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Yves Marcel Seraphim

Oktoberfest, malheureusement

Blumenau, Santa Catarina. Une ville des immigrants allemandes, une ville de une
fierté dangerouse. Au mois d’octobre on peux voir l’épithète de valeurs bizarres, on peux
voir l’Oktoberfest et ajourd’hui c’est très próche.
À moins d’un mois les gens vont aller à la “Vila Germânica” (Ville Germanique)
pour boire et danser avec ses amis. Je prefere rester chez moi, mais les problemes ne
disparaissent pas. Les nouvelles de harcèlement sexuel et de accidents sont récurrents.
Cependent, la question axiomatique est plus structurel.
Dans Blumenau, la vie fonctionne sans critiques. L’enseignement historique, les
connexions avec l’Europe, l’identité nationale et ainsi de suite. Mais pour fonctionne cette
vie? Pour peu, je crois. Les jours de fête apportent les défilés et les costumes, et on doit
noter attentivment le suivant. Ce ne est pas seulment une questions de l’appréciation des
pratiques traditionelle allemandes, depuis que plusiers famillies que ne sont pas
“allemandes” célèbrent aussi. Alors c’est la fête pour toute le monde? Non, cette fête est
d’élite. Par exemple, les costumes sont chères, les tickets sont chères, mais les gens que
vont avec le costume complet (du chapeau à la chausette) paient la moitié. La logique de
la structure de povouir est évident et tel structure est, comme nous a dit Bourdieau,
structurante et structurée.
Alors on peux percevoir les rapports de pouvoir introjectées dans l’individu que,
contrairment à que on pense, ne renforce pas la identité “blumenauense”, mais que
consolide, même dans la dimmension du loisir – et précisément pour être dans cette
dimension – le individualisme de fausse égalité. L’Oktoberfest est une grand rituel qui,
en termes sémiologiques, actualise le mythe de la “germanité” bresilien, tourjours liée à
une hiérarchie totalisant.

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