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LOUIS-RENE DES FORETS \GINARE ae GALLIMARD (CHAPITRE 1 Je me regarde souvent dans la glace. Mon plus grand désir a toujours &€ de me décou- vir quelque chose de pathéique dans le re sand, Je crois que je n'a jamais cess de préte- rer aux femmles qui, soit par aveuglement amoureux, soit pour me retenirprés dele, inventaient qu ais un vraiment bel homme ‘ou que favals des taltsEnergques, celles qu me disient presque tout bas, avec une torte de retenve crave, que je n'émis pas tout & fait comme les autres. En eft je me suis long: temps persuadé que ce ql devaity avoir en moi de pls atirant ait a singular. Crest dans le sentiment de ma difference que ji trouvé mes principaux sujetsexaaton, Mais aujourdhut oa perdu quelque pew de ma Sulsance, comiment me cacher que je ne me distingue en rien? Je fais la grimace en éer- ‘ant cee. Que je connate enfin tne sus in 7 lee vei, pase encore, mais Yous a tres! A wai dre, il se glsse dans ma gene oe IGerenntment de prac quon pene ei cmer ne rs tres monet a anindre hace dimerese Te po Bie me demande peared fal ene ee ae cofoner pour erome ctor eer pen mie done parle que eet wont ted que rece sree psoas ats i act se le edie, cee da bow See ae gee equine qs son

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