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Chauffge des bâtiments Chapitre I

I.1diffrintes installation du chauffage

Les installations de chauffage sont classifiées d’après la caractéristique suivante.

 L’emplacement du générateur de chaleur (ponctuel, central)


 Le type d’énergie (charbon, au gaz, solaire…………etc.)
 Le fluide caloporteur (chauffage à l’eau chaud, vapeur)

Le monde d’émission de chaleur (chauffage par convection, rayonnement, combine)

I.1.1Installation de chauffage central

Considérons l’installation de chauffage centrale d’un bâtiment, équipée d’une


chaudière alimentée on hydrocarbure (FIG I.1).

La chaudière assure d’une part la production d’eau chaude sanitaire et d’autre


part, le chauffage de l’eau d’alimentation des corps de chauffe du bâtiment.

Le réglage du chauffage est obtenu par variation de la température d’entrée


(point 2) de l’eau dans les corps de chauffe. Cela est réalisé par une vanne
mélangeuse à trios vois dans laquelle l’eau de départ provenant de la chaudière
(point 1) est mélangée à une partie de celle de retour des corps de chauffe
(point‘3)

FigI.2 système ouverte en régime permanent

Pour éviter la condensation de la vapeur d’eau des gaz de combustion dans la


chaudière, on assure un réchauffage de l’eau de retour par l’injection dans cette

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dernière d’une partie de l’eau de départ, cela en donnant à la pompe 1 un débit
supérieur à celui de la pompe 2

Nous envisageons deux cas de fonctionnement

Cas I régime nominal, charge maximale

La vanne mélangeuse a une position telle que le débit de retour est annulé

Cas II charge partielle

La vanne mélangeuse a une position intermédiaire, de sorte que le débit

D’eau de retour M3 n’est pas nul. [1]

I.1.2 Installations thermo solaire

Il a été vu au paragraphe précédent que bien qu'étant fondamentalement simple, le bon


fonctionnement d'un système solaire nécessite quelques précautions.

Un autre problème inhérent à l'utilisation de l'énergie solaire est sa disponibilité temporelle ;


grossièrement exprimé, le soleil fournit le moins d'énergie précisément lorsque les besoins
thermiques sont les plus grands, c'est-à-dire pendant les mois d'hiver, lors des jours de
mauvais temps, et en soirée. Il faut donc avoir recours à des capacités de stockage capables de
restituer cette chaleur avec un certain déphasage. Si techniquement il est possible de couvrir la
totalité des besoins annuels en chaleur par une installation composée de capteurs solaires et
d'accumulateurs uniquement, il n'en va pas de même du point de vue économique. Pour pallier
à ce handicap, on a donc généralement recours à des systèmes combinés avec une autre source
d'appoint.
Une installation solaire se présente pratiquement toujours selon la Figure 5.22 : des
transformations de forme d'énergie ont lieu au captage. L'accumulation sert à adapter l'offre à
la demande, l'appoint doit couvrir le manque d'offre éventuel, et la régulation (R) doit gérer le
tout de façon que l'installation solaire fournisse le maximum d'énergie utile possible et que les
flux d'énergie aillent toujours dans le sens des flèches. Les lignes pointillées montrent les
relations des éléments du système avec la régulation (R)

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Fig I. Schéma de principe d'une installation solaire

I.1.3 Chauffage central à l’eau chaude

La chaudière à l’eau chaude est installée en sous-sol ou rez-de-chaussée


(chauffage central individuel) ; elle réchauffe l’eau de chauffage véhicule par
une pompe et qui passe dans les radiateurs installés dans les différentes pièces
.la chaudière, généralement à fioul ou à gaz est souvent associée à un ballon
d’eau chaude sanitaire le système est de type ouvert ou fermé c’est le système
fermé qui prédomine muni d’un vase d’expansion à membrane placé en position
basse. Les émetteurs (radiateurs ou convecteurs) sont généralement installés
sous les fenêtres .il s’agit d’un chauffage presque idéal, en particulier lorsque
‘on utilise du gaz ou fioul comme combustible et que l’installation est équipée
d’un dispositif de réglage de la température par pièce

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Chauffge des bâtiments Chapitre I

FIG I. chauffage central à l’eau chaude


Lorsque les tarifs nocturnes sont avantageux, il est possible de mettre en place un chauffage
central électrique à accumulation cependant il faut prend en compte l’encombrement et le
poids de cette installation

Pour réduire le cout des installations les radiateurs peuvent éventuellement aussi être placés
sur les murs intérieure, lorsque l’isolation thermique par laine de verre est de qualité poussée
.si le maitre d’ouvrage souhaite qu’aucun radiateur ne soit visible, on peut installer des
chauffages en paroi tels que des chauffages par le sol avec des tuyaux en cuivre

L’offre de plus en plus importante de gaz naturel et une meilleure isolation thermique ont
permis aux chaudière murales à gaz d’être de plus en plus utilisées ce système est faible
encombrement et combine aussi la préparation d’eau pour usage sanitaires au sein d’un même
appareil il convient aussi aux rénovations de bâtiment .[renk]

I.2 Les combustibles

I.2.1 Combustibles solides


Parmi les combustibles solides, on trouve différentes sortes de charbon et de bois. Les
“pellets” en fibres de bois rentrent dans cette catégorie.
On n’utilise plus beaucoup les chaudières à combustible solide bien que les chaudières à
“pellets” refassent leur apparition dans certaines régions. [2]

I.2.1.1 Bois

L'utilisation du bois pour le chauffage des locaux est généralement limitée aux poêles à bois
dans les habitations anciennes ou dans les bâtiments dont une partie seulement des locaux

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sont chauffée. Dans la mesure où le bois utilisé est le produit de forêts saines et exploitées
rationnellement, le bois est une énergie renouvelable. Son pouvoir calorifique est de l'ordre de
10 à 15 MJ/kg, variable suivant l'essence et le taux d'humidité.

Le prix du bois rapporté à l'énergie thermique qu'il peut produire, est comparable à celui des
autres agents énergétiques (bois à brûler en grandes quantités). [2]

I.2.1.2 Charbon

Dans les pays industrialisés, le charbon n'est pratiquement plus utilisé pour le chauffage direct
des bâtiments. Bien qu'il s'agisse d'un agent énergétique et relativement bon marché, les
inconvénients liés à sa manutention et à son stockage lui font généralement préférer les
produits pétroliers ou le gaz pour les installations de chauffage décentralisées.

I.2.2 Combustibles gazeux


Les différentes sortes de gaz sont divisées en trois familles au niveau international :
• 1re famille : gaz de ville (gaz de cokerie),
• 2e famille : gaz naturels,
• 3e famille : gaz de pétrole liquéfie (butane, propane).
On n’utilise presque plus les gaz d’usine à gaz. Les gaz de pétrole liquéfies sont utilisés dans
les endroits où il n’y a pas de réseau de distribution. Le gaz naturel est très utilise :
Le développement de nouvelles chaudières et le prix de revient offrent des perspectives
intéressantes à des fins de chauffage.
Il s'agit actuellement exclusivement du gaz naturel (méthane), donc une énergie
fossile appartenant à la famille des hydrocarbures. Le gaz naturel, très abondant dans le
monde, est cependant produit en un nombre limité de gisements et doit être transporté sur de
grandes distances par mer ou sur terre (méthaniers, gazoducs) avant de parvenir chez le
consommateur (énergie de réseau).

Les possibilités de stockage du gaz sont très limitées à l'échelle saisonnière, mais il est aisé de
prévoir des compensations à l'échelle de la journée, soit dans des sphères de stockage
(quelques bars de pression), soit en faisant varier la pression dans les gazoducs. Le stockage
du gaz chez le consommateur est cependant exclu et pour celui-ci, la situation du gaz
est la même que celle de l'électricité à cet égard.

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Chauffge des bâtiments Chapitre I
I.2.3 Combustibles liquides

Les combustibles liquides se subdivisent en :

• Gasoil,

• Gasoil extra,

• Foul lord,

• Fioul extra-lourd.

Dans le secteur du chauffage, le combustible liquide le plus utilise, et de loin, est le gasoil. Il
existe un nouveau type de gasoil de chauffage sur le marché (depuis 2003), le gasoil de
chauffage extra. Ce gasoil de chauffage contient moins de soufre et répond mieux aux
exigences des nouvelles chaudières de chauffage écologiques et à haut rendement.

I.2.3.1 Mazout
Les huiles de chauffage sont la forme d'énergie la plus répandue pour le chauffage
décentralisé des bâtiments. Elles se caractérisent par le fait de pouvoir (ou de devoir) être
aisément stockées puisqu'il s'agit de liquides présentant un pouvoir calorifique élevé (PCI :
40-43 MJ/kg). Il n'est, par conséquent, pas nécessaire de créer des réseaux de conduites pour
la distribution. L'huile de chauffage la plus utilisée est la qualité extra-légère (E.L.) ou
mazout (PCI : 42-43 MJ/kg).
L'approvisionnement en produits pétroliers est tributaire d'un nombre limité de sites de
production et est sujet aux pressions économiques et politiques exercées sur ou par les pays
producteurs. L'importance des réserves et des ressources en produits pétroliers, la
relativement grande diversité des pays producteurs, les économies et les efforts de substitution
d'autres agents énergétiques aux produits pétroliers, permettent de penser qu'il n'y aura pas de
pénurie réelle durable de produits pétroliers avant plusieurs décennies. Cependant, des crises
passagères liées à des circonstances politiques particulières dans certaines régions du monde
peuvent très probablement se produire à l'avenir et se répercuter momentanément sur les prix
des produits pétroliers sur le marché libre (spot).
L'utilisation du mazout est aisée mais les installations demandent un entretien régulier et cette
utilisation des produits pétroliers est responsable d'une part importante de la pollution

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atmosphérique dans les pays grands consommateurs. Les accidents de transport ou de
transbordement sont responsables de nombreux cas de pollution du sol et des eaux de surface
et souterraines. Son prix est actuellement d'environ 3-4 cts/kWh
I.2.4 Autre source d’énergie
I.2.4 .1 Electricité
Energie de réseau par excellence, l'électricité est une énergie secondaire. C'est la forme
d’énergie la plus noble car elle permet toutes les utilisations (éclairage, travail, chauffage à
haute et basse températures, processus chimiques). D'utilisation aisée, elle est sans risque dès
lors que les prescriptions applicables aux installations et à l'exploitation sont respectées.

L'énergie électrique doit être consommée lorsqu'elle est produite et il n'est pas possible de la
stocker à l'échelle des utilisations domestiques. La production doit par conséquent être
constamment adaptée à la demande. Pour obtenir des conditions de production plus
favorables, on cherche à aménager la demande en particulier en réduisant l'importance des
pointes et en remplissant les creux de consommation, et ainsi tirer le meilleur parti technique
et économique des installations de production, de transport et de distribution. du point de vue
du consommateur, l'électricité est disponible dans le bâtiment à partir d'un coffret sous forme
de courant alternatif à basse tension (380 V triphasé, 220 V monophasé)[]

I.2.4.2 Energie solaire :

Une contribution peut être apportée par une exploitation active de l'énergie solaire. Pour situer
l'enjeu de cette possibilité, quelques indications sont données ci-après sur la disponibilité de
l'énergie solaire.

L'intensité du rayonnement solaire en-dehors de l'atmosphère terrestre est de 1.36 kW/m2.

Cette valeur est réduite à 1 kW/m2 à la surface de la Terre, par temps clair, du fait de
l'absorption du rayonnement solaire par l'atmosphère. Rappelons que l'énergie solaire est un
rayonnement électromagnétique de longueur d'onde très courte. On trouve 95 % de l'énergie
du rayonnement solaire dans le domaine de longueurs d'onde allant de 300 à 2600 nm.

La puissance moyenne du rayonnement solaire à la surface de la terre est de 160 W/m2


(moyenne annuelle, jour et nuit), soit 1'400 kWh/m2.an (soit 140 litres de mazout E.L.)

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Cette énergie est diffuse, et demande des surfaces considérables pour être exploitée. Par
contre, elle a l'avantage, en tant qu'énergie primaire, d'être gratuite et renouvelable
(indéfiniment à l'échelle qui nous intéresse) ; elle est cependant considérée comme "coûtante"
du fait de l'investissement des installations de captage, de stockage et de distribution.

Le rayonnement solaire reçu par temps ensoleillé est le rayonnement direct. Par temps
couvert, les nuages diffusent un rayonnement plus faible et non directionnel, dit rayonnement
diffus. Ce dernier peut également être exploité pour les besoins thermiques du bâtiment. [1]

Table I.1 : Principaux types d'installation de chauffage dans le bâtiment

I.3 Différentes modes de chauffage

I.3.1 Le cheminé :
La cheminée : ensemble constitué par un espace spécialement aménagé pour la combustion de
bois ou de charbon et par un conduit servant à évacuer la fumée vers l’extérieur. Ce mot
désigne également la souche, partie apparente du conduit de fumée dépassant de la toiture. [2]

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Fig I.1 Le cheminé

I.3.2 Le chauffage central individuel :

La chaleur est produite à un seul endroit, soit par une chaudière raccordée à un conduit de
fumée, soit par une pompe à chaleur, soit par des capteurs solaires. La puissance de
l’installation dépend de la grandeur du logement et de sa qualité énergétique (implantation,
orientation, fenêtres, isolation, etc.), c’est-à-dire de l’ensemble des choix techniques et
architecturaux.

I.3.4 La production de chaleur par les chaudières :

Ces dernières années, des progrès considérables ont été réalisés sur les chaudières, faisant
passer le rendement de ces équipements de 70 % à 85 %.

Les chaudières à condensation ont d’excellentes performances si le chauffage fonctionne à


basse température (de 30 °C à 40 °C). C’est aussi le cas pour une production de chaleur par
des capteurs solaires. Dans ces deux cas, il est alors très intéressant de fonctionner à basse
température avec des émetteurs de grandes dimensions : plancher chauffant ou radiateurs de
grande surface.

Les fumées passent au travers d’un échangeur alimenté par l’eau froide revenant des
radiateurs. Or les fumées contiennent de l’eau, à l’état de vapeur. Cette vapeur va condenser,
former des gouttes (à évacuer vers l’égout) et préchauffer l’eau froide. Cette technique peut
apporter en pratique de 6 à 9 % d’amélioration de rendement. Mais elle n’est courante que
pour le gaz. (tchni in)

I.3.5 Le chauffage électrique :

Le chauffage électrique : système de production de chaleur à partir de l'énergie électrique. Le


fonctionnement repose sur la constatation suivante : toute pièce métallique traversée par un
courant électrique s'échauffe et donc dégage de la chaleur. Ce phénomène par lequel l'énergie
électrique se transforme en énergie calorifique est connu sous le nom « d'effet Joule »Il existe

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plusieurs systèmes de chauffage électrique qui utilisent cette chaleur émise. (La chaudière
électrique, radiateur électrique…………………etc.) (La maison A-z)

I.3. 6 Les radiateurs :


Reliés à votre système de production de chaleur (chaudière ou pompe à chaleur) par des
canalisations, les radiateurs de chauffage central, disposés dans les pièces à vivre,
transmettent la chaleur à habitat par convection et par rayonnement. Leurs caractéristiques de
fonctionnement varient en fonction du matériau dans lequel ils sont construits.

Les radiateurs les plus utilisés sont les radiateurs en acier, en aluminium ou en fonte. Le
tableau I.1 présente les principaux avantages et inconvénients des différents types de
radiateurs qui existent sur le marché

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TABLEAU I.2 Avantages et inconvénients des différents types des radiateurs

I.3.7 Les pompe à chaleur :


Une pompe à chaleur (PAC) est une machine thermodynamique qui puise la chaleur dans un
milieu naturel appelé « source froide » comme Pair, Peau ou le sol.

Grâce à un apport en énergie électrique, elle transfère cette chaleur au fluide de chauffage
(généralement de Peau, mais parfois de Pair). Les pompes à chaleur réversibles assurent le
chauffage l’hiver, et aussi le rafraîchissement Pété.

Le coefficient de performance (COP) d’une pompe à chaleur est le rapport entre l’énergie
thermique quelle fournit et l’énergie électrique qui alimente le compresseur.

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Un COP de 3 signifie que la PAC consomme 1 kWh électrique pour fournir 3 kWh thermique
au logement. Cependant, il faut se rappeler que pour produire 1 kWh électrique dans une
centrale thermique, on consomme plus de 3 kWh thermique fournis par du fuel ou du gaz.

Fig I.2 : principe d’une pompe à chaleur

I.3.7 de chauffage par le sol :

Système de chauffage par le sol constitué de tubes incorporés dans une dalle en
béton et dans lesquels circule de l’eau chaude à basse température (inférieure à
50 °C) pour obtenir une température de surface, au niveau du sol, comprise entre
21 et 28 °C. Les éléments constitutifs du plancher chauffant sont, de bas en haut
(fig. I.) :

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Fig Le plancher chauffant à eau chaude :

I.4 Les principaux éléments constituants une installation de chauffage

Tuyauteries :
La tuyauterie a pour fonction de transporter l’eau chaude vers les corps de chauffe et de
ramener l’eau refroidie à la chaudière. Sa pose peut se faire selon deux systèmes de
distribution : l’installation a un tuyau (monotube) ou a deux tuyaux (bitube). []

Le transport de l’eau chaude s’effectue dans des tuyaux d’acier, de cuivre ou de matière
synthétique. Il existe aussi sur le marché des tuyaux composes d’une combinaison de
matériaux.
Tous les tubes doivent satisfaire aux normes concernant :
• Le diamètre nominal ET l’épaisseur de la paroi,
• La pression nominale ET la pression de service auxquelles
Les tuyaux doivent pouvoir résister.

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Pour limiter au maximum les déperditions thermiques dans la tuyauterie, il faut limiter autant
que possible la longueur de cette tuyauterie (bonne conception) et isoler les tuyaux
proprement dits lorsqu’’ils traversent des locaux non chauffes.

Systèmes d’évacuation des gaz brulés :

Les systèmes d’évacuation des produits de combustion ont pour rôle dégager
vers l’extérieur et au-dessus des toits les gaz brulés des foyers raccordés tout en
aspirant l’air comburant requis .le tirage alors nécessaire dans la cheminée
résulte de la différence de masse entre les gaz chaude présents dans le système
d’évacuation et une colonne d’air froid extérieur de même hauteur

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