ‘ossais de répétabilité de cette nouvelle eprouvette ont él8 réalisés en usine far four continu (fig. 10) et sur four a ‘charge ‘fia. 1)- Une méthode esset PSA utilisant cette eprouvotte comme moyen de Controle dos bacs de trempe est on cours de normalisation, IL Importance du brassage au cours de la trempe dans un liquide sous refroidi (9 L <6 ébullition). Produits de Trempe aqueux f eau Llessai do drasticité conventionnel que nous avons cité en introduction ormet de definir parfaltement ie pou- Vole refroldissant’ do. trempe dune hulle. Iwan est matheureusoment pas de méme pour eau ol les solutions aqueuses de pelymtres organiques. étude approfendie des phénomanes instabillé de la caléfaction au cours de la trempe dans Peau sous-retroidie (2 liquide = 100°C) a été réalisée par Ecole dos Minos de Nancy (MM. Fla menMoroaux—Beck 1979), Llensemble das résultats obtanus peut tre représenté par un diagramme ce Stabilité de 1a caléfaction (fig. 128) Diagramme de stabilité de La figure 124 montre les dispersions obtonues sur 9 ossal asticté agitée, A circonstances dessais appa- Fommont identiques. Ce diagramme Setermine tfois comaines = ta calétaction stable; = la calotaction inctable; = le domaine de transition normale calétaction-abullition nucieée (sans effet mécanique). La calefaction ost stable loreque la temperature de Yeav dépasee 80°C, envdessous de celle lempbrature une action mécanique a Vinterface vapeur Tiquide peut la déstabilise. Ce ciagramme de stabilité de ta calé- faction met done en évidonce limpet taneo du brascage sur la roprocuctibi- lite de ta trempe dans un liquide sous-retroid Rt ee Fig. 28 Ensemble des lois de retroidssement ‘enregisiées au cenre dune eprouvetie argent trempée depuls 850°C dans Tew da = 40°C INL2. Influence du brassage des solutions aqueuses de polyméres organiques sur les résultats métallurgiques Ces essais ont été réalisisa Belchamp sur un four BATOH-Iype (BIA) dont ie bac de irempe de 2200 | est constitue par une solution aqueuse d'un poly- mere organique. Les éprouvettes utili- 8808 sont de deux types: — des éprouvettes coin (20°) en 88.CD 2 decrites précédemment: = des eprouvettes cylindriques de Glametre 35 mm longuaur 105 mm en 350D4 permetiant de tracer des courbes U, Diagramme indiquant I tion possibles en fonction de (0) tompara Taquelle Tebulltion nucleee est inévitable mpérature maximale au-dessus de in caldlacton est stable. La figure 13 montre les résultats obte- ‘us sur ces deux types d'éprouvettes pour trois technologies de brassages ditférentes céatisées sur ce bac; & titre de comparaigon nous avans pari les resullats obtenus en laboratolre par ENSMIM, Notons la concavite inverse du U que nous avons toujours consiaté dans le cas d'un brassage non adepté avee ce type de produit Ces résultats tree significatifs mon ‘rant partaitement le fle de Fagitation sur Ia loi de retroidissement notam- ment en ce qui corcerne la stabilite de la caléfaction — sur las courbes U: la dureté en sur- ‘aco varie de 325 @ 585 HV et & coeur de 380 @ SIOHV; = Sur les éprowvattes coins ta duets fan surface varie d@ 600 & 700 HV et fa Pénétration de trempe de 22 & 86 mm S| Ton prend unveritére de profondeur 4450 HV, par exemple. IV. Installation de trempe pilote — Définition de la machine 1V.1. Pourquoi une telle machine? Nous venons de voir depuis le début de cat exposé que le résultat dune ‘trempe est atroitement ié A deux parae mbtres indissociables le fluide de trempe et son brassage et que le seul cessal de drasticité ne permet pas d'ap- préhender le résultat sounaité De plus cet assal n'est pas actualle- mant utlisale pour les solutions aqueuses dont lintérét industrial eat Svident (sécurité, perlormances, cool, ate). Le dévelongement des produits aqueux en trempe massique par immersion nécessite Impérativement tne tude ef une maftrise du orassage Sion veut espérer des résultats repro- ductibles, D’autre part nous avons vu qu’en trempe a Thuile le tast de nom= breuses installations a montré quuna agitation optimisée pouvsit donner 38 {yas bons resullats supérieurs memo & 8 que ‘on obtlent avec une nuile ‘*coppee», ce qui peut tre prometteur sion cumule une agitation optimise aves une hulle accélérés nous pateit done aujourd'hui techni quemant et économiquement indis- Bensable a'étudier Ie brassage des fluides de trempe ce qui nécessite de le faire varier, de le quantifier et den apprénender les effets afin de ie maitriser Compte tenu des installations exis- ‘antes, nous avons été conduits 2 ra Tiger une machine specitiqua, los ‘seals jusqu'alors antcepris en labora foira ne permattant pas de parcourir tun domaine de vitesse de fluide sutti- 4 ze INFLUENCE OU BRASSace gym UNE SOLUTION AFUEUSE vated E8501 gue gut BIA Belchamp 4 Cumec ao) wp GouRBE CoN asCe ET) ave cet labo ENSMM of Drossoge 1 TOO 3 SOs MSHS gs 0pwanno w Fig. 13, — Influence du brassage sur une solution aqueuse sant et entrainanttrés vite des quanti — en canalisation que on désigne {és oe fluide trop importantes & mettre gous le sigle QVE, eee Ges mesures sont effectuées raide ‘de moutinets. IV.z, Description do la machine; + des viteses dinjsction VI (ov) Géfinition des notations utilisées VI est la vitesse débitante du liquide La vue densemble de rnstaiaon ast mssie Tar en sortie dun noeteur donne figure T6 ale est consthuge dome pour un GV! donne dans de tels grandes pares Sanalsction correspondante (GV! as Sour de ehetage detrl paranetogie 9 OVE}, nous va fons également Te notation POM! Qui = un bac de trempe (ig. 15); fapresonte la pression mesuree dan = un poste de chargement (ig. 18). [a canalisalon correspondante Cette machine permet dialer cing fypes a'eprouvettes diferentes igure 17: V. Mode opératoire —teprowette argent de drasticté 76 x d8'8 fond ola Essais préliminaires = feprouvetta dargent de drastene 76 x 48 & fond hamispnerique: V.1. Positionnement des thermo- = reprouvette coin en 38 C2; couples sur Uéprauvette U 5, leprouvetteU en35 CD 4 (dlamotre L'éprouvette cylindrique servant su 935, hauteur 105); tracé des courbes U est équipé de — Teprouvette de fatigua on flexion thermo-couples, l'un prés de la sur- rotate face et Fautre & Garur. Toute implanta- tion de sonde perturbant la mesure de Sa capacité de 701 (canalisations :empérature, nous evons examine ine comprises} permet detudier de nom tyence de deux types de positionne= brews fluides dans une plage de tor ment du thermo-couple shue au bord perature comprise entre 250°C et le (ag'ig): ‘température amblante. — lun en pergage oblique depuis le Elle permet do tester plusieurs types centre qui, dun point deve Manipu= agltetion el en particulier de Vege letion, est Ubs favorable; tion globala (AG) et Tagitation JHE BSE — autre parable a faxe ot Equipe injaction immergée (Ai). un puite oetanchatte an surace. Outre les essais métallurgiques cette Lécart obtenu entre cas daux types de machine parmet de mesurer Porgage est ta imporient, it atteint 450°C enire 5 et 153, ie retroldis 4g, Mentle plus lent stant bien sr obtenu roi Ay sare eupte opnaue jc, UNitel écart n'est pas acceptable puis- + des vitesses d'écoulement en m/S: quill carrespond au gradient de tem= = en cuve que l'on dSsigne sous le péreture gut existe entre le centre elle aigle VE, bord de 'éprouvette U (fig: 20). «des vilesses de retroidissement i 5.17, — bierent Be Géprouvettes: ip Notons également que le puite distan- cheité est indispensable pour ne bonne mesure ot que le reproductibl- lité sur plusiours essals est bonne. V.2 Comparaison entre les drasti- cites oblenues sur l'nstallation pilote et celles obtenues sur lap- parell Hermann-Moritz ‘A mame éprouvette, Ag par exemple 16 x 48 & fond plat, les ditférences techaologiques qui peuvent influencer Ja mesure sont les suivante. = le Volume du fivide: 501 dans notre Installation (cuve seule) pour 0,7 | sur Fappareil Hermann Moritz, — a profondeur dimmersion la pos tion Slandasd willlsée pour aos mesures est da 120mm pour 27 mm Sur Tapparell Hefmann-Moritz; — Ie systéme dlaccrochage: nous avons ullisé la méme technologie mels de taille plus importante au niveau de Ja tige transfen, ve puts draccrochage resiant identique sur apparel Hermann-Moritz, Dans un premier temps nous avons fexaminé. sur notre installation pilote Vintluence de la erafandeur c'immer- sion de Feprouvette (tig. 21), Le résul tal obtenu monive qua pour le captour fe plus immergé on a — une calétaction plus courte At ors: — une vitesse de retroitissement durant une caléfaction plus Slevée: — une ébulltion nucléée plus courte Aga 15 — une vitesse plus levee. Globalemant ce ratroidissement plus rapide peut Soxpliquer par deux effete conjugues — la tige d'acerochage étant plus for- tement immerade, le fivide de trempe retroidit mieux ensemble tige support + eprouvette: — a prossion augmente avec ta pro- fondeur dimmersion c@ qui diminue "épaisseur de Ia gaine vapeur dou #1 11, @, @ lbs fainles, Si on compare ces résultats & ossal de drasticlté standard Hormann- Moritz, on constate une ditférence ataoz nette avec notre essai oi la pro- fondeur d'immorsion est la plus faible [48 mm, cote minimale realisable veoh nologiquement sur lg pllote ANVAR) {en particuler, on note une vitesse en @bullition nucleés nettement supé= rieure (AV = 86 Cis). Paur essayer do distocier les diffé- rents paramétres préalablement cités, ous avons trempé une sprowette dans un becher de 800 mi sur notre Installation pilote avec une hauteur immergée standard (27 mm) et une hhautaur valsine de 48 mm (en pratique 42 min). La figure 22 donne les résu- tats obienus @ savolr 9 ébullition nucléée 36 so 10° Iofuence detirgenaion y aa 2 ae RAPER waa wT vest] 1 ula | @ pw [as [pty Te Te | [wi gt lens | [ae [as [23 wos [elo Pais Tat tos an ES" vt ms eos Gast, 1% z w o Fig. 29 ZMITESSES DEBTANTES A LA SORTIE DUN INJECTEUR ‘0 mH atumrce do 6 et de ba vacceté. du tude viscosa) a — 80 (i p --- 8 {7 20 a . st Rg tors : Fig, 30 30 =: Vinfluence de I'agitation semble épendre. de la temperature pour Mhulle aceélérée ce qui rest pase cas pour hulle minérale de base, — \a principale action du brassage est daugmenter considérablement les vitesses de refroidissement, la diminu= ton du temps (2 pouvant atleindre 49%, du temps 11 544%. ; Cette forte dintinution du temps de calélaction siaccompagne générale- mant dune montee de #1, celle-ci stant tres élevée pour Ihuile accelereo 8 150°C (A61 = 125°C) et plus faible our Ihulle minérale & 50°C (AGI 30°C). La vitesse de rofroidicsoment en caléfaction vatie donc du simple au ouble entre ces deux types dhuile, Ih feat Important de signaler que ce type agitation ne déstabllise jamais tota- lement le caléfection. Ces esssis confirment le tle Imex tant jous par Vagitation d'une huile de trempe mais la comparalson des deux types. dihuile nécessite d'examiner sbparément influence de la tempers ture, de la vitesse écoulement. ce la viscosit, ces trols paramétres variant Simuftanément dens les essais que nous venons de prosenter, Nous avons done etusié séparement Fintluence de ces diférents paramétres — Ia figure 34 roprésente les courbes de drasticié tracées & meme vitesse écoulement (0,86 m/s) pour das f2m- peratures ahhulle de 50 et 80°C; = [a figure 35 représente les courbes de _dresticité tracees @ mame VE (085 mis) et & meme viscosité 29 cSt, la ‘température des doux hulles étent alors voisine (50 ot 58°C); ~ Ia figure 36 représente les courbes de drastiché tracées au paint d'inter- section des courbes de viscosité des, deux hulles Cesta-sira meme visco- sité, méme température, a vitesse écoulement stant alors de 0,55 m/s. Cotte série de mesures contirme ta {Wes notte alfferance de ‘action au brassage une hulle accélérée et d'une Nulle minerale de base. Dans ce cas pricis a méme vitesse écoulement, meme viscosité et meme température le brassage de Thuile minérale de base, procure un pouvoir rfroidissant globalement plus {grand que celui de Mhuileaccélérsa, ce ‘Qul est Tinverse loreque las hulles ne sont pas agitées. Ge phénoméne est directement lid ala formulation chimique du produit. Pour aller plus join dans explication de oes phénoménes Il faudrait travailler avec tune hulle acceiarée de formulation simple, par exemple un mélange de eux coupes et fenouveler tous ces essals. De plus, fetfet « chimique varie avec la température pulsqu’a 150°C ule accélérée redevient plus pertormante 4 @ wllvence de 1é présence ov non d'une grille sur les vilesses cébitontes a Ig sole dun injecleur 93 mm vonne VE ouverte injecleur $3 siué sur rome dy TIM] P pve: os & vane QVE fermée 7 » cuverteay maximum © SBIR Capes og 03 OVEIms) 3s 2 Byers! Fig. 34 cic © Iniuonce de Vogtation slobolefag) sur les courbes de. crastcts dune hulle de trempe non pecdlrge HTR en fonction de SC at 800) (Soe ses a 2 ] 07 pe a 05 50) 235 1350] 340 (yes 3s A eee Ss temas 7 5 6 t $ 6 67 Fig. 22 \ilzance de Vogitotion globale AG sur les courbes de drosticilé d'une je. frie de temas accéléeé HTRLA en fonction de @°C ae | ooc_| 160" 0 {o58| 0 loss [0 B40) pe iio 2A) a 50550 | sO 70 [5 0 fs [x5 235 00 és] 6/65. | 6» iz lar fo ae [85s —$ _0 temps (5) ig. 83 & agite ‘genta On ne gonéra hulls moins avons « vitesse forsque ‘on Inte Une hu Four ec (150°C est dor mE par it cites — & tats : agital Nows » giobaie Seren ser to: Sentab, tion in quent deste hale 3. des va La dure augme: dissem one tion ale Les é ment rasile! Notoas avec ac temast damin valeurs tion de X. Int. en tr imme yésut, Devant publier pliote hygien evigenc conseg rmique f agltation at viscosit sensibloment aantiques (tig. 37). On ne peut done pas aujourd'hui genérallsor cos résultats & toutes les hulles de trempe accélérées, néan- moins pour le type dhuile que nous ‘avons uilisé il est indiscutable que les vitesses. de refroidissement obtenv Torsque Mhulle est agitée, sont volsines ton inlérieures & colles obtenues avec tine nulla minérale de base, Pour compliter cette étude, la compa- raison de deux hulles chaudes (150°C) acodleréos ot non scoslérée est done nécossairo. IX. Vinfluence de T'agitation par injection sur les drasti- cites des huiles de trempe — Comparaison des résul- tats avec ceux obtenus en agitation globale Nous venons de voir que Fagitation 4lobale (Jusqu’a 1,1 m/s) sur une hulle ‘36 trempe ne permet pas de déstabili- ser tolalement Ia caléfaction; nous avons done examiné les possibiltés de destabiliser cette calétaction par injec tion immergés. La figure 38 montre quien pratique il nest pas possible de biliser la caléfaction sur une je trempe, tout au moins jusau’s des valours injection de 23 1s La durée de Ia caléfaction diminue, 61 augmente mais les vitesses de refro!- dissemant diminuent, injection étant onctuelle comparetivement & Paglta- tion globale. Les résultats metallurgiques contir= ment globaioment les. courbes da rasticite « agitdas». Notons au passage qu’en drasticité ‘avec agitation il est sounsiteble de rai- sonnar sur las courbes globales les temps ti et 2 tant les paramatres pré- dominants comparativement aux valeurs 61 et 62 lerreut de determina tion de 81 devenant importante. X, Intérét des additifs 4 "eau en trempe massique par immersion — Synthése des résultats déja connus Devant l'ampleur de cette dtude nous avons pas encore de résultats publisr sur ces prodults au nivaau du pilote ANVAR. Nous pouvons néan- moins, outre l'intér6t evident en hhygiane et sécurité (HSP), mettre en Guidence Vintérét métallurgique et par ccanséquence directe, Hinterét 6cono- ‘mique de ces produits, are cone, MHS 28 HES ES eS Eysom Bre] SHIRA] yE=0 VE 085-4 was (8% comperaisen des rules c2 trampe ccs et nen occelétées. Courbes ce gosticilé 6 Sinéme oplaion YE .O66 ms E rmbine vecosié Y= 29 CSt a. temperotre ce SOC pour, HTR 5 9) S80 pour! HTRA Spot HT aban [ey Hrrabat.9i3 terns} Fig. 35 atc" comarsison des hulesde Irempe axcéérees et non coosiries courbes 60 drosiicié 6 | méme agision VE=0 , VE «955m mime vscosé 255 cSt méme lemoérature 430 Vebrpalt 2 eel VE sO mys a2 slg} lamps {5} Fig. 98 “a La figure 39 compare, swt coin ot sur courbe U, les metlieurs resuitate iméiallurgiques obtenus avee un addi tif a eau correctoment agité a ceux ‘obtonus sur dos huiles, tant en condi tions de orassagos industriels quien agitation gptimisée en laboratoire (pllote ANVAR — machine ENSMIM) Ces résutiais montrent la fois Minierst ~ des solutions aqueuses de poly- meres. organiques, par rapport aux huiles: eur éprowvette coin ie sein est de 10D HV on duretés superticielles et fon profondeur trempée & 450HV de 16 mm soit 30%; = de cette eprouvette coin qui semble nettement plus sélective que Véprou- vette cylindrique (courbes U); — du bressage sur les hulles de trempe, Ia profondeur teempée aug: mentant de 68% entro un bac indus- jal X et Ie pilote ANVAR, XI. Conclusion Les premiers résultats de cette étude montront que le seul but de agitation diun bac de trempe n'est pas d'homo- géntiser la température’ du liquide Pendant et aprés ‘rempe comme on |= anse généralement aujoure’nul. Nous venons de mettre en evidence dans cet exposé 'intsrét au brassage tant sur les courbes do refrolaisse- ment quo sur les résultats metallurgl- ques obtenus, montrant que le seul ‘assal do drastic a leprouvette d'ar- Gent ost nettement insulfisant. pour déterminer la performance d'un liquide de trempe en utilisation. Lsprouvette coin dangle au sommet 20" en 38.2 que nous avons detinie pour tester la sévérlté da trempe des Installations, c'est-a-aire action simultanés prodult-installation 62 trampe, sombie ara assez selective ‘compatativement aux courbes en U Sur éProuvette cylindrique tradition- nelle, 12 diagramme do stabilié de eau’ sous-retroigie montre Tintérst évident de Vagitation sur les produits aqueux, iniérét confirmé lors des essais de trempe en bacs Industriels présentés au debut de cet article action du brassage sur les hulles de trempe, moins vidente a prior, ast nnettement quantitiée tant en labora- toire sur les assais da «orasticité dynamique» quien dacs industrels sur tes essais metallurgiques, Enfin, la figure 38 résume assez bien le chemin quil reste & parcourir, le sou- hit de utilcateur étant c'obtenir sur ne charge industrielle et de fagon Teproductible, a courbe maximale de 9 graphique par Taction simultanée du brassage et du produit (rnile ou polymere). . a vieaanE se ronanon des drasicrés en rules apiées HTR.HTA.A en | BY VE fonction oe bes erveloppes | comparaigen dune ogtation gel une hulle mi HV 709] meréts. mBtolurgiques: actu [coin 303802] avNeimals Iv 8 len sly eee el Bist epon| Ss fee? Masons hoist) Kae waza mis s00fe A tem) ease eS ae Fig, 29 jals des solullons oqueuses. Fig. 97 ole et d'une asian por inyection sur inecle WTR 2 50°C 0 en CDN 3802 — Tota, se Fig. 28 1. Ol réali: Laie aittere: hauterr plaque: Pour ie trompe bone ¢ = une trempe oeja & De plu nus de austen’ Fim 5 Pour: porte © no WA. © ‘compe — eur arava! — dur table ¢ = dur — dur = ow 2, ¢ Linst = sur 9000 r — du vient

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