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Thème 1 - Aperçu
Introduction
Alors est-ce juste un autre mal d'entreprise? Il est intéressant de voir comment les codes
de déontologie et de responsabilité sociale des entreprises publiés par Tesco ne semblent
pas avoir empêché certains produits d'entrer dans la chaîne d'approvisionnement et de
finir dans les foyers des consommateurs. Il semble que cette affaire soit une autre activité
indésirable parmi des centaines de scandales, d'inconduites et de pratiques contraires à
l'éthique, comme la pollution des rivières par des produits chimiques industriels,
l'exploitation des travailleurs, le versement de pots-de-vin aux fonctionnaires et la
tromperie des consommateurs imprudents. Mais comment l'éthique des affaires peut-elle
inverser ou éviter un méfait contraire à l'éthique? Et les entreprises devraient-elles être
soumises aux mêmes normes morales que le reste de la société? Dans cet aperçu des
sujets, nous discutons de ce qu'est l'éthique des affaires et de la manière dont elle
influence les entreprises et les personnes.
Analyse principale
Divers scandales concernant des activités indésirables ont mis en lumière la manière
immorale dont certaines entreprises se sont lancées dans leurs affaires. Mais juste parce
que de tels scandales ont eu lieu ne signifie pas que l'éthique n'est pas nécessaire. Par
exemple, s'il n'y a pas d'éthique des affaires, comment pouvons-nous savoir ce qui est
bien et ce qui ne va pas ? Cette question est répondue par la définition de l'éthique des
affaires :
L'éthique des affaires est l'étude des situations d'affaires, des activités et des
décisions où les problèmes du bien et du mal sont abordés
En d'autres termes, l'éthique des affaires sont les principes moraux et les valeurs qui
guident le comportement d'une entreprise. Par bien ou mal, nous entendons moralement
bien ou mal - NON commercialement, financièrement ou stratégiquement bien ou mal
L'éthique sont les principes moraux et les valeurs qui régissent les actions et les
décisions d'un individu ou d'un groupe. Ils impliquent des valeurs sur le bien et le
mal
Mais tout ce qui est contraire à l'éthique est-il illégal ? Toutes les pratiques contraires à
l'éthique ne sont pas illégales. Par exemple, il n'est pas illégal d'inclure des ingrédients
génétiquement modifiés (GM) dans les produits vendus dans les supermarchés. Il n'est
pas non plus illégal pour Google de lancer un moteur de recherche auto-censuré qui
empêche l'accès à des sujets "sensibles" en Chine, pourtant l'action a été critiquée pour
des raisons éthiques. En outre, bien que la nourriture de McDonald soit critiquée pour être
malsaine et cuisinée avec des processus de cuisson malsains, il est pourtant légal de
vendre et de consommer. Regardez la vidéo SuperSize-me
(http://www.youtube.com/watch?v=N2diPZOtty0) et continuez à lire pour identifier la
relation entre l'éthique et la loi :
L'éthique des affaires est-elle la même avec la loi? La loi ne concerne pas aussi ce qui
est bien ou mal? Les lois et règlements - étatiques, fédéraux et internationaux - constituent
un point de départ évident pour les entreprises, leurs dirigeants et leurs employés qui
veulent faire ce qu'il faut. Mais il y a des problèmes qui sont éthiques mais qui ne sont
pas couverts par la loi. En outre, il y a des questions qui sont couvertes par la loi mais qui
ne concernent pas vraiment l'éthique (par exemple, devrions-nous conduire du bon côté
de la route?).
On peut dire que l'éthique des affaires commence là où la loi se termine. L'éthique des
affaires concerne principalement les questions non couvertes par la loi ou lorsqu'il n'y a
pas de consensus définitif sur la question de savoir si quelque chose est bien ou mal. En
ce sens, l'éthique des affaires n'est pas comme des sujets tels que la comptabilité, la
finance, l'ingénierie ou le droit des affaires où vous êtes censé apprendre des procédures
et des faits spécifiques afin de prendre des décisions objectivement correctes. Étudier
l'éthique des affaires devrait vous aider à prendre de meilleures décisions, mais ce n'est
pas la même chose que de prendre des décisions sans équivoque.
Pour répondre à la question de savoir pourquoi l'éthique des affaires est importante, nous
devons d'abord expliquer la moralité et l'éthique. La morale est concernée par les normes,
les valeurs et les croyances intégrées dans les processus sociaux qui définissent le bien
ou le mal pour un individu ou une communauté. L'éthique est concernée par l'étude de la
moralité et l'application de la raison pour élucider les règles et les principes spécifiques
qui déterminent le bien et le mal pour une situation donnée. Ces règles et principes sont
appelés théories éthiques. Ces règles et principes sont appelés théories éthiques. Voyons
donc (et interrogeons en même temps) pourquoi l'éthique des affaires est importante pour
les personnes, les consommateurs et la société en général :
1. Le pouvoir et l'influence des entreprises dans la société sont plus grands que jamais
6. Des violations et des scandales éthiques continuent de se produire dans les affaires
entre les comtés et les secteurs
7. L'éthique des affaires peut nous permettre d'évaluer les avantages et les problèmes
associés aux différentes façons de gérer l'éthique dans les organisations
8. L'éthique des affaires nous aide à comprendre les sociétés de manière plus
systématique
L'importance de l'éthique des affaires, cependant, devient encore plus important si l'on
considère la nature mondiale contemporaine des entreprises aujourd'hui. La
mondialisation en d'autres termes, est un contexte clé pour l'éthique des affaires. Mais
qu'est-ce que la mondialisation ? La mondialisation est devenue l'un des mots à la mode
les plus en vue de ces derniers temps. S'agit-il d'internationalisation, d'universalisation,
d'occidentalisation ou simplement d'une autre forme de colonisation ? Quelle est la
différence entre la mondialisation et la colonisation ? C'est encore une exportation de la
culture occidentale vers d'autres pays. En quoi diffère-t-il ? Eh bien, la définition suivante
semble être satisfaisante :
Cette définition est satisfaisante parce qu'elle est contemporaine. En d'autres termes, il
prend en considération deux évolutions qui ont permis à la mondialisation de devenir ce
qu'elle est aujourd'hui. Le premier développement est la technologie. Les gens
d'aujourd'hui peuvent monter dans un avion et après un repas passable et un court
sommeil arrivent quelque temps plus tard de l'autre côté du globe. Pensez également à
l'immédiateté de la radio, de l'Internet, des ventes sur Internet, du marché électronique,
de la télévision et du moteur à réaction.
Le deuxième développement est politique. Les frontières territoriales ont été les
principaux obstacles aux connexions mondiales entre les peuples. Après la chute du
rideau de fer en Europe de l'Est, les frontières territoriales sont plus libéralisées. En outre,
il n'y a pas de frontières dans l'UE. Dans cette optique, Schotte (2005) caractérise la
mondialisation comme une déterritorialisation. La mondialisation telle que définie en
termes de déterritorialisation des activités économiques est particulièrement pertinente
pour l'éthique des affaires, et cela est évident dans trois domaines principaux : la culture,
le droit et la responsabilité, tels que décrits ci-dessous.
Au fur et à mesure que les entreprises se fixent moins territorialement, les entreprises se
tournent de plus en plus vers les marchés étrangers, se retrouvant soudain confrontées
à des exigences éthiques nouvelles et diverses, parfois même contradictoires. Les
valeurs morales considérées comme acquises sur le marché intérieur peuvent être
remises en question dès l'entrée des entreprises sur les marchés étrangers. Par exemple,
les attitudes vis-à-vis de la diversité raciale et de genre en Europe peuvent différer
sensiblement de celles des pays du Moyen-Orient. De même, les Chinois peuvent
considérer qu'il est plus contraire à l'éthique de renvoyer des employés en période de
ralentissement économique qui serait typique en Europe.
Un autre exemple est la peine de mort, ou si vous voulez, la peine de mort. Les Européens
désapprouvent largement la peine de mort, alors que beaucoup d'Américains semblent la
considérer comme moralement acceptable.
Plus les transactions économiques perdent le lien avec un certain territoire régional, plus
elles échappent au contrôle des gouvernements nationaux (où leur pouvoir est limité à
leurs territoires). Par exemple, lorsqu'une entreprise quitte son territoire et déplace sa
chaîne de production vers un pays en développement, le cadre juridique devient différent.
Les gestionnaires ne peuvent donc plus se fier uniquement au cadre juridique lorsqu'ils
décident du bien ou du mal. L'éthique ici est donc importante parce que l'éthique
commence là où la loi finit
Il y a un certain nombre de questions clés en éthique des affaires, telles que la vie privée,
les droits des travailleurs, les questions salariales, la dénonciation, l'organisation éthique
des affaires, l'éthique du capitalisme, la rationalité économique, la mauvaise gestion et la
corruption. Toutes ces questions seront explorées au cours des six prochaines semaines.
Face à de tels problèmes (et beaucoup d'autres encore), il a été largement suggéré que
les objectifs et les conséquences des entreprises exigent une nouvelle réflexion radicale.
Après le Sommet de la Terre de Rio de 1992, un concept en particulier semble avoir été
largement promu en tant que nouveau cadre conceptuel essentiel pour évaluer non
seulement les activités commerciales, mais aussi le développement industriel et social en
général. Le concept est la durabilité.
Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans
compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins.
(Commission mondiale sur l'environnement et le développement 1987).
Il y a trois composantes de la
durabilité, à savoir : a) économique
b) social et c) environnemental.
Autrement dit, cela s'appelle la
triple ligne de fond. S'il vous plaît
examiner ce modèle sur le net et
ensuite envisager Think Theory 2.
Résumer et avancer:
L'éthique des affaires est l'étude des situations d'affaires, des activités et des décisions
où les questions du bien et du mal sont des adresses
Nous avons également dit que,
Les sociétés produisent les excellents produits que nous voulons acheter ; ils paient nos
salaires ; et payer les impôts qui font fonctionner les gouvernements
1) Les sociétés sont généralement considérées comme des « personnes artificielles » aux
yeux de la loi :
- En d'autres termes, ils ont certains droits et certaines responsabilités dans la société,
tout comme un citoyen
2) Les sociétés sont « possédées » par les actionnaires, mais elles existent
indépendamment d'elles
- La société détient ses propres actifs et les actionnaires ne sont pas responsables des
dettes ou des dommages causés par la société (ils ont une responsabilité limitée).
- Cela signifie que la direction doit détenir l'investissement des actionnaires en fiducie et
agir dans leur meilleur intérêt. Ho ceci est légalement structuré varie à travers différentes
parties du monde.
Dans ce cadre, les sociétés semblent être des personnes morales, exactement comme
vous, moi et tout le monde.
Mais une entreprise peut-elle être éthiquement responsable de ses actions ? Il existe des
preuves suggérant que la désignation légale d'une société la rend incapable d'être autre
chose que d'être intéressée (Bakan 2004). En d'autres termes, il ne peut pas ressentir,
sympathiser ou se soucier de la société. En effet, la société est un psychopathe
insensible, qui est par toute mesure raisonnable désespérément et inévitablement
dément.
Donc, si une société est un psychopathe, pourquoi a-t-elle ou doit-elle avoir des
responsabilités sociales ? Eh bien, une société doit effectuer de façon responsable pour
deux raisons. La première raison, est des intérêts personnels liés aux affaires. Les raisons
d'intérêt personnel comprennent :
1. Les entreprises perçues comme responsables pourraient être récompensées par des
clients plus satisfaits.
4. Les employés peuvent être attirés par le travail et être plus engagés envers les
entreprises responsables
5. S'engager volontairement dans des actions et programmes sociaux peut empêcher une
action législative
Deuxièmement, une entreprise doit être responsable pour des raisons morales. Les
raisons morales sont les suivantes :
2. En tant qu'acteurs sociaux puissants, les entreprises devraient utiliser leur pouvoir et
leurs ressources de manière responsable dans la société
3. Toutes les activités de la société ont des impacts sociaux d'une sorte ou d'une autre
(par exemple pour ses employés et ses clients). Les entreprises ne peuvent donc
échapper à la responsabilité de ces impacts (négatifs ou positifs).
4. Les entreprises comptent sur la contribution d'un ensemble beaucoup plus large de
parties prenantes, ou parties prenantes de la société, plutôt que de simples actionnaires
1. les groupes sans le soutien desquels l'organisation cesserait d'exister (Stanford, 1963)
2. Le groupe de personnes qui peut affecter ou est affecté par la réalisation des objectifs
de l'organisation (Freeman, 1984)
3. Ceux qui profitent de ou sont lésés par, et dont les droits sont violés ou respectés par
des actions corporatives (Evan et Freeman, 1993)
4. L'actionnaire d'une société est un individu ou un groupe qui: soit est lésé par, ou
bénéficie de la société; ou dont les droits peuvent être violés ou doivent être respectés
par la société (Crane et Matten, 2010)
Théorie des parties prenantes de l'entreprise
En d'autres termes, les parties prenantes sont des demandeurs. Il existe des droits
légitimes pour les demandeurs de l'entreprise. Les parties prenantes comprennent:
Employés
Actionnaires
Clients
Fournisseurs
Gouvernements
Unions
Concurrents
Communautés locales
Le grand public
Résumé
Dans ce sujet, nous avons défini l'éthique des affaires et l'avons placée dans un certain
nombre de courants de pensée importants. Nous avons fait la distinction entre la loi,
l'éthique, la moralité et la théorie éthique et soutenu que l'éthique des affaires est
contextualisée par les forces de la mondialisation. Alors, Nous avons identifié la durabilité
et défini ce qu'est une entreprise et l'outil de la responsabilité sociale des entreprises.
Enfin, nous avons présenté la théorie des parties prenantes. Dans le prochain sujet, nous
examinerons le rôle de la théorie éthique dans un contexte international. L'analyse
s'écarterait du contexte éthique traditionnel pour examiner les théories éthiques
contemporaines.
Penser la théorie 1
Il existe des différences culturelles presque partout auxquelles les entreprises peuvent
avoir à faire face. La nourriture fournit un ensemble de pierres d'achoppement potentielles
qui affectent grandement l'entreprise: les chaînes de restaurants mondiales peuvent être
confrontées à des problèmes culturellement spécifiques sur différents marchés en raison
de coutumes religieuses (comme la vente de viande de porc dans les zones musulmanes
ou juives). zones). Un autre exemple avec des conséquences potentiellement
significatives est la communication non verbale simple. Un signe de la tête signifie
généralement oui, et un tremblement, non; mais en Bulgarie, c'est apparemment inversé,
avec un hochement de tête indiquant oui et un hochement de tête, non.
Penser la théorie 2
Penser la théorie 3
Les types spécifiques de raisons données dépendront de la nature exacte des entreprises
dont les sites Web visitent les étudiants. Pour cette question, deux sites Web d'entreprises
de voiture ont été considérés. Tous deux donnent pour la plupart des raisons
commerciales à leurs initiatives sociales, et les deux entreprises espèrent clairement tirer
profit de leurs initiatives en matière de RSE. Considérez les mots de la note d'un chef de
l'exécutif aux lecteurs: - le succès commercial n'est possible que si les préoccupations
environnementales et sociales ne sont pas négligées. * D'autres entreprises peuvent
choisir de donner pour la plupart des raisons morales à leurs actions, mais comme le
souligne le manuel, «les motifs d'entreprise sont difficiles, parfois impossibles à
déterminer.