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le (stisfaite) par toutes les assignations (ou tous les systémes de valeurs de weit ses lets). Cos valdités portent un som technique commode (taucologies). Les formulesneutres sont vrais (esp fausses) selon Tes ass nations ; Tes contradictions ou antlogis,Tauses pour toutes es asignations. ‘A,B,C, . (capitals romaines) tant ds variable yn tactiguts (mises pour des formules quelcongues), on note Alle fat que A est valid. Si B est ea pour toutes les sssignations qui saisfont A,B est conséquence valde ou sonséquence foggue de A (=A B, Ae B) en logigue ‘es propositions. Une réple de substitution préie ce qu‘on entendait uirefos par wai logique(e vai en vera dela forme) le "sult subsite la méme formule (atomigue ox non) ‘outes ls oecurrences dela mime ltte dans tne tatolo- fees une autolope La substitution réservecontradc- tons et valiités sans présrver es netres, Les autologies aver des eapitales A,B, aie des pg, devennent desschemas ou des formes de autologies. User de sche mmasdeformules dispense de réle de substation, ‘Le remplacement donne lew & deux props. A Gant ‘une sousformule de C (une partie de formule ee-méme Formule), meyeanant Phypothise que A" B est valde (Wet B équialdes), prin le remplacement de A par B dans C donne une formule C’équivalide 8 Cj sceundo s (Cest valde, alors C" aus, L'squivabite ou valde de equvalnce est lee, symetngue et transitive, “A partir d'un stock donne de tautologies,subrtution et remplacement permettent d'enfabriquerd'aires. En combinant et en iléant ees opérations, on développe ‘out formule en une forme elégate, dite normale Les it. ‘éraux sont les letes et es ltirespréctee d'un signe de égation. Les formes normalesdisjoncives(disjonetions de conjonctions de litéraux) sont appropriges & cider de a stisfibilté; les formes. normales conjonctives (onjonetions de dsionetions de itera), dgider dela vali Dans les systémes de dédution naturelle (Geaten, 1934), les coaneteurs sont dns par des rhs @intro= Auction et duimination. On peut construire les arbres de Sequences & partir du bas comme indique par Kleene, LM, chap. 6 La démonstation Je lt valde dune Séquence apparat comme la rfutation de tous les esais en construire un contre inverse Je chaque element une constante aire e); el de It {rie des annenux comporte cng smbols de fonction +X (aires), (aie), Det I Gonstantes Oars) ‘Suvant fe contexte, une variable sit fonctionne en ‘qualité de marque-place pour une valeur argument, sot (Gn tant que varable ibe) désine un individu. Quel que dun domaine ou bien jour Te role de constante ‘individu, sot (en tant que variable hits, Le. assoce & ‘un quanteur indigue sur quoi porte une quantification. Yet sont des opeatcurs qui transforment ler prédiats (n+ Djaires en prédicats maize, et les predicate Lares ‘én préicats Oaires (propositions ou valeurs de vent) ‘Aprés les cspositions qui reglnt Ia prammaie da langue, c'est engendrent la classe des forms, et auteurs entament la definition des conditions de vent Susque dans les ues 1980-1970 on dst d'une for- mile dw premicr ordre A(P,Q, J. g,_.) avele est Satsfiabledans un domain D, ain de signifier quel ext vraie pour un choix dindivdus de D (st contint det Variables libres), une assignation de fonctions logics un produit eartsien D* dans ('V, F (aux symbole de prédicat de A), une assignation de fonctions fun Dr ans D (aux termes fonesonnels d'arté'n de Ay sity en 4), Cette presentation garde le souvenis du second ordre ‘ot kes symbole de predict et de fonction interviennet en qualité de variables, Elle et conforme aux habitudes de Fécolealaerist: se demandes une formule A dela Togique est satisfaite dans un domaine revient 4 shercher Silexiste, sur ce domaine, des fonctions logis et des ‘opératons qui satisfont A quand on es assgne aux tres de préicat et de fonction de A. (Ea langage des exten- slons, au eu de fonction logue, ou de fonction un D* dans (V, F},ondit un sous ensemble de D* et au lew ‘operation maine souvensemble de D'"). ans les traits réents se marque Tinluence de la gore des modes. Une structure pour un langage L consist en la donnée d'un domaine objets non vie ot Univers D base dela structure), et une fonction intr prcation qui assoce aux symboles de prédieat, de fone fiom et de constante, des fonctions logiques (relations), dss fonctions (fonctions de dome), et des constantes (fonctions Ores) approprices dans D: Appropre ini= fie que le type de simian (ou la signature de Soe ul spice Tanté des relations et es fonctions sisi qu le nombre de constants individ) dot eorespondre au ants des symboles de prédieat, de fonction. ete, de L- Les ements d'une siricture sont des dénotations des smboles un langage. Les auteurs indiguent la diffe rence par des dspostifs typographiques Cetues grass, surlignage, te) Soit A une formule du premier onde, Si A content des variables libres, on prévoit pour elles des individ fixes fu des constanies de D. Les assignations concenent les ‘arable a Tesclusion des symboles de prédicat et de Fonction, Pour une formule donnée A, une assignation est tne application de ensemble des variables de A dans le D deinterpétation. (est parfois commode de cons- rer que assignation applique ensemble de toute es variable dans D) Une structure M=( D.P,Q, fogs) est une jon de ACP, Q, aan Jeg.) $s reserve que similarité de MeoreeSponde aux ats des sy: bole de préicat, de fonction, ete, (du langage) de A TLorsque es conditions sont realises par une sac: ture i on dit que AP est etribuable 4 A” Une strctare ‘u une interprtation attnbuable 4A, dans laguell A est sist, stppele un mode de A.Si A est close (1 est ‘un noné, ne content aucune variable libre), satis et ‘ral dans une structure coincident. Sinon ~ si A depend Ge variables bees x,y — A eat satiate dane A quand A est vraie d'un muple a), ay deements AD ; valide quand elle ext vrate de tous ls ups dh ments de D, Lorsgue Test un ensemble énonees (une ‘hori, et A un éaonce, TA signe que A est conse {quence valde de Fs dans tut modéle Mf de Ast va. SrA est une formule contenant éventuclement des vara bles libres, «a» pour que PEA ait meme ens faut que dans tout moddle 8 de [toute suite wae ‘éléments du domaine de M satisfsse A Pulsgue A doit ete une assertion sr les proprités es cleats d'une structure, supposer une interpre tion est indispensable pour gue’ A ait une valeur de vert Sans un subsiet, on maurat que designer vides: est ncesaie gue totes le variables et tous es Symboles de préicat et de fontion sont remplac par es expressions qui dsignent des objets defn pettit «du domaine des individu. Les variables lies nYont pas 4 Subir ce gente de remplacement La definition de vrat dans une structure fut la premire fois énonate et dicule par Tarski (1936) La definition va uneinierpetationdedomaineD fst 6 « uneassignation dindividusdeD aux varablesdeP 4 satsalit Pl, 22) dans M i PEA), 80) =V. Les x peuvent &te des symboles de fonction, On sous cntend qU'a f correspond dans lx srvture une fonction appropri, ide generale est que par interpretation des symboles dans une structure, les variables bres devien- nent des noms d'objets du D de la structure (pour les details echniguc, consul les manuel), 6 saint A ine satis pas A B et C tant des formules queloonaues, & saiait BY C BaC, B-rC- conditions deja connves par lt Togiaue des propositions. Pur les quanteurs 4 saisfit Vx PCxy, «39 exactement si pour toute j frente de au plus sur x, BCS) G30) = V ct par dualite ‘satsat 3. Psy, «ms exactement si existe une 2, irene de 4 au’ plus sur'xy telle que Pts) = V, Les conditions pour ls quanteuts expriment qu'une quumification universe Vx PG) (esp. Ws Xa Pls, 2%) est aie dans M 5D toa enir (rep ‘D> tout tit satis Pet qu'upe quantification ex tensile 32P(0) (sp. 38), 3 Pls at) et ‘rae ses eléments qui satisfont P'forment un sous ensemble non vide de D (resp. de D?. Une formule qucleongue A est vraie dans (ou M ext ‘un mode de A) si toute assignation dans M satiit A. ‘Aves valde (universllement) si A est veaie dans toute structure qui lui est atribuable. La vrté une formule A fou d'un ensemble Pde formule, dans une structure Mf (elation entre une ou plusieurs formules et un objet, devrait te dstinguée dela notion : tout mode de [est lun modele de A (elation entre des formuls).Iarsve que Je méme signe soit employé = M b= A ou M b= 1 dan la arable libres une formule A sont dquivalentes, ze. doapeat 4A la méme valeur de verte. En conse quence la veri ou Ta Tauseté une Tormule close ‘épend aucune assignation pariculiée & ss variables elle ext vraie ou fuse dan le domaine des individu, Le Jemme, qui justifie le changement de nom des variables Ties ~ sous certines conditions, nest interesant Que s ‘on suppose que A content au moins un quanteu. Soil” A: Wy Plo.) SiS assgnations ‘bet coincident sur n des wasabi x2 alos la ‘alr deA pour # est dentigue 2 la valeur dA pour 4, apts Mhypothise da lemme, ce quvon Gert Vali) = Val(A), Cela at, pour fut Henique dg suf peut sur tga. Valy PCG oy S00) = Ve our oute eng sal peu su Val: V. Les assignations 4" ety’ alinbuent stasis d Dax. comme cage ode ‘stattibue ans x,., par chacune ds et des fue pour toute ily at une das qui coincide aves sur S,yeteproquement és ‘assigations, qui cofncideat sur la je-riéme variable de P indépendamment des assignations sux n Autres, colncident done sur toutes les variables de P, et Vat Ghote = Vay Ply oi Une théorie de a quantification avec de symboles de fonction compore normalement un symbole deel Un prédicat a deux places (not =), 9 est spi par des ‘conditions de efit, symetrg, tranivit, et subsite ‘ile relativement tous es prdicats et toutes les fone- tions, Cette demir propre exprime le compatibiit de {ous les prédiats et de toutes les fonctions avec = (LM, $29) Ces aniomes (eéexaté et substitutvte suet) font vrais dans un modele oi = est interpret par Tepae Tit, sans contrainte interpretation de = & ete Tegalte dans le meddle ils imposent seulement & = ate une relation d'équivalenoe sais alt compatibit Dans un model, ~ est égalie (t le mode ext dit taie ou normal), si = est tealsé en extension par les 6 ples d'lements de D doat la seconde projection ext iden: 3 ‘igue a la premire (a diagonate de D % D) Hes elasses 3¥ Rex, x): pulngue RG») et ‘rai de fous les couples dont It seconde coondonne ext identique a premitre, i est vai dat moins un, Pa sb stitution dw. prédicat 3y ROx.y) & PCO) dans (I blient la valdité de Wy Rex, ») > 3p RU ‘Atendu que des quanteuts de méme espéce commutnt, a compte tenu de la conséquence valde, on 2 aussi la validité de Vx 3y RCs 9) > 3y 3.x RG}, ee Soit E = f(s, 3)| Rex y)) extension Fun prédicat R ‘arié 2, ou ety parcourent un D (on designe pa (x, 3) Ie couple ou pate ordonnge der et de )). Cat ensemble ‘ext inclus dans D XD, et si Vi Vy Ris) eat eels E=D XD. Au prédicat Q(x) 3) R(x.9) correspond ‘en extension It projection de E suivant, Ue es aun ‘els Rassocie un B= proj = ( x] 3yR,3)) De mime, soit S() le préiat 3. RUx, »), dont Pex: teosion ext la projection de E suivant x,cesdsdire ls y asociés tun par R Es pros E= {7 3x RG). Soit a formule 3 y Vx Rx, 9). Afi dexpeimer x par te projection, on élimine V moyennant equivalence er R(s, 9) 0713 x7 Res, 3). Le complementaire de E (dans D XD) est Ce = (62.9) | 5 Re. La projection deCu suivant vest (| 3 R(x, 9). Sout TO) e presi cat Sx 7Rls, 9), Cesare y apparent & pro}, Cs et TO) lepredicar 3 x > R(x 3)" yappartent at com: plémentairede proj Cs. Happaraitque 3) x RCs, 9)est False | y| TQ) west pas vide valorsiy a une fibre dey sur lagucle on rencontre touts ls valeurs posibles dex. Par alleurs, 2 3y R(x, ) es halite Ia projee- tion de suivant yest D toutenier En x easchague bre {dex rencontre aa moins un)’ pour leguel Rix, )) vaut Finalement 3y Vx R(x 3)-* Vx dy R(x 3) est valde (ily un y pour tous ks x, on peut pou chague x hoist Te meme | Fimplcation réciprogue nest pas valde, et pricule eles pas vee dans la stracte( N, <})- ‘Ua terme est libre pour ¥ dns une forme As x ne figure pas 4 Tintéreue de A'dans le champ dun ¥y 08 fun p,yeant libre dans Sous ets condition la subst tution dra rest bre. Une substitution non ibre exe des ‘occurrences lies Ia ob ily en avait pas intrier dela s ormule ob sopéte la substitution), Par exemple y n'est pas libre pour x dans A(x): 1y P(x. 9) en conséquence {x3 Pox 9) By PO 9) ne peut pas Sobtenir comme instance de Wx AG)» AG), Cette formule nest pas valide (prendre'< pour PsurD = N) Des propriétés fondamentales des quanteurs ¥expri- sent par 1/ Certain formules ou sehémas de formules qu'on distingue en les appelant des principe et auxguels on tonne des noms aptes les voquer "Ws Nas)" Ao) (spécfetion des universle,ditunt de omni ello: ce qui est vrai de tous est vai d'un que! onus) ‘A() +3 As) (pénéralisation des particulées ou passage d'une instance & existe), ces deux schemas fe Tormles étant vabdes sous reserve que r sit libre pour x dans AG»). 2) Des regles dinférence ou de déduction S/AQG) > Best rah alors uns 3 x AG) > B SiB > ACo)estvraalorsaussiB > Vx AGD)-Di via autre part, xne dot pas iguee Wore dane BB “loiter indépendant dela variation dex). Cesontleséles eiison pat quanteur. Dans la seconde vile (généralisa ‘on, B peut etre absent =i A(x) est ral (pour toutes es sssignations 4.) alors x Aa) est veal (equiesvraid'un individu quelconque-non parGcularsé par ne hypothése— fst vrai de tous-De putes ralsonsdelogigue ne suisent Fendre vials (aides) mi (AG) > B)-> (GX A) > B), BIAG) > Wx Ala), ni (B> Alay)» B> Wx Al). Ce re sont pas des implications logue, cat les anéetdents peuvent Bie satisfts dans une structure pr des aig tons qui falsfient les conséquents (pour ks conditions sur Jes variables, LM, §20) Aes formes correspondent des gles de dédueioncoreces (fa substitution en logue propositionnele, a néessitation dessysiémes moda). 6 Les formules prénexes (autrefoisappelées normale), analogue des formes normals de la logaque ds propos ‘ions, secomposent un prefix qui consiste en une sue de ‘quanteurs, et dune parti libre ou mative (ans quanteut). tes quanteurs du prefite oat pour champ la parte libre ‘utente. Toute formulea une forme prenexeequivalie. Une forme de Skolem dune formule prénexes'obtint en ajoutant au langage L d'une theore du premier ore T, des symboles de fonction pour les variables exstentiles. [La skolemisation » ajoute de nouvelles fonctions lt structure, sans ajouter de nouveaux elements au domaine En guise dexemple, Vx P(x, f(s) = ¥x3y Pls, ext valde dans la theone Pde langage L'= L enrich de {eres fonctionel ; la réiproque n'a pas lie, car rien assure que import quel fonction de convient. 1,0 Jes formulespeénexes implquent leurs formes de Skolem, st consistant st Test methode des formes fonction: ‘eles de Skolem permet de transformer une formule pre- ‘exe Aen une formule A’ dont prfixen'a que des avec Ja propriété que Aa un mode exactement si A’ en un: fnte methode joue un role dans ls considerations ul ‘ondulsent aux théoremes de Herbrand.Eafi, une théorie {gui contient des fonctions de Solem incorpotes, Le. qu Pou toute formule Px, )), x eprésentanteventvclemen tun rope de variables universlles, coment un terme f tel que V3) P(x ») > PC AN); est modele-compte (Chang-Kesier,§3.3). TV. — Quelques proprités du premier ordre Les proprités des systémes de logique sont plus intres- santes que leurs régles ou que le raval 'etabirlavabdite ‘la deriva forme de formules oles. Dalcurs les preuves des propricés générales des systemes de logue Sont occasion den faire jouer les mécanisnes. Hilbert ranpeait a compleude dela logaque du premise ‘ordre, parmi les notions de la métamathematique. La compltude ne rene pas dans la métamathématique ” re quips a notion non Gite de vi 3s un domaine infin. De plus, e probleme de la com- ietade ct independant des crttorenes sar sfonde tents et des effort en Yue de demontrr Ia consistence de Tarthmeétique ou de TAnalyse : « Méme sion 1Vavait jamais douté de la validté contetucle des mathéma- tiguesnaves, ce probléme se serait posé et aurait eu un sens enrestant dans leur cadre, ce que place & part dela ‘question de la consistance. AusS, une restriction des Ithodes de émonstrtion ne parit pas Simposer pour Tui plus que pour avimporte qual autre probleme mathe ‘matigue » (Godel, CW, p. 8465) our le premier ordre fs proprit établie par Gadel (1930) fut démontie & nouveat par Herbrand et par Henkin (1949) suivant des voies diferentes. Skolem, Qu Vx P(x) ne sont valdes en Togiqu). La completude ea eete acception apporte lune détermination quel complétude sémantique n'intro- uit pas ea celle lise toute Inttude un mode par ‘ulier d'un ensemble d'énoncis I avoir d'autres pro- rts en plus de elles contraintes par Tr (la complétude Sémantque est la proprité que ce qui est vai dans tous Jes modales est derivable formellement). Une thorie qui n'admet pat de modes fins et non complite fest pas déoombrablement catéporigue. Ea ‘fet si a'est pas compete, i existe une formule close A 4 langage de Pr telle ue PU {A} et PU +A ) ont ‘8s modes dénombrablement infin, D'aute par, 1) 4 ” des tories complies qui n'ont que des models infin t re soot catégoniques pour aucun cardinal «infin (ordres sisgrets avec clement inital et sans dernier eeme). ‘Supposons qu'une classe demodelesnecontenne qu'une structure MF. L ensemble (= TH(M) des énonots formes loses) vrais dans M; la théorie def est complet En effet, Scat un none ds langugenoa logique de M, ou bien A Appartent 4 TH(M) ou bien A appatint Th), sur amt que A est rat ou faux dans A. La théore complite eW,Teasemble THN) des énoncts (ls) vais dane le ‘mode principal de arithmétique, a des modelesnon stan- ard, Th(V) est une extension de aithmetique de Peano {dont Godeta demonteincompletude, Une théorie complete I preterit tous ses modéles de ier cous les mémes énoneés du premier ordre formuls- bles dans le langage non logigue de I, & Terluson de toutes autres propeétés éventullement Tormilabes dans tu langage pits be et ciffrentes selon les moles Les modes de ne peuvent pas Ste separ par une Dropristé du premier ordre is sont slimentairement Enuvalonts. Liequivalenceeémentare relativement un langage du premier ordre entre des structures ou des model 4 et B. Holation 4 = B) est moins forte que Tisomorphie quia un caracttre algtbrigue, tant une correspondance entre des structures (Cextddie des systimes objets, de relations, et @opéations). Pour les structures de domaine de base Tn, equivalence élementaire coincide aver Tisomorphie (ane théorie complet quia un mode fini ext catégoiqu). Frais (1967, chap 6) a introduit une notion de ites isomorphismes partels dod se déduit une caractrisa- tion algtorique de Téquivalence elimentare, Pour que la validit ds formules quantifies soit preserve, i faut que les isomorphismes. parties admettent une extension (dbinghaus-Flum-Thomas, 1984, chap. XI}. ‘Lisomorphie de deux structures Di RE. Aone) ERE ungtaun) de méme type de simlaritéu(0(9 nombre de places vides ‘ela -zmerelation,u() nombre de places vides de a jeme ‘oetion, x nombredes constants) consist dans existence «une bijection entre leurs domaines Det Etelleque He) = dh: RF(Ga) =, May)) exactement RPC, ug) pour chague i: a han» Hay) = HeP (4) pour chaque j {on 2 dispense désormas cemployer desler grasses, les confusons état excl), [Ldquvalence dlimentaite se rapporte aux énonots du premier ordre wéiis dans des structures et impose pas fe conditions de eardinalité aux domaines Je ces sre: tures. Comme ellen entrain pas Pisomorphie, la comple- {ude nimpigue pas la catégoricité,Exemple: kes axiomes des ores naires (taux) dense sans minimum mi max ‘mum. Ces axiomes ne peuvent pas ere stisaits dans tin ‘champ fin, car un champ qui ta pas de premier ément fst infin is sont stsats par Vrdre naturel des ration tes et ordre naturel des eels: structures ordonnées, es ‘Eelst les rationnls aye leur onde sont elementairement fguivaleas. Leu cardinalité ant diferent, ces ordres ne Sat pas isomorphes. Cantor avait démontié que des ‘ordres dénombablement infin Hnésresdenss sans pre fier ni derier Gement sont isomorphes (catégortcté dénombrable ou a-catégoricit), Par conte la théorie des fordres denses OD (sans les axiomes Vx 3yx<) stv ayy A y figure, A nest pis un theoréme. La théorest done deci thiorie peut etre décidable et non compl de OD. puisgue les formules closes qu expranent tence (esp. la nom-enstence) d'un premier ou dun det ner élment sont compatibles avec les axioms de OD. ‘La propriété la plus importante de la lopque du pre- rir ordre es la compact, sisi nommée 2 cause di Caractere itate de Ta verte dane un modele. La consi tae ow la dérvabiteformelle sont fintaies, proprite Gui se trasmet le saisfablé ou A la valde via Ik omplétude. Diaileurs la complétude aus fait reflrence Aes sou-ensemble iis de formule, Skolem, 1928 siun énonee est insatiable lors pour un fin, a'y 8 pas de solution de niveau m) Sait © un ensemble fink 08 ‘dnombrablement infin de formules. a un mode exac- ‘ements tout sousensemble ii de Sa un model Cette Droprité set 8 prouver, partir de la connaissance de Totes veiant un nombre fini de proprits, existence ‘Tun modele quien veri un nombre infin, ou bien Vine ‘ers. Par un corollae de Ta compact, ® a un mode de cardinal dénombrablemeat infin $i a un mode de cardinalité au moins égale 4, quel que soit m. Ean, 1a compacié set surtout & monter la nonciratériabi= Tté de cetsnes classes de structures en premier ordre 4s La classe des modes Mod 3 d'un ensemble © de fre mules ¢ du premier ordre closes est Tensemble des sruc- tures tells que o est vrai dane AY pour chaque «de © Une classe K de stractures nest pas Torcément la classe es modes une thor; pour que ce soit Ie csi faut ‘ufeise une formule 9 ou us ensemble ni © de formes tel que K coincide avec Mod © Dans affirmative, Ket, ‘ne classe élementatre. Une classe éitmentare est free ‘ment stable sous Téquivalenceeémentire (ste Ke Be alors B eK), mais des structures ementaie- ‘ment équvaletes peuvent ne pas former ane classe Gk ‘mentaire (parce quil n'y a pas de théore ou de formule lu premier ordre dont elles seraient des models; on pet * die encore il existe une proprité M que Pune de ces $rucures vee et Pate non, est la preuve que nest as du premier ond Silexiste un énoneé« ou un ensemble fini ¥ &'énoncés a premier ondte tel qu'une structure M satisat » 04 © ‘xactement quand M appartiet& KK est fini-axiomati- Sable c= qui Squivaut a dre que K es une clase men taie (K = Mod ¢ ou K= Mod 3). Une thione S peut ce complte et ne paste Finianiomatisable alors la classe devses modeles, qui sont eémentarementesiva- lent, nest pas lementaire (TA). La classe des ensembles fis, elle des ensembles ini nis, ele des boas ores, elle des groupes fins, ele des comps archimédiens, cele des corps. de caractistique tulle, ne sont pat fini-aomatinabes. Sila classe. des ensembles Tins Wait Mod pour un ensemble defor rules 5S aurait des modes aritrarement grands et ne devrait pas avoir de modéle infin, ce gui conte ls ‘compact ou se consequence, Tinvexist pas 'axiome du premier ordre quicaractirise- raitlesbons ordre, Silapropnét etait dupremier ordre, ‘ensemble de formuls serait vrai uniquement des ensem- bes bin ordonnés.Soit 2” = Eu (aol dass < Tout sousensemblefinide aunmoddle. Donelatotaiiafinie Best consaquence de (on dit auss que A et B Sont équivalentes rlatvement 4-1 ou modulo 1), La Imodale-complétude de P, qui implique qu s une formule ‘rile es deux propriété il ya une formule sans quan- 2 teurséquivalente modulo P,ne suffi pas assure Iimi- nation des quanteurs. Mais iminabalité des quanteurs Iimplique la modéle-compltude car ln vent d'une for rule Sans quanteur est conserve par extension ‘On s'a encore qu'un apergu sommaire du genre de concepts mathématigues dont teaite a théorie des ‘modes du premier ordre. I existe ausi une tori des ‘modes pour des langages qui depsseat le premier ordre (giques avec quaateurs générale, loiques infin taires, et, ef Chang-Keise, 1990), s

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