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inforespace | cosmologie phénoménes spatiaux eye LU ele inforespace Organe de la SOBEPS asbl Société Belge d'Etude des Phéno- menes Spatiaux Boulevard Aristide Briand, 26 1070 — Bruxelles tél. : 02/23.60.13 Président : André Boudin Secrétaire général : Lucien Clerebaut Secrétaire général adjoint : Patrick Ferryn Trésorier : Christian Lonchay Rédacteur en chet : Michel Bougard Mise en page : jan-Lue Vertongen Imprimeur L. Bourdeaux-Capelle 4 Dinant Editeur responsable Lucien Clerebaut inforespace est dédié a la mémoire de Jean-Gérard Dohmen, Président ‘du Groupe « D » et fondateur de la Fédération Belge d'Ufologie (FEU). Sommaire Historique des Objets Volants Non Identifiés = Les fresques du Tassili 7 Nouvelles internationales t “10 La critique historique dans le domaine des soucoupes volantes 42 Le catalogue des observations belges e0h (FS) O45 Le dossier photo d'inforespace _ - 20 Nos enquétes 23 L’extraordinaire explosion de 1908 dans la Taiga 26 Initiation & ’Astronomie (5) _ 35 Chronique des OVNI 38 Les articles signés n'engagent que ta responsabilité de leur auteur. Historique des Objets Volants Non Identifiés Le 14 juillet, ce fut au tour du pilote W.B. Nash et de son copilote W.H. Fortenberry d’étre confrontés avec l'inconnu. Leur DC 4 faisait route vers Miami en passant par Norfolk (Virginie). Comme ils se trouvaient a 2400 métres, A quelque distance de New- port, ils virent en contrebas, volant a la rencontre de leur appareil, six disques énor- mes entourés d'une grande lueur rouge et ressemblant a du métal en fusion. Les six disques manceuvrérent de concert: l'objet de téte se redressa, imité quelques ins- tants plus tard par les cinq autres et tous prirent la direction de louest, Deux objets apparus une seconde plus tard sous le DC 4 s'en allérent rejoindre le groupe qui s’éloi- gnait: leur coloration paraissait se dissou- dre. Les pilotes purent affirmer qu’au cours d'un ralentissement, leur teinte s'était « ter- nie », mais qu’a mesure qu’ils reprenaient de la vitesse, les objets devenaient plus lumi- neux. Les pilotes alertérent |'aérodrome de Norfolk. A leur arrivée a Miami, ils furent questionnés par les officiers de renseigne- ment ainsi que par les agences de presse (Ref. 2, p. 46). C'est a juste titre que la littérature rela- tive aux OVNI cite l'année 1952 comme ayant été des plus fertiles en incidents de ce genre. Le 16 juillet, a 9 h 35 du matin, Shell R. Alpert, 21 ans, photographe de la base aérienne de Salem (Massachusetts) réussissait a fixer sur la pellicule quatre lu- miéres blanchatres qu’a partir de la fenétre de son laboratoire i! avait apercues volant en formation. Le quartier général de la gar- de cétiére accepta de rendre publique la célébre photographie le 1° aoat 1952. (Réf 17, p. 27). Le tendemain, le capitaine Paul L. Carpen- ter volait bord d'un DC 6 quand il recut un message radio d'une escadirille qui le de- vangait. II faisait nuit et l’avion naviguait & 6700 métres. Ayant éteint les lumiéres de "'habitacle, Carpenter et son équipage re- pérérent bientot quatre lueurs qui se dé- plagaient @ trés vive allure. Carpenter esti- ma leur vitesse a 4800 km/h. (Réf. 2, p. 48). Le 18 juillet, des centaines d'habitants de Veronica (Argentine) assistaient aux évolu- tions de six disques qui décrivirent des bou- 2 cles et montérent en chandelle pour se perdre dans le firmament (Réf. 2, p. 48). L'U.S. Air Force se souviendra toujours de ce fameux mois de juillet ou elle fut vérita- blement harcelée par une masse invraisem- blable de rapports rédigés dans la plupart des cas par'des*pilotes de grande expérien- ce. C'est alors qu’eut lieu ce que l'on bapti- sa lé « Garrousel de Washington », soit une cascade d'observations s'échelonnant du 19 au 26, prés de l'aéroport national. Les événements capitaux furent observés a la fois par de nombreuses personnes au sol, par les radars de la CAA (Administration de l'Aéronautique Civile) — dont les échos puissants ne provenaient d'aucune anoma- lie de propagation (dixit James McDonald qui enquéta sur cette affaire) — et par les pilotes de tous ations en vol. Le 19, a 23 h 30, deux radars du National Washington Airport détectent sept OVNI dont deux accélérent brutalement. La tour de contréle suit I'événement sur son radar, et M. Barnes, contréleur principal, en est averti. Celui-ci informe Andrews Field comme il se doit (il est en effet interdit de survoler la Maison Blanche et le Pentago- ne). La base d’Andrews confirme le phénome- ne: son radar a aussi repéré les objets. M Barnes se sert d'un théodolite pour les sui- vre. Les manceuvres dont ils font preuve dé- fient les lois de la mécanique : un des ob- jets vire & 90°, un autre amorce un retour- nement de 180”. A 0 h 30, il alerte la défen- se aérienne. Mais il n'est pas possible d'en- voyer maintenant des chasseurs. M. Barnes s'adresse a Neweastle AFB, dans le Delawa- re. Quand les avions arrivent sur les lieux, il est trop tard: les objets ont disparu. Le capitaine Casey Pierman prend Tair. Il est bientét mis en présence d'une lumiére étin- celante, qui tout & coup accélére a la se- conde et se dérobe en un clin d’ceil. A l'au- be, une sphére orange vif de grandes dimen- sions se balance au-dessus des batiments. Washington est une nouvelle fois alerté. Dix engins surgissent soudain, et le carrou- sel continue : demande d'interception, échos radar, nouvelle disparition des objets sur les écrans. Un OVNI lumineux suit un avion de transport sur le point d’atterrir.

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