deux personne il y’a groupe.
Où, nous avons tendance à considère la notion de
La Théorie de la communication
I. Définition :
Communication fait de manifester sa pensée ou ses sentiments, par la parole,
l’écriture, le geste, la musique, dans le but de se faire comprendre ensemble des
dimensions de notre monde réel qui résultent du fait que des hommes… entrent en
relation les unes avec les autres et se mettaient à agir les unes sur les autres.
Étymologiquement, le mot vient du latin communicare, qui veut dire « mettre au
avoir en commun », mot formé de cum « ensemble, avec » et munis ou munia
« charge, fonction », à l’origine il veut dire être en relation avec quelqu’un.
II. Les buts de communication :
La communication est l’un des besoins fondamentaux de l’homme « ne nous
pourrions pas ne pas communiquer ».
Les « chambres de déflexion » des prisons sont ace titre un bon exemple de ce
qui devient insupportable pour tout être humain.
En effet, il est évident que privé de tout échange, l’homme sentirait ses facettes
mentales lui échapper. Mais au cela de contribuer à notre équilibre personnel la
communication à bien d’autres buts.
 Découvrir qui nous sommes
 Pour apprendre à mieux connaître les autres
 Pour nous enrichir personnellement
 Pour connaître le monde
 Pour partager ce monde avec les autres
 Pour informer, s’informer, convaincre … etc.
III. Les types de communication :
a. Communication intra personnelle :
C’est qui s’effectuer à l’intérieur de nous même, lorsque nous pensons, rêvons …
etc. Ce sont ces échanges intérieurs qui régissent nos réactions, nos prises des
décisions et donc nos actions.
b. Communication interpersonnelle :
La communication interpersonnelle est basé sur l’échange
« EmetteurRécepteur ».Entre humain, C’est la base de la vie en société. C’est la
communication qui s’effectue lors des relations entre les individus (Les collègues de
travail, la famille, les amis … etc.)
c. Communication de groupe :
La communication de groupe part de plus d’un émetteur s’adressent à une
catégorie d’individu bien défini, par un message sablé sur leur compréhension et
leur culture propre. Mais, combien de personne représente un groupe, à partir de
groupe à un nombre de personne différent.
d. Communication de masse :
C’est d’une façon générale les médias (TV, Radio, presse écrite …), et
l’information. La communication de masse c’est un émetteur au un ensemble
d’émetteur liés entre aux s’adressant à tous les récepteurs disponibles.
IV. Les éléments du processus de communication :
Communication, c’est « échanger une ou des informations », un message, une
émotion.
La communication partout présente dans notre vie quotidienne. C’est un acte
que nous pratiquons depuis la naissance, et partout nous avons tous l’impression de
ne pas toujours réussit a bien communiquer.
C’est que, pour bien communiquer, ou du moins pour mieux communiquer, il
faut d’abord le vouloir, car la communication s’apprend et la première étape de cet
apprentissage passe par la compréhension du processus et sa décomposition en ses
différents éléments.
1. L’émetteur : C’est celui qui transmet l’information, il peut s’agir d’un individu
ou d’un groupe.
2. Le récepteur : C’est celui qui reçois l’information transmise par l’émetteur il
peut s’agit d’un individu ou d’un groupe d’individu.
3. Le message : Il est constitué par la ou les information transmises par l’émetteur
ou transmise d’essaye.
4. Le canal : La voie de circulation de l’information, le moyen matériel par lequel
émetteur et récepteur sont en relation et peuvent communiquer. exemple : Le face
à face, le courrier, le téléphone, sont des canaux de communication.
5. Le code : C’est l’ensemble des signes utilisés par l’émetteur pour transmettre
le message et le rendre compréhensible pour le récepteur. Dépend du récepteur et
du canal de communication.
Code orale pour le téléphone ; code écrit pour le courrier.
6. Le Feed-back : La communication permet de transmettre une information à
quelqu’un qui ne la connaît pas après le passage du message l’état du récepteur est
donc modifié, il est informé, rassuré, inquiété, furieux, et ce changement d’état va se
traduire par un certain nombre de réactions verbales ou non verbales.
Ces réactions constituent l’effet retour ou rétroaction ou feed-back de la
communication.
Le massage de rétroaction st le message verbal ou non verbal, renvoyé par
réaction par récepteur, à l’émetteur lorsqu’il existe on parle de la communication
bidirectionnelle.
Le Feed-back peut servir selon les cas à :
Résumer de la Communication
  Confirmer la réception du message.
 Informer la réception du message.
 Demander des précisions.
 Relancer la discussion.
 Terminer la discussion.
V. Schéma du processus de communication :
Emetteur Message Récepteur
Canal
Code
Feed-back (Rétroaction)
VI. Les composantes relationnelles de la communication :
1. Le code de référence : La manière de percevoir les événements et d’agir
sont différentes d’un individu à un autre ; elle est déterminée par le vécu l’histoire
personnelle et l’environnement dans lequel l’individu évolue.
Au moment de la communication et est possible qu’émetteur et récepteur ne
se réfère pas à la même situation à la même personne aux même faits ; même s’ils
échangent les mêmes mots, car chacun pense différemment, il faut donc que les
deux interlocuteurs prennent la précaution de préciser le cadre de référence pour
que le message soit compris.
2. Le groupe d’appartenance : Chaque personne fait partie d’un groupe
d’appartenance (famille, club de sport, entreprise, association…) qu’elle fréquence
habituellement et qui influence ses attitudes, sa manière d’être et son langage.
3. Le statut : C’est la position sociale accordée ou reconnu à un individu aux
autres membres du groupe. Elle influence fréquemment le comportement de
l’individu.
4. Le rôle : C’est l’ensemble des modèles de conduite qu’une personne adopte
plus aux moins spontanément dans ses relations aux autres membres du groupe.
Ce rôle peut changer selon que la personne se trouve dans groupe ou dans un
autre.
Langage Verbal et non Verbal
I. Les étapes de transmission du message :
L’émetteur transmet son message à l’aide de divers signes (mots ; voix ; gestes…)
qui constituent le code ou le langage de message. Ces signes sont choisis par
l’émetteur en fonction :
 Du canal à utiliser pour la transmission de message (Langue orale et voix au
téléphone langue écrit est mise en forme du texte dans un courrier).
 Mais aussi et surtout en fonction du récepteur du message, de façon à
assurer la meilleure compréhension possible chez le récepteur.
La transmission se fait donc en trois étapes :
1. Le Codage : l’émetteur pense son message puisse choisir les signes avec
lesquelles il va traduire celui-ci pour le récepteur. Ce choix est évidemment
influence par son propre cadre de référence.
2. La transmission proprement dite : le message codé circule à travers le canal
de communication pour être reçu (lu, vu, entendu) par le récepteur.
3. Le décodage : le récepteur décode c’est-à-dire traduit à son tour les signes
perçus pour les comprendre. Là encore, le décodage est influencé par le cadre de
référence du récepteur.
II. Le langage verbal :
C’est celui que l’on choisi pour communiquer à l’oral (échange en face à face,
communication téléphonique, message radio…) comme à l’écrit (note, courrier).
Cette communication peut s’établir selon différents niveaux ou registre de
langage. Ces registres dépendent des interlocuteurs et de la situation dans laquelle
ceux-ci se trouvent.
1. Le registre de langue soutenu :
Il est surtout utilisé dans les discours, les examens, les lettres à caractère officiel.
Il se caractérise par :
 Un vocabulaire riche et nuancé.
 Par des phrases langues et complexes avec emploi de subordonnées et
formes impersonnelles.
 Parfois par une intonation verbale précieuse, peu naturelle s’il est utilisé à
l’oral.
2. Le registre de langage courant :
Il est utilisé dans la plupart des conversations courantes personnelles et
professionnelles, chaque fois qu’un registre tout simplement correct et nécessaire.
C’est le registre le plus utilisé en entreprise.
Il se caractérise par :
Résumer de la Communication
  Un vocabulaire assez étendu pour permettre l’exactitude dans le choix des
termes, mais simple sans recherche d’effet particulier.
 Par les phrases complètes mais relativement courtes et simples dans leur
constructions.
 Parfois par une intonation naturelle, sans excès s’il est utilisé à l’oral.
3. Le registre de langage familier :
Il est utilisé dans les conversations personnelles en famille ou entre camarades,
essentiellement à l’oral, il ne doit jamais l’être dans le domaine professionnel.
Il se caractérise par :
 Un vocabulaire limité, pauvre, mais souvent très imagé (les mots sont
parfois abrégés ou inventés).
 Par des phrases incomplètes, mal construites du point de vue de la
syntaxe.
 Par une intonation relâchée ou excessive, avec des modulations très fortes
dans la voix.
III. Le langage non verbal :
Nous attribuons toujours la communication à la parole c’est une opinion dans
notre communication, il y a un quoi et un comment. Il ya :
 Ce que nous disons avec les mots : le quoi ?
 La manière dont nous l’exprimons avec la voix et les gestes : le comment.
Nous déduisons qu’il ya une Communication verbal et non verbal.
1. Les différents paralangages :
La communication non verbal désigne tout mode de communication n’ayant
aucun ne court au verbe (mots).
a. L’apparence (La présentation physique ou look) :
Le premier message émis par un individu est constitué par la présentation qu’il
adopte. En effet on est d’abord vu avant d’être entendu. La tenue vestimentaire, la
coiffure, le maquillage, les accessoires, le soin apportés aux angles, etc.…reflètent
limage qu’on veule consciemment ou non, donner de soi (sérieuse, soignée,
bohème, décontracté, stylée…).
b. Le regard :
Celui-ci peut être franc et direct, révélant l’intérêt accordé et traduisant une
certaine assurance. Ou au contraire fuyant ou baissé. Révélant un certain malaise,
ou encore agressif, charmeur, autoritaire…
c. La mimique :
C’est l’expression du visage : forcement des sourcils, mordillement des lèvres,
moue. Yeux écarquillés…la mimique traduit parfois nettement la réaction d’un
individu (étonnement, colère, peur…).
d. Les gestes (des mains en particulier) :
Ouverts ils sont signes de réceptivité. Ils traduisant souvent bien l’état
émotionnel. Quelqu’un qui se déplace beaucoup utilise un grand espace faite de
grands gestes exprime par ce comportement un besoin, d’être vu. Reconnu et
remarqué.
e. Les attitudes ou posture :
La position du corps ou posture rend compte de l’attention portée à l’autre. Etre
penché en avant traduit l’intérêt. Le corps relâché ou en arrière manifeste souvent
un refus de communiquer. La position des jambes est également à surveiller ; elle
révèle l’état émotionnel (les jambes enroulées par exemple exprime une certaine
tension).
f. La distance :
La distance séparant l’émetteur et le récepteur d’un message et la position de
l’un par rapport à l’autre : cote à cote ou face à face dénotent l’intention de chacun
d’eux et le rôle qu’ils comptent jouer dans la communication.
Remarque : ces différents paralangages sont le plus souvent associés dans un même
message est important de les prendre tous en considération.
2. Les paralangages et le langage verbal :
a. Les paralangages associés au langage verbal :
Le plus souvent, les paralangages accompagnent la communication verbale.
Il la renforce s’ils sont en parfaite concordance avec le message verbal. Le dit de
la parole et l’expression du corps doivent se trouver en accord. Dans ce cas l’impact
du message est renforce et la réception de celui-ci n’en est que meilleure.
Au-delà des rots qui constituent le message explicite de l’émetteur ; les
paralangages informent le récepteur sur le non-dit. Ce message implicite est
volontairement ou involontairement émit par l’émetteur.
b. Les messages silencieux :
La parole n’est pas toujours nécessaire à la communication. Un geste suffit
appeler un taxi : un regard peut en dire beaucoup plus que les mots.
La difficulté réside dans l’interprétation de certains paralangages. En effet si
certains d’entre eux ont un sens quasiment codifiés (gestes utilisés par les agents de
police, geste pour faire l’autostop, appeler un taxi un serveur…) beaucoup ne sont
pas perçu de la même façon par tous les récepteurs. Chacun étant souvent influencé
par son cadre de référence.
Résumer de la Communication

Savoir Maitriser sa voix
La voix est constitue par l’ensemble des sons qui sorte de la bouche de l’homme.
La voix est le véhicule de ce qui est dit du message oral, il s’agit pour nous de
comprendre quels sont les éléments, ayant rapport à la voix, qui font que les paroles
sont plus ou moins comprises, enregistrées…, acceptées par les autres.
Il est important de commencer par préciser que : La diction est étymologiquement
l’art de dire, elle se décompose en deux parties principales : L’articulation et la
prononciation.
 L’articulation : Concerne l’émission des consonnes, donc des syllabées.
 La prononciation : Concerne les voyelles, leur ouverture ou leur fermeture,
le fait qu’elle soit longue ou brève et leur nasalisation (intervention du nez
dans la prononciation).
L’efficacité de la communication dépond largement de la qualité de prononciation.
Il existe un certain nombre de personnes qui parlent entonnant les lèvres serrés, en
ouvrant très pente la bouche, en précipitant les syllabes, à les personnes il faut
répéter sans cesse « articulez » c’est-à-dire ouvrez grand la bouche, détachez les
syllabes, faites sonner clairement chaque consonne.
Dans tous les cas l’articulation est une affaire de travaille : Il faut s’entraîner. Il existe
de très nombreux exercices de prononciation et d’articulation. Ils sont très
généralement compassés de phase abside et apparaissent comme des jeux.
 Les chaussettes de l’archè-duchesse sont archi-sellé.
 Zazie causait avec sa cousine en causants.
 Six petites truites cuites.
 Je veux et j’exige d’esquisse de ce juge.
I. Les éléments qui caractérisent la voix :
1. Le volume : C’est le niveau sonore de la voix, il faut l’adopter à la taille de
l’espace (local ou on se traves).
2. Le débit : C’est la vitesse à laquelle nous parlons se mesure car le nombre de
mots à la minute.
La vitesse à laquelle nous parlons affecte la qualité de la compréhension de ce qui
est dit.
Un débit trop rapide perturbe l’écoute et oblige se dit a restructure les différents
éléments entre eux.
A l’opposé un débit trop lent risque d’ennuager l’interlocuteur, et même de
l’endormir. Quel est le débit idéal ? Pour certains spécialistes de la parole, il oscille
entre 120 et 160 mots à la minute.
Il dépend de la respiration, si celui qui régulièrement et sans bruit, il peut varier
son débit facilement.
3. L’intonation : C’est l’expressivité de la diction, le mouvement mélodique de
la musicalité de la voix. Une intonation différents peut donner ou même mot un
sens différent.
Mais les intonations que nous donnons à ce que nous exprimons sont souvent
involontaires, non réfléchies inconscients. C’est pourquoi il nous incombe de
prendre conscience des effets de l’intonation afin de mieux les maitriser la
modification du ton peut à elle charger le sens d’une parole ou d’une pensée.
Les Obstacles à la communication
Introduction :
La communication est un acte difficile dans la mesure ou à chaque étape processus peut
intervenir un certain nombre de perturbations appelées
« Obstacles » ; « interférences » ; « bruits » ou « freins ».
Il est indispensable de connaître ces différents freins afin des les atténuer ou supprimer
pour que le message pensé par l’émetteur soit compris par le récepteur.
I. Les différents freins à la communication :
Ils peuvent être collectifs, c'est-à-dire externes aux partenaires de la communication ou
au contraire individuels, c’est-à-dire qui dépendent des partenaires aux mêmes.
1. Les freins collectifs à la communication :
a. Les freins techniques :
Les conditions techniques sont parfois défectueuses.
Les difficultés rencontrées peuvent tenir au temps ou au lieu ou à L’espace.
 Le moment mal choisit ; laps de temps trop court.
 Endroits mal adapté à la communication, lieu inconfortable (trop chaux, trop froid,
bruyant, mal éclairé…). Le matériels utilisé fonctionne mal ou n’est pas adapter.
 Organisation de l’espace mal adapté (disposition des sièges, distances des
partenaires…)
b. Les freins organisationnels :
L’organisation du group (entreprise, administration, services…) ou la communication doit
se faire peut gêner l’échange des massages en raison d’une organisation très hiérarchisés ou
faute des moyens de communication entre les différents partenaires de l’entreprise.
c. Les freins sémantiques :
Le langage n’est pas le même ; les mots n’ont pas le même sens pour l’émetteur et le
récepteur ou bien encourt le mot employer n’est pas connut pour le récepteur.
d. Les freins sémiologiques :
L’attitudes et conduite perturbatrice exemple : pendent une réunion une personne qui
parle dans le fond de la sale, une autre qui jouent avec un stylo.
Remarque : tous ces freins sont assez facilement décelables il est donc possible de les
atténuer.
Résumer de la Communication
 2. Les obstacles individuels à la communication :
Les difficultés les plus nombreuses et les moins faciles à percevoir et donc à éliminer,
tiennent aux individus qui participent aux processus de la communication ; elles peuvent
résulter de trois types de facteurs :
a. La méconnaissance ou la mauvaise analyse par l’émetteur de la situation de
communication :
L’émetteur faute d’avoir pris en compte la nature de l’information à transmettre ou bien
la personnalité de récepteur choisi mal :
 Le canal de communication (message très complexe et comprenant de nombreuses
référence transmis par téléphone par exemple).
 Le code de communication pour traduire son message en utilisant un registre de
langue ou un temps inadapté à la personnalité ou cadre de référence de son
récepteur.
b. Le manque de motivation des deux partenaires de la communication :
Il arrive que raisons des facteurs personnels l’émetteur n’a pas envie d’émettre et le
récepteur n’est pas envie de recevoir le message, de nombreux facteurs sont à l’origine de
ses freins :
 La rigidité du cadre de référence l’individu à du mal à s’ouvrir à d’autre idées que les
siennes.
 L’altitude générale en vers l’autre quand elle est extrême caractériser par exemple
par une confiance aveugle ou l’inverse par une suspicion systématique.
 Manque d’intérêt par le récepteur il part avec des tiers pendant la communication.
c. Les l’habitude et les préjugés (freins sémiologiques) :
Les préjugés résulte du vécu de chaque interlocuteur expériences heureux ou
malheureuses ; joie et déceptions ils empêchent le plus souvent les partenaires et les
récepteurs en particulier d’entrer dans la situation de communication avec l’œil neuf qui sera
indispensable ou contraire il les incite à interpréter le message avec un pont de vue fixé à
l’avance et apprendre partie avant même d’avoir observé ou écouter.
d. Frein économique :
C’est tout ce qui est en rapport avec l’économie c’est moins conteuse mais aussi moins
efficace. Exemple : le règlement intérieur de cette école supérieur est affiché au lien d’être
distribuer à chaque élève.
II. Les conditions favorables à une communication de qualité :
1. Les règles à respecter par les deux partenaires :
Les communiquant performants adapte leurs langage et leurs altitude à leurs
interlocuteur ; ils doivent :
 Analyser la situation de communication à la quelle ils doivent l’un et l’autre
participer « l’interlocuteur ; message ; effet retour attendu ».
 Vérifier que l’interlocuteur se situ dans le même cadre de référence.
 Se rendre parfaitement disponible en faisant le vide externe à la communication.
 Être empathique : être capable de se mettre à la place de l’autre que l’on désire
communiquer.
2. Les règles propres à l’émetteur :
L’émetteur s’attachera à :
 Choisir un canal est un code adapté pour transmettre un message.
 Eliminer tous les bruits « Technique en Particulier » qui risque de perturber la
transmission du message (favoriser ; observer ; surveiller du récepteur pendant et
après la transmission du message).
3. Les règles propres au récepteur :
Le récepteur se forceras de :
 Être pleinement à l’écoute ; en se mettant à la place de l’émetteur ; en essayant de
comprendre ou il veut en venir.
 Observer la communication non verbale de l’émetteur qui est aussi porteuse de
sens.
 Prendre des notes si le message est oral.
 Reformules le message pour vérifier si à bien compris.
 Poser des questions s’il manque d’information.
 Se méfier des préjugé et de la routine qui entrave la compréhension du message est
aboutisse souvent à des échecs.
Les Principes de base de la communication
Le verbe communiquer signifie transmettre et également « être en relation avec » ou
l’utilise pour le sens de mettre en commun, échanger partager, consulter, participer…
Communiquer c’est donc être reçu et recevoir, Ainsi on peut définir la communication
comme étant un processus interactif et dynamique comme d’émission et de réception de
message ce processus et soumis à certaines lois générale dont vous pourriez vérifier
l’exactitude dans votre propre expérience.
1. La communication peut-être volontaire ou involontaire :
C’est connu, les mots « déposent à été communiqué involontairement lorsqu’on est en
colère me commence à dire des choses doit on ne connait pas les conséquences.
En rentrants chez nous, vous faites peur à votre sœur, sous la peur, elle cri un geste, une
expression de sou visage…dans ce cas la communication est involontaire.
Votre communication peut être intentionnelle pour découvrir, apprendre, persuader, ou
pour réfléchir.
2. Notre communication est inévitable car nous ne pouvons pas
communiquer :
Même si ne nous taisons, nous communiquons (un silence sertes, mais nous
communiquons quelque chose, colère, peur, culpabilité, le regret ; manque de confiance…)
de plus les expressions de notre visage, notre attitude, nos gestes, notre façons de s’habiller
parlent à notre place le silence d’un amie traduit t-il son malaise sa fatigue ou sa colère … le
message est parfois mal compris mais la communication de muer toujours présente.
Résumer de la Communication
 3. La communication est inversible :
Notre communication est inversible lorsque les mots et comportes son exprimés, il est
impossible de revenir en arrière au mieux nous pouvons atténuer les effets de notre message
avec un nouveau message si on blesse quelqu’un sans intention l’important et de s’excuser
d’expliquer comment s’est arrivé et de pardonner, il est très important de tenir compte à
notre relation.
L’écoute active
Ecouter activement est une technique de communication indispensable dans des
situations d’entretien et dans toutes activités de gestion de groupe ou d’équipe.
Elle implique une réelle disponibilité à la parole de l’autre. Les outils de l’écoute active
sont l’art du questionnement de la reformulation et de la synthèse le mode d’écoute quand
le plus sauvant à l’esprit s’est celui ou la personne assise regarde devant elle et qui à toute
fin outille ; ne fait rien d’autre elle écoute uniquement, ce mode d’écoute s’est l’écoute
passive, il s’agit d’un processus mécanique qui exige peux d’effort.
L’écoute active en ; refuge ; exige des efforts, il ne suffit pas de se concentrer sur l’effet ;
les chiffres ; et les idées ; il faut absorber ce que l’on entend, établir des liens avec sa propre
expérience et transposer les donnes en une information utile à la quelle en court à avoir
recoure ultérieurement écouter attentivement quelqu’un c’est écouter ce qu’il dit mais aussi
comment il le dit, avec ses sourire, son regard ; ces gestes ; s’est énergie… son silence.
4. Les conseille à suivre pour attendre les objectifs de l’écoute active :
L’écoute active est très importante qans le processus de la communication et pour
atteindre l’objectif il faut :
a. Se rendre disponible :
Il faut se préparer à l’écoute, faire le vide de ces propre préoccupation ; pour être capable
de se mettre à la place de ce lui qui parle.
b. Être attentif et concentrer :
Il faut éviter de faire autre chose, il faut rester en éveille ; avec une attention se tenu ;
s’ont ce laisser distraire par un événement quelconque, en détail vestimentaire ou physique,
un accent….. Il faut faire attention à la communication verbale et non verbale.
c. Être passion :
Il faut laisser parler émetteur, an doit écouter le massage qans sa totalité avant de poser
éventuellement une question si on veut des précisions.
d. Rester impartial :
Ecouter c’est se montre disponible à l’émetteur tel qu’il est et non tel qu’en voudrait qu’il
soit, il faut donc éviter absolument tous les jugements de valeurs, pendant l’écoute il ne faut
en aucun cas mettre en doute ou critiquer se qui est dit.
e. Montrer De L’intérêt :
Une bonne écoute se manifeste par :
 Le regard.
 Des formules d’acquiescement verbal ou non verbal.
 Si la situation le permet par des questions pour faire préciser ou répéter.
 Le plus sauvant par une prise de note.
EXERCICE :
Jeu questionnaire sur l’écoute efficace Vrai ou Faux :
1- Un bon auditeur n’a pas besoin de se concentre sur le personne qui parle. X
2- Un bon auditeur écoute pour saisir des faits, non des idées. X
3- Ecouter exige notre participation active. √
4- Les personnes souffrant de porte auditive ne peuvent-être de bons auditeurs. √
5- La plupart des gens écoutent bien. X
6- L’écoute efficace se fait avec l’ensemble du corps. √
7- Les bons auditeurs savent ce que dit le personne aux parle et peuvent l’interrompre
brièvement. X
8- Vous pouvez-être un auditeur efficace dans n’import quelle culture, pour vu que vous
compreniez la langue. √
La reformulation
Pour apprendre à écouter le mieux est de s’exercer à reformuler ce que l’interlocuteur
vient de dire.
L’exemple suivant montre que la reformulation permet de clarifier ce que l’interlocuteur
veut dire.
A : Je ne peux plus supporter ma belle mère je sens que je vais lui torde le cou.
B : Si j’ai bien compris tu as l’intention de la tuer.
A : Non, je ne dis pas cela, mais je vous-droits bien qu’elle est disparaissez.
B : Ah bon ! Tu es entrain de me dire que tu souhaites sa mort.
A : Ce n’est pas cela mais tu comprends vivre avec elle sept jours par semaine c’est trop !
B : Si j’ai bien compris, tu voudrais qu’elle démange.
A : Oui, est bien cela.
B : Est-ce-que c’est possible ? Lui as-tu demandé cela ? …
1. La définition de reformulation :
Reformuler la pensé des l’autre, c’est la restituer sans aucun déformation c'est-à-dire
reprendre ou redire en d’autre terme et d’une manière plus concise en plus explicite
« claire » ; ce que le sujet vient d’exprimer et cela de tel sorte que l’on obtienne l’accord de
celui-ci.
La reformulation qui est une manifestation juste de l’écoute ; constitue un atout
« moyen » en matière de discutions, c’est la garantie de la tolérance ; de la compréhension et
de l’efficacité.
2. Les objectifs de la reformulation :
 Permettre au récepteur de vérifier son niveau de perception afin d’être sur qu’il
comprend bien ce que la personne est entrain de lui décrire.
 Faire comprendre à la personne que vous écoutez que ce qu’il dit.
Résumer de la Communication
  Cristallisé les observations et les commentaires de la personne en reprenant ce qu’il
a dit d’une manière plus concise. Si la reformulation est juste ; d’amener l’autre à
Demande de stage
une ouverture mental.
 D’amener l’interlocuteur a préciser sa pensé ; prendre conscience.
(Ville), le "date
 De relancer un entretien son influence et interrompre le fil des idées. Nom prénom
Remarque : Adresse. (Code postal)
La reformulation est difficile à réassuré. On effet, elle fait sauvant l’objet de déformation Tel
du message, du es à des ajouts ou des modifications ; le plus sauvant dut au faite que, sons Email Nom de l'Entreprise destinataire
en être conviant ; nous interprètent les informations que nous recevons. Nom du recruteur destinataire
Pour contourner ses difficultés, il est utile de respecter les conseils suivant : Poste du recruteur destinataire
 Rester neutre. Adresse postale de l'entreprise
 Ne pas porter du jugement.
Relater l’effet de la façon la plus fidèle possible. Objet : Demande de stage
3. Les différents types de reformulation : Madame, Monsieur.
a. La reformulation écho : C’est la reformulation la plus simple, puis qu’il s’agit
J’ai respectueusement l’honneur de vous demander de bien vouloir examiner
de reprendre sous forme interrogative un ou les derniers mots importants de
ma présente demande de stage au sein de votre département informatique pour le
votre interlocuteur.
b. La reformulation miroir : Il s’agit de répéter en termes équivalents ce qui vient mois juillet 2008.
de dire votre interlocuteur. Je porte à votre connaissance que je suis titulaire d’un baccalauréat sciences
c. La reformulation résumé : Permet de concentrer ce que vient de dire votre expérimentales, et je poursuis ma formation dans la 1ére année de technicien
interlocuteur, sans le modifier. spécialisé en systèmes réseaux informatique à L’Institut Spécialisée de Technologie
d. La reformulation transformation : Traduit et transforme volontairement les Appliquée de Settat, je souhaite M’investir en vue de bénéficier de cette précieuse
propos de votre interlocuteur, sans les interpréter ; simplement pour lui occasion.
donner une autre vue, une autre lecture. Dans l'attente de votre réponse et espérant vous rencontrer personnellement
Les expressions utilisées « Autrement dit », cela revient à dire. afin de compléter cette présentation, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur,
e. La reformulation stratégique : Consiste à modifier un élément de la phrase de
l'expression de ma considération distinguée.
votre interlocuteur dans un but orienté solution.
Signé :
Analyser un texte publicitaire
Rédiger un compte rendu
La publicité est une forme de communication, dont le but est de fixer l’attention d’une
cible visée (Consommateur, Utilisateur, Usager, électeur…) pour l’inciter à adopté un I. Définitions :
comportement souhaité : achat d’un produit, élection d’une personnalité politique, incitation Le compte rendu est un texte orale ou écrit destiné à transmettre un destinataire censé
à l’économie d’énergie. ne pas le connaître des informations sur un texte (article, discours, lire) ou une réunion, un
On trouve généralement les textes publicitaires dans les journaux et magazines, dans les environnement un spectacle…pour qu’il puisse s’en faire une représentation fidèle est la plus
affiches sur les murs, sur des panneaux publicitaires dans les prospectus et dépliants. complet possible.
Les publicitaires se caractérisent par les éléments suivant : Il est donc beaucoup plus vaste qu’un résumé mais comme celui si il respect :
 Le nom du produit.  La fidélité a l’original
 Le slogan publicitaire : Il s’agit d’une phrase, souvent assez courte qui a comme  La sélection de l’essentiel
but d’être facilement retenu et parfois le produit à des images qui incitent le  La structuration (comment classer les informations comment les présentés)
consommateur à acheter le produit. II. Il y a plusieurs types de compte rendu :
 Compte rendu d’un environnement
 Compte rendu d’un accident
Résumer de la Communication
  Compte rendu d’une réunion Dans une demi-page on présente de façon brève le contenu du rapport.
Il doit adopter un ton neutre, un personnel est ne pas prendre position en est fait le IV. Table des matières
compte rendu ne fait que restituer par écrit la décision et/ou les point abordées lors de la Il s’agit du plan de votre rapport il faut choisir avec précision des termes de vos titres
réunion .il est purement factuel. pour laisser apparaître facilement la structure et le contenu de votre rapport.
III. Le compte rendu comporte certains points essentiels : Numéroté les parties, section, paragraphe afin d’avoir d’une bonne lisibilité.
 Le titre de documents Indique la pagination sur le plan
 La nature et l’objet de la réunion V. Corps du rapport
 Le lieu Introduction 1 on 2 page
 La date et leur précise de la réunion On précise les raisons du chois de ce stage
 L’organisation de la sembler Présenter de manière globale l’E/S il faudra dire :
 La liste des participants ‘mentionner)  Dans quel cadre vous étés amener faire ce stage
 Aussi le nom d’absent  Quels sont été les différents types
 Le déroulement de la science  Quelles seront les étapes de ce travail et ou les résultats
 Les tours de prise de parole
IV. Les gestes : Rédiger une lettre de motivation
Le geste est révélateur de notre compétence a communiquer on peut distinguer :
 Les gestes ouverts : ce sont des gestes qui accompagnent le message et soulignent Mohammedia, Le samedi 2 février 2019
certains points ils marquent le partage et l’engagement ils sont tournés vers les Nom prénom
autres. Adresse (ville)
 Les gestes fermés : ce sont des gestes dirigés vers soi .ils n’ont pas la force de Code postale (ville) A Monsieur le Directeur de (nom e/s)
convaincre. Tel :
 Les gestes parasites : ce sont des gestes qui perturbent et gênent la Email
communication .ils sont soit le signe d’une émotivité excessive soit ils ne sont Objet : lettre de motivation
pas adaptés au discours. Monsieur le directeur
V. Les postures : Actuellement titulaire d'un diplôme de technicien spécialisé en systèmes réseaux
Ce sont les attitudes générales du corps la posture idéale c’est la verticalité, droit dans la informatique à L’Institut Spécialisée de Technologie Appliquée de Settat, et baccalauréat
position il faut éviter les dos voûtés les épaules rentrées, s’appuyer sur une hanche. série science expérimental, c'est avec intérêt que je souhaiterai mettre mes connaissances
théoriques et pratiques ainsi que mes qualités humaines au service de votre entreprise ; pour
Rédiger un rapport de stage un poste de comptable.
Dynamique et motivée, j'ai acquis au cours de mes premières expériences
I. La plage du titre professionnelles les qualités nécessaires à ce poste tout en me familiarisant avec les outils
Elle contient le nom et le prénom techniques mis à ma disposition. Ce poste serait pour moi un véritable tremplin me
Le titre permettant de débuter ma carrière professionnelle dans les meilleures conditions et dans un
Type de page domaine que j'ai déjà pu appréhender lors de ma formation.
Date/période Espérant que ma candidature retienne votre attention je me tiens à votre entière
Nom disposition afin de vous démontrer mes motivations et mes perspectives d'avenir au cours
Adresse d'un entretien.
Le nom de votre mettre de stage Dans l'attente d'une réponse de votre part veuillez, agréer, Monsieur, l'expression de mes
II. Remerciement ou dédicaces salutations distinguées.
Sur cette page peuvent figures des remerciements ou parfois des dédicaces a ceux qui Signature :
ont soutenu vos travaux et apporté une aide particulièrement unitile.
Pièce jointe :
III. Résumé
 CV

Résumer de la Communication

EXPOSER ORALEMENT
I. Pour la réalisation d’un exposé magistral il faut analyser les questions
suivantes :
1. L’objectif : à quoi sert mon exposé ?
On distingue trois types d’objectifs : informer, expliquer, convaincre.
a. Informer : C’est transmettre à son auditoire un message qu’il n’avait pas
auparavant, sans avoir le souci qu’il adhère à cette information. Informer c’est
donner du savoir et seulement du savoir.
b. Expliquer : C’est transmettre à son auditoire des informations sur un procédé,
une méthode, une technique, afin qu’à l’issue de la présentation il sache lui-
même reproduire ce procédé ; utiliser cette méthode, appliquer cette méthode.
c. Convaincre : C’est transmettre à son auditoire une idée de telle façon qu’il y
adhère ou qu’il ait ; envie d’agir pour que cette idée s’accomplisse. Convaincre
c’est faire.
2. Le sujet : de quoi vais-je Parler ?
Il est très important de définir le sujet et surtout de délimiter l’exposé en sélectionnant
les thèmes à aborder.
Il est également essentiel de choisir une idée directrice, un socle, sur lequel viendront se
greffer les idées secondaires.
Les idées secondaires correspondent souvent aux sous parties de l’exposé et constituant
les différentes parties de l’exposé.
3. Le public : à qui s’adresse l’exposé ?
Pour tout exposé, il est judicieux d’analyser le public auquel on s’adresse. Connaître le niveau
des participants, leur milieu socioculturel, leur expérience professionnelle (s’ils en ont une),
savoir aussi quel est leur degré de connaissance du sujet et leurs attentes.
Les conditions de réalisation de l’exposé : dans quel environnement va se passer la
formation ?
Il est fondamental de pouvoir organiser son exposé en prenant en considération le temps
qui est imparti, un exposé de 30 minutes doit durer uniquement 30 minutes.
II. Eléments qui constituent un exposé :
L’exposé s’articule généralement autour d’un plan en trois parties :
1. L’introduction : C’est un moment très important, qui marque le début. Une bonne
introduction concentre l’attention de l’auditoire.
2. Le développement : Le développement d’un exposé comprend plusieurs parties. En
général le nombre et l’organisation des parties dépendent du contenu de la formation et du
plan adopté.
A fin de maintenir le rythme et l’intérêt du public, chaque partie s’ouvre et se ferme, par le
biais de transitions. Les transitions mettent en relief la logique du développement.
3. La conclusion : La conclusion est aussi un moment phase de l’exposé, c’est la dernière
étape de la prestation étape qui va permettre de synthétiser le contenu de l’exposé.
III. Le comportement non verbal lors d’un exposé :
Une bonne communication orale face à face type exposé nécessite un savoir-faire. Ce
savoir-faire s’acquiert par une pratique régulière des techniques de communication. Une
bonne communication orale suppose surtout une bonne connaissance et une maîtrise des
techniques de communication non verbale.
La communication non verbale comprend :
1. Le regard : Il est essentiel, il permet de maintenir l’attention de l’auditoire. Il permet
également de percevoir les réactions du public et de réajuster son message en fonction de
celles-ci. Il oblige à faire des poses et à de détacher de ses notes.
Lors d’un exposé ou d’une prise de parole en public, il faut regarder tout le monde et ne
pas se limiter à une partie du public. Le regard doit être circulaire.
2. Le visage : Il est mobile et doit rester (éviter un visage figé ou inexpressif), il traduit
nos émotions, nous savons tous que les émotions rendent la parole plus attrayante et
renforce la crédibilité de l’orateur. La source est un signe d’ouverture et de disponibilité, il
est donc un moyen d’impliquer le public.
3. La voix : Il est très important qu’un orateur sache utiliser correctement sa voix. La voix
se caractérise par ce qui suit :
 Le Volume : C’est le niveau sonore de la voix, il faut l’adapter à la taille de l’espace
(local où on se trouve). Il ne faut pas parler trop bas ni trop fort pour être bien
entendu de l’auditoire ;
 Le débit : C’est la vitesse d’émission des mots, le nombre de mots à la minute. Il ne
faut pas parler trop vite, cela empêche l’auditoire de saisir le sens de tout ce qui est
dit et cela perturbe la communication.
 L’intonation : C’est le mouvement mélodique de la voix, c’est la musicalité de la voix.
Il est nécessaire de varier ses intonations afin de caper l’attention de l’auditoire en
évitant la monotonie dans la voix.
4. Les gestes : Le geste est révélateur de notre compétence à communiquer.
On peut distinguer :
 Les gestes ouverts : Ce sont des gestes qui accompagnent le message et soulignent
certains points. Ils marquent le partage et l’engagement, ils sont tournés vers les
autres.
 Les gestes fermés : Ce sont des gestes dirigés vers soi, ils n’ont pas la force de
convaincre.
 Les gestes parasites : Ce sont des gestes qui perturbent et gênent la communication.
Ils sont soit le signe d’une émotivité excessive, soit ils ne sont pas adaptés au
discours.
5. Les postures : Ce sont les attitudes générales du corps. La posture idéale c’est la
verticalité, droit dans la position « prêt à aller vers l’avant ». Il faut éviter, les dos voûtés, les
épaules rentrées, s’appuyer sur une hanche…
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