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La gouvernance d'entreprise, aussi appelée le gouvernement d'entreprise,

est l'ensemble des règles qui répartissent les pouvoirs entre les différents
acteurs d'une entreprise.

Les maîtres mots de la gouvernance sont la transparence, le contrôle,


l'équilibre ou encore la responsabilité. Explications.

Règles de gouvernance d'entreprise


La gouvernance d'entreprise est un ensemble de règles qu'une entreprise
décide d'adopter pour équilibrer les pouvoirs au sein de sa direction, de
son management et plus généralement entre toutes les parties prenantes.

Bon à savoir : les parties prenantes sont les acteurs qui sont activement
ou passivement concernés par une société. Elles regroupent les
actionnaires, les salariés, les fournisseurs, les clients, l'État, les banques,
etc.

Les procédures de gouvernance d'entreprise mises en place peuvent


aborder différents sujets :

 le mode de prise de décision qui repose d'avantage sur la


concertation ;
 le pouvoir des managers, notamment les managers exécutifs ;
 la nomination et la rémunération des dirigeants ;
 l'élaboration des stratégies ;
 le pilotage de la performance ;
 le reporting et l'audit ;
 la conformité aux règlements légaux, comptables, fiscaux ou propres
à l'entreprise.

La gouvernance d'entreprise repose sur 4 règles fondamentales :

 La transparence, ce qui signifie que chaque acteur a le droit à une


information fiable et complète.
 Le processus décisionnel doit être efficace et répartir correctement
les pouvoirs entre les acteurs.
 Un système d'évaluation de la performance doit être mise en place.
 L'efficacité de la gouvernance choisie doit être évaluée.
Code de la gouvernance d'entreprise
La gouvernance d'entreprise concerne principalement les entreprises
cotées en Bourse

LE GOUVERNEMENT D’ENTREPRISE (gouvernance) Définition du thème Le


gouvernement d’entreprise est un concept récent qui est apparu au début des années 1990.
C’est l’ensemble des règles permettant aux actionnaires de s’assurer que les entreprises, dont
ils détiennent des parts, sont dirigées en conformité avec leurs propres intérêts. Cela concerne
donc : ·le contrôle des dirigeants par les actionnaires, ·les principes de gestion des entreprises
(principes qui doivent être connus des actionnaires). Le gouvernement d’entreprise recouvre
donc l’ensemble des principes touchant la direction et la surveillance d’une entreprise. Il
s’agit de garantir l’équilibre des forces au sein de l’entreprise. Champs d’application Les
principes visent surtout les sociétés faisant publiquement appel à l’épargne : essentiellement
des groupes complexes côtés en bourse (par exemple Valeo, April). Cependant, il peut
concerner également des sociétés ne faisant pas publiquement appel à l’épargne, par exemple
des sociétés au capital social privé (SNC, SARL) et des entreprises publiques. Quelques
explications complémentaires Les causes de l’apparition du gvt d’entreprise ·La dispersion du
capital provoqué par : o L’augmentation de la taille des entreprises, o Le développement des
multi nationales, o L’afflux de capitaux étrangers o L’apparition du capitalisme collectif
(actions possédées par les ménages) Le pouvoir n’appartient donc plus aux propriétaires de
l’entreprise mais aux dirigeants.

Répartition des fonctions et des responsabilités


La gouvernance d’entreprise fait principalement référence aux relations entre les actionnaires d’une entreprise, son
conseil d’administration, la direction et les autres parties prenantes (interne et externe) de l’entreprise.

La gouvernance d’entreprise vise une répartition des compétences et des responsabilités adéquates pour une bonne
gestion. Elle vise à améliorer l’efficience, la qualité, la transparence et la diffusion de l’information ; les relations entre les
parties prenantes ; un traitement équitable entre les actionnaires et un renforcement de la confiance des investisseurs.

Un des principaux aspects de la gouvernance d’entreprise vise à résoudre les problèmes de la séparation entre les
propriétaires du capital de l’entreprise et les administrateurs qui sont mandatés par eux. Cela fait référence à la théorie
de l’agence : la divergence d'intérêt entre les différents acteurs oblige le mandant à contrôler l’exécution du mandataire
et l’adéquation avec ses propres intérêts.

Cela passe par une définition des droits et des responsabilités du conseil d’administration, des autres organes sociaux
et des actionnaires. Plus généralement, la corporate governance définit des principes d’une bonne gouvernance
d’entreprise.
Cependant, on ne peut limiter la gouvernance d’entreprise à cette question. Elle vise également à régler, plus
globalement, les problèmes entre les différentes parties prenantes d’une entreprise. Elle vise à identifier les bonnes
pratiques et à les diffuser. Il n’existe pourtant pas de modèle unique de bonne gouvernance d’entreprise.

Quelles sont les parties prenantes de l'entreprise ?


Les parties prenantes (stakeholders) sont des acteurs qui, seuls ou en
groupe, peuvent affecter ou être affectés par l'activité de l'entreprise
(Freeman, 1984).
La RSE (responsabilité sociale ou sociétale de l'entreprise) consiste, pour le
dirigeant, à prendre volontairement en compte les préoccupations, en
particulier sociales et environnementales (principe de développement
durable), de tous ces acteurs.

On considère que :

 les parties prenantes primaires sont celles dont le rôle est


déterminant dans la poursuite des objectifs de l'entreprise :
actionnaires, salariés, clients, fournisseurs ;
 les parties prenantes secondaires peuvent avoir une influence
forte suivant les circonstances : banques, communauté financière,
syndicats, distributeurs, revendeurs, franchisés, sous-traitants,
associations de consommateurs, collectivités territoriales ;
 les parties prenantes émergentes, jusque-là marginales,
prennent de plus en plus d'importance : actionnaires minoritaires,
fonds d'investissement, institutions scientifiques, associations de
protection de l'environnement, riverains des sites où l'entreprise est
présente, presse et médias, ONG.

Le mot « libéralisme » est né au début du XIXe siècle, après, comme il arrive souvent, que l'idée qu'il
contient, la revendication de liberté, a été portée elle-même sur le devant de la scène historique. En
effet, demander, exiger la liberté politique, idéologique, culturelle s'est introduit dans la conscience
politique des élites françaises dès le XVIIIe siècle, dans une société qu'on dirait aujourd'hui « bloquée »,
divisée en « états », c'est-à-dire en classes institutionnelles (→ clergé, noblesse, tiers état), et où les
libertés au sens moderne n'existaient réellement qu'à l'état larvaire : liberté de penser, de circuler, de
publier, de créer, etc. Elles n'avaient aucune existence juridique
Le libéralisme consiste à autoriser, autant que faire se peut, tout acte qui ne nuit pas
à autrui; et donc à s'abstenir de contraintes réglementaires sur la vie de chacun qui
soient pas dûment justifiées par ce principe de respect du bien d'autrui.
C'est laisser ainsi chacun organiser sa vie suivant ses propres projets et non ceux de
la collectivité, tant qu'ils ne nuisent pas à celle-ci.
Le néolibéralisme Le souvenir de la grande crise des années 1930 s'éloignant, la recette
keynésienne de stimulation de la demande par intervention financière de l'Etat perdit de
son attrait. Son échec à comprendre et combattre la stagflation fut d'autant plus cuisant
que la théorie monétariste (qui contredisait le keynésianisme sur des points importants)
avait expliqué cet échec. L'adoption en économie du monétarisme eut des conséquences
en matière de doctrine politique à partir de la fin des années 1970 : on accusa
l'interventionnisme d'Etat de tous les maux et on remit à l'honneur le libéralisme sous le
nom de néolibéralisme, pour « libérer les forces vives de l'économie du carcan étatique ».

La microéconomie a connu de profonds bouleversements au cours des dernières


décennies. Jusque dans les années 1970, dans le prolongement de la pensée d’Adam
Smith (fin du 18e siècle) et des travaux de Léon Walras (fin du 19e siècle), elle est restée
centrée sur l’analyse des marchés concurrentiels, caractérisés par un très grand nombre
d’acteurs tant du côté de la demande que du côté de l’offre ainsi que par une
information parfaite des acheteurs et des vendeurs. Ce paradigme central de la
microéconomie, avec la théorie de l’équilibre général de Walras en point d’orgue,
conduit cependant à une vision très restrictive du fonctionnement d’une économie de
marché, en omettant les configurations d’interaction stratégique entre les agents
économiques ou les problèmes liés aux imperfections d’information. Devant les limites
inhérentes à cette théorie des marchés concurrentiels parfois qualifiée de
« microéconomie walrasienne », une « nouvelle microéconomie » se développe à partir
des années 1970. Elle s’intéresse aux interactions stratégiques entre les acteurs (avec la
théorie des jeux) ainsi qu’aux questions relatives aux imperfections d’information
(économie de l’information et de l’incertain). Depuis une vingtaine d’années, cette
« nouvelle microéconomie » est enrichie par l’intégration de fondements psychologiques
dans l’analyse avec le développement de l’« économie comportementale ».

Les avancées de la nouvelle microéconomie Longtemps limitée au modèle de


concurrence parfaite, la théorie microéconomique s'est considérablement enrichie
depuis les années 70 en prenant en compte les imperfections de l'information que
subissent les agents économiques lors de leur prise de décision. La théorie des jeux est
emblématique de l'intégration dans le raisonnement microéconomique des interactions
stratégiques des comportements individuels. C'est ce renouvellement de la
microéconomie, nous expliquent ici Pierre Cahuc et André Zylberberg, qui lui permet
aujourd'hui d'être appliquée à des situations concrètes d'échange.

n ne doive jamais partir du comportement donné d'individus sans


examiner les facteurs qui ont formé ce comportement. [...] Dans ce
cas nous parlons d'individualisme méthodologique ».Ce second type
d'individualisme a été mis en œuvre par les théoriciens autrichiens
de
partir des années 1970, avec la montée en puissance des pensées de Milton Friedman et
de Friedrich Hayek le mot néo-libéralisme prend un autre sens. Selon Michel Foucault, le
néolibéralisme est présenté comme une technique de gouvernement, une politique
économique et sociale étendant l'emprise des mécanismes du marché à l'ensemble de la
vie, ce qui est contesté par les disciples de Friedrich Hayek qui voient le libéralisme
comme une priorité donnée à l'action libre des individus contre toute « emprise », et
jugent absurde toute "technique de gouvernement" voulant intervenir dans le marché, fût-
ce pour en étendre l'influence. Friedman et Hayek sont désignés en France comme en
étant les principaux inspirateurs[réf. souhaitée], bien qu'ils ne se soient jamais revendiqués du
néolibéralisme, mais seulement du libéralisme. Au contraire de la signification précédente,
leur libéralisme est anti-keynésien, et limite voire supprime l'intervention étatique.

Définition de gouvernance d'entreprise


La gouvernance d'entreprise est une expression désignant la façon dont sont réparties les
compétences en matière de prise de décision au sein d'une entreprise. Dans un sens large, la
gouvernance d'entreprise traite du contrôle et de la gestion de l'entreprise. De façon plus
restrictive, la gouvernance d'entreprise fait référence aux rapports entre l'actionnaire et la
direction. Il s'agit donc des relations pouvant exister entre d'une part le conseil
d'administration ou le directoire, et d'autre part le conseil de surveillance. De façon encore plus
stricte, la gouvernance financière d'entreprise renvoie aux dispositions mises en oeuvre pour
accroître la transparence et la crédibilité des chiffres d'une entreprise.

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