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R. G.

Dommergue
(Docteur en psychologie)

Vers la RE-vie
la santé par delà la chimio-thérapie)

Le moyen le plus sûr de ne pas


révéler la vérité aux masses est
d'une part l'abrutissement et
d'autre part la conspiration
totale du silence.
K.G.U.

1976
Les grands criminels ne sont pas dans les prisons mais au faîte de la société libérale.
Le bourgeois libéral est le frère aîné du bolchevik.
La nature ne pardonne jamais.
La dictature est la réaction normale des peuples qui ne veulent pas mourir.

Docteur Alexis CARREL.

Nous avons fait le travail du diable.


OPPENHEIMER.

Il ne se doutent pas que nous leur apportons la peste.

(FREUD, à son arrivée aux U.S.A.)

Ce qu'on appelle la crise de la science n'est pas autre chose que la mauvaise conscience des
« savants ».
La science judéo-cartésienne détruit et se détruit elle-même par un juste retour des choses.

R.G. DOMMERGUE.
Simone Weil disait : « Il y a plus de Christianisme dans tout le paganisme que dans le
catholicisme moderne. » Il est vrai que dans aucune civilisation hormis l'ère catholique, LES
MOYENS DE VIVI¬FICATION O R G A N O MENTALE N'ONT ETE OUBLIES, ces
moyens qui justement donnent la santé et la vertu, c'est-à-dire le respect des règles
Christiques.

Un professeur est un homme qui profère des vérités fondamentales dans la voie de la véritable
vivification de l'humanité alors que les humains ne sont pas encore capables de le
comprendre.
Il est incompris même et surtout de sa propre famille, il est le contraire du démagogue, de
l'homme du monde, du gentleman, en un mot il met les pieds dans
tous les plats.
Il est avant tout au service de la vérité, il est prêt à payer de sa vie la survie spirituelle de
l'humain...
Il est l'antithèse du technocrate agrégé, sorti de l'E.N.A., de polytechnique, de l'internat en
médecine, en un mot, IL EST.
De la délinquance juvénile
de la DELINQUANCE, tout court.

La délinquance juvénile n'est que la manifestation ultime d'une délinquance au sommet ; elle
n'en est que la résultante. Tout ce qui est coupé du surnaturel finit par détruire le naturel. Tout
ce qui n'est pas synthèse adopte nécessairement une forme analytique suicidaire, de plus en
plus analytique de plus en plus suicidaire. Par le fait même de ces amputations répétées tout
devient criminel. Le crime commence avec la disparition du sens de la réalité : un aveugle ne
peut indéfiniment marcher sans tomber dans un précipice. L'être humain privé du sens
ontologique finira AVEC SON CONSENTEMENT suicidaire dans le blue-jeans et le
marxisme.

Ne pas comprendre que l'organisme humain est nécessairement empoisonné si on le nourrit de


produits et de médicaments chimiques est le crime suprême qui engendrera tous les autres
comme nous le verrons tout à l'heure. Ingérer de la CHIMIE entraîne la désintégration
organique et mentale. Cette désintégration poussera l'homme de plus en plus vers des
conceptions matérialistes simplistes qui OCCUPERONT TOUT SON PSYCHISME ET LUI
PARAI¬TRONT PEREMPTOIREMENT FONDAMENTALES, ce qui n'est pas. Alors il ne
comprendra pas, par exemple, que si la formule chimique d'un corps produit par l'organisme
est rigoureusement la même que la formule du même corps produit en laboratoire, il n'en est
pas moins vrai que ces deux substances CHIMIQUEMENT identiques sont
fondamentalement différentes : l'une est VITALE, l'autre MORTE. La médecine
NATURELLE qui permet à l'organisme humain de regénérer lui-même les substances dont il
a besoin est source de VIE ; la médecine chimique imposée comme médecine unique à toute
la race humaine est source de MORT.

La délinquance juvénile est donc l'expression d'une maladie qui atteint le corps entier de
l'humanité. Il est une modulation symptomatique analogue à la folie, la criminalité, la
toxicomanie, le suicide (chaque année 7 000 jeunes mettent fin à leurs jours) et croît en
progression géométrique.

La délinquance juvénile a des causes directes que ne semblent pas percevoir les cerveaux
analytiques en place. Corps et esprit fonctionnent en symbiose. Si le corps est intoxiqué, le
cerveau, qui en fait partie, perdra de son intégrité et la pensée se dégradera également : le sens
spirituel disparaîtra, puis le sens esthétique et moral, et il ne restera plus qu'un intellect qui se
lancera à corps perdu dans des myriades de perspectives analytiques pour perdre tout sens de
la synthèse qui ne saurait exister sans les qualités spirituelles, esthétiques et morales. Or le
corps de l'homme moderne est soumis à une nourriture chimique, cancérigène, dégénérative.
Dans l'Homme cet inconnu, le Docteur Alexis Carrel nous explique que certaines vitamines
sont indispensables à la sexualité. Celles-ci sont d'accès facile dans les légumes frais et crus,
les céréales et le pain complet qui ne sont plus ingérés quotidiennement. De plus, la chlorine
ajoutée à l'eau pour l'assainir tue la vitamine E. « Donnez du pain blanc à un mangeur de pain
et vous en ferez en une ou deux décennies un pays d'homosexuels, d'hommes impuissants et
de femmes frigides (incapables d'orgasme vaginal) (l'Homme cet inconnu). Un penseur disait
en 1920 : « Si l'on continue à nourrir et à soigner les masses comme on le fait, l'homme ne
sera plus longtemps à l'image de Dieu. »

L'expérience du professeur Leriche nous montre en effet que les choses sont tragiques : sur
deux groupes de rats carencés et badigeonnés au goudron cancérigène, seuls les dix éléments
auxquels on avait fait ingérer une spécialité pharmaceutique contenant toutes les vitamines
connues, présentèrent un cancer. Il faut donc ajouter comme agent organique de
dégénérescence à répercussion mentale, la chimiothérapie et les psychotropes qui, ingérés de
manière suivie, ont un rapide effet désintégrateur. A titre symbolique, il faut citer le professeur
Baruk qui nous informait à un de ses colloques Moreau de Tour, qu'un médicament, le «
Tofranil », pris pendant un temps assez long provoquait deux gravissimes maladies
nerveuses : les syndrômes de Wilson et de Parkinson. Un ami pharmacien auquel je rapportais
le fait eut cette répartie immédiate : « Et encore, c'est un des moins dangereux. »

A cela il faut ajouter les vingt-trois injections de produits plus ou moins putrides de la
vaccination que les Anglais refusent d'ailleurs de subir. Celles-ci ont déterminé des accidents
graves et spectaculaires (« les vaccins sont plus dangereux que la maladie ») écrivait
récemment dans un quotidien le professeur Dick et deux cents médecins de la ligue pour la
liberté des vaccinations ont pris position expliquant que la vaccination systématique détruisait
notre système immunitaire, potentialisait le cancer et les maladies cardio-vasculaires et
MENTALES. D'autres part, le professeur Jamain vient d'élever une solennelle protestation au
nom du syndicat national des gynécologues et obstétriciens français, contre la pilule aux
adolescentes, nous informant du risque de blocage ovarien, de stérilité, d'arrêt de croissance,
et cela malgré une loi votée sans l'avis des plus compétents (1).

D'autre part, l'expansion pornographique comme l'activité sexuelle prématurée, déséquilibrent


fonctionnellement et psychiquement de manière irréversible. La télévision contribue
puissamment à désintégrer l'attention volontaire des jeunes, de même que les pseudo
musiques dont les sons d'une fréquence d'une intensité portées au-delà des normes habituelles,
agissent comme des drogues, isolant ceux qui s'y adonnent dans un univers hypnotique et
illusoire.

De tels jeunes ne peuvent que se marier prématurément sans assises organiques, morales,
mentales, affectives, matérielles. Ils engendreront alors de malheureux êtres encore plus
carencés qu'eux-mêmes — les naissances d'infirmes physiques et mentaux ne cessent de
s'accroître — qui divorceront aussi vite qu'ils se sont mariés. Nous trouvons là aussi une cause
fondamentale de la délinquance : la dissociation du couple par le divorce ou le travail intensif
de la femme hors du foyer. Le professeur Heuer a révélé, il y a quelques années, que la totalité
des délinquants juvéniles passant devant les tribunaux étaient issus de couples parentaux
dissociés ou fantomatiques. Depuis, les choses se sont aggravées qualitativement et
quantitativement, puisque le nombre des irrécupérables s'est accru, et que les tribunaux sont,
dans de nombreux pays, paralysés par la pléthore de délinquants.

(1) Nous avons la certitude absolue que toutes ces manifestations qui ne sont plus possibles à l'âge adulte se
transforment en dangers graves de CANCER à partir de la dernière puberté - 18 ans.
Un récent colloque que je viens d'avoir avec des collègues méde¬cins, psychologues et naturopathes ne nous
laisse aucun doute à ce sujet. Le témoignage de certains gynécologues a été terrifiant. De grâce, n'attendons pas
la « preuve scientifique » de ce désastre : faudra-t-il attendre qu'un pourcentage énorme de cancers apparaisse
pour que nous soyons convaincus ? Peut-être... Comme il faudra attendre les effets de la mise en oeuvre de
l'énergie atomique pour comprendre... Mais il sera trop tard dans l'un et l'autre cas !
Les grandes cités modernes, surnommées « poubelles à peuple » ne peuvent favoriser un
équilibre neuro-psychique. Outre que les suicides d'adultes y sont fréquents, le béton empêche
les radiations cosmiques indispensables de passer, la laideur, l'exiguité, l'absence de bon air et
de végétation, ne peuvent concourir à l'harmonie intérieure des jeunes abandonnés à eux-
mêmes et qui, trop souvent, se groupent dans la chaleur artificielle des gangs. Enfin, aussi
grave que par exemple, l'action cariogène du sucre blanc, doivent être cités, l'absence totale
d'enseignement moral, singulièrement renforcé par l'ABOULISME FREUDIEN, le
matérialisme diffus et sournois, le culte de l'avoir et de la violence, l'obsession de la déesse
mécanique, la psychose de revendication, toutes choses qui ne peuvent que créer des
déséquilibres fonctionnels comme l'instabilité thyroïdienne, si fréquente chez l'enfant et chez
la femme, et qui est synonyme de psychologie de révolte et d'opposition, de destruction et
d'anarchie, et partant, d'instabilité caractérielle qui rendra éphémère l'union du couple et
déterminera un accroissement de naissances de caractériels et même de mongoliens.

A tout cela il ne faut pas oublier de surajouter le tabac dont les effets sur les systèmes nerveux
et cardio-vasculaire ne sont plus à démontrer, qui désintègre à l'échelon planétaire (douze
millions de morts par an) et tue du cancer, en France seulement, cinquante mille personnes par
an (professeur Mathé).

Si toutes ces causes immédiates ne peuvent pas NE PAS produire dégénérescence et


délinquance et tous ses corollaires : criminalité, homosexualité, folie, il faut aller plus loin
dans la recherche des causes de ces « causes actuelles ».

Le catholicisme de ces dix-sept derniers siècles n'a été qu'une institution dogmatique qui
devint formalisme doctrinaire. Ni le fanatisme, ni le dogmatisme féroce, ni l'hystérie mystique
ne sont SPIRITUALITE. Malheureusement des humains naïfs et incultes au lieu de ne
détruire que le formalisme et le dogmatisme sclérosé, les ont confondus avec la religion
authentique qu'il eût fallu restaurer dans sa plénitude. Aussi ce qui restait de valable règles
morales fondamentales, esprit synthétique, s'est dilué dans l'AMO¬RALISME ET LE
SPECIALISME. Ce qui demeurait l'essentiel fut détruit avec la foi, qui seule fait jaillir
cathédrales et temples et soulève les montagnes...

Cet abandon de la Grande Tradition qui vivait dans le Christianisme primitif, ne pouvait pas
ne pas glisser insensiblement vers la dégénérescence dominée par les logiciens débridés, les
rêveurs à système, encadrés des scientistes analytico-quantitatifs du matérialisme, qui,
d'ailleurs, découvrent que la matière n'est pas matérialiste (l'esprit seul peut le devenir !) et
que les ondes émises par les corps astraux influencent nos organismes.
Ce n'est ni par fantaisie, ni par hasard que les grandes religions de la Perse, de l'Inde, de
l'Egypte, comme du Christianisme primitif, ce n'est pas dans un esprit arbitraire que les
GRANDS INITIES : Rama, Khrisna, Hermès, Orphée Pythagore, Platon, Jésus-Christ (qui ne
cessa d'être trahi) ont enseigné les règles fondamentales de l'être qui conféraient le sens du
divin.
Ces règles étaient simples : elles consistaient à pratiquer le non-carnivorisme, le respir (ou
respiration contrôlée), et la nutrition dissociée. Hippocrate disait lui-même que les mélanges
d'éléments ingérés se faisaient la guerre et créaient la toxémie, désignation fondamentale de
toutes les maladies qui finissent par se génétiser et devenir héréditaires si ces trois règles d'or
ne sont pas respectées. De nombreux médecins et psychologues affirment sans ambiguité que
la viande opère dans l'organisme un vieillissement accéléré et rend très nerveux du fait des
toxines qu'elle libère dans les tissus (nervosité qui prend selon les tempéraments forme
d'agressivité).
Lorsque l'on est témoin des résultats thérapeutiques obtenus par l'application des trois règles
auxquelles s'ajoutent le jeûne, on imagine sans peine combien elles pourraient vivifier le
physique et le mental de l'homme si elles étaient, pour son bonheur, réenseignées comme
bases vitales. On peut aisément comprendre que ces sages prescriptions aient pu assurer pour
des millénaires la pérénnité de civilisations prodigieuses, alors que le matérialisme dit
scientifique subit une anarchique et honteuse agonie au bout de deux siècles à peine, en
privant l'homme de tout ce qui faisait sa beauté, sa noblesse et sa grandeur.

Aussi longtemps que les dirigeants sans esprit de synthèse n'auront à offrir aux peuples que le
mythe de la production indéfinie qui porte en lui la guerre et toutes les pollutions comme la
nuée l'orage, qui mènera demain des cohortes asservies, vêtues de bleue-jeans, symbole de
leur atonie mentale, vers une tyrannie totalitaire égalitaire qui en est la conséquence
automatique, il n'y aura pas de remède à cette triste situation dans la conjoncture matérialiste
où les trois quarts du monde meurent de faim tandis que le dernier quart s'intoxique et se
dégénère pléthoriquement. La population ne cessera de croître en nombre mais non en
QUALITE. Cette situation planétaire pathologique cessera d'elle-même lorsque le spirituel
guérira le temporel. (André Malraux n'a-t-il pas dit : « Le XXe siècle sera religieux ou il NE
SERA PAS. » - Religieux signifie « qui relie », donc synthétique).

En attendant, nous pouvons nous protéger individuellement en respectant dans nos familles ou
en petites communautés les trois règles d'or de la grande tradition. Ainsi nous mourons l'âme
vivante et libre et non soumis à la déchéance organique et mentale que nous offrent TOUS
LES ASPECTS de l'officialité. Nous pourrons échapper à la bêtise normative, aux idées
aberrantes de pseudo liberté qui détruisent l'homme, la femme et l'enfant et qui règnent dans
un monde infantile et hypnotisé qui a perdu son centre de gravité.
Plus grave que la délinquance juvénile est donc la délinquance adulte qui l'a engendrée : la
chimification alimentaire, la chimio-thérapie, la vaccination généralisée, la mise en oeuvre de
l'énergie atomique, malgré l'avis péremptoire non seulement des métaphysiciens mais des plus
grands spécialistes, la tolérance-imposture destructive de toute valeur — ce dernier mot
n'ayant au reste aucune « valeur » selon Saint Marx — sont des crimes de lèse-humanité au
regard desquels un crime de droit commun est rafraîchissant.

« J'ai lu vos textes avec un très grand intérêt. Je me sens


fondamentalement d'accord avec vous. Vous dites tout ce qu'il faut dire
avec une parfaite clarté. Votre texte sur la délinquance met en lumière
les causes pro-fondes de notre décadence, et je ne puis rien y rajouter ni
y retrancher. Je suis d'esprit et de coeur avec vous et vous dis ma très
vive sym¬pathie... La relecture de votre délinquance m'a enchanté : il y
a quelque chose d'inépuisable dans la note juste... »

Gustave THIBON.

Votre message sur la délinquance, si clair et si complet, devrait être lu


et commenté dans tous les lycées et collèges et dans les centres
d'ap¬prentissage. Mais quel ministre de l'Education nationale s'y
intéresserait ?

Elisa FREINET

Il est donc clair que le vrai criminel est celui qui vend seulement pour le profit sans se
préoccuper s'il détruit le corps, l'âme et aussi la planète. Si l'argent n'est pas aussi au service
du plus grand développement spirituel de l'homme, il débouche automatiquement sur la
destruction universelle (pornographie, atome, marxisme, freudisme, cité dortoir, blue-jeans,
tabac, etc). Il faut donc sortir de la conjoncture dépeinte si nous avons encore en nous la
conscience qui, elle, n'a pas besoin de « démonstration scientifique » (O dérision !) pour
percevoir la VERITE. Il faut quitter ce pseudo christianisme vidé de son contenu psycho
diététique essentiel (qui est la condition sine qua non d'une santé organique, d'une vivification
du mental, d'une union au transcendant). Il faut retourner aux règles de la nutrition et du
jeûne, aux exercices respiratoires qui donnent le contrôle du physique et du mental. Car sans
tout cela il était impossible que l'humanité ne dégénérât pas en un grossier matérialisme.
Il faut également supprimer radicalement la circoncision à la première puberté, c'est-à-dire
aux premiers jours de la naissance, car elle détermine une exacerbation des facultés
spéculatives au détriment du sens moral et de l'esprit de synthèse. Elle crée artificiellement
une race. Car le mythe raciste doit disparaître : la race n'étant en fait que l'adaptation
hormonale à un environnement. Un Chopin, thyroïdien, n'a évidemment rien de commun avec
un Noir, hypophysaire avec manifestations acromégaliques, parce que le premier est né en
Pologne et le second près de l'Equateur (1).

Il nous faut donc fuir la banque au service absurde du gain destructeur, l'aboulisme généralisé,
la pornographie freudienne, la destruction marxiste, psychose économique la plus grave de
toutes les maladies mentales, la laideur d'un « art » picassotien, la nescience analytique et
quantitative qui faisait dire à Einstein : « J'aurais dû me faire cordonnier », et à Oppenheimer :
« J'ai fait le travail du diable... »
Ce petit livre est conçu pour nous aider à retrouver notre liberté, la VRAIE et non celle de la
conjoncture dont Albert Camus disait : « La vraie passion du XXe siècle, c'est la servitude... »

Nous allons maintenant voir d'une manière PRATIQUE les enseignements fondamentaux de
la grande tradition que chacun, s'il guérit, peut retrouver dans son coeur sans avoir le moindre
besoin de livres, les livres viennent après pour préciser cet essentiel que l'intuition vivante
retrouve d’abord.

(1) Je recommande la lecture du livre de mon maître et ami, le docteur Gautier, endocrinologiste, « Nouvelles
dernières connaissances sur l'homme » et « L'Enfant, ce glandulaire inconnu », 33, rue de la Benatte, Bordeaux.
C'est sur la base de son oeuvre que j'ai soutenu ma thèse en Sorbonne : « Le dandysme, hyperthyroïdie
fonctionnelle.
La circoncision fut d'ailleurs interdite par le Christ (« vous serez circoncis du coeur »7, en la perpétuant on
devait aboutir à une aggravation pathologique que je nomme judéo-cartésianisme, qui rend le monde entier fou
puisqu'il domine tous ses aspects. Même lorsqu'elle produit de bons analystes, d'excellents érudits, de brillants
pianistes, des mémoires, des médecins analystes (spécialistes) ils ont perdu le sens du TRANSCENDANT.
Au sommet, cela donne Freud, Marx, Einstein, ou ceux qui « mathématisent » la médecine, « technocratisent »
les politiciens ou indifférencient les qualités propres aux deux sexes par une désintégration de la personnalité
féminine et masculine à partir de l'enfance.
« Un malade est un misérable pris en flagrant délit. »
« Le seul échec n'est pas de ne pas réussir, mais de cesser d'essayer. »

Mais soyons prudents. Les règles traditionnelles de Vie que nous allons voir ensemble sont
absolues. Mais il nous faut tenir compte de notre dégénérescence. C'est pourquoi si nous
disons, par exemple, que la viande est à « proscrire » (1), de même que les mélanges
alimentaires, il n'en est pas moins vrai qu'il nous arrivera de prescrire un peu de viande, et
même, chez ceux qui digère très vite la nourriture dissociée sans l'assimiler, quelques
inhibiteurs de digestion, qui, ralentissant la digestion, faciliteront l'assimilation...

Il faut donc MODULER et cela se fera dans le cabinet du psycho-diététicien, du médecin


naturopathe, du diététicien, en fonction de la NATURE et de la pathologie accomplie ou
potentielle de chacun.
Je suis toujours prêt à conseiller ceux qui me le demandent mais je tiens particulièrement à
recommander ici des collaborateurs éprouvés.
Le biologiste Marchesseau, 26, rue d'Enghien, Paris 10e, pour son excellent enseignement
naturopathique.
M. R. Masson, 67, rue de Clignancourt, Paris 18e. Tél. : 252-35-94, que je considère comme
le diététicien le plus compétent de cette époque. M. Masson fait d'ailleurs comme moi-même,
des conférences à « L'Homme et la Connaissance », 26, rue Bergère, Paris.
M. P.F. Blanc, Bec-er-Ville Plouhinec 56680, extraordinaire chiropracteur et iridologue.
Le docteur Le Borgne, à Brunoy, acupuncteur et homéopathe.
Monique Le Friec, infirmière, kinésithérapeute, naturopathe et pneumologue.

Tous ces collaborateurs vous permettront de retourner plus méthodiquement aux règles de la
santé et de la vie, comme d'ailleurs de la jeunesse et de la beauté.
Ajoutons encore que si vous avez mangé de la viande toute votre vie, il ne saurait être
question, pour convaincu que vous soyez, d'en arrêter brutalement la consommation.
Diminuez-la, si cela vous coûte. Si cela ne vous coûte pas n'hésitez pas : supprimez-la et
remplacez-la par quelques oeufs, du fromage frais, quelques noix, noisettes, amandes, lait
caillé, et appliquez les règles que nous allons étudier ensemble au cours de cet ouvrage.

LAVEMENTS

Il est important que. notre intestin soit sain, car un intestin en mauvais état est la grande
source de la maladie. Il faudrait prendre un lavement une fois par semaine. Pour ce faire avoir
un bock de deux litres. Y mettre une infusion de verveine. Commencer par un « lavage » de la
valeur d'un verre pour dégager le rectum. Puis injecter le reste et le garder si possible au
moins une demi-heure, et, au plus, une heure.
PHYTOTHERAPIE

(1) Il est important de noter que la viande comme le pain sont des aliments de tolérance, mais qu'ils ne sont pas
absolument spécifiques de la nature humaine. Nous ne sommes ni des carnassiers ni des pigeons.
Les plantes ont de merveilleuses propriétés. Elles ont, selon leur spécificité, le pouvoir de
stimuler les émonctoires, reins, peau, intestins, poumons, et ainsi de nous aider à nous
débarrasser de notre toxémie. Maurice Mességué qui, tout petit garçon, a appris avec son père
à connaître ces « bonnes plantes » fait des miracles. N'est-il pas arrivé à guérir un clochard
récalcitrant d'un eczéma tenace, en l'appâtant avec un litre de rouge quotidien, c'est-à-dire en
accroissant sa toxémie avec un triple poison (nous reparlerons du vin). Ce qui prouve la
puissance des plantes et ne veut pas dire qu'il faille vous guérir avec un litre de « pinard » par
jour !

On peut consulter Maurice Mességué et lire ses ouvrages précieux sur la thérapeutique par les
plantes.

HYPNOSE ET SUGGESTION

Même si nous sommes contredits par des milliers de personnes, ce dont nous n'avons cure,
l'hypnose est absolument condamnable, même si elle produit de bon effets spectaculaires, et
ceci pour une raison bien simple : cette technique SUBSTITUE UNE VOLONTE
ETRANGERE à celle du sujet. De ce fait, elle est nécessairement un viol du libre arbitre.

Mais ceci est sans importance car la suggestion qui implique une collaboration libre du sujet
permet d'obtenir les mêmes résultats que l'hypnose SANS HYPNOSE, bien sûr.

Au congrès international de sophrologie de juin 1976 où je me trouvais, j'ai pu voir un film où


l'on montrait un patient opéré d'une hernie inguinale, parlant pendant toute l'opération et ne
ressentant aucune douleur : il avait été anesthésié par une « préparation suggestive » pendant
vingt jours avant l'opération.

Voilà qui en dit long quant aux possibilités thérapeutiques, de progrès moral. esthétique,
spirituel, par une complicité entre le psychologue et le sujet qui fait ainsi acte de libre arbitre.

L'HOMEOPATHIE

Cette technique médicale utilise des produits à doses infinitésimales. De ce fait, elle n'est pas
toxique. Elle est un excellent adjuvant à la médecine naturelle authentiquement hippocratique
et doit toujours être préférée à la médecine allopathique terriblement toxique, et qui ne doit
être utilisée qu'en cas d'urgence et pendant les durées les plus brèves possibles.
L'abus des antibiotiques est notamment à proscrire sévèrement.
Il faut aussi savoir que l'homéopathie donne d'excellents résultats, surtout combinée à la
médecine naturelle : la diététique, les plantes, le jeûne, etc.

LE JEUNE

Le jeûne est la plus miraculeuse des thérapeutiques. Il peut guérir un cancer précocement
diagnostiqué (notamment par l'iridologie : examen de l'iris de l'oeil). Il faut dans ce cas
obtenir un amaigrissement « inquiétant » pour l'entourage, mais très efficace.

Le jeûne permet à l'organisme de digérer les tissus et éléments nocifs qui sont à la source de la
maladie. La nature a bien fait les choses, car ce sont justement les éléments négatifs pour
l'organisme qui sont digérés les premiers lorsque l'on jeûne.

Le jeûne permet un amaigrissement souhaitable. Les assurances américaines ont fait des
statistiques qui parlent d'elles-mêmes et n'ont pas besoin d'interprétation : les hommes qui
pèsent un nombre de kilos supérieurs aux centimètres qui dépassent le mètre de leur taille
meurent beaucoup, si l'on peut dire, ceux qui ont le poids correspondant au nombre de
centimètres dépassant un mètre meurent également prématurément, mais moins. Seuls ceux
qui ont cinq à dix kilos de moins que le nombre de centimètres dépassant le mètre de leur
taille meurent très âgés ! Voilà qui est clair.

Le jeûne permet aussi de s'unir à Dieu. Vous ne trouverez pas de mystiques ni de penseurs
chez les gros pleins de soupe. En revanche, vous y trouverez des matérialistes, des athées.
Je ne connais pas un seul exemple historique de grand penseur ou de grand mystique qui soit
« gros ». Il y a eu des moines grassouillets, mais ils n'étaient certainement pas des penseurs et
des mystiques profonds.

Mais un jeûne doit être surveillé.


Il faut savoir que :
Un jeûne ne doit pas se pratiquer sur un intestin qui n'a pas été convenablement vidé par un
lavement, car une constipation féroce pourrait s'installer pendant le jeûne et être source
d'accidents ; un jeûne doit être préparé plusieurs jours, selon la nature de l'individu, par
l'ingestion de légumes bouillis, de fruits, de jus de fruits ; sa durée peut être variable selon
nature et pathologie et cesse automatiquement au retour de la vraie faim (qui n'a rien à voir
avec la faim des trois premiers jours de jeûne, due à l'arrivée automatique, par l'habitude, de
sucs dans l'estomac).

Il n'existe guère de cliniques de jeûne en France, mais en Suisse on trouve sur ce chapitre tout
ce que l'on désire notamment au bord du lac de Constance.
En France, je recommande le centre d'éducation vitale de mon collaborateur, Désiré Merien,
9, rue du village de Kervenanec 56100 Lorient. Il pourra, si vous vous y prenez à l'avance
pour un séjour, diriger votre jeûne.

LES BAINS

Les bains chauds stimulent cet émonctoire, la peau, et permet d'aider à l'élimination de
nombreux poisons. Il est donc un élément important de la médecine naturelle.
Mais là aussi il faut moduler. Il ne saurait être question de bains chauds pour quelqu'un atteint
de varices par exemple. Il ne faut pas non plus séjourner trop longtemps dans l'eau chaude (et
même froide, pour les nageurs) sans risque de s'anémier, de s'affaiblir, de perdre de sa « force
vitale ». Un bain chaud ne doit pas excéder vingt minutes.

LE RESPIR

Nous parlerons de respir, ou respiration contrôlée, et non de Yoga.


En effet, le Yoga est une technique faite pour les Orientaux et non les Occidentaux.
Que l'on tire avec prudence certains éléments du Yoga, nous le voulons bien ; mais il nous
faut dire que le Yoga exige au départ, c'est-à-dire avant qu'on le pratique, une civilisation
traditionnelle calme, où homme et femme sont à leur place dans la création, une absence
totale de consommation carnée, et à plus forte raison de tabac, alcool et tout excitant.

Je ne puis compter les accidents tragiques survenus à des Occidentaux voulant pratiquer le
Yoga. Ces accidents variés pouvaient se manifester par des atteintes organiques ou une perte
du sens de la réalité.
En revanche, la respiration contrôlée est bonne pour tous les humains sans aucune exception.
Il ne faut pas chercher à aller plus avant si l'on n'a pas maîtrisé l'exercice suivant :
Pendant cinq minutes, dans une atmosphère bien aérée, soit allongé sur un tapis, les bras et les
jambes légèrement écartés, en parfaite décontraction, en se sentant pesant, soit assis sur une
chaise, les pieds bien à plat, les mains posées sur les cuisses, droit, sans s'appuyer au dossier,
la tête rigoureusement dans le prolongement de la colonne vertébrale :

1) Inspirer sans aucun bruit respiratoire pendant sept secondes ;


2) expirer de même ;
3) retenir votre respiration quatre secondes.
Recommencer pendant cinq minutes, en pensant à ce que vous faites et toujours en parfaite
décontraction, sans effort ; vous commencerez par une minute et petit à petit vous atteindrez
SANS FORCER les cinq minutes nécessaires.

Un Occidental qui a maîtrisé cet exercice trouvera ensuite la voie qui lui permettra d'aller plus
loin. Mais tant que cela n'est pas réalisé n'essayez rien d'autre. Pour un Occidental cela est
déjà un accomplissement exceptionnel.

Chacun comprendra que lorsque l'on contrôle sa respiration on fait un acte de volonté et on
hyper oxygénise son organisme et son mental.
La respiration contrôlée fut enseignée par tous les grands initiés ainsi que par Jésus Christ. Le
mot « pneuma » (souffle) est un des mots clefs des livres saints.

La respiration tient sous son contrôle toutes les activités humaines qu'il s'agisse de l'organisme
du cerveau de la pensée, tout en dépend. Il n'est aucune fonction ou activité vitale qui ne
relève directement de l'activité respiratoire : circulation sanguine, courant nerveux,
glandulaire, activité cérébrale, mentale, corporelle, nutrition.

Tout procède de la qualité de la respiration. La respiration ordonne, actionne, harmonise tout.


En favorisant tout échange vital, elle conditionne également le développement du cerveau, et
PERMET LA PENETRATION DE LA PENSEE DANS LA MATIERE. Respirer de manière
contrôlée réveille les cellules cérébrales, rend vivantes et opérantes toutes les facultés, ouvre
la voie des réalisations. Il faut ajouter que cette pratique hypertrophie la GLANDE
GENITALE INTERNE organe de la volonté, du libre arbitre, des plus grandes réalisations de
la finalité humaine.

LA VIANDE

La viande ne peut être une nourriture pour quiconque car elle est du CADAVRE. Même le
lion ne mange la chair de sa victime que lorsqu'il vient de la tuer. Seuls les hyènes, les
chacals, les vautours, auxquels nous nous apparentons puisque nous faisons comme eux,
mangent du cadavre... Le carnisme est une toxicomanie comme l'alcoolisme et le tabagisme.
Toute chair est en voie de putréfaction dès qu'elle ne vit plus. Elle devient alors un terrain de
prolifération redoutable dont la science moderne ignore quasiment tout. Alors s'élaborent les
plus effrayants poisons de la nature. Ce sont précisément ces toxines mortelles pour l'âme et
pour le corps qui confèrent à la viande ce pouvoir d'excitation comparable à celui de cet autre
poison mortel : l'alcool. Le régime carné exclusif mène un être humain en cinq semaines à la
mort. Le même régime exclusif en fruits et légumes ne portera pas la moindre atteinte à son
intégrité organique et psychique. L'usage de la viande encombre l'organisme d'innombrables
déchets et poisons de toutes sortes et procure l'illusion toxicomaniaque de la force : mais en
réalité le carnivore est à la merci de toutes les complications organiques inscrites dans son
thème astral, dont nous parlerons plus loin.
Moralement, le sang des bêtes ramène l'homme au niveau bestial. Les animaux sont nos amis.
Ils nous offrent généreusement certains produits qu'il est légitime d'accepter avec
reconnaissance. Mais les tuer est un crime. Pour peu qu'il nous reste un peu de sentiment et de
sens esthétique et moral, il nous suffira de contempler quelques minutes l'ignoble massacre de
nos frères inférieurs sans défense dans un abattoir, pour ne plus ressentir à l'égard du corps en
décomposition de ces malheureuses victimes de notre gourmandise qu'un immense et définitif
dégoût.

L'ingestion de la viande au cours de ces derniers siècles opère une distorsion du mental,
générateur de toutes les formes de pollutions physiques et morales, de tous les mirages
économiques, progressistes et idéologiques... La viande est toujours dénaturée car elle est du
cadavre en décomposition, car le feu de la cuisson entraîne la mort des vitamines, la
précipitation des minéraux, et l'évaporation des diastases. Elle ne convient pas au tube digestif
humain, trop long. Ce dernier mesure en effet douze mètres alors que celui des fauves n'est
que de trois mètres. On peut comprendre que les stases occasionnent chez les humains
mangeurs de viande le cancer du colon, si répandu aujourd'hui. La viande apporte en excès
des acides aminés dont l'utilisation cellulaire au niveau du foie est hypothétique ou très faible
sauf en cas de blessure d'usure ou de croissance. Les sucs de l'estomac humain n'ont pas assez
d'acidité pour digérer l'intégralité des tissus de chair. Seuls les albuminoïdes sont assimilés
alors que les fibres musculaires demeurent insolubles. Le circuit digestif s'encombre de
produits en décomposition : les matières fécales des mangeurs de viande ont une odeur
ignoble accusant la putrescence intestinale, prélude majeur à toute pathologie. Enfin,
argument massue à la portée de tous : LES REINS NE LAISSENT PAS PASSER
L'AMONIAC, ce qui n'est pas le cas des fauves, comme chacun peut le « sentir » dans une
ménagerie.

Les germes de putréfaction qui sont latents chez l'animal, se mettent à l'ceuvre dès qu'il est
mort : la matière doit retourner à ses composants ; il est donc infect et monstrueux que nous,
humains, absorbions cette matière bonne pour charnier et que nous fassions de notre corps un
réceptacle immonde où grouilleront les agents nécrophores à l',oeuvre. Alors pourriture,
fermentation, puanteur règneront et PERVERTIRONT TOUS LES MECANISMES DE LA
VIE.

Non seulement de graves atteintes seront portées à l'organisme, mais aussi au MENTAL. Si
bien que l'objectivité supérieure qui doit nécessairement s'abreuver aux sources ontologiques
devient faussée. Non seulement l'haleine devient fétide, la maladie et la souffrance se
répandent mais le jugement se fausse. On ne s'étonne plus alors que les tenants de
l'exploitation de l'énergie atomique ou du marxisme croient SINCEREMENT qu'ils vont faire
le bonheur de l'humain. On ne s'étonne plus qu'un ministre croit faire le bonheur de la femme
en l'aliénant définitivement à l'économique et en finissant de ruiner la famille, on ne s'étonne
plus que le jugement faussé ne puisse plus retourner au non-carnivorisme. On ne s'étonne plus
que des masses amorphes puissent s'imaginer un instant que par le suffrage universel elles
vont élire les esprits de synthèse nécessaires pour les diriger...

La viande est donc incapable de contribuer au renouvellement d'une cellule noble. L'azote
qu'elle apporte a déjà été utilisé par la cellule animale qui a atteint son but utile dans le corps
qu'elle a constitué. Elle n'a plus qu'à reprendre son état gazeux primitif.

L'être humain possède un potentiel vital qu'il lui convient d'entretenir ; il doit incorporer dans
son organisme la force vitale contenue dans les substances qu'il absorbe pour les rendre partie
de lui-même par assimilation : cela est impossible par le truchement répugnant du cadavre qui
ne contient aucune espèce de force vitale.
Il n'est aucunement osé de dire que l'immortalité réside avant tout dans le non-carnivorisme,
la frugalité ordonnée et le respir.
SANTE ET JEUNESSE

Il ne saurait ici être question de la dénaturation et de la chimification alimentaire. Gunther


Schawb, dans son livre « La Danse avec le diable », a fait à ce sujet une analyse en
profondeur à laquelle seuls des détails peuvent être rajoutés. La destruction écologique, la
disparition des espèces animales, le massacre des bébés phoques, tout cela ne saurait être
évoqué ici sinon comme symptôme du grave désordre mental de ceux qui perpétuent cette
liquidation biologique et écologique. Mme Brigitte Bardot, qu'il faut féliciter et encourager
pour sa Fondation (1), doit savoir que ces horreurs jaillisent d'une fausse philosophie : bien
plus grave en effet sont chimification, vaccination généralisées qui détruisent l'homme à la
racine et fabriquent ceux qui pourront, à coups de bâtons, massacrer les bébés phoques, et au
Cambodge, avec la même technique, les femmes, les enfants, les vieillards et les intellectuels.
La comparaison avec Dachau ne comporte aucune justesse et aucune justice : il n'y avait à
Dachau que exclusivement ceux qui soutenaient le capitalisme libéral promouvant tous les
communismes, et ces cent dix millions de victimes depuis 1917.

C'est en effet l'homme viandé, chimiqué, agnostique, athée, vacciné, qui est atteint de cette
psychose économique du monde capitalisto-marxiste. C'est cet homme manipulé par le
marxisme et le freudisme qui prend toutes ces horreurs et ces erreurs pour du bon pain...
Avant de pénétrer plus avant dans un sujet qui nous touche tous sans exception, et puisque
nous venons de parler de « bon pain », je commencerai par dire que nous devons nous
protéger contre certains ennemis mortels. Ce sont : le sucre blanc, le pain blanc, l'alcool, le
café, le tabac, la viande. Tous ces produits sont dégénératifs et directement ou indirectement
cancérigènes.
Ce qui va suivre sera essentiellement pratique. Il faut donner à chacun les recettes
fondamentales de vie. Ceux qui voudront faire des analyses plus profondes des raisons ou des
impératifs donnés pourront toujours me contacter et se reporter soit à mon expérience, soit à
une bibliographie.

La santé exige que l'on se nourrisse d'aliments frais et vivants. Il ne faut pas manger ce qui
vous dégoûte, car il faut tenir le plus grand compte de la sollicitation intérieure.
Elle est la marque de la correspondance magnétique qui existe entre l'homme et l'aliment.
En Europe, chacun selon son tempérament et ses goûts, pourra puiser dans :
céréales, blé en tête, sans abus,
pain complet sans abus, laitage, surtout lait caillé, oeufs frais, modérément, fromage frais,
ail, oignon, échalotte, tous les légumes frais, légumes secs modérément, champignons frais,
tous les fruits européens, sel gris,
noix et amandes,
huile de noix et olive, herbes aromatiques,
miel sans excès.

(1) J'encourage vivement la belle oeuvre de Brigitte Bardot : que ceux qui le peuvent versent 100 F à sa
Fondation, 180, bd de la République, 92210 Saint-Cloud. Comme elle me l'a écrit : « Nous ne serons jamais
assez pour combattre la bêtise et la cruauté des hommes. » Souhaitons seulement qu'elle élargisse son champ en
combattant tout ce qui produit, fabrique les sous-hommes qui détruisent TOUT.
Il faut manger lentement et mâcher longuement. Les papilles absorbent les éléments subtils
des aliments et nourrissent nos cellules cérébrales. Il faut manger dans le calme, le silence et
l'imposer aux enfants : une bonne digestion leur assurera un meilleur développement. L'idéal
est de ne manger qu'une seule chose à la fois. Il faut manger ce qui vous fait envie au moment
où cela vous fait envie (nous ne parlons aucunement des aliments sophistiqués que l'industrie
met à notre disposition pour notre plus grande destruction). Ne mangeons pas ce qui nous
répugne et ne mangeons pas ce qui nous plaît si nous n'avons pas faim. Ne mangeons jamais
si nous sommes en colère ou sous le poids d'une émotion. Ne confondons pas faim et
gourmandise.

Toutes les religions prescrivent de jeûner chez soi un jour par semaine. Assurément, il faut le
faire. Rien ne peut vous être plus bénéfique sinon un long jeûne surveillé. Ce four de jeûne
hebdomadaire n'a besoin d'aucune surveillance : il doit être total, avec quelques gorgées d'eau
Volvic ou de source. La meilleure boisson est d'ailleurs l'eau de source. Ne buvez pas en
mangeant, mais prenez tout de même quelques gorgées pour faciliter la déglutition. Trop d'eau
constituerait une entrave à l'action du suc gastrique. Que dire alors de trop de vin, trop de
bière, etc. qui sont en plus des inhibiteurs de digestion. Si l'on a grand soif, il faut boire entre
les repas, lorsque la digestion est faite.

Dans l'organisme il existe une force vitale intelligente qui tend toujours vers la santé. Si vous
êtes blessé, cette force va faire baisser la pression sanguine puis former un caillot pour éviter
la perte de sang. Les globules rouges et les anticorps vont ensuite venir lutter contre les
éléments infectieux. Cette force vitale permet la recalcification et la reminéralisation des os
après une fracture. Si l'on a de la fièvre, elle va supprimer appétit et digestion et diminuer
l'assimilation. Ainsi toute l'énergie économisée peut se reporter sur la désassimilation,
l'excrétion cellulaire, l'élimination par le foie, les reins, les poumons et la peau (les
émonctoires) afin de désintoxiquer l'organisme.

Il faut donc éviter que les fiévreux ne mangent. En effet, les aliments ne sont pas digérés du
fait de la suspension des mécanismes digestifs, puisque, à partir de 38°, il n'y a plus de
diastases ecrétées dans le tube digestif. Ainsi, les aliments ingérés fermenteraient et se
putréfieraient, empoisonnant davantage le malade. Les animaux le savent bien car ils jeûnent
spontanément.

Cette force vitale se manifeste aussi miraculeusement pendant le jeûne. Si vous ne mangez
pas pendant dix jours, vous vous nourrirez tout de même. Des tissus de réserve
et certains éléments cellulaires fourniront la nourriture. Toutes les cellules en général vont
déverser des enzymes dans le sang ; elles vont attaquer et digérer certains tissus EN RAISON
INVERSE DE LEUR IMPORTANCE VITALE. Ainsi, au bout de trois semaines de jeûne, ni
le tissu nerveux ni le tissu cardiaque n'auront perdu un centième de milligramme. Seuls les
tissus graisseux ou musculaires auront servi de nourriture aux tissus les plus vitaux. Cette
force vitale, précieuse fée de l'organisme, doit être traitée avec le plus grand soin pour
conserver la santé et pour guérir.

Nous sommes constitués de 70 % environ de sang, de lymphe, de liquide extra et intra


cellulaire. De ces humeurs sont constamment rejetés des poisons intestinaux et des résidus du
métabolisme cellulaire. IL FAUT DONC QU'IL Y AIT EQUILIBRE ENTRE LA
PRODUCTION ET L'ELIMINATION DE CES POISONS. SINON IL Y A ENCRASSE-
MENT HUMORAL ET LA MALADIE APPARAIT.

Voyons schématiquement comment se comporte la force vitale selon trois cas approximatifs :
si elle est forte, les poisons vont s'expulser par la peau : psoriasis, acné, eczéma ; si elle est un
peu défaillante, les muqueuses vont expulser : otites, sinusites, conjonctivites, vomissements,
diarrhées. Si elle est très défaillante, du fait de l'hérédité, du stress prolongé, de l'âge, alors ce
sera : cancers, tumeurs, calculs, arthrose, et même maladies du système nerveux comme les
maladies de Wilson et de Parkinson. Il est bien évident que la mauvaise hygiène alimentaire et
générale tend à diminuer notre force vitale.
Il faut éviter le déséquilibre entre la production des poisons intestinaux et leur élimination. Il
faut éviter l'intoxication, l'intoxination.

De la naissance à la mort, l'homme mange pour assurer la nutrition de ses tissus ; les aliments
doivent être rendus assimilables ; pour ce faire, ils doivent subir le travail de la digestion qui
va les transformer en éléments susceptibles de traverser la muqueuse de l'intestin grêle et de
passer dans le sang afin de nourrir les cellules. Il se produit au cours de la digestion des
DECHETS qui subissent une fermentation : le pain, les pâtes, les pommes de terre ; ou une
putréfaction, comme la viande, les oeufs, les fromages, les oléagineux.

Il existe un prince de l'organisme : le foie, qui, normalement, détruit les poisons issus de la
fermentation et de la putréfaction, mais IL NE FAUT PAS LUI DONNER PLUS DE
POISONS QU'IL NE PEUT EN DETRUIRE. Et, entre parenthèses, c'est ce que fait
automatiquement un mangeur de viande. Il est donc normal qu'il sombre un jour ou l'autre,
selon la puissance de sa force vitale, dans la pathologie rhumatismale...

Ce qui bloque surtout la digestion et amène le processus maladif ce sont les INHIBITEURS
DE DIGESTION.
Tout d'abord, il y a les sucreries. Nous parlons, bien sûr, du sucre artificiel, chimique, et non
du sucre naturel contenu dans les fruits. Cette saccharose a une action inhibitrice sur la
pepsine et l'acide chlorydrique de l'estomac et sur la salive. Donc il produit une inhibition de
la digestion buccale et stomacale. Les aliments insuffisamment transformés vont surmener
l'intestin grêle, entraînant putrescence et fermentescence. Ajoutons que le sucre blanc dissout
littéralement le CALCIUM du corps. Il est facile de le constater dans les grandes cités où les
enfants qui se gavent de bonbons ont des dentures littéralement rongées par le sucre blanc.

Le café, le thé, le cacao sont aussi des inhibiteurs. Le café et le thé contiennent du tanin
astringent qui resserre les tissus stomacaux et intestinaux. Il rétrécit l'ouverture des canicules
qui amènent les sucs digestifs. Des revues médicales officielles attestent que le café est un
toxique et un cancérigène. Les pourvoyeurs de café étaient condamnés à mort dans certaines
civilisations. N'importe qui sait que les hépathiques et les nerveux ne le supportent pas.

Le chocolat est indigeste par son apport de graisse et contient — hormis le sucre blanc — un
élément inhibiteur : la théobromine. Le vin est trois fois inhibiteur : par le tanin, par le gaz
sulfureux et par l'alcool. Ce cancérigène qui sclérose la fragile muqueuse de l'estomac. Même
à petite dose, il sclérose notre système hépathique et vasculaire. C'est pourquoi la_ mode du
petit verre, apéritif, digestif, invitation au comptoir, célébration de ceci ou de cela, est une des
habitudes, avec celle du tabac, les plus suicidaires de l'humanité. Il faut y renoncer
farouchement sans craindre d'être impoli. De la même manière, il faut refuser, gentiment
d'abord, puis avec force de se laisser polluer par les cigarettes des inconscients qui vous
entourent et vous infligent leur vice sans même vous demander s'ils ne vous dérangent pas.
D'ailleurs, par un juste retour des choses, les femmes accusent maintenant, à cause du tabac,
de graves pathologies qu'elles ignoraient encore il y a quelques années où la femme moins «
libérée » ne fumait pas...
Mais il y a pire que le café, c'est le café au lait. Le lait est déjà pour le grand enfant et l'adulte
très difficile à digérer. Si l'on y ajoute le café, antidigestif puissant, alors la digestion devient
un long et difficile tour de force pour l'organisme.

Mon ami et collaborateur, Robert Masson, auquel l'essentiel de ce chapitre rend hommage,
insiste judicieusement sur le fait que les sirops et les limonades sont très pernicieux pour
l'enfant. Ils bloquent à un point incroyable nos digestions et sont partiellement responsables
des maladies infantiles. Les potages, mêmes élaborés avec d'excellents légumes, ont une
nuisance certaine, car le liquide dilue les sucs digestifs : les aliments hyperhydratés sont fort
peu attaquables par ces sucs. Il ne faut pas transformer non plus l'intestin des enfants en
égouts : un bon millier d'expériences ont prouvé à Robert Masson que si l'on supprimait chez
l'enfant tous les facteurs nocifs que nous venons d'évoquer, la pathologie infantile se réduit à
peu de choses. En effet, comme le disait Pasteur, le microbe ne devient dangereux et ne se
développe que si LE TERRAIN LUI EST FAVORABLE. Souvenons-nous que les prêtres et
les soeurs qui soignaient les pestiférés au Moyen Age, ne contractaient pour ainsi dire jamais
la peste, et ceci parce qu'ILS AVAIENT UN REGIME ALIMENTAIRE ET
PSYCHOLOGIQUE SAIN...

Robert Masson a constaté un nombre considérable de fois que les bronchites et les angines à
répétition que présentent certains enfants disparaissent après un réglage alimentaire. Parmi les
éléments de ce « réglage » : repas de fruits pris tout seuls, suppression radicale de café au lait,
sucreries et certains mélanges ; beaucoup de repas de légumes variés, de lait caillé, de
fromage blanc. Mais, bien entendu, la modulation de ces règles est individuelle. Il n'en est pas
moins vrai que sans consulter, on peut d'ores et déjà supprimer le sucre blanc sous toutes ses
formes, le mélange de fruits, le café au lait, et même la viande dont d'ailleurs les enfants les
moins dégénérés ont une horreur naturelle. (Partant de la triste vérité que nous
sommes tous plus ou moins dégénérés). Le bifteck tartare de nos homosexuels latents ou
patents est un triste signe de leur état général organique et MENTAL.

L'organisme intoxiqué est victime d'une rupture d'équilibre entre la production des poisons
intestinaux ou résidus divers et leur ELIMINATION.
Par exemple, le tabac apporte du cyanure, de l'arsenic, des sels nocifs, de l'oxyde de carbone,
de la nicotine... Après TROIS cigarettes seulement, les cils vibratoires des muqueuses
respiratoires et du rhino-pharynx sont paralysés. On peut sourire lorsque certains chimio-
thérapeutes (médecins officiels) conseillent de ne pas dépasser 10 cigarettes par jour, alors
que une ou deux sont déjà fort dangereuses, hélas ! à l'insu du malade qui n'aura compris les
effets du tabac que le jour où il se réveillera avec un cancer du poumon.
Lorsque l'on introduit dans l'organisme un produit nocif, les glandes endocrines se suractivent
pour détruire le poison, la circulation sanguine s'accélère pour permettre des phénomènes de
combustion, de neutralisation, d'élimination. Cette lutte est ressentie de manière agréable :
elle produit une euphorie QUI TRADUIT L'EMPOISONNE-MENT. Le poison aliment est
euphorisant. Cela se produit pour le thé, le café, le coca-cola. Le café apporte des doses
énormes de composés puriques qui se transforment en acide urique dans l'organisme. D'où
calculs rénaux, arthrose, rhumatismes. Mais le plus effroyablement dangereux est le COCA-
COLA. Il contient beaucoup de caféine, de l'acide phosphorique et des additifs chimiques.
Cette caféine provoque notamment des brisures de chromosomes, que l'on trouve dans
certains tissus cancéreux en voie de développement. (Nous voyons en passant quel crime de
lèse-humanité — à l'échelon mondial — la vente du Coca-Cola représente, vente où seul le
concept d'intérêt personnel est en jeu — sans le moindre souci altruiste, puisqu'il s'agit
d'assassinat pur et simple des "êtres humains dan leur réalité organique élémentaire).
Les additifs chimiques sont du même ordre criminel, mais en ce qui les concerne on
commence à avoir, même dans les cercles officiels, une certaine lucidité.
Il y en a plus de mille. Ils sont testés en laboratoire. Après quelques semaines, ou quelques
mois, l'animal qui les a ingérés est examiné. On constate les perturbations physiques, les
lésions et l'on décide que cet additif est « bon pour le service alimentaire ».

Pour les pesticides agricoles, les expériences durent deux ou trois ans, mais ne prouvent
strictement rien. Elles deshonorent les hommes de « science », car ils ne tiennent aucunement
compte de la toxicité et du pouvoir cancérigène de ces additifs A LONGUE ECHEANCE.
Les Américains ont suspendu l'usage des cyclamates car ils se sont aperçus au bout de vingt-
cinq ans qu'ils étaient cancérigènes. Un cancer dû à l'absorption d'arsenic n'apparaît que vingt
ou trente ans après. Les tests effectués se font sur des échéances trop brèves et par conséquent
ne signifient RIEN. De plus, les savants américains et allemands se sont aperçus que deux
additifs chimiques réputés non cancérigène devenaient cancérigène PAR UNE RENCONTRE
FORTUITE dans l'organisme. Nous avons parlé de l'expérience du professeur Leriche : les
douze rats qui avaient ingérés les produits pharmaceutiques contenant toutes les vitamines
devinrent cancéreux. Si des vitamines de synthèse peuvent avoir de semblables effets que dire
alors des composés synthétiques non indispensables à la vie, tels que les additifs, les
colorants, etc. ?
Dans les traités de médecine où l'on parle de la vieillesse, quelles sont les constatations
fondamentales faites sur ce phénomène ?

On observe :
la deshydratation de la peau,
la déminéralisation des os,
l'hypotrophie des cartilages,
l'ossification des ligaments,
la perte et la décoloration du système pileux, la diminution des sécrétions digestives,
la dégénérescence des artères,
la disparition de la sexualité,
l'affaiblissement des organes des sens : vision, audition, olfaction,
l'affaiblissement et la diminution de la contractibilité musculaire.
On constate en effet tout cela et bien d'autres choses encore, mais ce que l'on oublie de nous
dire c'est que TOUS CES PHENOMENES SONT PRECEDES DE L'HY-
PERTOXICITE HUMORALE ET DE L'HYPERVISCOSITE HUMORALE.
Cet état humoral entraîne la sclérose généralisée, le ralentissement des échanges, et partant, le
vieillissement.
L'hypertoxicité humorale est causée par les toxiques introduits dans l'organisme de l'homme :
caféine, théobromine, théophylline, nicotine, alcool, additifs chimiques, etc.
Elle est causée par les poisons nés dans le tube digestif : scatol, indol, phénol, ptomaine, etc.,
c'est ce qu'on appelle l'INTOXINATION.
Or ces toxiques et toxines irritent chroniquement nos tissus, conduisent à la sclérose, car toute
irritation tissulaire, si elle est répétée, prolongée, entraîne la sclérose tissulaire.
L'hyperviscosité humorale est causée par l'excès de toxiques, de toxines, par l'excès de
nutriments dans nos humeurs, par la SURALIMENTATION. Cette hyperviscosité ralentit tous
les échanges. Intoxication, intoxination par mille poisons chimiques dont je vous passe la
liste, déterminent une hyperviscosité humorale qui, en langage clair, signifie ceci : excès
global de nourriture, excès de mélanges alimentaires, utilisation d'inhibiteurs de digestion :
vin, café, thé, café au lait, sirops, limonade, sodas, miel, etc., et insuffisance de mastication.

Puisque nous connaissons les causes fondamentales de l'intoxication et de l'intoxination


responsables de l'hypertoxicité et de l'hyperviscosité humorale, à nous de les combattre à
l'aide des dix règles suivantes SANS LES-QUELLES IL NE PEUT Y AVOIR POUR
PERSONNE DE SANTE ET DE JEUNESSE PROLONGEE.

L'expérience a en effet prouvé que les peuples qui suivent cos dix règles obtiennent une
longévité de cent à cent trente ans, sont doués d'une grande force de résistance et d'une haute
spiritualité.

1) Suppression des poisons : thé, café, coca-cola, maté, cacao, vin, alcool, tabac, additifs
chimiques.
2) Manger mesurément, sans mélanger les aliments, lorsque l'on a faim en supprimant les
inhibiteurs de digestion.
3) Manger peu en général : le facteur QUALITATIF est beaucoup plus important que le
facteur quantitatif. Le concept calorique est quasiment sans intérêt.
4) Utiliser périodiquement purge et lavement afin de vider l'intestin de la masse de
fermentescence et de putrescence. Une purge par semaine à jeun et ne rien manger pendant
douze heures au moins.
5) Favoriser les éliminations rénales : diminuer le sel et avoir recours aux plantes draineuses
des reins.
6) Favoriser les éliminations cutanées par des bains de sudations doux, progressifs et adaptés,
car la peau élimine bien des poisons, tels par exemple, urée, acide urique, créatine, créatinine
chlorure de sodium, acide lactique, etc.
7) Pratiquer l'exercice afin de comburer les excédents nutritifs, d'oxygéner les tissus, de
restaurer une bonne circulation sanguine et lymphatique.
8) S'opposer aux phénomènes mécaniques de vieillissement : ressangler l'abdomen par la
culture physique, ré assouplir les cartilages costo-sternaux et costo-vertébraux par les bains,
les massages, les exercices appropriés, notamment pour rouvrir la poitrine et redonner aux
poumons une expansion normale.
Il faut aussi pratiquer une culture physique pour redresser l'axe vertébral.
9) Il faut s'occuper du mental : pratiquer le respir, la relaxe, la concentration, faire comprendre
la sottise du matérialisme et de son fils, le néantisme. Prendre conscience de la beauté de la
nature, de l'utilité de sa propre action envers soi et les autres.
10) Il ne faut pas oublier que la relaxe évite le gaspillage d'énergie vitale et diminue l'emprise
du cortex sur les centres végétatifs. Il faut aussi dormir suffisamment et tôt. Qui dort se
désintoxique.
Il faut aussi favoriser une meilleure oxygénation des tissus par des séjours à l'air ensoleillé et
aromatisé des campagnes. Il faut favoriser une meilleure nutrition par l'exercice et l'apport
d'aliments aussi frais que possible.
Enfin, l'utilisation périodique du germe de blé, de la gelée royale du pollen est aussi
fondamentale (cure d'un mois à la belle et à la mauvaise saison : janvier, juin).
Dans le cabinet du psychologue ou du médecin naturopathe, comme de l'homéopathe, il sera
tenu compte non seulement de votre état pathologique mais de votre NATURE. En effet, nous
n'avons pas tous la même pathologie, selon notre nature nous serons portés vers telle ou telle
maladie. Nous allons maintenant voir l'essentiel de cet important problème.

NOTRE NATURE ET NOS PATHOLOGIES

Tout être vivant est plongé depuis sa naissance dans un bain cosmique vibratoire ; selon la
disposition changeante des planètes, du soleil, de la lune par rapport à la terre, ce bain
cosmique est différent pour chacun de nous, si différent qu'il n'existe pas deux thèmes astraux
identiques. Depuis la plus haute antiquité, on s'est aperçu que ces bains vibratoires de
naissance sensibilisent des organes ou des groupes d'organes. Notre thème ne nous confère
pas une pathologie mais un TERRAIN PATHOLOGIQUE qui deviendra automatiquement
pathologie si nous avons une nourriture ou une hygiène déficiente car la nature ne pardonne
jamais.
Il est intéressant de parler ici des douze travaux d'Hercule. Ces douze travaux (1) représentent
les tendances négatives des douze signes du zodiac qui nous composent tous. Hercule a dû les
vaincre pour devenir un demi-Dieu, c'est-à-dire un homme libre.
Par exemple, l'hydre de Lernes, aux cent têtes qui repoussent toujours, est la sexualité du
scorpion, et représente sans doute pour Hercule comme pour nous le plus difficile des travaux
d'Hercule. Le meilleur moyen de maîtriser cette hydre est la diététique convenable, les
exercices physiques et le respir qui met sur la voie de la prière authentique qui n'est pas un
formalisme verbal.
Nous sommes tous influencés par les 12 signes, mais il est évident que les éléments négatifs
de notre signe solaire seront les plus développés. La douce balance n'aura pas à faire de gros
efforts pour combattre en lui la violence du lion en colère...
Ainsi donc, si nous réalisons une pathologie, ce sera celle inscrite dans notre thème astral et
particulièrement celle de notre signe solaire.

(1) Je recommande ici les ouvrages et l'enseignement du Maître O. M. Aïvanov, 1, rue du Belvédère de la
Ronce, 92 Sèvres. Je lui dois cette prise de conscience ainsi qu'à Rudolph Steiner.
J'ai été moi-même ahuri de voir lors de mes conférences à quel point, en se basant sur le
simple signe solaire, les êtres à partir de la quarantaine — et souvent même avant —
réalisaient le potentiel morbide de leur signe. Ceux qui ne l'avaient pas réalisé avaient
consciemment ou non, évité cette pathologie par l'application de bonnes règles diététiques ou
hygiéniques. Je me souviens, par exemple, d'une « poisson » qui n'avait à quarante-cinq ans
aucune varice dans les jambes et qui était... professeur de gymnastique ! Un « lion » qui
n'avait aucune atteinte cardio-vasculaire mais qui... ne fumait pas, ne prenait aucun alcool, etc.

Malheureusement nous nous conduisons et nous alimentons dans la direction générale de


notre ciel de naissance, c'est-à-dire que nous faisons tout ce qu'il faut pour réaliser la
pathologie qu'il nous promet. Par exemple, une « balance » troisième décan est très attirée par
les sucreries, chocolats, glaces, gâteaux, etc., et il lui est bien difficile de se délivrer de cette
appétence si elle ne s'enferme pas chez elle avec, dans son garde-manger, uniquement ce qui
lui convient. De plus, l'homme ayant perdu sa faculté de discernement travaille à sa propre
dégénérescence.

Il est très intéressant de savoir que si nous carbonisons le corps humain nous trouverons dans
ces restes DOUZE sels inorganiques. Chacun de ces sels a sa fonction bien déterminée dans la
chimie du corps. Quand le corps se trouve en mauvaise santé, il y a déficience d'un de ces
sels. L'homéopathe ou le psycho-diététicien vous les prescrira. Mais de toute façon, le sel
correspondant à notre signe solaire nous est toujours bénéfique.
On peut aussi trouver ce sel important dans des légumes et fruits appropriés dont votre
conseiller médical vous donnera la liste.
Voyons maintenant le potentiel morbide tant organique que psychologique correspondant à
chaque signe du zodiac.

LE BELIER - 21 mars au 19 avril

Il souffre d'une surestimation de ses possibilités et abuse facilement de ses ressources


physiques. Son enthousiasme et sa soif de diriger le fait présumer de ses forces. Il a un
caractère emporté et n'aime pas les critiques que celles-ci soient justifiées ou non.
Il doit faire attention en maniant des outils et des instruments de travail. Il est enclin à faire le
maximum pour se tuer à la tâche. S'il est mal aspecté il y aura chez lui de la force, de la
violence, de la destruction. Les maladies touchent les dents, la peau, la tête, fièvres,
névralgies, vertiges, épuisement nerveux, affaiblissement de la mémoire.
Se méfier des traumatismes crâniens. Les canaux semi-circulaires, organes de l'équilibre sont
particulièrement menacés. Les enfants font facilement des otites suppurées. Attention à
apoplexie, maux de tête, humeur irritable, dyspepsie nerveuse, et sensation accablante de
fatigue générale.

LE TAUREAU - 20 avril 20 mai

Lorsqu'il est mal aspecté, terre à terre, négatif et stérile.


Il n'est pas facile à vivre. Il fonce dans le brouillard si on le contraint ou le contrecarre, il est
sensible aux influences psychiques et émotionnelles. Il a des angoisses, des idées noires,
l'amour du luxe, un entêtement excessif, des réactions émotionnelles incontrôlées. Il a
tendance au matérialisme et à la sensualité.
Il est menacé par les maux de gorge, les maladies du larynx, du cou, des oreilles, des glandes
sexuelles, la diphtérie, le goître, les angines, les sinusites. La thyroïde est fragile.
Il peut avoir toutes les maladies consécutives à une alimentation trop riche. Attention aux
troubles de la circulation, à l'embonpoint. Les para thyroïdes déséquilibrées peuvent chez les
femmes surtout, donner de la spasmophilie.

LES GEMEAUX - 22 mai au 21 juin


La grande maladie des gémeaux c'est la survitesse. Ils craignent de rater quelque chose, ils
veulent aller partout, tout voir, tout entreprendre, tout lire, tout étudier. Ils sont avides de
connaissances. Cette appétence perpétuelle entraîne une forte dépense nerveuse. Si les
gémeaux manquent de sommeil et ont une carence en phosphore, magnésium et calcium, ils
sont menacés des plus graves atteintes pulmonaires qui peuvent être fatales.
La fragilité des poumons leur est caractéristique : bronchite, asthme, pneumonie, abcès du
poumon, mais aussi paresse du foie, maladies de la peau. Si Mercure est affligé dans leur
thème, on peut craindre des troubles et désordres nerveux. La monotonie d'un travail
fastidieux peut les mener à cet épuisement thyroïdien couramment nommé « dépression
nerveuse ». Ce type peut être fiévreux, d'esprit alerte, curieux, souvent volage, capricieux,
aimant le plaisir et irresponsable.

LE CANCER - 22 juin 21 juillet

Chez lui, les indigestions nerveuses, les gastrites, les maux d'estomac, les difficultés à
éliminer sont typiques. Il peut être rancunier et avoir une tendance à l'alcool. Il est sensible,
timide, imaginatif, amoureux du plaisir, capricieux. Son état mental étant morbide, il manque
de vitalité. Il est menacé par la hernie hiatale. Les natifs de ce signe et particulièrement les
femmes, ont tendance à prendre du poids très tôt dans leur vie avec pour conséquence un
déséquilibre du métabolisme et une tendance à l'oedème.

LE LION - 22 juillet 21 août

Ce sont les ennuis cardio-vasculaires qui le caractérisent artériosclérose, maladie de coeur,


angine de poitrine, cardite, anévrisme, etc. Maladies brèves avec fortes poussées de fièvre. Il
peut être affligé de douleurs dans le dos ou l'épine dorsale, d'ataxie locomotrice. Dans sa
jeunesse, il peut avoir des rhumatismes articulaires aigus, la rougeole et la méningite. Ses
maladies sont celles de l'excès dans les domaines du travail comme du plaisir. Les signes
dangereux pour lui sont : souffle court, douleur fulgurante, au-dessous du sein,
étourdissements et nausées.
En mauvais aspect, ses défauts seront : arrogance. brutalité, sensualité, ton protecteur, absence
de considération pour les droits d'autrui qui peut le mener à la tyrannie s'il dispose de pouvoirs
officiels. En affaires comme au jeu il peut être joué.

LA VIERGE - 22 août 22 septembre

Les vierges deviennent souvent des invalides sur leurs vieux jours parce qu'ils sombrent dans
le désespoir. Ils peuvent avoir tendance à la droguomanie. Leurs intestins sont sensibles. Ils
peuvent être atteints de diarrhée comme de constipation, d'indigestion, d'hémorroïdes,
d'obstruction intestinales, de péritonite, de vers solitaires, de typhoïde, de colites,
d'appendicite, de hernie. Leur tension mentale dégénère en maux d'estomac. La ceinture
abdominale musculaire est fragile. La déficience en sulfate de potassium se traduira chez eux
par de l'acnée, de l'eczéma, des pellicules. La vierge type devient aisément une malade
imaginaire ou réelle qui se complait dans sa maladie.

LA BALANCE - 23 septembre 22 octobre

Les associations discordantes, que ce soit dans le travail ou dans le mariage, perturbent
considérablement ce natif, qui est, hélas, enclin à se marier, obnubilé par les formes
extérieures de la beauté, en négligeant le « contenu ». Ces discordances peuvent amener une
névrose. La répercussion se fera sur les reins, organe faible chez la balance. Les états
dépressifs peuvent aussi le mener à chercher refuge dans l'alcool ou la drogue qui lui sont plus
qu'aux autres signes parfaitement contrindiqués du fait de sa faiblesse hépatique et surtout
rénale. Chez lui, toute perturbation émotionnelle réagit sur les reins.
En conséquence, l'insuffisance rénale se traduit chez la balance par des maux de reins, un
mauvais fonctionnement de la vessie, des migraines, des dermatoses diverses.
Les balances sont très gourmandes de gâteaux, de chocolat, de pâtisserie qui leur sont très
préjudiciables du fait de leur faiblesse rénale. Le diabète menace la balance en permanence
(surtout les gourmands du troisième décan : 10 au 20 octobre).
La pathologie de ce natif voit aussi dans son éventail: lumbago, anurèse, troubles de la vessie,
ulcères, calculs aux reins, urémie, maladie de Bright, diabète et chez les femmes : kystes aux
ovaires.
Psychologiquement leur besoin de tout peser en fait des
spécialistes de l'aternoiement. Cela peut les mener à l'indécision chronique d'où une tension
émotionnelle dangereuse pour les reins et la vessie. Les balances de types courant par besoin
de plaire, ont une tendance à faire ce que les autres veulent. Ce signe vénusien est chez
l'homme, flirteur et volage. C'est le Don Juan passif qui attend que, subtilement, la femme lui
fasse signe pour la cueillir comme une fleur.

LE SCORPION - 23 octobre 21 novembre

Il est heureux que tous les scorpions n'aient pas dans leur thème, une profusion de mauvais
aspects car ils correspondraient alors à cette triste description : il est roublard, pervers,
meurtrier, traître, incapable de s'améliorer, il attire les ennuis, il complote, convoite les biens
des autres ; il est voleur, parjure, capable d'assassiner, d'empoisonner, de détester les membres
de sa famille à qui il doit tout.
Il est lié à Pluton qui règne sur la bombe atomique et la science analytique moderne en
général.
Disons que si ce signe très mal aspecté correspond aux Landru, Petiot et autres gibiers de
potence, lorsqu'il est bien aspecté il passe alors « du scorpion à l'aigle » et atteint les cimes de
l'intelligence. (Dostoïevski).
Chez le scorpion, les maladies d'adultes résultent souvent d'une enfance malheureuse ou d'une
inadaptation infantile. Les désordres nerveux peuvent aller jusqu'à l'hystérie.
Il est particulièrement sensible aux maladies contagieuses. Ses points faibles sont les organes
sexuels, le gros intestin, l'appendicite, l'urètre, le coccyx, et le plexus sacré.
Les maladies qui le guettent sont l'hépatite, les troubles de la vessie, l'epilepsie, la prostate, la
hernie inguinale, la varicosèle, les gonorrhées et la syphilis.
Les femmes risquent les troubles menstruels. Le scorpion peut être sans pitié et de cruauté
délibérée. Chez lui, la carence en sulfate de calcium se traduit par de la congestion nasale, de
la sinusite, ou de la difficulté à respirer. L'aggravation peut aller jusqu'à la pleurésie en passant
par les maladies de foie ou du rein. Le cancer du colon est fréquente chez ce natif surtout s'il
est carnivore.

LE SAGITTAIRE - 22 novembre 21 décembre

Ce natif peut avoir des désordres nerveux, des problèmes de circulation, son goût de la vitesse
et de l'aventure en lait la proie rêvée des accidents. Ses ennuis de santé touchent le pelvis, les
jambes, les os du sacrum, les fesses et les muscles des hanches et des cuisses. Lorque l'âge
arrive il doit se méfier des sols gelés, des sols glissants comme aussi des escaliers raides. Sa
bonne santé peut être compromise par des excès de table, d'alcool, par un mode de vie
crevant. Peuvent être touchés : le foie, le système artériel et veineux. Il peut avoir les maladies
de son signe opposé les gémeaux : troubles pulmonaires, bronchite.
Dans son éventail pathologique se trouvent aussi diabète, rhumatismes, sciatiques, entérite,
fistule, et ataxie locomotrice. Le sagittaire est aussi fort « chasseur de femmes ».
Comme il aime les plats exotiques, les plats compliqués, il risque de voir augmenter son taux
de cholestérol. Il aura donc des troubles de la circulation dans les jambes et les pieds. Il pourra
avoir des crampes si douloureuses qu'il ne pourra dormir. En outre, l'obstruction des artères
coronaires ou des vaisseaux irriguant le cerveau peut avoir des conséquences graves sur le
plan cardio-vasculaire. Si la silice manque à ce natif, il aura des ongles fragiles et cassants,
des paupières enflammées, la chevelure manquera de brillant, les gencives seront
douloureuses et parfois sujette à des abcès.

LE CAPRICORNE - 22 décembre 20 janvier

Lorsqu'il est enfant il aura une santé fragile qui se raffermit par la suite.
Ce signe ressasse ses problèmes et ses soucis et peut dans les cas les moins bien aspectés
avoir une tendance hyponcondriaque. Il a facilement des accidents du genre os cassés,
fractures, foulures, contusions, blessures du genou.
La circulation peut s'alourdir. Il peut éprouver certaines difficultés à éliminer ce qui
accumulera dans son organisme toxines et déchets. Il est guetté par les maux d'estomac, les
calculs dans la vessie, les rhumatismes, l'athrite, les névralgies.
Si Saturne est en capricorne dans son thème astral, il peut aussi souffrir d'un insuffisance de la
vésicule biliaire. Les défauts potientiels en mauvais aspect sont l'égoïsme, le pessimisme, la
ladrerie et l'indifférence vis-à-vis des autres. Leur hypersensibilité rentrée peut les mener aux
ressentiments qui débouchent sur des hyperacidités gastriques de caractère névrotique. Le
capricorne a de grandes difficultés à se montrer affectueux. Il doit se méfier de sa tendance à
la surdité à l'égard des problèmes d'autrui.
En raison de l'influence saturnienne qui inhibe le fonctionnement de son foie et de sa vessie, il
n'est pas apte à résister aux agressions qui constituent les mets très épicés les plats en sauce,
l'alcool et le tabac. Chocolat, mayonnaise et tabac sont pour lui des poisons violents.
Il faut constater aussi que les plus redoutables matérialistes de ce temps appartiennent à ce
signe, alors que les matérialistes à tendance « mystique » sont marqués par le Scorpion et le
Taureau.

LE VERSEAU - 21 janvier 19 février

Ce signe a une tendance à la vie désordonnée, à la tension aux efforts poussés au-delà des
limites de l'endurance physique. Il est sensible aux perturbations planétaires plus que tous les
autres signes. Il a une prédisposition aux varices, aux chevilles foulées, aux contractions
musculaires des jambes. Sa tension artérielle peut monter à l'âge mûr. La mauvaise circulation
et le manque d'exercice le voue aux crampes des jambes.
Il a une tendance fâcheuse à ne pas tenir sa parole. Il est sujet aux caprices, aux hésitations,
aux atermoiements, au pessimisme.
Le malheur en ménage amène des troubles psychosomatiques : névralgies, tics, maux de reins,
l'influence d'Uranus se traduit par une mauvaise circulation du sang au niveau des reins et des
jambes. Une déficience en chlorure de sodium leur fera risquer l'hydropisie, le catarrhe, la
diarrhée et dans les cas extrêmes le délirium.

LES POISSONS - 20 février 20 mars

Il est la proie d'une certaine anxiété qui se traduit par un mauvais fonctionnement de ses
glandes endocrines. Lorsqu'il est malade, il croit qu'il ne guérira pas. Cela peut tourner à l'idée
fixe et empirer son état. Si Mars est mal disposé risque de duodénite s'il y a manque de
calcium, carie dentaire importante. L'insuffisance calcique dans le sang a une influence
désastreuse sur le système nerveux sympathique (irritabilité).
Les maux qui guettent les poissons sont les tumeurs et les champignons, les mucosités
obstruant les poumons et l'appareil digestif, les pieds enflés ou douloureux et la conjonctivite.
Si les poissons sont du troisième décan sous influence martienne, il faut faire attention aux
blessures qui, si elles ne sont pas soignées risquent de s'infecter et d'amener le tétanos. Il doit
se méfier des êtres qui le conduiront à abuser de ses forces physiques et mentales : il faut qu'il
s'en sépare périodiquement pour recharger ses accus.
S'il y a conflit émotionnel prolongé, il y aura des risques de réactions nerveuses, de
convulsions, de phobies, et une certaine perturbation des sens.
Attache parfois trop de prix à la sexualité. En cas de manque de phosphate de fer, les «
poissons » souffriront d'anémie, de baisse de tension, de troubles glandulaires, de vertiges, de
sévères migraines, un léger effort coupe la respiration et il ressent une fatigue perpétuelle.
Les femmes poissons ne doivent pas manquer d'iode au moment de la ménopause. Elles
risqueraient le mycedème (insuffisance thyroïdienne grave).

Nous avons là l'essentiel des particularités morbides de chaque signe du zodiac. Il est évident
que nous ne saurions prétendre être exhaustif, mais simplement donner de précises sur le
panorama pathologique d'un être. Cependant le thème astral individuel peut donner des
indications précises sur le panorama pathologique d'un être. Cependant avec ce que nous
venons de vous indiquer, si en plus vous connaissez votre signe ascendant (déterminé par
l'heure et le lieu de votre naissance, ainsi que la date bien entendu)
vous saurez déjà bien vous orienter pour éviter que la « toxémie » ne transforme des terrains
propices en pathologie réelle. Vous pourrez faire vos « douze travaux d'Hercule » avec ce qui
vous revient de capital « libre arbitre », que vous ferez d'ailleurs fructifier.

FOLIE ET GENIE

Le monde officiel plutonnique, ne contient pas d'intellectuels mais des intellectualistes c'est-à-
dire des spéculatifs coupés du réel et qui de ce fait sont destructeurs.
Ils se rattachent tous d'ailleurs à trois impostures, le concept scientifique qui est purement
analytique et quantitatif, utilitaire, économique, soumis à la « rentabilité » psychose la plus
destructive qui soit, le marxisme, qui est une doctrine de mort puisqu'elle est conçue pour
l'étatisme et l'homme-masse sans se soucier de son atteinte à la liberté et au respect de la
personne humaine (110 millions de personnes dénombrée, victimes des communismes depuis
1917). Le Freudisme, qui lui s'attaque à la famille, aboulise, pornographie, déflore nos
sentiments les plus sacrés, le respect des parents, de la mère, l'innocence de l'enfant.
(Freud n'a pas compris, car il était gravement malade, souffrant d'une insuffisance interstitielle
accusée, que l'homme normal n'est pas dégagé de son fameux « libido » mais qu'il l'encadre
étroitement dans un ensemble de règles de conduite et de pensée qui ne lui permettent pas
d'envahir les sphères nobles de l'existence : la famille, la connaissance, la pensée, l'esprit de
sacrifice.)
Les deux concepts, folie et génie, contrairement à ce que l'on voudrait nous faire croire, n'ont
rien de commun. La folie est anarchique ou morbidement rationnelle. Elle n'est jamais ce
qu'est le génie : SYNTHESE ET SENS MORAL.

Le Génie oeuvre, au besoin contre son propre intérêt matériel, dans le but d'une vivification
morale et spirituelle de l'humanité. Il est idéalo-matérialiste, c'est-à-dire qu'il ne néglige ni
l'aspect matériel le plus bas, ni l'aspect spirituel le plus haut. -Le génie n'est jamais le résultat
de la FRENESIE INVENTIVE et n'aboutit à aucune destruction de la totalité humaine. Les
concours officiels : agrégation, internat, ENA, polytechnique, etc. qui produisent les
intellectualistes dont nous avons parlé, sont aux antipodes du concept génial. On comprend
donc que même malgré les avertissements les plus lucides, ils continuent à œuvrer vers la
destruction. Les renseignements fournis quant au problème des centrales nucléaires par un
directeur de l'E.D.F. et un professeur d'université sont suffisants pour donner la mesure des
dangers certains que nous courons : cela n'empêche pas les dirigeants inconscients de
continuer, liés qu'ils sont par la rentabilité, l'énergie et la démagogie, trois concepts que le
génie ignore totalement. Il est à remarquer que cette civilisation intellectualiste produit
maintenant des êtres à l'ossature, aux tissus carencés, au foie malade : leurs membres sont
grêles, leurs cheveux crépus, leurs visages jaunâtres, leur intelligence nulle : aussi sont-ils pris
par les mots d'ordre des idéologies simplistes. Leur finalité est de créer l'anarchie pour amener
le règne idéologique marxiste. Mais ce régime dès qu'il sera en place ne les tolérera pas plus
que les véritables élites qui n'auront pas su se cacher.
Mon maître, le docteur Jean Gautier, nous apprend que la glande génitale interne est atrophiée
chez les fous. Elle est hypotrophiée chez les grands intellectualistes, elle est hypertrophiée
chez le génie. Le génie possède aussi un substratum thyroïdien important qui lui donne
imagination, sens de la beauté, sentiments très puissants et altruistes, si l'interstitielle réagit
fortement sur la cérébralité ce qui est toujours le cas chez le génie. En un mot, le génie ne dira
jamais comme Oppenheimer « j'ai fait le travail du diable ».

CONCLUSION

Cernés que nous sommes par le matérialisme nous aurons beaucoup de mal à vivre selon les
règles de la vie. Mais il faut essayer. Si nous parvenons à les pratiquer à 40, 50, 60 % nous
aurons déjà magnifiquement oeuvré.

Mais ce qu'il faut surtout, c'est essayer avec toutes nos forces de protéger nos enfants de la
chimification, du sucre blanc, du pain blanc, des vaccinations, de la chimio-thérapie, de
l'aboulie par manque d'éducation sévère, de la pornographie, et leur former le caractère et la
volonté en leur donnant un organisme et un mental sains par la diététique et le jeûne, et en les
faisant accéder à la maîtrise de soi et à la prière par le respir.

Courage ! l'âge des ténèbres (Khali-Yuga) finira avec ce siècle...

FINIS

R.G. DOMMERGUE
PS 5, rue Saint-Just
91270 Vigneux
Tél : 903-25-98

Ceux qui désireraient ce texte intégral sur bande magnétique peuvent m'écrire ou me
téléphoner à 903-25-98.

ACHEVÉ D'IMPRIMER SUR LES PRESSES DE L'IMPRIMERIE S. E. G. 33, RUE


BÉRANGER, A CHATILLON-SOUS-BA G VEUX
Numéro d'imprimeur : 137
Dépôt légal : 3e trimestre 1976.

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