Proverb Es

Redoute l'homme de rien si tu le traites avec honneur.
Proverbe berbère ; Dictionnaire des proverbes et dictons berbères (1980)
Qui désire le miel doit supporter la piqûre des abeilles.

Proverbe berbère ; Le Maghreb en proverbes (1906)
Le prêt est une perte ; prêter, c'est perdre.

Que ton jour soit heureux.

Proverbe berbère ; Proverbes et dictons berbères (1822)
Heureux ceux qui prient, car la prière monte vers Dieu.

Heureux celui qui peut agir selon ses désirs.

Les paroles les plus douces ont moins de prise sur les femmes que les bijoux silencieux.
Redoute le noble, si tu l'as rapetissé ; redoute l'esclave, si tu l'as grandi.

Elle met le feu au champ, et court appeler au secours.

Redoute le noble si tu le traites avec mépris.

Proverbe berbère ; Dictionnaire des proverbes et dictons berbères (1980)
Qui a étudié les hommes a appris à les connaître.

Proverbe berbère ; Les plus beaux proverbes berbères (1922)
Si un homme te fait injure, rends-lui un service qui le fasse rougir.

Mieux vaut se confier à son chien qu'à un étranger.

Là où il y a un ennemi, il y a un ami.
L'amitié ne peut être ni vendue ni mise en gage.

D'un ami à un autre, ton secret deviendra un scandale.

On ne peut se fier à personne, pas même au laurier-rose.

Confiance et sûreté par l'eau sont emportées.
La confiance de l'aveugle est dans sa canne.

Une seule main ne peut porter deux pastèques.

Multiple est le mensonge, une est la vérité.

Tout Berbère avec son fusil est roi.

Le présomptueux devient raisin sec avant d'avoir été raisin mûr.

Une bouche qui vous embrasse peut aussi vous mordre.

Le pays où les pierres vous connaissent vaut mieux que le pays où les gens vous connaissent.
À qui a du blé on lui prête la farine.

Chez les Berbères, on ne vend pas la Terre des pères et des grands-pères, seulement les
pommes de terre.
Conduis-toi comme si tu devais vivre encore cent ans et mourir demain.

Ce que tu ne peux emporter avec toi, donne-le au pauvre.

On ne doit pas confier au chat le soin de garder la viande.

Seul l'homme malhonnête se laisse corrompre.

L'orphelin ne réussit une chose qu'après l'avoir ratée sept fois.

Qui sait fuir à temps est courageux.

Défie la mort, les gens te craindront.
Qui vante trop ses propres qualités n'est pas digne de l'admiration des autres.
Prêter crée l'inimitié.

Méfie-toi de la rivière qui est trop calme.

Ce qui fait le couscous, c'est la sauce ; ce qui fait le mariage, c'est l'amour.
La vie sépare autant que la mort.

L'ennemi ne se changera pas en ami, ni le son en farine.

Le voleur jure qu'il n'a pas volé, et son aplomb en impose même à ceux qui l'ont vu voler.
De bouchée en bouchée, la prière est oubliée.

Quand la poule pond, c'est le coq qui a mal au croupion.

Proverbe berbère ; Proverbes berbères de Kabylie (1996)
Pour parvenir au paradis, il faut d'abord ingurgiter du laurier-rose et du goudron.

Les reproches mérités par le chacal tombent sur le berger.

L'affamé s'est rendu chez le misérable, il lui a servi un bouillon d'oseille sauvage.
Qui est emporté par le fleuve s'accroche à tout ce qui passe à sa portée.
Mieux vaut un seul homme valeureux que cent lâches.

L'ami des jours où tout va bien ne vaut pas l'ami des jours où tout va mal.
Que celui qui l'a enfanté le porte, qu'il lui fasse un berceau et le berce.
Qui me trompe une fois, maudit soit son père ; qui me trompe deux fois, maudit soit mon
père.
Un homme sans enfant est un homme sans vie.

Proverbe berbère ; Proverbes berbères (1984)
La maison où manque la mère, même si la lampe l'éclaire, il y fait nuit.

Une saison ne respecte pas l'autre.

Si tu rencontres deux êtres qui vivent en harmonie, sois sûr que l'un d'eux est bon.
Proverbe berbère ; Proverbes et locutions berbères (1835)
Voyager ajoute à sa vie.

L'homme sot cherche les racines du brouillard.

Un mensonge en amène un autre.

Avant d'accéder au bonheur, il faut d'abord souffrir et bien travailler.

Seul l'homme malhonnête se laisse corrompre.

L'orphelin ne réussit une chose qu'après l'avoir ratée sept fois.

Les coups de tonnerre les plus menaçants ne sont pas toujours accompagnés de pluie.
Défie la mort, les gens te craindront.

Qui vante trop ses propres qualités n'est pas digne de l'admiration des autres.
On a beau dire, on a beau faire, on n'obtient que mépris et indifférence.

Les dents ont beau rire, le coeur sait la blessure qu'il porte.
L'arbre suit sa racine.
" Une culture n'est pas un patrimoine ; une culture n'est pas un héritage . Une culture c'est
quelque chose que l'on vit , et c'est quelque chose que l'on fait vivre ! "
Mouloud MAMMERI (1917 - 1989)

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Redoute l'homme de rien si tu le traites avec honneur.

Proverbe berbère ; Dictionnaire des proverbes et dictons berbères (1980)

Qui désire le miel doit supporter la piqûre des abeilles.

Le prêt est une perte ; prêter, c'est perdre.

Que ton jour soit heureux.

Heureux ceux qui prient, car la prière monte vers Dieu.

Heureux celui qui peut agir selon ses désirs.

Redoute le noble, si tu l'as rapetissé ; redoute l'esclave, si tu l'as grandi.

Elle met le feu au champ, et court appeler au secours.

Redoute le noble si tu le traites avec mépris.

Qui a étudié les hommes a appris à les connaître.

Si un homme te fait injure, rends-lui un service qui le fasse rougir.

Mieux vaut se confier à son chien qu'à un étranger.

L'amitié ne peut être ni vendue ni mise en gage.

D'un ami à un autre, ton secret deviendra un scandale.

On ne peut se fier à personne, pas même au laurier-rose.

La confiance de l'aveugle est dans sa canne.

Une seule main ne peut porter deux pastèques.

Multiple est le mensonge, une est la vérité.

Tout Berbère avec son fusil est roi.

Le présomptueux devient raisin sec avant d'avoir été raisin mûr.

Une bouche qui vous embrasse peut aussi vous mordre.

À qui a du blé on lui prête la farine.

Conduis-toi comme si tu devais vivre encore cent ans et mourir demain.

Ce que tu ne peux emporter avec toi, donne-le au pauvre.

On ne doit pas confier au chat le soin de garder la viande.

Seul l'homme malhonnête se laisse corrompre.

L'orphelin ne réussit une chose qu'après l'avoir ratée sept fois.

Qui sait fuir à temps est courageux.

Prêter crée l'inimitié.

Méfie-toi de la rivière qui est trop calme.

La vie sépare autant que la mort.

L'ennemi ne se changera pas en ami, ni le son en farine.

De bouchée en bouchée, la prière est oubliée.

Quand la poule pond, c'est le coq qui a mal au croupion.

Pour parvenir au paradis, il faut d'abord ingurgiter du laurier-rose et du goudron.

Les reproches mérités par le chacal tombent sur le berger.

Mieux vaut un seul homme valeureux que cent lâches.

Un homme sans enfant est un homme sans vie.

La maison où manque la mère, même si la lampe l'éclaire, il y fait nuit.

Une saison ne respecte pas l'autre.

Voyager ajoute à sa vie.

L'homme sot cherche les racines du brouillard.

Un mensonge en amène un autre.

Avant d'accéder au bonheur, il faut d'abord souffrir et bien travailler.

Seul l'homme malhonnête se laisse corrompre.

L'orphelin ne réussit une chose qu'après l'avoir ratée sept fois.

Défie la mort, les gens te craindront.

On a beau dire, on a beau faire, on n'obtient que mépris et indifférence.

Mouloud MAMMERI (1917 - 1989)

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