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Principe
• Un fluide à réchauffer circule dans un serpentin ou
dans un faisceau tibulaire chauffé par une série de
brûleurs. Ils comprennent :
Une zone de radiation ou de rayonnement formanat
la chambre de combustion
Une zone de convection situé à la partie supérieure
du four
Combustion
= Qa/Qc
Une partie de chaleur très faible non absorbée par le fluide est perdue par
conduction à travers les parois du four. Les pertes les plus grandes sont les
pertes à la cheminée dissipées dans l’atmosphère par les fumées à températures
assez élevées
Rôle des fours Principaux types de fours
FOURS Fonctions principales des fours Rendement d’un four
Principe et caractéristiques des fours Composantes d’un four
• Charpente de support
Rôle des fours Principaux types de fours
FOURS Fonctions principales des fours Rendement d’un four
Principe et caractéristiques des fours Composantes d’un four
Brûleurs
Brûleurs
À air induit par tirage
À air soufflé
naturel
Rôle des fours Principaux types de fours
FOURS Fonctions principales des fours Rendement d’un four
Principe et caractéristiques des fours Composantes d’un four
• Simplicité d’exploitation
Régulation
Réchauffe du combustible
Classement des Chaudières
CHAUDIÈRES Type des chaudières
Accessoires des chaudières
• À tube d’eau
• À de fumées
Classement des Chaudières
CHAUDIÈRES Type des chaudières
Accessoires des chaudières
• À tube d’eau
• À tube de fumées
• Un dispositif de dégazage
• Pompes doseuses
Cations Anions
Calcium Ca2+ Bicarbonate HCO3-
Magnésium Mg2+ Sulfate SO42-
Sodium Na+ Chlorure Cl-
Potassium K+ Nitrate NO3-
Espèce moléculaire
Silice SiO2
Inconvénients dûs aux cations
ppm CaCO3
1 ppm CaCO3 = 0,1 °f ou 1 °f = 10 ppm CaCO3
Autres unités
1 °f = 0,56 °allemand = 0,7 °anglais = 10 ppm CaCO3
Valeur des différentes unités en mg/l
Cations Formule Masse 1 meq/litre 1 degré 1 ppm
molaire français CaCO3
= = =
Calcium Ca 40 20 mg/l 4,0 mg/l 0,40 mg/l
Magnésium Mg 24,3 12,1 2,4 0,24
Sodium Na 23 23 4,6 0,46
NaO2 62 31 6,2 0,62
Potassium K 39 39 7,8 0,78
Fe (II) Fe 55,8 28 5,6 0,56
Fe (III) Fe 55,8 18,6 3,7 0,37
Fe2O3 159,6 26,6 5,3 0,53
Aluminium Al 27 9 1,8 0,18
Al2O3 102 17 3,4 0,34
Exemple :
120 mg/litre de calcium = 120 / 20 = 6 meq/litre
= 120 / 4 = 30 °f
= 120 / 0,4 = 300 ppm CaCO3
Valeur des différentes unités en mg/l
Anions Formule Masse 1 meq/litre 1 degré 1 ppm
molaire français CaCO3
= = =
Carbonate CO3 60 30 mg/l 6,0 mg/l 0,60 mg/l
Bicarbonate HCO3 61 61 12,2 1,22
Sulfate SO4 96 48 9,6 0,96
Sulfite SO3 80 40 8,0 0,80
Chlorure Cl 35,5 35,5 7,1 0,71
Nitrate NO3 62 62 12,4 1,24
Nitrite NO2 46 46 9,2 0,92
Orthophosphate PO4 95 31,6 6,32 0,63
Silicate SiO2 60 60 12,0 1,20
Valeur des différentes unités en mg/l
Acides Formule Masse 1 meq/litre 1 degré 1 ppm
molaire français CaCO3
= = =
Sulfurique H2SO4 98 49 mg/l 9,8 mg/l 0,98 mg/l
Chlorhydrique HCl 36,5 36,5 7,3 0,73
Nitrite HNO3 63 63 12,6 1,26
Bases
Ammonium NH4 18 18 mg/l 3,6 mg/l 0,36 mg/l
Soude NaOH 40 40 8,0 0,80
Potasse KOH 56 56 11,2 1,12
Amoniaque NH4OH 35 35 7,0 0,70
Valeur des différentes unités en mg/l
Sels et oxydes Formule Masse 1 meq/litre 1 degré 1 ppm
de calcium molaire français CaCO3
= = =
Carbonate de calcium CaCO3 100 50 mg/l 10,0 mg/l 1,00 mg/l
Bicarbonate de calcium Ca(HCO3)2 162 81 16,2 1,62
Sulfate de calcium CaSO4 136 68 13,6 1,36
Chlorure de calcium CaCl2 111 55,5 11,1 1,11
Nitrate de calcium Ca(NO3)2 164 82 16,4 1,64
Chaux vive CaCO 56 28 5,6 0,56
Chaux hydratée Ca(OH)2 74 37 7,4 0,74
Valeur des différentes unités en mg/l
Sels et oxydes Formule Masse 1 meq/litre 1 degré 1 ppm
de magnésium molaire français CaCO3
= = =
Carbonate de magnésium MgCO3 84 42 mg/l 8,4 mg/l 0,84 mg/l
Bicarbonate de magnésium Mg(HCO3)2 146 73 14,6 1,46
Sulfate de magnésium MgSO4 120 60 12,0 1,20
Chlorure de magnésium MgCl2 95 47,5 9,5 0,95
Nitrate de magnésium Mg(NO3)2 148 74 14,8 1,48
Magnésie MgO 40 20 4,0 0,40
Mg(OH)2 58 29 5,8 0,58
Valeur des différentes unités en mg/l
Sels divers Formule Masse 1 meq/litre 1 degré 1 ppm
molaire français CaCO3
= = =
Bicarbonate de sodium NaHCO3 84 84 mg/l 16,8 mg/l 1,68 mg/l
Carbonate de sodium Na2CO3 106 53 10,6 1,06
Sulfate de sodium Na2SO4 142 71 14,2 1,42
Chlorure de sodium NaCl 58,5 58,5 11,7 1,17
Chlorure ferrique FeCl3 162,5 54,2 10,8 1,08
Sulfate d'aluminium Al2(SO4)3 342 57 11,4 1,14
Permanganate de KMnO4 158 158 31,6 3,16
potassium
Résistivité et conductivité électriques
• Elle dépend de la concentration en sels dissous conducteurs.
Conductivité Résistivité
µS/cm Ohms/cm
Eau pure < 20 > 30 000
Cations Anions
(ions positifs) (ions négatifs)
2+ -
Calcium Ca Bicarbonate HCO3
2+ 2-
Magnésium Mg Sulfate SO4
+ -
Potassium K Chlorure Cl
+ -
Sodium Na Nitrate NO3
TA/TAC TH Chlorure
Rapport d’analyse type
Vapeur
Condenseur
perdue
Retour de Process
condensats utilisateur
Vapeur
Chaudière
Eau d'appoint
Purge de
déconcentration
Rapport d’analyse type
Voir annexe
Remarques:
- TH° légèrement supérieur aux normes dans tout le circuit
- TA et TAC Supérieurs aux normes dans la chaudière.
- Teneur en chlorure et en Fer dans la chaudière élevée.
Recommandation :
- Corriger les paramètres de marche de l’adoucisseur (Ajuster le cycle de
régénération).
- Diminuer le dosage du produit de conditionnement dispersant.
- Fréquence et durée de la purge de la chaudière légèrement insuffisantes.
Cycle de l'eau dans une chaudière
Nécessité de traiter l'eau d'appoint :
Vapeur
Traitement de la
salinité :
Elimination de
- TH l'oxygène dissout : Chaudière
Les purges effectuées à la chaudière se font habituellement à deux
niveaux :
Au niveau haut pour les purges de déconcentration
Au niveau bas pour les purges de désembouage.
Purges de déconcentration chaudière :
diminuer la concentration en sels dissous présents dans l'eau et
qui se concentrent progressivement dans la chaudière
Problème liés :
‐ Primage chimique : une concentration élevée en sels dissous
favorise le primage.
‐ Pertes d'énergie lors de la purge.
Solutions techniques :
‐ Purge manuelle sur base empirique dépendant de l'historique de
l'installation.
‐ Purge automatique via une sonde de conductivité dans la
chaudière.
‐ Réduire au maximum le taux de sels dissous en amont dans l'eau
d'appoint de la chaudière.
Purges de désembouage chaudière :
éliminer les boues qui se forment dans la chaudière suite à la
présence dans l'eau de solides en suspension
Problème liés :
‐ Dépôt à évacuer.
‐ Pertes d'énergie lors de la purge.
Solutions techniques :
‐ Purge manuelle sur base empirique dépendant de l'historique de
l'installation.
‐ Purge automatique via horloge.
‐ Réduction du taux de purge via le traitement de l'eau d'appoint qui
peut réduire la part d'impuretés susceptibles de rester en
suspension dans l'eau et la concentration en sels dissous.
Purges des condensats :
Théoriquement la vapeur est exempte de contaminants en sortie de
chaudière, donc les condensats qui y reviennent sont censés être
purs. Le but de cette purge est de prévenir une pollution des
condensats par un éventuel problème présent sur le réseau
Le contrôle est généralement fait par une sonde de mesure de
conductivité des condensats. En cas de pollution, la conductivité sera
sensiblement augmentée et, à partir d'un certain niveau, les
condensats devront être purgés afin d'éviter de charger la chaudière
en contaminants.
Prétraitements
Réchauffage de l'eau d'appoint sans injection de vapeur
Teneur en Oxygène en fonction de la
température
16
14
Teneur O2 en mg/l
12
10
8
6
4
2
0
0 20 40 60 80 100 120
Température en °C
Dégazage thermique Retour de
condensats
Vapeur d’eau
Eliminer les gaz dissous (oxygène et + gaz incondensables
CO2) dans l'eau d'alimentation de la (azote, oxygène et CO2)
Eau d'appoint
chaudière. à dégazer
Loi de Winkler :
• Taux d’oxygène résiduel < 20 µg/litre.
La solubilité d’un gaz est inversement
proportionnelle à la température.
Indices de stabilité
– LANGELIER : LSI = pH – pHS
• LSI positif = entartant, négatif = corrosif
– RYZNAR : IR = 2 pHS - pH
• 4 à 5 : Très entartrant
• 5 à 6 : Entartrant
• 6 à 7 : Faiblement Entartrant ou Corrosif suivant
température
• 7 à 7,5 : Corrosif
• 7,5 à 9 : fortement corrosif
•>9 : Très fortement corrosif
Le pH de saturation
Le pH théorique, où il n'y a ni précipitation ni dissolution du
CaCO3, est appelé le pH de saturation ou pHs :
Dans ces conditions, l'eau est juste " saturée " en CaCO3 :
elle n'est ni sous-saturée (elle tendrait à en dissoudre) ni
sursaturée (elle tendrait à en déposer).
• Dégrillage, débourbage, décantation
• Traitement chimique
(coagulation, floculation, chloration, correction de pH)
• Filtration sur sable et bi‐couches sable / anthracite
• Déferrisation – démanganisation
• Filtration sur charbon actif
(matières organiques, micro‐polluants, pesticides, déchloration)
• Filtration sur cartouches, poches, tamis
• Ultrafiltration + Osmose inverse
Les adoucisseurs industriels
Par:
Ivan Guimmo , Wilfrid Kekuine & Paule
Koupi
Révisé par :
Mr. Issam Ksentini
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PLAN
Introduction
Définition d’un adoucisseur
Principe de fonctionnement
Principe de régénération des résines
Caractéristiques d’un adoucisseur
Entretien et maintenance d’un adoucisseur
Cas particulier : adoucisseurs COMAP
Conclusion
50
INTRODUCTION
Une eau dure est une eau chargée en magnésium (Mg2+) et en calcium(Ca2+).
L’adoucissement de cette eau est une étape importante qui permet de protéger la
chaudière contre le phénomène d’entartrage et les éventuelles corrosions.
L'espérance de vie d’une chaudière est en effet étroitement liée à la qualité de l’eau
utilisée; d’où la nécessité de faire recours à un adoucisseur.
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DEFINITION
52
53
PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
54
PRINCIPE DE REGENERATION
DES RÉSINES
Lorsque la résine est saturée,
la régénération permet de lui • Détassage
redonner sa forme originelle.
Elle s’effectue en 05 étapes: • Saumurage
• Rinçage lent
• Rinçage rapide
• Mise en service
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• Détassage: aussi appelé lavage à contre‐courant consiste à faire passer l’eau dans le
sens du bas vers le haut à l’intérieur du système d’adoucissement. Cela permet de
décolmater les résines.
• Le saumurage: aussi appelé aspiration de saumure (eau + sel) contenue dans le bac
à sel vers le bac à résine, le principe est d’évacuer le trop plein de calcaire vers
l’égout et de charger à nouveau la résine de sodium.
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• Le rinçage: il se fait en deux étapes; le rinçage lent (à faible débit) et le rinçage
rapide. Le but est d’éliminer le surplus de sel dans le lit de résines et de recharger le
bac à sel pour le prochain cycle de régénération.
• Remise en service: c’est la dernière étape. Le système est alors régénéré et l’eau
dure peut alors être adoucie à nouveau.
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CARACTÉRISTIQUES D’UN ADOUCISSEUR
1. Pouvoir d’échange global:
C’est La quantité d'ions calcium et magnésium qu'une résine peut fixer. Il s'exprime en
°fm3 (degrés français mètres cubes) ou en °fl (degré français litre). La capacité
théorique maximale d’échange est de l’ordre de 12 °fm3/l mais dans la pratique ne sont
exploitées qu’avec des pouvoir d’échange qui vont de 4 à 6 °fm3/l.
PEG = delta TH * volume d’eau adoucie
PEG = volume de résines * pouvoir d’échange pour 1l de résines
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2. Cycle d’un adoucisseur:
Le cycle ou capacité d'un adoucisseur est le volume d'eau adoucie par litre de résines
qu'il est possible d'obtenir entre deux régénérations. Ce cycle se calcule par la formule
suivante:
Si le pouvoir d'échange en °fm3, alors le cycle est m3. Si le pouvoir d'échange en °fl,
alors le cycle est l.
59
Exemple de calcul:
1) la consommation d’eau adoucie est de 20 m3. le Th brut de l’eau de ville de Douala
est de 40°f et le Th attendu est de 10 °f. le pouvoir d’échange des résines est fixés à
5 °fm3/l pour une dose de sel de 125g. Déterminer le PEG et le volume des résines
de cet adoucisseur
2) Pour un PEG de 1000 °fm3 et pour les mêmes TH brut et attendu, calculer son cycle
Delta TH = 40°f – 10°f = 30°f
PEG = 20m3 * 30°f = 600 °fm3
Volume des résines = 600°fm3 / 5 °fm3/l = 120 l de résines
Cycle = 1000 °fm3 / 30°f = 33 m3
60
ENTRETIEN ET MAINTENANCE
Désinfection des résines à prévoir 1 à 2 fois par an.
Remplissage du bac à sel minimum au 1/3 et suivi du niveau de sel
régulièrement (1 fois/mois).
Contrôle du TH résiduel sur l’installation 3 à 4 fois par an. Toute variation de +
ou – 10% de la dureté de l’eau à traiter doit être prise en compte pour
d’éventuel réglages de l’appareil.
Vérification de l’état d’encrassement des filtres (tous les 6 mois)
Entretien complet de l’adoucisseur chaque année
61
DIMENSIONNEMENT D’UN
L’ADOUCISSEUR
Les données minimales nécessaires au dimensionnement de l’adoucisseur sont :
la consommation mensuelle ou annuelle,
le débit de pointe en m3/heure,
la dureté de l’eau (°F) en entrée,
la provenance de l’eau (ex. : eau de ville, source, eau prétraitée…),
la pression du réseau (en bars),
l’exigence de dureté résiduelle (dureté souhaitée en sortie),
62
CAS PRATIQUE: ADOUCISSEURS COMAP
63
64
65
CONCLUSION
La chaudière est un équipement industriel indispensable dont la durée de vie dépend
étroitement de son eau d’alimentation. Raison pour laquelle on fait recours à des
adoucisseurs dont le but est de réduire la dureté de l’eau par un principe d’échange
ionique. Ces derniers requièrent cependant une attention particulière afin de toujours
garantir une eau de chaudière de meilleure qualité.
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FILTRE A SABLE
Préparé par: Révisé par :
EDJIMBI Nelly M. ISSAM Ksentini
WILSON Evna
67
INTRODUCTION
DEFINITION
TYPE DE FONCTIONNEMENT
TYPE DE FILTRES A SABLE
DIMENSIONNEMENT
ENTRETIENS
AVANTAGES ET INCONVENIENTS
• CONCLUSION
68
INTRODUCTION
traitement des eaux qui y seront utilisé, ainsi le filtre à sable est l’un des
plus adéquat.
• Notons que ce filtre est également utilisé dans nos maison pour la
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potabilisation de l’eau.
DEFINITION DU FILTRE A SABLE
70
• Son principe est de faire percoler de l’eau à travers un massif de
sable pour retenir par un simple effet de tamisage toutes les plus
71
Principe de fonctionnement
Le filtre à sable se présente sous la forme d’une cuve
cylindrique ou sphérique.
72
Type de filtre à sable
73
• Les deux premiers exigent l'utilisation de produits chimiques (principe de
les matières colloïdales (celle qu’on ne veut pas) et former de gros flocons qui
• Les filtres à sable lent eux n’ont pas besoin d’additif. Ils peuvent traiter l’eau de
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filtres A SABLE Domestique
75
Le Filtre à sable de prétraitement
Il est très simple à mettre en œuvre. Mais seul, il ne permet qu’un traitement
sommaire de l’eau.
Il consiste à remplir un récipient, souvent un simple bac de béton pourvu d’un
robinet ou d’un moyen de vidange, d’une couche de graviers plutôt assez fins et
d’une couche beaucoup plus importante de sable sur laquelle on verse l’eau à
traiter qu’il suffit de recueillir au bas du récipient.
76
Le Filtre à sable biologique
d’une activité biologique qui élimine les germes pathogènes. Le filtre n’est
pas efficace pendant les premières utilisations car le filtre biologique n’a pas
77
Il faut environ 3 semaines à la couche biologique pour parvenir
à sa complète maturité.
78
FILTRES A SABLE INDUSTRIELS: filtre a sable
CONTIFLOW de la marque HUBER
79
• Une fois le sable chargé en MES et encrassé, la
•
80
On introduit une faible quantité d’air comprimé dans le bas de cet airlift et la
remontée des bulles d’air entraine le sable chargé en MES.
En haut de l’air lift, une tête de lavage sépare les MES du sable, sables qui retombent
dans le filtre une fois propres et débarrassés des MES.
81
Dimensionnement
82
METHODOLOGIE UTILISEES POUR LE
DIMENSIONNEMENT DE L’UNITE DE RETROLAVAGE
83
Entretiens
Nettoyage automatique: Un
programmateur assure le contre-lavage du filtre à sable
à intervalles préprogrammés.
84
Avantages et Inconvénients
• Avantage
• 85
Inconvénients
Encombrement important
l’eau.
87
88
Rapport d’analyse
Echantillon N°1
Eau adoucie
Paramètres Méthode Valeurs Valeurs limites Observations
pH ISO 10523 7,1 7 -8 Dans les normes
Dureté Totale (TH°) ISO 6059 3 °F < 0,5 Sup aux normes
Chlorures ISO 9297 488 mg/l < 800 Dans les normes
Fer ISO 6332 0,1 mg/l < 0,5 Dans les normes
Echantillon N°2
Eau bâche d'alimentation
Paramètres Méthode Valeurs Valeurs limites Observations
pH ISO 10523 7,7 7,5- 9 Dans les normes
Dureté Totale (TH°) ISO 6059 2 °F < 0,5 Sup aux normes
Chlorures ISO 9297 458 mg/l < 800 Dans les normes
Fer ISO 6332 0,1 mg/l < 0,5 Dans les normes
Echantillon N°3
Eau de chaudière (Surface)
Paramètres Méthode Valeurs Valeurs limites Observations
pH ISO 10523 11,2 > 8,4 Dans les normes
Dureté Totale (TH°) ISO 6059 2 °F < 0,5 Sup aux normes
TA ISO 9963-2 105 °F 30 - 60 Sup aux normes
TAC ISO 9963-1 150 °F 50 - 80 Sup aux normes
Chlorures ISO 9297 4378 mg/l < 1000 Sup aux normes
Fer ISO 6332 1,23 mg/l <1 Sup aux normes
1
Echantillon N°4
Eau de chaudière (Purge)
Paramètres Méthode Valeurs Valeurs limites Observations
pH ISO 10523 11,2 > 8,4 Dans les normes
Dureté Totale (TH°) ISO 6059 2 °F < 0,5 Sup aux normes
TA ISO 9963-2 115 °F 30 - 60 Sup aux normes
TAC ISO 9963-1 165 °F 50 - 80 Sup aux normes
Chlorures ISO 9297 4516 mg/l < 1000 Sup aux normes
Fer ISO 6332 1,18 mg/l <1 Sup aux normes
Echantillon N°4
Eau retour condensât
Paramètres Méthode Valeurs Valeurs limites Observations
pH ISO 10523 7,6 7,5 - 9 Dans les normes
Dureté Totale (TH°) ISO 6059 0,5 °F < 0,5 Dans les normes
Chlorures ISO 9297 38 mg/l < 300 Dans les normes
Fer ISO 6332 0,1 mg/l < 0,5 Dans les normes
2
Détermination des chlorures : Méthode de MOHR
Réaction :
Cl A gNO 3 A gCl NO 3
K 2CrO 4 2 A gNO 3 A g 2CrO 4 2 KNO 3
Réactifs :
Mode opératoire :
A 10 ml d’eau à analyser,
1. on fait un réglage de pH à l’aide de la solution d’acide (en présence de )
2. on ajoute deux gouttes de la solution de K2CrO7
3. dosage avec la solution de nitrate d’argent N/10 (AgNO3) Jusqu’au virage du
jaune au rouge brique
CALCUL
N AgNO V AgNO
T 35,5 3 3
0,355 V AgNO g / l
V eau 3
Détermination de l’alcalinité : TA - TAC
Réactifs :
Mode opératoire :
A 50 ml d’eau à analyser,
1. Ajouter deux gouttes
2. Si l’eau est incolore TA = 0, sinon on dose avec l’acide chlorhydrique
jusqu’à décoloration V1
TA = 10 * V1 = (°F)
TAC = 10 * V2 = (°F)
V1
V2
Détermination de la dureté : TH
Réactifs :
Mode opératoire :
A 10 ml d’eau à analyser,
1. Ajouter ≈ 10 ml de solution tampon ammoniacal
2. Ajouter du noir d’ériochrome (poudre)
3. Doser à l’aide de la solution d’EDTA jusqu’au virage du mauve au bleu
V1
TH = 10 * V1 = (°F)