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L’histoire c’est que : il s’agit de Cacus légendaire, qui vivait dans une grotte, et déroba quelques
bœufs qu’il dissimula dans sa caverne. Cependant, pour ne pas laisser aucun indice, il traîna les
animaux par la queue, les forçant à marcher à reculons. Quand Hercule s'éveilla et compta son
troupeau, il s'aperçut du vol. Il partit à leurs recherches. Hercule aura à affronter Cacus qui vomissait du
feu avec sa bouche. Mais enfin, Hercule aura raison sur Cacus.
Voici les caractéristiques qui nous poussent à considérer l’enfant et le miroir comme étant une
fable.
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Conte : Jeannot et Margot
Pourquoi dit-on que Jeannot et Margot est un conte ?
Il est un conte parce que :
1- C’est un récit très court.
2- Il n’y a pas beaucoup de personnages principaux. Seulement deux : Jeannot et
Margot.
2.1 Caractéristiques des personnages :
Margot et Jeannot : Héros
Sorcière : être imaginaire
Margot et Jeannot : Manichéisme (Bon)
La sorcière et la belle-mère : Manichéisme (Mauvais)
Statut social : famille très pauvre
3- L’histoire se déroule dans un lieu imprécis : par exemple « A l’orée d’un grand bois »
4- Il y a une répétition d’action : par exemple « les enfants sont abandonnés par leurs
parents deux fois dans la foret. »
5- Enfin, non seulement il suscite chez nous de forte émotion, par exemple la peur de
voir les enfants périssent mais aussi il nous enseigne quelque chose : « la pierre
rejetée par le bâtisseur est devenu la pierre angulaire. en d’autres terme, il ne faut
jamais abandonner ses enfants quel que soit la raison »
Dans les nouvelles, il y a toujours une leçon qui se dégage. Celle qui se dégage dans cette
nouvelle de Didier est la suivante : « Sois fier de tes parents essaie de leur ressembler.
(Les enfants doivent être fiers de leurs parents et leur ressembler par les bons actes. »
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A travers la 1ère partie de la lodyans de Maurice Sixto, nous découvrons des faits qui
tiennent en compte de l’actualité. Par exemple, dans notre société, il y a des gens qui
pensent être maîtres et seigneurs, qui aiment battre des femmes, qui aiment s’exhiber,
frapper des gens. Puisqu’il nous présente « Gwo moso » comme un type pareil, d’où une
première partie qui caractérise la jouvence de ce texte.
Deuxièmement, Maurice Sixto, A travers son texte, projette une image qui reste et
demeure dans la société haïtienne. De quoi s’agit-il ?
Des individus lorsqu’ils ont des accointances politiques, ils font n’importe quoi, tous
qu’ils veulent. « sèlman lèm’ rive, on konprann, m byen ak chèf ya wè ki moun mwen ye
tou » dit Gwo moso.
Toujours selon Georges Anglade, Le 2eme élément caractérisant une lodyans est : la
Voyance.
Dans notre société, il y a des gens qui pensent qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent,
qu’ils sont au-dessus de la loi. Avec leurs pouvoirs, ils pensent ils peuvent dominer,
maltraiter leurs semblables. Maurice Sixto dénonce cette mauvaise pratique tout en
faisant voir que la fin sera toujours douloureuse. Car il dit : « Baton k bat chen nwa a se li
k bat chen blan an. ».
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Enfin, le dernier élément qui caractérise ce texte est sa miniature, autrement dit sa
brièveté. Cette histoire pourrait être de 50 à 60 pages, cependant Maurice l’a résumé en 5
pages.
Ce roman est un roman policier car après en avoir lu un extrait, on a pu remarquer des
criminelles, des victimes, et des enquêteurs.
Criminelles : ce sont deux argents de sécurité de Milton (un commissaire de la police
nationale et un dealer drogue).
Victimes : Ce sont Mireille et Sully
Enquêteurs : association de défense des droits des détenus (ADDD)
NB : Nous n’avons pas pu trouver le roman en entier, c’est pourquoi nous utilisons un
extrait de 18 pages .