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Méthodologie de la recherche en sciences

humaines
Vincent DUPRIEZ

1. Quelques repères autour de l’activité de recherche

Travail de recherche = production de connaissances.

 Acteur = questions relatives à l’action. QUE FAIRE ?


Exemple : que faire pour dynamiser une équipe ?

 Chercheur = mise entre parenthèses des questions d’action. Il pose


essentiellement des questions de compréhension. COMMENT cela se passe ?
Pour agir correctement, il faut savoir, comprendre comment cela se passe.
Exemple : qu’est-ce qu’une équipe ? quel est son environnement ? quels
modèles théoriques existent-ils à propos de la dynamique d’équipe ?
Lorsque le travail est terminé, on est plus avisé pour donner des pistes
d’action, il y a donc un lien étroit entre les acteurs et les chercheurs.

Les chercheurs produisent de la connaissance, mais ils ne sont pas les seuls.
Les praticiens le font également.

Deux caractéristiques sont donc spécifiques aux chercheurs :


- Le recours explicite aux cadres théoriques. Ils se positionnent par rapport
aux recherches qui les ont précédés, mais ne s’y soumettent pas forcément.
- Précision sur la méthode de production choisie et l’argumentation du choix de
cette méthode par rapport à la recherche menée. Ils doivent s’assurer que la
méthode choisie est en adéquation avec la question traitée.

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 Pour mener une « bonne » recherche, certains critères doivent être
respectés :
o S’appuyer sur des objectifs de recherche.
o Formuler des questions de recherche dont on n’a pas les réponses
sinon la recherche n’a pas lieu d’être.
o Formuler des hypothèses qui sont des tentatives de réponse.

Exemple :
- Objectifs : Identifier les effets de l’enseignement en immersion (var 1) sur
les compétences des élèves dans leur langue maternelle (var 2).
- Questions : Dans quelle mesure l’évolution des systèmes scolaires (var 1) est-
elle affectée par les transformations socio-politiques (var 2) des sociétés où
ils se nichent ?
- Hypothèses : L’enseignement en immersion ne produit pas d’effet négatif sur
la maîtrise grammaticale de la langue maternelle.

*var. 1 et var. 2 = variables


Dans les recherches en sciences de l’éducation, il y a souvent au moins deux
variables : dans quelle mesure est-ce qu’une variable influence une autre ?

Les objectifs, questions et hypothèses sont formulés de manière générale,


ils répondent à des enjeux théoriques, au-delà des situations particulières
et singulières que la recherche analysera (ce qui est une difficulté pour les
acteurs qui sont plongés dans leur pratique). Une théorie est une explication
générale, sur un grand nombre.

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 Les types d’hypothèses
o Causaliste : l’hypothèse exprime une relation de causalité (la variable
1 influence la variable 2, est à la source de, est la cause de).
o Orientée ou non : on précise le sens de la relation (positif, négatif).

Hypothèse non-causaliste Hypothèse causaliste

Il existe une relation entre Les méthodes


les méthodes d’enseignement explicite
Hypothèse non-orientée d’enseignement explicite et influencent les résultats
les résultats des élèves. des élèves.

Il existe une relation Le recours à des méthodes


positive entre les d’enseignement explicite
méthodes d’enseignement influence positivement les
Hypothèse orientée
explicite et les résultats résultats des élèves.
des élèves.

2. Les dispositifs de recherche

VOCABULAIRE

- Un objet d’intérêt est identifié à partir d’un certain nombre de


variables.
- Une variable est quelque chose qui varie.
- Les états possibles d’une variable sont les modalités ou des valeurs.
- Les variables peuvent être de plusieurs types :
o Continue : variable par rapport à laquelle on a une infinité de de
réponses possibles, de valeurs. Elles sont appréhendées via des
chiffres (équivalence des intervalles).
o Nominale : variable dont le nombre de modalités est fini et pour
laquelle on ne peut pas hiérarchiser les modalités.
o Ordinale : variable dont le nombre de modalités est fini , mais
pour laquelle on peut hiérarchiser les modalités. L’intervalle
entre les modalités n’est pas nécessairement équivalents.

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- Population de référence : individus potentiellement touchés par la
recherche.
- Un échantillon est un sous-ensemble de la population par rapport auquel
je vais obtenir des données à utiliser pour ma recherche.

Une fois que le chercheur sait ce qu’il recherche, il est fondamental de


réfléchir au dispositif de recherche le plus approprié en fonction des
objectifs, des ressources disponibles et de l’accès possible aux données. Il faut
s’assurer que le dispositif réponde réellement aux questions de recherche. Il
existe 4 types de dispositifs.

1. Recherche par observation

- Chercheur = observateur ; pas de manipulation, pas d’expérimentation. Le


chercheur se dote d’instruments pour appréhender, analyser ce qui se passe.

- Ces recherches peuvent être qualitatives, quantitatives ou les deux.

- Les recherches quantitatives de type corrélationnel visent le plus souvent une


généralisation c’est-à-dire établir, à l’échelle de la population, une relation
entre les variables observées. Elles s’appuient sur des outils quantitatifs
(exemple : des questionnaires).

- Les recherches qualitatives permettent généralement une approche inductive


et une appréhension globale de l’objet d’étude.

- Avantages de ce type de recherche : dans ces recherches fondées sur


l’observation, le plus souvent en milieu naturel, la validité écologique est
accrue.

- Limites de ce type de recherche : les 2 groupes comparés ne sont pas


comparables, les échantillons choisis ne sont pas comparables. Il y a possibilité
de contrôler certaines variables, mais du point de vue méthodologique nous ne
sommes pas sûrs que les résultats soient « neutres », corrects par rapport à
la réalité. D’autres variables peuvent encore modifier les résultats. Dans des

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études d’observation, c’est extrêmement difficile d’établir des relations de
causalité Les échantillons ne sont pas équivalents car ce n’est pas le chercheur
qui les crée, il doit faire avec la population qui existe.

- Validité écologique : il y a correspondance entre le dispositif de recherche et


les situations étudiées.
- Validité interne : le degré de certitude dont dispose le chercheur par rapport
à la valeur de ses conclusions internes est correct.
- Validité externe : possibilité de généralisation des résultats.
o Dans le cas d’une recherche quantitative, on se demandera si
l’échantillon permet bien de généraliser à la population de référence, et
à quelles conditions statistiques. L’échantillon est-il représentatif de la
population ?
o Dans le cas d’une recherche qualitative, on s’intéressera aux conditions
de transférabilité des données d’un contexte à l’autre. On ne peut pas
affirmer que l’on peut extrapoler à la population de référence, mais on
a un schéma d’analyse qui peut être appliqué dans d’autres situations.
- Validité de contenu : capacité des instruments utilisés à rendre compte du
phénomène étudié.
- Biais de sélection : biais dans la sélection dans les individus des groupes
sélectionnés. Ce biais existe quand on n’a pas la garantie que les groupes
choisis soient équivalents, donc comparables. Si un biais de sélection existe
alors il y a une tierce variable. S’il n’y en a pas, il n’y a pas de tierce variable.

Attention à la covariance !
Ce n’est pas parce que A covarie avec B que A est la cause de B.
En effet si A <--- > B (cigarettes et cancer du poumon; magasins IKEA
et prix Nobel), cela peut correspondre soit à AB (cigarettes et cancer
du poumon) soit à BA , soit à un schéma plus complexe où une (ou
plusieurs) tierce(s) variable(s) (X) covarie simultanément avec A et B, ce
qui rend plus complexe l’interprétation des données.

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Exercice : TIC et performance scolaire
 Un rapport anglais de recherche (ICT2) montre :
« Une relation positive entre l’utilisation d’un ordinateur dans l’apprentissage et la performance
des élèves. »
« Que les élèves utilisant régulièrement un ordinateur en classe obtiennent de meilleures
performances que les élèves qui n’en utilisent pas. »

 Un journal en fait le résumé suivant :


« Une recherche indépendante montre que l’utilisation des ordinateurs en classe améliore la
performance des élèves »

- Différence entre « relation positive » et « améliore la performance ».


o Relation positive (1) : hypothèse non-causaliste. Il y a covariance, mais on ne dit pas
qu’il y a un lien de cause à effet.
o Améliore la performance (2) : hypothèse causaliste, donc on induit un lien entre les
deux, l’un influence l’autre.
Ces deux hypothèses sont orientées puisqu’elles indiquent le sens de la
covariance (positive).

- Comment est-il possible que (1) soit vrai sans que (2) le soit ?
o Existence potentielle d’une tierce variable qui introduirait une difficulté
d’interprétation.
 Par exemple, le niveau socio-économique de l’établissement : s’il y a un
ordinateur dans les classes, les moyens de l’école sont élevés et attirent des
élèves d’un milieu social plus favorisé.
!!! La tierce variable doit covarier avec les deux variables.
 La mise en place de différenciation dans la classe.
 L’âge de l’enseignant : ce sont les enseignants les plus jeunes qui ont des
ordinateurs dans leur classe ET par ailleurs ce sont leurs classes qui
performent le mieux.
!!! Corrélation ne signifie pas causalité.

- Comment tester la causalité ?


o Organiser un dispositif de recherche de sorte qu’il y ait des ordinateurs dans un
partie des classes et pas du tout dans les autres. Mais il faut pour cela que les groupes
soient les mêmes ou les plus équivalents possibles, que l’enseignant soit le même si
possible. Il faudra manipuler une variable à la fois : un ordinateur ou pas d’ordinateur.
Le plus compliqué sera toujours le problème de l’équivalence des groupes. La solution
peut être de prendre un groupe témoin pour lequel on ne fait rien comparé à trois
autres groupes (ordinateur, ordinateur + enseignant, ordinateur + enseignant +
différenciation).

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2. Le dispositif expérimental

Deux caractéristiques majeures :


- On intervient sur le monde, on manipule des situations. On ne se contente pas
d’observer ce qui se passe naturellement. Il y a clairement une intervention
du chercheur qui veut tester quelque chose en particulier.
- On procède par tirage au sort pour répartir les individus entre les groupes,
les conditions. Répartition aléatoire des sujets. Il y a toujours un groupe
témoin/contrôle et un groupe sur lequel on teste le dispositif. L’objectif est
de garantir le fait que les différences entre les groupes sont bien dues à la
manipulation et non à un autre facteur, autrement dit, on peut prouver un lien
de causalité.
Le meilleur procédé pour assurer la comparabilité des groupes est le tirage
au sort car il permet de répartir équitablement les individus.

Ces lorsque ces deux conditions sont respectées que les résultats sont
significatifs, qu’il est plus aisé d’établir des liens de causalité.

- Avantage de ce dispositif :
o Établir une relation de causalité entre la variable indépendante et la
variable dépendante.

La variable indépendante est la variable qui explique la variable dépendante


(VI).

La variable dépendante est la variable qui dépend de l’autre variable (VD).

VI (=cause)  VD (=effet)

- Limite de ce dispositif :
o Étant donné que l’on manipule la réalité, le plus souvent les recherches
se font sur de courtes durées, dans des conditions de laboratoire, dans
des conditions artificielles. La validité écologique est donc faible.
Lorsqu’il s’agissait de transposer les dispositifs dans de vraies classes,
les résultats n’étaient pas les mêmes qu’observés en laboratoire.

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- La répartition aléatoire, est-ce suffisant ?

o Si on pense que l’échantillon est assez important, on peut obtenir des


groupes suffisamment équivalents.

Groupe Traitement Post-test

Expérimental oui Mesure

Contrôle non Mesure

o Si on pense que l’échantillon n’est pas assez important, ou pour s’assurer


des liens qui seront établis suite au traitement, certains chercheurs
réalisent un prétest. Il s’agit de faire l’état moyen des compétences
des sujets avant le traitement. Les groupes subissent à la fin un post
test afin de comparer l’état moyen des compétences après avoir subi le
traitement.

Groupe Pré-test Traitement Post-test

Expérimental Mesure oui Mesure

Contrôle Mesure non Mesure

- Menaces à la causalité :
o Par rapport à la validité interne :
 Comparabilité : Est-on certain qu’à la fin du dispositif les groupes
sont bien comparables ? Le prétest peut valider cette situation,
mais il faut prendre en compte la mortalité expérimentale, c’est-
à-dire les individus qui disparaissent de l’expérience. Certains
abandonnent l’expérience ou sont absents lors de certaines
séances. Par conséquent, alors qu’on avait bien deux groupes
comparables, un des deux groupes se retrouve moins conséquent
qu’au début. Les deux groupes ne sont donc plus du tout
comparables...

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Mortalité expérimentale : retrait d’individus au cours de l’expérience.

Effet pygmalion : faire advenir quelque chose auquel on croit.

 Effets inattendus de l’expérience : notamment l’effet


pygmalion : notre comportement est tel que ce que nous croyons
arrive, le fait que l’on croit quelque chose permet que cela
advienne.
Exemple : on confie des rats à des étudiants afin de réaliser une
expérience. Les étudiants et les rats sont répartis en deux
groupes. Au premier groupe d’étudiants, on dit que les rats sont
exceptionnels. Au deuxième groupe, on dit que les rats sont
mauvais (alors qu’il n’en est rien). Rien que par ces indications, les
résultats seront différents. En effet, les étudiants ayant des
rats « exceptionnels » obtiennent de meilleurs résultats que
l’autre groupe. Preuve que l’idée que l’on a peut avoir des
répercussions sur les résultats d’une expérience.
 Fidélité de l’implémentation : le protocole est-il respecté ? S’il
ne l’est pas, les résultats peuvent être biaisés.
Exemple : l’expérience de Stanley MILGRAM ne peut se faire que
si on est absolument fidèle à l’implémentation. Les réponses des
différents instructeurs sont très importantes et codées. Ils
savent exactement ce qu’ils doivent répondre et à quelle
question. Les réponses sont standardisées afin de garantir cette
fidélité de l’implémentation. Le scénario doit être identique pour
chaque groupe.

o Par rapport à la validité externe :


 Capacité de généraliser les résultats : est-on certain que
l’échantillon sélectionné est représentatif ?
!!! En statistiques, on considère que l’échantillon est toujours
représentatif.

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3. La recherche expérimentale en milieu naturel

Ce type de recherche combine la logique expérimentale et la validité écologique.


Ce type de recherche est surtout utilisé aux USA. Il y avait une impression pour
les chercheurs d’avoir trouvé la solution par rapport aux limites des deux autres
types.

Exemple aux USA : « Success for all »


Il s’agit d’un programme pensé pour soutenir les écoles en milieu populaire. Ce
soutien consiste en un kit pédagogique complet comprenant des outils pour faire
la classe correspondant à plusieurs niveaux, des formations pour les professeurs,
un coordinateur « success for all » dans l’école. De plus, il y avait un
accompagnement de l’équipe éducative par les chercheurs, une proposition pour
gérer l’école et la relation aux parents.
Au début des années 2000, le gouvernement américain soutient fortement ce type
de programmes car ils sont pensés comme plus efficaces que les réformes
structurelles du système éducatif. Cependant, il faut faire le tri. Une recherche
est donc lancée sur le programme « Success for all ».
Les écoles qui participaient savaient qu’il y aurait un tirage au sort :
- Certaines écoles recevraient le programme « Success for all ».
- Certaines écoles recevraient un chèque à investir dans un dispositif
pédagogique de leur choix.
- Certaines écoles suivraient des formations de type « Montessori ».
Les chercheurs se sont cassé la tête pour qu’il y ait une répartition des
établissements et des modalités différentes tout en gardant des groupes
comparables. Certaines recherches ont duré entre 6 et 7 ans.
Il y a lors de cette recherche, une répartition aléatoire des établissements et une
manipulation des situations.

Le même type de recherche a été mené en Belgique, « LIRECRIRE ».


Il part du constat qu’il y a un problème majeur dans l’étude du français : la
compréhension de textes ; l’implicite est un niveau que nos élèves ne maitrisent
pas, il est trop peu travaillé en classe. Les chercheurs ont donc construit un outil
à destination des élèves de 1ère secondaire (fiches, guides du maitre, ...). Il sont
fait appel aux écoles en leur précisant qu’elles seraient tirées au sort afin de
déterminer quelles écoles seraient les écoles témoins ou les écoles test.

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Réalisation d’un prétest et d’un posttest.
Hypothèses des chercheurs :
- Les groupes ayant bénéficié du dispositif améliore la compréhension. Cette
hypothèse a été validé, mais la différence entre les deux groupes n’était pas
énorme.
- Le groupe qui a testé le dispositif et qui était suivi et soutenu par le groupe
de chercheurs a davantage progressé. Cette hypothèse n’a pas été validée par
la recherche.
Quand on met en place ce type de dispositif, il faut attendre 3-4 ans pour
atteindre le plein effet de celui-ci. C’est à partir de 5 ans que l’on constate le
véritable effet du dispositif. Il faut donc un gros budget pour suivre des profs et
des élèves pendant 5 ans.

 Nouveau design de recherche duquel on pensait qu’il pouvait combiner les


deux dispositifs de recherche précédents (observation + expérimental),
mais il pose d’autres problèmes.

Exercice : menaces à l’inférence causale pour « Success for all »

Lister les menaces posées à l’étude des effets du SFA :


- Fidélité de l’implémentation pas respectée si l’argent reçu (chèque) est investi
dans un dispositif pédagogique qui ressemble énormément à SFA. De même
que tous les professeurs ne suivront pas forcément SFA de la même manière.
Tout ne peut pas être standardisé comme lors de l’expérience de Stanley
MILGRAM.
- L’échantillon peut paraitre peu important une fois réparti aléatoirement parmi
toutes les modalités.
- Effets inattendus : la motivation des professeurs à entreprendre la
recherche peut différer d’un établissement à l’autre. En effet, si l’école n’est
pas choisie pour suivre SFA, la motivation des professeurs peut décliner.
- Validité externe : il s’agit d’un dispositif qui fait appel à des volontaires,
d’autant plus que le kit est gratuit, certains « types » d’écoles seront peut-
être plus représentés dans l’échantillon. L’échantillon ne serait donc plus
représentatif de toute la population.
- Comparabilité : le choix des groupes et la répartition peut être validée , mais
étant donné la longue durée de l’expérience, le risque de mortalité

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expérimentale est important tant dans le groupe témoin que dans le groupe
expérimental.

4. Le dispositif quasi-expérimental

Deux caractéristiques majeures :


- Manipulation d’une variable.
- Pas de distribution aléatoire des sujets.
Ce qui permet une limitation de la capacité de contrôle de variables tierces,
en particulier les biais de sélection.

Exemple : Bressoux et son dispositif PARLER


10 écoles intéressées par la recherche. Elles ont toutes participé et reçu le
programme PARLER. Le groupe contrôle est construit par appariement c’est-à-dire
que l’on prend les caractéristiques du groupe expérimental et que l’on cherche des
individus extrêmement semblables ailleurs (en fonction des caractéristiques
choisies). On fait passer le même prétest et le même posttest à tous les groupes.

- Avantage majeur : si l’intention du chercheur est d’établir des relations de


causalité, le dispositif quasi-expérimental est moins fiable que le dispositif
expérimental, mais beaucoup plus fiable que le dispositif d’observation.
Le niveau de validité écologique est haut.
!!! Biais de sélection entre les établissements choisis d’où l’importance de
l’utilisation du prétest et du posttest.

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