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Jean-François Spricigo

Photographies
Galeries (...) J’aime beaucoup ce qu’il fait, je veux dire ce qu’il défait. Son
savoir-défaire fait mieux que bien des accomplissements. (...)
Belgique Contretype À une époque où, hélas, la frivolité flatte et règne, l’œuvre de
avenue de la Jonction, 1 Jean-François Spricigo fait, face à cette frivolité, figure d’hérésie
1060 Bruxelles ô combien nécessaire. (...)
www.contretype.org / + 32 2 538 42 20
(...) I really love what he makes, I mean what he unmakes. His
Etats-Unis Louis Stern Fine Arts knowing how to unmake makes more than most
9002 Melrose Avenue accomplishments. (...)
West Hollywood, CA 90069 At a time when, unfortunately, frivolity and flatter reign, the
www.louissternfinearts.com / + 1 310 276 0147 work of Jean-François Spricigo fact, faced with this frivolity, a
figure of heresy necessary. (...)
France Agathe Gaillard Marcel Moreau
rue du Pont Louis-Philippe, 3
75004 Paris (...) Peu d’artistes possèdent l’apanage de faire disparaître en un
www.agathegaillard.com / + 33 1 42 77 38 24
seul geste la frivolité et la superficialité, d’aller droit à l’essentiel et
de ne pas s’en écarter, dans un art aussi mince que celui de la
Pologne Simonis Gallery photographie, nous découvrons la « profondeur de la peau »
ul. Burakowska, 9
évoquée par Nietzsche. Le monde intime que cette œuvre ouvre
01-066 Warszawa
pour nous semble trouver son essence dans la dernière phrase
www.simonisgallery.com / + 48 504 071 688
écrite par Gérard de Nerval, le soir même de sa mort :
« Ne m’attendez pas ce soir car la nuit sera noire et blanche. »
Prix
(...) Few artists have the skills to make triviality and shallowness
2009 disappear with the sweep of a hand and to solely concentrate on
Nominé prix découverte des Rencontres d’Arles
the essence. Within the art of photography – mastered by very
few – we discover the “depth of the skin” evoked by Nietzsche.
2008
The last sentence by Gérard de Nerval, written on the evening of
Lauréat photographe de l’Institut de France de l’Académie des Beaux-Arts
his death – “Don’t wait for me tonight as it will be black and
Lauréat photographe de la Fondation belge de la Vocation
white” – contains the essence of this oeuvre’s intimacy.
Anne Biroleau
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ici hier / 2004

(...) Son regard personnel, son approche et son traitement de la photographie ont, il y
a quelques temps, dans la même semaine attiré l’attention de Michel Archimbaud,
Christian Caujolle, Antoine d’Agata et Photo Nouvelles. (...)
Photo Nouvelles
décembre 2003

(...) Il faut bien avouer que rares sont les rencontres de ce type. Aussi fortes, aussi
intenses comme le regard s'approche à présent du travail de Jean-François Spricigo.
25 ans. Mais dont la maîtrise et la maturité sont un brin effrayantes tant le garçon
semble déjà avoir tout compris de la part que les noirs et le blanc se réservent dans la
vie. De la façon dont la matière photographique peut alors les écrire sans les décrire.
Juste en les imposant comme des évidences granuleuses et dérangeantes de
l'inconscient. (...)
(...) Du quotidien de Spricigo naissent alors un inquiétant décalage et une terrible
étrangeté aux marges du réel, dans laquelle rien ne s'identifie vraiment... mais tout se
reconnaît. Ce qui est au demeurant l'essence même du fantastique ainsi que du
miroir qu'il tend vers nos angoisses. Et qui révèle alors l'imaginaire propre aux
grands créateurs. Artiste à suivre, donc...
La Nouvelle République des Pyrénées
10 mars 2004

(...) Impossible de rester impassible face à ce qui se passe ici. Nous avons tous
fréquenté des écritures photographiques talentueuses, certes… mais qui en mettent
plein la vue avec ce qu’il faut pour être consommées sans déplaisir. Ici, rien de tout
cela, pas de séduction facile, pas d’effet joli gratuit. L’œil de Jean-François Spricigo se
tourne vers ce qui se passe à l’intérieur de l’image. Face à ces impressions là, on est
tous concerné. (...) Tout chez cet artiste est dans l’évocation, l’effleurement et le
frôlement des choses de la vie.
RTBF
16 avril 2005

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silenzio / 2005

(...) Un artiste à découvrir à la galerie Contretype : Jean-François Spricigo et sa


magnifique série de portraits réunis sous le titre « silenzio ». Exploration de l’âme
humaine, plongée difficile dans la tristesse et la misère de l’homme rendu flou par la
vie. Un travail somptueux et angoissant.
Télé Moustique
21 septembre 2005

(...) La série « Silenzio » livre une photographie qui dépasse la surface des choses et
touche en profondeur.
Le Soir
28 septembre 2005

(...) Visages endormis, corps en gros plan ou en fragments, scènes d’abattoir, paysages
de terre et de mer, les sujets dégagent un trouble, une impression de mystère, de
violence, mais aussi de douceur, très aboutie. (...) Loin d’un certain consumérisme
photographie tapageur, une exposition à ne pas manquer.
Trends Tendances
6 octobre 2005

(...) Une singularité de vision qui taille dans notre monde un monde à soi. (...) On
avait en tout cas presque oublié qu’un photographe qui apparaît, c’est un univers qui
s’éveille. Fût-ce par l’entaille étouffante d’une indéfinissable blessure, qui laisserait
entrer tout à coup trop de clarté.
L’Art Même
novembre 2005

Jean-François Spricigo a un regard bleu indigo qui vous perce. (...) Il est vrai que
face à une de ses photos, on a l’impression d’avoir déjà vécu cette scène …
C’est comme si l’on ouvrait son journal intime, et que l’on osait enfin s’y regarder.
TV5 Monde
5 décembre 2005

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notturno / 2007

(...) Jean-François Spricigo est saisissant dans sa compétence à attraper des images qui,
à peine frôlées, s’évanouissent. (...) Je n’ai jamais rencontré Jean-François Spricigo,
trop peur d’être vue à travers ces yeux-là, qui transforment les gens en fantômes.
Alors je garde le lien. Jalousement.
Marie Claire
juin 2007

(...) L’univers photographique de Jean-François Spricigo, actuellement au Botanique,


nous fait voyager dans les thématiques récurrentes du photographe. Une esthétique
singulière et unique qui s’inspire tant d’un Bacon en peinture que d’un Schnittke en
musique. Un photographe des instincts et du sensible. (...) Une exposition dont on
ressort touché et troublé par la force du propos.
Culture Club - RTBF
25 juin 2007

(…) Jean-François Spricigo traduit l’image qui s’imprime en nous, il donne à chacun
l’occasion de voir son propre vécu. (…)
Cinquante Degré Nord - Arte
30 juin 2007

(...) Chez Spricigo, tout interroge à présent qu'on se sent plus scruté par ses photos
que spectateur d'un imaginaire singulier. Parce que ces images-là vous guettent en
sentinelles, qu'elles vous préviennent d'une indicible menace, lovée là, en filigrane,
qu'il ne tient qu'à vous d'aller défier. (...) Poésie tragique ou juste sérénité du
constat ? Les photos de Spricigo vous offrent alors cette ultime politesse : ne rien
décider pour vous, vous laisser trancher entre désirs noirs et rêves en blanc.
La Dépêche
13 février 2009

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prelude / 2008

(...) Jean-François donne à ses photographies en clair-obscur un mouvement


cinématographique. Ses images tremblantes au grain prononcé saisissent des instants
et les transforment en songes. Un univers mélancolique et singulier dans lequel
l’artiste met en scène toute son intimité.
Exporama
février 2008

(…) Aventurier des songes, Jean-François Spricigo donne à voir sur ses photographies
ce qu’il perçoit les yeux fermés. Fiction ou interprétation du monde à sa façon ? Ce
qui est important, c’est l’émotion qui se dégage de ces noirs et blancs « criards », ou
plutôt « criant de silence », comme il dit. Chacun doit ,face au clichés, écrire sa
propre musique, saisir ses propres réminiscences. (…)
TGV Magazine
mars 2008

Présenté à la manière d’un journal intime, le travail de Jean-François Spricigo est lié à
l’enfance et aux animaux. (…) Il a choisi la mise en fiction comme seule issue pour
appréhender le réel. Ses tirages en noir et blanc témoignent d’une approche poétique
dans la transformation souvent fantomatique de ses personnages.
Connaissance des Arts
mars 2008

(…) Mostra scatti di vita quotidiana (tutti rigorosamente in bianco e nero) ma in


realtà racconta ciò che è nascosto nel nostro inconscio.
«L’emozione - dice l’artista - quando c’è, non si preoccupa di avere un perché. Va per
conto suo, vive di vita propria. Esattamente come gli istanti in cui amiamo».
Marie Claire - Italie
avril 2008

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Rencontres d’Arles / 2009

(…) Gorgées de souvenirs du monde des vivants et métissées de mystères intérieurs, ses
photographies tiennent en équilibre sur le fil de la perception, à la fois spectrales et bien
vissées à la terre. Avec leur part surprenante de magie et leur part assumée de banalité.
Au cœur de l’univers visuel simple mais jamais facile de cet artiste pluridisciplinaire (il
pratique aussi le cinéma, le théâtre et l’écriture), vous croiserez aussi bien des animaux
fragiles et désarmants, des jeunes femmes maquillées d’ombres et de lumière, des
vieillards au seuil de la fin, des enfants à la belle aurores. Grainées comme le cuir,
parcourues de traces, d’accidents, de fêlures, ses photographies en noirs profonds et blancs
presque aveuglants dégagent mine de rien une puissance émotionnelle inouïe. Elles sont
de celles, rares, qui restent gravées dans la mémoire, par-delà le flot insensé d’images qui
délave nos pupilles. À contre-courant de l’esthétisation « arty », Jean-François Spricigo
entreprend avec un indéniable et singulier talent de projeter les principes de la
photographie humaniste dans un XXIe siècle visuellement désabusé. (…)
Le Vif L’Express
12 juin 2009

Jean-Francois Spricigo, poussant le grain de sa pellicule noir & blanc pour rendre des
visages, utilisant parfaitement le flou. Son travail techniquement proche de celui de
Paolo Pellegrin présent l'année dernière, traite du quotidien, d'animaux (chat, âne,
chien, oiseaux), d'arbres, d'aubes.
Exporevue
juillet 2009

Révélé chez Agathe Gaillard l’an dernier, Jean-François Spricigo a raflé d’emblée le prix
de photographie de l’Académie des Beaux-Ars 2008.
Il force l’émotion avec des poèmes visuels en noir et blanc qui sont d’un Pelechian ou d’un
Giacomelli tourmenté. À mi-chemin de la photographie, du cinéma et de ce je-ne-sais-
quoi en plus qui font les grands, Spricigo est une véritable révélation.
Beaux-Arts Magazine
juillet 2009

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anima / 2009

(…) Si elles ne s’inscrivent dans aucun genre esthétique, les photographies de Jean-
François Spricigo portent en elles la beauté et l’étrangeté de ce qui n’est pas conçu
pour être beau ou étrange. On y trouvera plutôt les traces ineffables, tendres ou
violentes, d’une folie, réplique hallucinée au discours commun de la raison qui
voudrait que l’animal ne soit après tout qu’un animal. Le Photographe
janvier 2009

Aux antipodes des clichés du genre animalier, Jean-François Spricigo semble


photographier l’âme des animaux. D’une manière singulière : en noir et blanc, en
mouvement, dans des images floutés très contrastées. (…) À suivre donc de près.
Télérama
11 novembre 2009

Jean-François Spricigo, né à Tournai en 1979, a bien grandi depuis sa découverte par


Antoine d’Agata en 2003. Focus sur le « savoir défaire » d’un maître du noir et
blanc énigmatique. (…) Connaissance des Arts
novembre 2009

(…) Ce qui frappe ici, c’est l’impression d’entrer dans une autre dimension : image
brouillée d’où ne saille que l’éclat d’un regard ou d’un croc, forme brute d’un corps
découpé sur les hautes herbes, oiseaux aplatis en plein vol contre la mer du Nord. Un
travail savant mais brut, d’une singularité qui perturbe. Figaro Scope
18 novembre 2009

(…) Souvent réalisées de nuit, ses images sont bien loin des habituels clichés animaliers.
Il réussit en effet à donner à ses modèles un caractère tout à fait étrange…
Réponses Photo Hors-série
Numéro 9 2009

(…) Whether seen up close or at a distance, the animals confront viewers with
surprising intimacy. But evocative and immediate as his photographs may be, the
artist describes them as visual memories, images that deal with the essence of nature
rather physical details. (…) Los Angeles Times
15 novembre 2009

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en famille / 2010
À l’intime de ses sens en éveil, il y a déjà ce « léger tremblement du regard » au bout duquel le
visible, à coup sûr, commencera une autre vie, plus vraie que la précédente, à la remorque de ses
seules apparences. Le regard insiste, le « léger tremblement » de même : il en résulte un invisible
dont les épiphanies s’obtiennent tantôt au grattage, tantôt à l’arraché, ou encore à la caresse.
La photographie, chez Jean-François Spricigo, semble bel et bien avoir été précédée un
bref instant – l’instant d’une fulgurance – d’un regard tourné vers ses propres
profondeurs, de chair et de sang. L’œil intérieur sait ce qu’il fait, et pourquoi il le fait,
quand il conditionne l’acuité de sa perception à l’expérience qu’il a des plongées
vertigineuses dans les fosses abyssales du corps, là où se situe tel visage englouti de lui-
même au départ de toutes ses transfigurations. Je connais cela aussi en littérature,
lorsque, par exemple, les mots en train de s’écrire tirent l’essentiel de leur sens des
mouvements qu’imprime à leur contenu ma vie organique, en prise sur les
« entrailles » du langage. Il est des moments où un art, quel qu’il soit, n’est jamais plus
péremptoire qu’au détour des « phénomènes atmosphériques » qu’il provoque en
faisant se rencontrer dans une anatomie donnée la violence d’un « putsch » et la
délicatesse d’une poésie.
J’ai déjà eu l’occasion de dire et d’écrire tout le bien que je pensais du talent de Jean-
François, à quoi j’ajoute le prix que j’attache à son amitié. Je ne me sens pourtant pas
suffisamment « de mon temps » pour accorder aux images une attention plus
considérable que celle que requièrent les mots. Mais ses images à lui ont du
« vocabulaire ». Leur auteur lit, aime lire, il en reste quelque chose dans le son qu’elles
émettent, pour qui a l’oreille fine. De par ce son, elles m’invitent irrésistiblement à m’y
arrêter, outre qu’elles ont le don, mine de rien, de ne jamais laisser indifférente mon
aventure personnelle, vécue à haute température, entre Verbe et Vénus.
J’ai évoqué à leur propos, au début de ce texte, un « léger tremblement du regard ».
Léger mais point volatile, puisqu’il est à l’origine de quelque salubres perturbations,
infligées à l’esprit de géométrie sitôt que ce dernier prend sa part des illusions d’optique.
Que l’on me comprenne bien, par « léger », j’entends une gravité (un largo ?) mettant
ses pas dans ceux d’un dansable (en somme une clairvoyance donnant des signes de
lévitation…). Quant au tremblement, son épicentre et ses répliques sont sans doute à
chercher du côté d’une révolte de tous les sens devant la réalité du monde tel qu’il est et
qu’il va, davantage que du côté de leur dérèglement : l’art des secousses libératrices y
gagne ses lettres de noblesse.
C’est beau, fort et inaugural à la fois…
Marcel Moreau
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Biographie Biography

Jean-François Spricigo est né en 1979 à Tournai, Belgique. Jean François Spricigo was born in 1979 in Tournai, Belgium.
Il commence à photographier dès l’adolescence, ses images deviendront son He started taking photographs in early adolescence—his images would
carnet de voyage pour les années à venir. become his travel diary for the years to come. After graduating from the
Après son diplôme d’image à l’INSAS, il quitte Bruxelles et réussit le National Institute of Dramatic Arts, he left Brussels and passed the
concours d’entrée comme comédien au cours Florent à Paris où il est reçu entrance examination for the cours Florent in Paris as an actor where, after
directement en dernière année après son audition. his audition, he was accepted directly into the program’s final year.
En 2004, Guy Jouaville présentera sa première exposition en France à la scène In 2004, Guy Jouaville presented his first exhibition in France at the National
nationale du Parvis à Tarbes. Theater at Parvis à Tarbes.
La série silenzio est montrée à Contretype à Bruxelles, en septembre 2005. The series silenzio was shown at Contretype in Brussels, in September
En 2007, sa nouvelle exposition, Notturno se tient au Botanique à Bruxelles. 2005. In 2007 his next exhibition, Notturno, was held at the Botanique in
Il présente la série prelude en février 2008 à la galerie Agathe Gaillard. Brussels. He presented his series prelude in February 2008 at the Agathe
Durant l’année 2009, il expose en Belgique, France, Pologne, Danemark et Gaillard Gallery. During 2009, he exhibited in Belgium, France, Poland,
également durant la 40 ème édition des Rencontres d’Arles. Denmark, and at the 40th edition of “les Recontres d’Arles.”
En 2010, l’exposition anima présentée pour la première fois à l’Institut In 2010, the exhibition anima, first shown at the Institut de France in
de France à Paris, est reprise à Los Angeles à la Louis Stern Gallery, Paris, was taken up by the Louis Stern Gallery in Los Angeles;
Notturno circule en France, et en famille est créée en Belgique. Notturno toured France; en famille opened in Belgium. Settembre is his
Settembre est sa seconde collaboration avec Agathe Gaillard. second collaboration with Agathe Gaillard.
Son œuvre a été primée par la Fondation belge de la Vocation, et également par His work has been recognized by the Fondation belge de la Vocation,
le prix de photographie de l’Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France. and by the prix de photographie de l’Académie des Beaux-Arts de
Il collabore fréquemment avec la Scène Nationale de la Ferme du Buisson. l’Institut de France. He is represented by the Agathe Gaillard Gallery in
Il est représenté en galerie par Agathe Gaillard à Paris, Contretype à Bruxelles, Paris, Contretype in Brussels, the Simonis Gallery in Warsaw, and
la Simonis Gallery à Varsovie et Louis Stern Fine Arts à Los Angeles. Louis Stern Fine Arts in Los Angeles.
Il vit actuellement entre la France et la Belgique, aime beaucoup les animaux et He currently lives between France and Belgium, likes animals a lot, and
s’efforce de comprendre le monde. tries to understand the world.

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Expositions personnelles ici, hier
30 images en 40 x 60 cm
settembre
27 images en 40 x 60 cm et 40 x 105 cm, 60 x 60 cm, 60 x 70 cm • 2005.04.08 – 2005.05.15 Maison de la Culture (Tournai, Belgique)
• 2004.03.04 – 2004.05.06 Parvis (scène nationale Tarbes Pyrénées, France)
• 2010.09.08 – 2010.10.23 Agathe Gaillard (Paris)

en famille
35 images en 40 x 60 cm, 60 x 60 cm, 40 x 105 et 40 x 185 Expositions collectives
• 2010.01.16 – 2010.03.14 Maison de la Culture (Tournai, Belgique) • 2009.12.08 – 2010.01.05 « De l’Eau », Agathe Gaillard (Paris)
• 2009.07.07 – 2009.09.13 « Ce qu’il y a à voir est ce que vous voyez », Collection de la BNF (Arles)
anima
• 2009.07.07 – 2009.09.13 Prix Découverte des Rencontres d’Arles (Arles)
69 images en 40 x 60 cm et 40 x 105 cm
• 2009.06.04 – 2009.08.09 « From Belgium », Botanique (Bruxelles)
• 2010.01.09 – 2010.02.13 Louis Stern (Los Angeles, USA) • 2008.11.13 – 2008.11.16 Paris Photo, représenté par Agathe Gaillard (Paris)
• 2009.10.28 – 2009.11.21 Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France (Paris) • 2007.04.01 – 2007.06.17 « L’Empreinte » au Triangle Bleu (Stavelot, Belgique)
• 2006.05.24 – 2006.09.10 « À l’image de rien », Contretype (Bruxelles)
prelude
27 images en 40 x 60 cm et 60 x 60 cm • 2006.02.08 – 2006.03.26 « Mar, Mater, Materia », Contretype (Bruxelles)
• 1998.12.04 AJC (Bruxelles)
• 2009.04.16 – 2009.05.26 Simonis Gallery (Varsovie)
• 2008.02.27 – 2008.04.05 Agathe Gaillard (Paris)

notturno
22 images en 75 x 110 cm et 110 x 110 cm

• 2010.01.06 – 2010.01.30 Le Grand R (scène nationale La Roche-sur-Yon, France)


• 2009.01.06 – 2009.02.28 Parvis (scène nationale Tarbes Pyrénées, France)
• 2007.06.20 – 2007.07.17 Botanique (Bruxelles)

silenzio
28 images en 40 x 60 cm

• 2009.10.19 – 2009.10.25 Bibliothèque d’Østerbro (Copenhague, Danemark)


• 2008.01.11 – 2008.02.28 Excellence (Bruxelles)
• 2007.04.21 – 2007.06.25 Cultuurcentrum (Hasselt, Belgique)
• 2006.04.06 – 2006.05.15 Centre Wallonie Bruxelles (Paris)
• 2006.04.06 – 2006.04.30 artcore (Paris)
• 2005.09.21 – 2005.11.06 Contretype (Bruxelles)

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Publications • « silenzio », livre de photographies
Éditions Yellow Now – ISBN 2-87340-198-2
2010
• Publications pour les quotidiens Libération et La Croix
• « Le Cheval », ouvrage photographique collectif, conçu et réalisé par Robert Delpire
Éditions Actes Sud – ISBN 978-2-7427-8772-2 2004
• « En Famille », catalogue de l’exposition, photographies de Jean-François Spricigo et Didier Coeck • « Lettres à un jeune peintre », correspondance Rilke / Balthus, conseiller artistique
textes de Marcel Moreau et Jacky Legge Éditions du Seuil – ISBN 202068621X
Éditions du Service des Arts Plastiques du la Communauté française de Belgique
• « ici, hier », catalogue de l’exposition
BNF – ISBN 2-905130-86-5 (br.)
2009
• Portfolio dans Photo Nouvelles
• Photographies et texte pour le hors-série de la Revue des Deux Mondes consacré à l’exposition « anima »
Couverture de Jean-Jacques Sempé, textes de Robert Delpire, Anne Biroleau et Marcel Moreau
ISBN 978-2-35650-017-5
• Photographie de couverture pour le livre de Denis Lavant « Passant par la Russie »
Éditions Séguier / Archimbaud – ISBN 978-2-8404-9582-6
• Photographies pour le livre d’Olivier Smolders « Voyage Autour de ma Chambre »
Éditions Les Impressions Nouvelles – ISBN 978-2-87449-083-5
• Portraits d’artistes pour l’agenda 2009 / 2010 de la scène nationale la Ferme du Buisson
• Articles pour le SPÉCIAL PHOTO n° 8 « tout seul » du Nouvel Observateur dirigé par Robert Delpire
ISBN 978-2-85107-246-7
• Article et couverture photo pour la Revue des Deux Mondes du mois de juin
ISBN 978-2-35650-015-1
• Portfolio dans Le Vif / L’Express du mois de juin
• « Je suis une histoire qui ne se laisse pas fixer », de Marcel Moreau et Jean-François Spricigo
Éditions Tandem, collection « conversations » – ISBN 978-2-8734-9098-7
• Portfolio mode dans Idoménée issue 3, revue d’art internationale
www.idomenee-magazine.com

2008

• Portfolio dans Idoménée, issue 2, revue d’art internationale


www.idomenee-magazine.com

2005

• « À propos des photographies de Jean-François Spricigo »


Jean-François Spricigo
Couverture de Jean-Jacques Sempé, textes de Marcel Moreau et Olivier Smolders www.joug.org
Archimbaud Éditeur
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