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LISTE DES PERSONNAGES PRINCIPAUX :

- EUGÈNE DE RASTIGNAC : Venu d'Angoulême pour étudier le droit à Paris, il rencontre Jacques
Collin, alias Vautrin à l'auberge Vauquer, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois
Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques
Collin. Ami d’Horace Bianchon (étudiant en médecine), il aime une fille du père Goriot,
Delphine de Nucingen. - JEAN-JOACHIM GORIOT : Ancien vermicellier, le père Goriot a fait
fortune durant la Révolution. Il éprouve un amour sans limite envers ses deux filles. Celles-ci
en profitent et lui demandent de l'argent sans répit, mais ses filles se révèlent ingrates : Même
à la mort de leur père, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen ne se dépêchent pas
pour venir lui dire adieu. Il ne reste en vie que pour elles, mais seule madame de Restaud vient
avant que la mort ne l’ait emporté afin de s'excuser… Il meurt sans un sou, ayant tout donné à
ses filles, et ayant vendu le peu de chose qu'il avait pour pouvoir offrir une robe à Anastasie.
Bianchon et Rastignac, les deux étudiants, doivent eux-mêmes payer l’enterrement du père
Goriot, car celui-ci n'avait plus d'argent et ses gendres ne voulurent pas payer. - JACQUES
COLLIN, ALIAS VAUTRIN OU TROMPE-LA-MORT : Ce personnage, que Balzac appelait une «
colonne vertébrale » de La Comédie humaine, apparaît pour la première fois dans ce roman.
C'est un forçat évadé du bagne de Toulon, qui a été condamné pour un crime commis par un
autre, un jeune Italien dont on ne connait que le nom. Depuis 1815, il se cache à Paris sous le
nom de Vautrin. Il est probablement trahi par un ancien camarade du bagne, surnommé Fil-
De-Soie. À l'aide de Mlle Michonneau, qui découvre la marque « T. F. » sur l'épaule de Vautrin,
on peut l'arrêter et l'envoyer au bagne de Rochefort. Vautrin a des cheveux roux et porte une
perruque. - DELPHINE DE NUCINGEN : Fille cadette du père Goriot, femme du baron de
Nucingen. Delphine n'aimant pas son mari et elle est, au début de l'histoire, la maîtresse de De
Marsay. Le riche banquier ne lui donne que le strict nécessaire. C'est pourquoi Delphine est
toujours à la recherche d'argent. Elle vient arracher à son père ses dernières économies pour
payer les dettes contractées par elle chez l’usurier Gobseck. Devenue la maîtresse d'Eugène de
Rastignac, elle s'installe avec lui dans un petit appartement aménagé par le père Goriot qui
pense finir ses jours aux côtés des deux tourtereaux. Les espoirs du vieillard seront déçus.
Delphine est tout entière occupée à être reçue chez la vicomtesse de Beauséant, qui règne sur
le tout-Paris, et dont le salon au faubourg Saint-Germain ne s'ouvre qu'aux gens titrés de
longue date. Ce qui n'est pas le cas de Delphine, ex-roturière. Eugène de Rastignac réussit tout
de même à la faire admettre au bal d'adieu de la vicomtesse qui quitte Paris par dépit
amoureux, après avoir été abandonnée par le marquis d'Ajuda-Pinto. - ANASTASIE DE
RESTAUD : Fille aînée du père Goriot qu’elle a pratiquement renié, elle est la maîtresse de
Maxime de Trailles dont elle paie les dettes à Gobseck. Rastignac, qui l'a rencontrée et a cru lui
plaire au bal organisé par la vicomtesse de Beauséant, jette son dévolu sur elle avant d'être
cruellement déçu car il est bien inférieur au riche et élégant Maxime. Il sympathise avec le
mari d'Anastasie mais la mention qu'il fait du père Goriot, sans savoir le lien de parenté qui le
lie à Anastasie, plonge le couple dans l'embarras, lui fermant ainsi définitivement les portes de
la maison de Restaud. - VICOMTESSE DE BEAUSÉANT : cousine d'Eugène de Rastignac. La
vicomtesse est une figure du tout-Paris. Elle présente d’abord le jeune homme à son mari, le
vicomte de Beauséant, puis elle l’introduit dans le grand monde en lui donnant de précieux
conseils. Dans le même temps, on apprend qu’elle vient d’être abandonnée par son amant, le
marquis d'Ajuda-Pinto. Et que pour fuir l’humiliation qu’il lui inflige en épousant mademoiselle
de Rochefide, elle va quitter Paris immédiatement après la célèbre fête où est enfin invitée
Delphine de Nucingen qui attendait cette occasion depuis longtemps. - HORACE BIANCHON :
étudiant en médecine, également pensionnaire de la maison Vauquer, est l'ami de Rastignac. À
la fin de ce roman, Bianchon fait tout pour essayer de sauver le père Goriot de la mort, mais il
échoue. - MADAME VAUQUER : maîtresse de la pension éponyme. Elle a quarante-neuf ans. -
MADAME COUTURE : veuve d'un commissaire-ordonnateur, Victorine Taillefer est sa pupille. -
POIRET : un pensionnaire rentier épris de MADEMOISELLE MICHONNEAU. - JEAN-FRÉDÉRIC
TAILLEFER : homme riche, il refuse de reconnaître sa fille, VICTORINE, réfugiée à la pension
Vauquer. - FRÉDÉRIC DE NUCINGEN : époux de Delphine Goriot. - Henri de Marsay : l’amant de
Delphine de Nucingen. - MAXIME DE TRAILLES : amant d'Anastasie de Restaud. - MARQUIS
D'AJUDA-PINTO : personnage de haute et riche noblesse portugaise, il est l’amant de la
vicomtesse de Beauséant, ce qui ne l’empêche pas d’épouser une demoiselle de Rochefide. -
SYLVIE : la cuisinière de la pension et CHRISTOPHE, jeune garçon travaillant à la pension
Vauquer.

FILM

Une comparaison entre les deux premières séquences du film et les premières pages du roman
permet de réfléchir au travail de l’adaptation. La condensation porte sur les personnages et sur
les lieux. Dans le roman, Rastignac rencontre Anastasie de Restaud à l’occasion d’un bal donné
par Mme de Beauséant, puis il l’aperçoit le matin même dans une rue mal famée sortant de la
maison d’un usurier. Il est cruellement éconduit par les Restaud auxquels il rend visite et va se
réfugier chez sa cousine Mme de Beauséant afin de lui conter ses déboires. Lors de cette
entrevue, la duchesse de Langeais intervient pour révéler à Mme de Beauséant le mariage
imminent de son amant. Le scénario du film est plus épuré : Rastignac rend visite à sa cousine
pour lui demander sa protection et rencontre dans son salon Delphine qui annonce la
publication des bans de l’amant. Ainsi, un personnage et trois lieux sont économisés.
Remarquer que si l’adaptation gagne en efficacité, elle réduit considérablement les étapes de
l’initiation de Rastignac, le jeune provincial. La comparaison de l’incipit et de la première
séquence du film permet d’observer la redistribution des informations dans le film. La longue
description de la pension Vauquer est remplacée par une action in medias res : nous assistons
à un souper ordinaire et découvrons ainsi la salle à manger avant le salon qui est plus
précisément décrit dans le roman. L’accélération dans la description de la salle à manger
opérée par le narrateur balzacien offre ainsi au décorateur une liberté plus grande. On
retrouve cependant certains éléments mentionnés : la boîte à cases numérotées pour les
serviettes, un buffet très ordinaire chargé de vaisselle, des gravures encadrées, une longue
table, le poêle vert, les quinquets... L’impression de froid humide est rendue par les mitaines
de Vautrin, les châles, les vestes que l’on porte même pendant le repas. L’arrivée anticipée de
Rastignac donne l’occasion à Mme Vauquer de prendre en charge la présentation de ses
pensionnaires.

La musique important, associé au père Goriot.

PREMIÈRE SCÈNE – PRESENTATION DES PERSONNAGES À L’ARRIVÉ DE RASTIGNAC :


- Le film commence avec une image de Paris nettement pictural. Ce n’est pas la ville
mimétique. Les effets créent par cette image: nous ramène au livre nous reconduire a
l’univers du livre. Dans cette adaptation il y a l’intention d’être fidèle au livre. La voix du
narrateur est indicative de ce fait. Dans les premiers images, ce qui concerne la maison
Vauquer aspect pictural comme s’il était un tableau, qui plus tard devienne réelle.

- La présentation du film sert à nous situer l’action. L’image qui représente le Paris de
l’époque. La raison de ces images c’est qu’en réalité la ville de Paris n’apparait pas. On voit
quelques rues, quelques détails et ceci permet d’équilibrer l’image de Paris.

- L’image se centre donc dans la Pension qui porte un message très drôle et l’image devient
réelle. On voit beaucoup de dynamisme dans l’apparition des personnages parce qu’il y a
beaucoup de scènes comme celle de la salle à manger, où le réalisateur va utiliser tous les
mécanismes pour donner cet aspect de mouvement.

- À part les gestes rapides, le mouvement même de la camera. On voit à Sylvie (La femme n’est
pas grosse). Le film commence avec une scène de repas. Les repas sont très importants. Cette
scène sert à beaucoup de choses: elle situe l’action et nous présente les personnages: on a vu
déjà des étudiants qui sont des habitants externes (ils seulement mangent dans la pension).

- Mme Vauquer entre en action (elle a une voix flute). Plein détails sur le pain, associé au père
Goriot qui avait été commerçant de la farine. Apparition du Goriot. Détail du pain qui retiré par
Mme Vauquer, qui est très économe (les étudiant mangent beaucoup). Mlle de Michonneau
apparait ensuite.

- Les premières paroles de Goriot - L’allusion au BLAIS AU DESAIT n’apparait pas à ce moment
dans le livre. Ce serait une idée que Goriot aura en tête dès qu’il est préoccupé par ses filles.
Ce apparait dans tout le film comme un refrain qui se répètera.

- Détail du châle de Mlle Michonneau – Balzac décrit son châle comme un châle pauvre. Tout le
monde parle de Goriot parce que ses filles viennent le visiter el ils pensent qu’il y a qqch de
luxe dans tout cela.

- Le mouvement de la camera pour donner l’impression de mouvement au moment ou


Rastignac arrive. Lorsque le roman commence, il est déjà dans la pension. Dans le film il entre
dans ce moment, ce qui sert à focaliser l’attention sur lui, ce qui sert aussi pour faire la
présentation des personnages qui sont à la pension (variation qui est très efficace pour
rapidement situer les personnages).
- Information de l’étage qui avait de connotation sociaux par rapport à la richesse (et au
traitement). Nous avons déjà les informations concernant les liens familier de Rastignac (ce
n’apparait pas de cette façon dans le livre). Tout cela est raconté par le narrateur
extradiégétique dans le livre. La cloche sert à introduire de mouvement pendant qu’il ne se
passe rien par rapport à l’action.

- Goriot sort de la salle à manger. Détail à propos de l’intérêt que Mme Vauquer pourra avoir
sur Goriot. Dans le livre les informations sont données par le narrateur, dans le film sont
donnes par Vautrin. Le détail de ouvrir la porte du placard apparait dans le livre aussi “j’ai
l’habitude” important.

- Ils parlent sur Goriot comme un libertin. La chanson qui chante toujours Vautrin est toujours
la même. Cette scène sert à mettre en parallèle avec dans une autre ou les gendarmes
viennent (Vautrin au cheminette…)

- Vautrin apparait rapidement quand Rastignac est en train de parler avec Victorine. On a la
focalisation sur Rastignac qui nous indique la possibilité qui se passe qqch entre eux mais
Vautrin apparait. Ce personnage apparait comme un lion, un être qui faire peur, qui configure
une autre scène (Mlle Michonneau trahi Vautrin).

- On peut voir ici toute la déchéance économique du Goriot qui demande une chambre au
deuxième étage et qui boit son café froid.

- L’Espace extérieur qui se centre sur le jardin de plantes ou ____ propose à Mlle Michonneau
trahir Vautrin. Vautrin est un personnage très simple.

- Interprétation libre dans le film on ne voit pas Goriot amener les choses de Rastignac car
Rastignac est déjà à la pension dans le livre, mais ce permet d’établir une relation plus étroite
entre les deux personnages.

- Goriot parle des amours de Mme de Beauséant. L’adaptateur veut montrer un Goriot qui est
un personnage plus fort, qui se rend compte des choses, qui a choux son fortune et qui connait
bcp de choses (dans le livre la plupart de détails sont donnés par le narrateur)

DEUXIÈME SCÈNE – RASTIGNAC DANS LA MAISON DE DELPHINE

- Le détail des gants sert au film au donner l’impression du froid dans la pension
- Changement de séquence sans transition : juxtaposition, on passe d’une a outre. Le contraste
entre l’univers ombre de la pension à l’univers claire de la richesse ou veut montrer Rastignac
(le contraste favorise le mouvement)

- Les détails sur les gants pauvres (intéressant) les gestes gauches de Rastignac, qui est très
timide. Il surprend un drame à la maison. Le geste du valet qui en réalité méprise le nouveau
venu. Le geste de la vitantesse de ___.

- La séquence de l’arrive d’Anastasie est une construction libre du film pour économiser les
personnages : on va mettre ici la connaissance de Anastasie et l’erreur qui commet Rastignac.
Toujours Rastignac comme voyeur qui surprend la rencontre. Scène muet qui dit bcp de choses
sur le rapport entre Anastasie et Goriot.

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