armes, par le
ont surtout cont
phénoméne.
Le langage est une partie intégrante de Phist
esprit et bien que les
véme des lois qu
ses, bien que la liberté q
le soustraire ces influences, pourtant
st propre sefforce constamment de
esaurait affranchir
chose de ce que les disposi
climas, a la séénité d'un
dans la structure d'une langue sont
naissent comme dela fleur la plus del
spheres de la nacure physique et de
qui faic
ce que pouvai
considérations, routes rapides qu’elles sont, sur les rappores des
races et des langues
En maintenant uni
« pas moins étroicement uni
lu 6ter& notre tablea
loris et de lui
1e nous rYavons pas Vo
i communiquer de
de peuples plus susceptibles de culture, plus civilisées, plus éclai-
ten est pas de plus nobles que les autres. Toutes sont
également faites pour la liberté, po
deat de société peu avaneé, nl appart
chez les nations appelées & la jouissance de-vétitables institutions
tard tant de fois reproduite, de
yommes, et de Fescavage
éveloppée avec une sigue
Poliique, by 355.6.
mieux que toute autte, prouve
souvent encore mal comp
vyues intéressées de toute sorte ont
ensemble, sans distin
ne une grande fami
fes, comme un corps unique, marchant vers un
Ie libre développement des forces morales. Ce bu est le b
le bucsupréme de la 0
nme par sa propre nature, pour lagrandissen
n quielle scend;
lig, et en méme temps la direction
on intime propri
Livité physique et incellectuelle. Dé
montagnes et les mers
pis, se replant sur Iui-méme comme fa plance
‘comme un double champ ouvert 8 son ac-
‘enfant a
qui cieconscrivent son étroite demeure;
soupire aprés le
de beau, cette double aspiration vers ce quil désire et vers ce qu’
le préserve du danger de sattacher d'une
dans les profondeurs de la nature humaine, commandée en méme
temps par ses instinets les plus sublimes, cette union bienveillante
ec fiatern
président a
se devient une des grandes idées qui
11 Guillaume de Humbold, Sur La langue kawiy
= 153—