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LES RISQUES NATURELS

I. DÉFINITION DU RISQUE NATUREL

L'expression « risque naturel » s'utilise par opposition à celle de « risque technologique », mais elle
n'implique pas que le risque soit la conséquence d'un phénomène exclusivement naturel ou que
l'activité humaine n'y soit pas reliée.

QU'EST--CE QU'UN RISQUE ?


QU'EST
Un risque naturel est un phénomène naturel potentiellement destructeur. Pour les spécialistes cette
expression ne qualifie pas nécessairement le phénomène lui-même, mais plutôt le risque qu'il
présente pour une population donnée.
Elle répond au concept probabiliste développé dans les années 1950 par les scientifiques qui ont
défini le risque comme une "espérance mathématique" de dommages possibles.
Un risque résulte de la combinaison de deux termes

Risque = Aléa x Vulnérabilité


a.L’aléa : est connu en anglais sous le nom de « hazard » et en espagnol comme
« peligrosidad ». Le terme fait référence à la probabilité qu'un phénomène d'une certaine
étendue, intensité et durée, entraînant des conséquences négatives, a de se produire.

b- vulnérabilité
a vulnérabilité fait référence a l'impact du phénomène sur la société, c'est justement l'accroissement
de la vulnérabilité des enjeux qui augmente l'incidence des risques naturels.
La vulnérabilité concerne depuis l'aménagement du territoire jusqu'à la structure des bâtiments, et
dépend fortement de la réponse de la population face au risque..
C’est l’impact sur les personnes et les biens, provoqué par l’aléa (blessures, marchandises dégradées,
pollutions, ...)
c. Caractérisation du risque
Le risque naturel exprime les pertes probables, en vie humaines, en biens et en activités,
consécutives à la survenance d’un aléa naturel.
d. EnjeuxCe sont les personnes, biens, activités ou patrimoines susceptibles d’être
affectés par un phénomène naturel.

C’est à dire : les habitants,


les commerces,les industries.

ainsi que leur mobilier, électroménager, stock


et réserves ou machines-outils, ...
Un événement potentiellement dangereux ou aléa n'est un risque majeur que s'il s'applique à une
zone où des enjeux humains, économiques ou environnementaux sont en présence :

D'une manière générale, le risque majeur se caractérise par de nombreuses victimes, un


coût important de dégâts matériels, des impacts sur l'environnement.
F- Conséquences
Les dommages occasionnés par les risques naturels peuvent être :
Directs (personnes, biens, agriculture et élevage, infrastructures, patrimoine culturel,…)
Indirects (interruption de chantiers et de systèmes de production, diminution du tourisme,…).

Les cartes du risque sont élaborées en établissant des critères numériques afin d'estimer objectivement
la vulnérabilité et l'aléa.

Le risque dans un point ou dans une zone est déterminé à partir des valeurs précédentes, bien qu'il ne
soit pas forcement calculé comme le produit des deux.
On a pensé récemment à introduire dans ce calcul la réponse de la population face au risque :
considérant que plus la réponse est bonne, moins le risque est fort. C'est pour cela que dans certaines
régions, cette réponse est évaluée à travers un critère numérique dont la valeur est ensuite soustraite
au produit de l'aléa par la vulnérabilité

Risque = [Aléa x Vulnérabilité] – Capacité de réponse


• Les Tsunamis (vagues
portuaires)
• Les cyclones
• Les volcans
• Les nuées ardentes
• Les tornades
• Les séismes
Risque d’inondation
Généralités
1.Hyétogramme

Hyétogramme : un hyétogramme est une représentation de l'intensité de la pluie tombée


en fonction du temps. Comme en général, la pluie est recueillie par un pluviographe,
l'intensité est intégrée sur un pas de temps de quelques minutes. Les courbes ont en
général l'allure d'un histogramme

Crue : il existe plusieurs dénitrions du mot crue.


crue. Ici, crue désigne un événement caractérisé
par une rapide augmentation du débit.
débit. Plusieurs paramètres sont utilisés pour décrire une
crue
2.Transformation de la pluie en hydrogramme de crue
La transformation de la pluie en hydrogramme de crue se traduit par l'application successive
de deux fonctions, nommées respectivement fonction de
Production – ou fonction d'infiltration - et fonction de transfert. La fonction de production
permet de déterminer le hyétogramme de pluie nette à partir de la pluie brute .
La fonction de transfert permet quant à elle de déterminer l'hydrogramme de crue
résultant de la pluie nette (la pluie nette est la fraction de pluie brute participant totalement
à l' écoulement).
une averse tombant sur un bassin versant aura pour conséquence, en une station de contrôle située sur
le cours d'eau, une réponse pouvant être nulle (absence de modification de l'écoulement ou absence de
crue) ou positive (écoulement modifié ou crue).
crue).

l Rapide
Rapide-- La réponse rapide est imputable aux écoulements de surface ou, par exemple, à un effet piston,
ou encore à l'effet de la macroporosité du sol.
l Retardée - C'est notamment le cas lorsque la réponse hydrologique est due principalement aux
écoulements souterrains
souterrains..
1. Temps de réponse du bassin tp (ou "lag")lag") - Intervalle de temps qui sépare le centre de gravité de
la pluie nette de la pointe de crue ou parfois du centre de gravité de l'l'hydrogramme
hydrogramme dû à
l'écoulement de surface.
surface.
2. Temps de concentration tc - Temps que met une particule d'eau provenant de la partie du bassin
la plus éloignée "hydrologiquement" de l'exutoire pour parvenir à celui- celui-ci
ci.. On peut estimer tc en
mesurant la durée comprise entre la fin de la pluie nette et la fin du ruissellement direct (i (i..e. fin
de l'écoulement de surface).
surface).
3. Temps de montée tm - Temps qui s'écoule entre l'arrivée à l'exutoire de l'écoulement rapide
(décelable par le limnigraphe
limnigraphe)) et le maximum de l'l'hydrogramme
hydrogramme dû à l'écoulement de surface.
surface.
4. Temps de base tb - Durée du ruissellement direct, c'est-
c'est-à-dire la longueur sur l'abscisse des temps
del'hydrogramme dû à l'écoulement de surface.
de la base del'hydrogramme surface.
Pour une même surface, le temps
moyen d’arrivée des précipitations à
l’exutoire, dit temps d’acheminement,
est moindre dans le cas d’un bassin à
forme ronde (BV1) que dans le cas d’un
bassin de forme allongée (BV2).

Cette différence est visible sur


l’hydrogramme de crue mesuré à
l’exutoire du bassin versant.
Par exemple et pour une même pluie :

1. un bassin en forme d’éventail (BV1)


présente un débit de pointe élevé
et un temps d’acheminent à
l’exutoire assez court

2. une forme allongée (BV2) favorise


les faibles débits de pointe de crue
et un temps d’acheminement plus
important.
Le rôle de la végétation dans le cycle de l’eau
est loin d’être négligeable et la destruction
des couvertures végétales augmente, entre
autre, les risques d’inondations.
En effet la nature du couvert végétal et son
organisation influent sur la capacité
d’infiltration de l’eau dans le sol. Le
développement du réseau racinaire facilite sa
pénétration et en prélève une certaine
quantité pour alimenter la plante.
Le couvert végétal retient par ailleurs le sol
ce qui limite l’érosion et sur les terrains
pentus les glissements de terrain. Il tend à
limiter le ruissellement. Une absence totale
de végétation ajoutée à une faible capacité
d’infiltration du sol, favorise l’écoulement de
surface, empêche la recharge des nappes,
diminue les temps de concentration et
augmente les risques d’érosion en favorisant
des régimes de crues intenses.
Au contraire, un sol épais
avec une bonne capacité de
rétention (bonne porosité et
présence de végétation)
limite le volume et le temps
de montée de la crue.
Risque d’inondation

Introduction
Définition
comment se manifeste-t-elle ?
l’ampleur d’inondation
les types des inondations
les causes
I- INTRODUCTION
Dans le monde, les inondations représentent plus de 50% des catastrophes naturelles et
causent en moyenne 20 000 morts par an.

Qu’est ce que une inondation?


II. Définition
Une inondation est la submersion plus ou moins rapide d'une zone, avec hauteur d'eau
et vitesse d'écoulement variables. Elle est provoquée par des pluies importantes et
durables entraînant une augmentation du débit d'un ou plusieurs cours d'eau.
Durant le bon temps
Durant les journées pluviaux .
Comment se manifeste-t-elle ?
• Elle peut se traduire par :

- un débordement du cours d'eau plus ou moins rapide,

- une remontée de la nappe phréatique (inondation de plaine),

- une stagnation des eaux pluviales (inondation de plaine),

- une crue torrentielle (Sud du Maroc),

- un ruissellement de secteur urbain (Oujda, Nador, Mohammadia).


L'ampleur de l'inondation

Elle est en fonction de :

- L'intensité et la durée des précipitations,

- La surface et la pente du bassin versant,

- La couverture végétale et la capacité d'absorption du sol,

- La présence d'obstacles à la circulation des eaux.

Elle peut être aggravée à la sortie de l'hiver par la fonte des neiges.
Quelles sont les types des inondations?

Inondations de plaine
Inondations dues à des crues torrentielles
Inondations par ruissellement
Risques naturels : Inondations
A: Inondations de plaine
I - Le phénomène
Sous le terme "inondations de plaine" nous entendons la submersion d'une zone par suite
du débordement des eaux d'un cours d'eau de plaine.
1.1 - Définitions

Lit mineur : Espace fluvial formé d'un chenal


unique ou de chenaux multiples et de bancs
de sables et/ou galets, recouverts par les eaux
coulant à pleins bords avant débordement. Un
cours d'eau s'écoule habituellement dans son
lit mineur (basses eaux et débit moyen
annuel).
Lit majeur : Espace situé entre le lit mineur et la limite de la plus grande crue historique
répertoriée. Cet espace, occupé par l'inondation peut être scindé en deux zones :

A: une zone de stockage des eaux, où la B: une zone d'écoulement, au voisinage


vitesse est faible. Ce stockage est du lit mineur, où le courant a une
fondamental, car il permet le vitesse assez élevée,
laminage de la crue, c'est-à-dire la
réduction de la montée de ses eaux à
l'aval.

Le principe est que les limites des


fleuves et rivières navigables ou
flottables sont déterminées par la
hauteur des eaux coulant à plein
bord avant de déborder (voir croquis
ci-dessous).

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Inondations de plaine

• Origine : elles sont provoquées par des


crues lentes et progressives (l'eau monte
de quelques centimètres par heure).

• Caractéristiques: elles se produisent


souvent après une longue période de
pluviosité, lorsque les sols sont saturés
d'eau, plutôt en hiver.
• Conséquences :
elles ne créent pas de dangers pour les vies
humaines, sauf imprudence, mais peuvent
s'étaler sur plusieurs semaines, et
occasionner des dégâts très importants.
1.2 - Les causes
Chaque cours d'eau, du plus petit torrent aux grandes rivières, collecte l'eau
d'un territoire plus ou moins grand, appelé son bassin versant.
Lorsque des pluies abondantes et/ou durables surviennent, le débit du cours d'eau
augmente et peut entraîner le débordement des eaux.
La relation entre les précipitations et les débits est complexe et fait l'objet d'une science :
l'hydrologie.

Plusieurs facteurs interviennent :


1) L'intensité et la répartition des pluies dans le bassin versant. La fonte de la neige s'ajoute
parfois à ces pluies accentuant le risque.
2) La pente du bassin et sa couverture végétale qui accélèrent ou ralentissent les écoulements.
3) L'absorption par le sol et l'infiltration dans le sous-sol qui alimente les nappes souterraines.
Un sol saturé par des pluies récentes n'absorbe plus.
4) L'action de l'homme : déboisement, feux de forêts qui rendent le sol plus propice au
ruissellement. L'imperméabilisation, due au développement des villes : l'eau ne s'infiltre plus
et surcharge les systèmes d'évacuation.

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Lit mineur, lit moyen, lit majeur 26
1.3 - Les paramètres d'une inondation
L'augmentation du débit d'un cours d'eau entraîne l'augmentation de la vitesse d'écoulement et de la hauteur du
plan d'eau au point considéré.

La laisse d'inondation est la trace laissée par le niveau des eaux les plus hautes (marques sur les murs, déchets
accrochés aux branches). Les dégradations sont fonction de la durée de la crue, de la hauteur de submersion et
de la vitesse d'écoulement.

Grâce à l'analyse des crues historiques (dates, secteurs concernés, débits, laisses …), on procède à une
classification des crues en fonction de leur fréquence ; on met ainsi en évidence le retour des crues de forte
amplitude. L'observation statistique permet de classer les crues suivant l'importance de leur débit. Cette
démarche fait apparaître une relation inverse entre fréquence et intensité : un événement rare est intense et
inversement.

Les crues, qui dépendent principalement des phénomènes météorologiques, sont difficilement prévisibles à
long terme. Mais on peut estimer leur "temps de retour", c'est à dire la durée moyenne qui sépare deux
événements d'une même classe.
Par exemple, la crue décennale pour un certain cours d'eau (débit décennal pour ce cours d'eau) signifie
qu'elle se produit en moyenne une fois tous les dix ans lorsqu'on examine les relevés de débits sur de très
longues périodes.
Mais il s'agit d'une moyenne calculée dont les intervalles peuvent être très irréguliers. Ainsi, des crues dites
décennales en raison de leur débit peuvent se produire à plusieurs reprises dans une même année.
En conséquence, pour éviter de croire qu'après la survenance d'une telle crue "on est tranquille pour dix
ans", il vaut mieux dire qu'une crue décennale a une "chance" sur dix de se produire chaque année. De
même, la crue centennale a une "chance" sur cent de se produire chaque année.

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II - Les types d'inondations
On distingue les inondations :

A - Par débordement direct :


le cours d'eau sort de son lit mineur pour occuper son lit majeur.

B- Par débordement indirect :


les eaux remontent par effet de siphon à travers les nappes alluviales, les réseaux
d'assainissement …

C- Par stagnation d'eaux pluviales ou ruissellement :


l'inondation est liée à une capacité insuffisante d'infiltration, d'évacuation des sols ou du
réseau de drainage lors de pluies anormales dont un des exemples les mieux connus est
celui de la catastrophe de Nîmes en 1988.

Inondation par remontée de nappe Phréatique

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Inondations dues à des crues
torrentielles

• Origine : brusque montée des eaux (plusieurs


mètres en quelques heures) de torrents ou
de rivières suite à des pluies abondantes.

• Caractéristiques: elles ne peuvent être


prévues plusieurs jours à l'avance. Elles
concernent plus particulièrement les régions
du sud du Maroc et les régions
montagneuses.
• Conséquences :
Elles sont souvent dévastatrices et meurtrières.

Inondation au Sud du Maroc 2014


Inondations par ruissellement

• Origine : Lorsqu'il y a une capacité insuffisante


d'infiltration ou d'évacuation des sols ou du réseau
de drainage lors de pluies anormales.
anormales.

• Caractéristiques : dans les zones urbanisées, les sols


imperméabilisés ne permettent pas à l'eau de
pénétrer.. Les eaux de pluie ruissellent, s'accumulent
pénétrer
dans les points bas, saturent les réseaux d'évacuation
entraînant, une remontée d'eaux par les égouts.
égouts.
• Conséquences :Submersion de la voirie et des
constructions de tout un quartier
III - Prévision
Les services météorologiques dispose d'importants moyens d'observation du temps
(satellites Météosat …) ainsi que de modèles de prévision à 5 ou 7 jours. Mais les
précipitations sont la variable météorologique la plus difficile à prévoir. Système de
préventions radar (celui ourika, bassin versant de Martil ……etc

Ce sont les Agences hydraulique de Bassins de prévision des crues (SPC) qui gèrent a la
fois la prévision et l’annonce des crues.

Ces services dont la compétence a été élargie à l’analyse des caractéristiques des bassins
et à l’observation de l’ensemble des phénomènes d’inondation, bénéficient du soutien
du service de risque de Ministère d’intérieur, fonctionnant en continu et de faciliter la
compréhension des informations diffusées en privilégiant une information synthétique
et spatialisée.

En France, de plus, par analogie avec ce qui se fait dans le cadre de la vigilance
météorologique, le SCHAPI (Service Central d’Hydrométéorologie et d’Appui à la
Prévision des Inondations) publie, en liaison avec les services de prévision des crues, une
carte de vigilance « inondation ».

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Enfin, le programme d’actions de prévention des inondations (PAPI), lancé en octobre
2002 par le Ministère de l'Ecologie et du Développement Durable, oriente les
méthodes de prévention vers de nouvelles directions :

la régulation du débit en amont, grâce à la création ou à la restauration des champs


d’expansion des crues,

le développement de l’information préventive,

la réduction de la vulnérabilité des constructions établies en zone inondable,

le développement de structures à maîtrise d’ouvrage locale agissant à l’échelle de bassin


versant.

IV - Prévention et protection

Un des meilleurs moyens de prévention contre les risques d'inondation est d'éviter
d'urbaniser les zones exposées à ce risque. Actuellement, les P.P.R. et les anciens
documents définissent des zones inconstructibles et des zones constructibles sous
réserve de respecter certaines prescriptions.

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L'entretien des cours d'eau (curage, enlèvement d'embâcles …) est une nécessité
pour éviter l'aggravation des inondations.
Cet entretien ainsi que la réalisation d'ouvrages de protection, pour les petits cours
d'eau est à la charge des propriétaires riverains mais dans certains cas, la commune
peut se substituer à ceux-ci en cas de carence.
La création soit d'associations syndicales regroupant les propriétaires soit de
syndicats intercommunaux selon les enjeux, est à encourager.
Pour les rivières qui font partie du domaine public fluvial, cet entretien est à la
charge de l'Etat sur son domaine.

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Quelles sont les facteurs aggravantes des inondations?
• l’intensité et la durée des précipitations.
• l’importance de la surface et de la pente du bassin versant.
• le manque de couverture végétale et de capacité d’absorption
du sol accélérant les phénomènes des érosion et de
ruissellement
• certaines pratiques agricoles en compagne, (création de
barrages)
• l’imperméabilisation massive des surfaces en milieu urbain
(Routes, Bâtiments).
• Les forts coefficients de marée qui peuvent s’opposer à
l’écoulement des rivière en mer.
La vulnérabilité :exprime et mesure le
L’aléa : est la manifestation d’un niveau de conséquences prévisibles de
phénomène naturel d’occurrence et l’aléa sur les enjeux.
d’intensité données
L’enjeu :est l’ensemble des personnes
et des biens susceptibles d’être
affectés par un phénomène naturel.
Les principaux paramètres nécessaires pour évaluer l'aléa sont :

1. La période de retour des crues,


2. La hauteur et la durée de submersion,
3. La vitesse d'écoulement,
4. La torrentialité du cours d'eau.
1) La période de retour des crues

On distingue par ordre croissant :


Les crues fréquentes : dont la période de retour est comprise entre
un et deux ans ;
Les crues moyennes : dont la périodes de retour est comprise entre
dix et vingt ans ;
Les crues exceptionnelles : dont la période de retour est de l’ordre
de cent ans ; L’aléa de référence servant de base à l’élaboration des
documents réglementaires correspond à l’événement centennal ou
au plus fort événement connu, s’il présente une fréquence
supérieure à cent ans.
Les crues maximales vraisemblables, qui occupe l’intégralité du lit
majeur.
Inondations au Sud du Maroc 2014

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