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Accueil › Le poids des taxes locales sur les entreprises reste trop élevé en Belgique

Le poids des taxes locales sur les entreprises reste trop


élevé en Belgique
 Fiscal

 Communiqués de presse

La pression fiscale communale est en constante augmentation, le SDI recense depuis 2004 (10

ans) une inflation fiscale communale et régionale galopante à hauteur de 6% par an qui se fait

bien souvent au détriment de la liberté d’entreprise et du commerce.

La fiscalité locale représente 60% des ressources totales des collectivités locales en Belgique. Le poids des

taxes locales sur les activités économiques est très important en Belgique puisqu’il représente 15 à 30% des

ressources locales, c’est dire l’importance du débat et l’enjeu pour les entreprises .
A ce titre, le SDI réclame un cercle vertueux entre les élus locaux et les entreprises pour une fiscalité locale

incitative et non pas pénalisante. La hausse de la fiscalité locale ne devrait pas résulter en une

augmentation arbitraire des prélèvements, mais bien de décisions concertées et en réponse à de réelles

opportunités de développement.

Taxes sur les enseignes commerciales, taxes d’ouverture et taxe annuelle sur les commerces de nuit, taxe

sur les commerces de denrées alimentaires à emporter, taxe sur la force motrice, taxes sur les bureaux et

locaux commerciaux, taxes sur exploitation de camping, taxe sur le personnel occupé, sur les ordinateurs,

sur l’environnement, sur les déchets, les étalages, les terrasses, les parkings, les publicités … la liste est

longue et bien souvent redondante.

Les communes et les régions ont augmenté de manière constante à hauteur de 6 % par an et ce depuis 10

ans non seulement les bases d’imposition (à savoir les revenus auxquels est appliqué le tarif de l'impôt

communal ou régional pour obtenir la somme due par le contribuable) mais aussi le spectre d’imposition

(c'est-à-dire les types d’activité visés par les impôts). Le spectre d’imposition s’étant élargi à tel point que

l’on constate une véritable inflation fiscale asphyxiante pour le développement des activités indépendantes

et commerciales dans les communes.

Le nombre de nouvelles taxes a quasiment doublé en quelques années et les bases d’imposition soumises à

impôts ont triplé résultant en une fiscalité locale complètement débridée souvent au mépris des principes

élémentaires de l’égalité devant l’impôt. À titre d’exemple, la commune de Seneffe élargit la base imposable

de la taxe sur les panneaux publicitaires fixes. Cette taxe communale se cumule avec la taxe provinciale

frappant les mêmes types de panneaux. Une autre commune taxe les enseignes commerciales alors que le

précompte immobilier d’un exploitant commercial est déjà élevé et vient en concours avec cette même taxe

Au-delà des chiffres et des constats, le SDI constate un accroissement des demandes de recours contre des

taxes en tout genre. Mais les recours devant le collège communal sont bien souvent un leurre étant donné

que la commune est l’autorité qui édicte le règlement taxe devenant ainsi juge et partie au mépris d’un

élémentaire principe de démocratie. Le résultat est le rejet quasi systématique des demandes de réduction

ou de remise.

Il est évidemment sain qu’une commune utilise ses prérogatives pour accroître ses recettes et ainsi offrir

plus de services ou d'infrastructures. Mais l'important est que de telles décisions de politique fiscale soient

prises en toute concertation avec un impact visible sur le return pour le commerce et l’entrepreneuriat local,

ce qui est malheureusement loin d’être le cas.


Entamer une discussion sur la fiscalité locale permettrait de mieux appréhender la relation entre l'impôt

payé et les services publics locaux proposés et, par ricochet, de combattre le ras-le-bol fiscal des

entrepreneurs locaux.

La pression fiscale communale est en constante augmentation, le


SDI recense depuis 2004 (10 ans) une inflation fiscale communale et
régionale galopante à hauteur de 6% par an qui se fait bien souvent
au détriment de la liberté d’entreprise et du commerce.

La fiscalité locale représente 60% des ressources totales des collectivités locales en
Belgique. Le poids des taxes locales sur les activités économiques est très important en
Belgique puisqu’il représente 15 à 30% des ressources locales,c’est dire l’importance du débat
et l’enjeu pour les entreprises[1].

A ce titre, le SDI réclame un cercle vertueux entre les élus locaux et les
entreprises pour une fiscalité locale incitative et non pas pénalisante. La
hausse de la fiscalité locale ne devrait pas résulter en une augmentation
arbitraire des prélèvements, mais bien de décisions concertées et en réponse
à de réelles opportunités de développement.

Taxes sur les enseignes commerciales, taxes d’ouverture et taxe annuelle


sur les commerces de nuit, taxe sur les commerces de denrées alimentaires
à emporter, taxe sur la force motrice, taxes sur les bureaux et locaux
commerciaux, taxes sur exploitation de camping, taxesur le personnel
occupé, sur les ordinateurs, sur l’environnement, sur les déchets, les
étalages, les terrasses, les parkings, les publicités… la liste est longue et
bien souvent redondante.

Les communes et les régions ont augmenté de manière constante à hauteur


de 6 % par an et ce depuis 10 ans non seulement les bases d’imposition (à
savoir lesrevenus auxquels est appliqué le tarif de l'impôt communal ou
régional pour obtenir la somme due par le contribuable)mais aussi le spectre
d’imposition (c'est-à-dire les types d’activité visés par les impôts). Le
spectre d’imposition s’étant élargi à tel point que l’on constate une véritable
inflation fiscale asphyxiante pour le développement des activités
indépendantes et commerciales dans les communes.

Le nombre de nouvelles taxes a quasiment doublé en quelques années et les


bases d’imposition soumises à impôts ont triplé résultant en une fiscalité
locale complètement débridée souvent au mépris des principes élémentaires
de l’égalité devant l’impôt. À titre d’exemple, la commune de Seneffe élargit
la base imposable de la taxe sur les panneaux publicitaires fixes. Cette taxe
communale se cumule avec la taxe provinciale frappant les mêmes types de
panneaux. Une autre commune taxe les enseignes commerciales alors que le
précompte immobilier d’un exploitant commercial est déjà élevé et vient en
concours avec cette même taxe !

Au-delà des chiffres et des constats, le SDI constate un accroissement des


demandes de recours contre des taxes en tout genre. Mais les recours
devant le collège communal sont bien souvent un leurre étant donné que la
commune est l’autorité qui édicte le règlement taxe devenant ainsi juge et
partie au mépris d’un élémentaire principe de démocratie. Le résultat est le
rejet quasi systématique des demandes de réduction ou de remise.

Il est évidemment sain qu’une commune utilise ses prérogatives pour


accroître ses recettes et ainsi offrir plus de services ou d'infrastructures.
Mais l'important est que de telles décisions de politique fiscale soient prises
en toute concertation avec un impact visible sur le return pour le commerce
et l’entrepreneuriat local, ce qui est malheureusement loin d’être le cas.

Entamer une discussion sur la fiscalité locale permettrait de mieux appréhender la relation entre
l'impôt payé et les services publics locaux proposés et, par ricochet, de combattre le ras-le-bol
fiscal des entrepreneurs locaux.

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