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Département de Mathématique et
Informatique
Informatique et traitement
automatisé
14-Mar-17
définition : Informatique
En anglais : Computer science
L’informatique (Information + Automatique) est la
science du traitement automatique de l’information
L’information : est un élément de connaissance humaine
susceptible d’être représentée à l’aide d’un système de
codage afin d’être conservée, traitée ou communiquée.
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Traitement automatique de
l’information
Suite d’informations transformant une représentation de
cette information en une autre représentation plus facile
à manipuler ou à interpréter
Exemple:
Calcul de 3*4 = 12
Calcul de la moyenne des notes d’un module
Etablir la fiche de paye, faire la facturation
Trier par ordre alphabétique une liste des étudiants
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Ordinateur
C’est une machine qui permet le traitement de
l’information en exécutant une série d’ordres
C’est une machine doté de mémoires à grandes
capacités et de moyens de calculs ultrarapides
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Apple macintosh
Les Macinstosh ou Mac, sont des ordinateurs personnels
fabriqués et commercialisés par la société Apple depuis
janvier 1984. ils cohabitent sur le marché des
ordinateurs personnels avec les PC.
Les premiers Macintosh ont tiré leur succès de leur
interface graphique simple d’utilisation
Ils sont aujourd'hui très utilisés par les professionnels de
la vidéo numérique, de l’inforgraphie, de la presse…
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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
Ordinateur portable
Un ordinateur portable est un ordinateur intégrant
l'ensemble des éléments dont il a besoin pour
fonctionner.
L'intérêt principal d'un ordinateur portable par rapport à
un ordinateur de bureau est sa mobilité ainsi que son
encombrement réduit
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CPU
Unité Arithmétique et Logique ( UAL )
Responsable des opérations arithmétiques et logiques
(Addition,soustraction,Multiplication,…)
Registres
Petites mémoires très rapide qui stockent localement les informations
traitées par l’UAL
Unité de Contrôle (UC )
Coordonne le travail des différents organes UAL, mémoires,
périphériques, …
Horloge
Base de temps qui distribue régulièrement des impulsions pour
synchroniser les différentes opérations élémentaires effectuées par le
processeur. Ainsi, un processeur cadencé à 450 MHz possède 450
millions de cycles d'horloge par seconde.
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Mémoire centrale
Il y a deux types de mémoires:
ROM (Read Only Memory) :
Mémoire morte où les informations ne sont accessibles à l’utilisateur
que pour la lecture
permanente (conserve indéfiniment son contenu)
Contient des programmes spéciales (fait par le constructeur ) BIOS
(Basic Input Output System))
RAM (Random Access Memory) :
Mémoire vive où l’on peut faire toutes les modifications souhaitées
volatile ( contenu perdu si coupure de courant
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Représentation de l’information
Sur machine, toute information est représentée sous
forme binaire : bit
le bit est L'unité de base de la théorie de l'information :
bit = binary digit.
Un bit, par définition, est un composant quelconque ne
pouvant se trouver que dans deux états possibles,
exclusifs l'un de l'autre.
Exemples:
un fil électrique dans lequel le courant circule ou pas;
un aimant pouvant être polarisé «Sud» ou «Nord» ;
une surface ayant soit un creux soit une bosse. …
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Bit
Par convention, on appelle l'un des deux états possibles
d'un tel composant 0, et l'autre 1.
Un bit sera donc un espace dans lequel on pourra soit
écrire 0, soit écrire 1.
Que faire avec de tels composants aussi élémentaires ?
Réponse : Avec un seul, pas grand chose, mais
avec plusieurs, beaucoup de choses !
Que peut-on faire avec plusieurs bits ?
le nombre total d'états possibles que peuvent prendre ces deux
bits est de quatre : 00, 01, 10 ou 11. Donc on code 4
informations
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Bits
3 bits ?
le nombre total d'états possibles est huit : 000, 001, 010, 011,
100, 101, 110, 111 donc on code 8 informations
Avec n bits ?
Pour 1 bit 2=21 ; Pour 2 bits 4=22 ; Pour 3 bits 8=23
Par récurrence on montre que pour n bits il y a 2n états
possibles. On code 2n informations
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Système d’unités
On utilise un système d’unités basés sur l’octet ( en
anglais byte) :
L’octet = 8 bits = 23 bits. Noté 1 o
Le Kilo-octet = 1024 o = 210 octets. Noté 1 Ko
1 kilo-octet Environ 1/2 page de texte
Le Méga-octet = 10242 o = 220 octets. Noté 1 Mo
1 Mega-octet Environ un livre de 500 pages
Le Giga-octet = 10243 o = 230 octets. Noté 1 Go
Le Téra-octet = 10244 o = 240 octets. Noté 1 To
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Opérations arithmétiques
Les principes sont les mêmes que ceux utilisés en base 10
Exemples de calculs en base 2 (172 + 101 = 273 et 5 x 5 = 25) :
– Tables d’addition et de multiplication en base 2.
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Les conversions
Conversion Binaire décimal:
Passage d’une base quelconque à la base 10
Il suffit d’écrire le nombre comme ci-dessus et
d’effectuer les opérations en décimal.
Exemple en hexadécimal :
(AB)16 = 10 *161 + 11 *160 = 160 + 11 = (171)10
(En base 16, A représente 10, B 11, et F 15).
Les conversions
Passage de la base 10 vers une base quelconque
Nombres entiers : On procède par divisions successives. On divise
le nombre par la base, puis le quotient obtenu par la base, et ainsi
de suite jusqu’a l’obtention d’un quotient nul.
La suite des restes obtenus correspond aux chiffres dans la base
visée, a0a1…an.
Exemple : soit à convertir (44)10 vers la base 2.
44 = 22 x 2 + 0 => a0 = 0
22 = 11 x 2 + 0 => a1 = 0
11 = 2 x 5 + 1 =>a2 = 1
5 = 2 x 2 + 1 =>a3 = 1
2 = 1 x 2 + 0 => a4 = 0
1 = 0 x 2 + 1 => a5 = 1
Donc (44)10 = (101100)2.
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Les conversions
Nombres fractionnaires : On multiplie la partie fractionnaire
par la base en répétant l’opération sur la partie fractionnaire
du produit jusqu’a ce qu’elle soit nulle (ou que la précision
voulue soit atteinte).
Pour la partie entière, on procède par divisions comme pour un
entier.
Exemple : conversion de (54, 25)10 en base 2
Les conversions
Cas des bases 2, 8 et 16
Ces bases correspondent à des puissances de 2 (21, 23 et 24), d’où
des passages de l’une à l’autre très simples. Les bases 8 et 16 sont
pour cela très utilisées en informatique, elles permettent de
représenter rapidement et de manière compacte des
configurations binaires.
La base 8 est appelée notation octale, et la base 16 notation
hexadécimale.
Chaque chiffre en base 16 (24) représente un paquet de 4 bits
consécutifs. Par exemple :
(10011011)2 = (1001 1011)2 = (9B)16
De même, chaque chiffre octal représente 3 bits.
On manipule souvent des nombres formés de 8 bits, nommés
octets, qui sont donc notés sur 2 chiffres hexadécimaux.
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Les conversions
Exemples :
Décimal binaire : on procède par division entière
successive par 2. Exemple : 2910 :
29 : 2 = 14 reste 1
14 : 2 = 7 reste 0
7 : 2 = 3 reste 1
3 : 2 = 1 reste 1
1 : 2 = 0 reste 1 donc 2910 = 111012:
Les conversions
Exemple : 145 = 910 = 127 :
– Conversion de la base 5 vers la base 7: division entière par 7 = 127 en base 7.
145 : 125 = 1 reste 2
15 : 125 = 0 reste 1
Le codage de 145 est donc 127.
– Conversion de la base 7 vers la base 5 : division entière par 5 = 57 en base 7.
X 07 17 27 37 47 57 67 107
57 07 57 137 217 267 347 427 507
127 : 57 = 1 reste 4
17 : 57 = 0 reste 1
Le codage de 127 est donc 145.
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Les conversions
REPRÉSENTATION DES ENTIERS
Exemple plus compliqué : conversion de 14527 en base 5
Les conversions
Exemple : 10100111012
– base 8 découpages par blocs de 3 chiffres :
001 010 011 101
1 2 3 5 = 12358
– base 16 découpages par blocs de 4 chiffres :
0010 1001 1101
2 9 D = 29D16
De manière générale, les conversions sont faciles lorsque b2 est
une puissance de b1. Les conversions en base 8 ou 16 sont
très fréquentes pour l’affichage des nombres binaires qui,
par leurs longueurs, sont rapidement illisibles.
Exemple : octal pour les codes de caractères, hexadécimal pour
les adresses mémoires.
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Autres Opérations
Opérations arithmétiques
Les opérations arithmétiques s’effectuent en base quelconque b
avec les mêmes méthodes qu’en base 10. Une retenue ou un
report apparait lorsque l’on atteint ou dépasse la valeur b de
la base.
Représentation des entiers
Codage machine
La représentation (ou codification) des nombres est nécessaire
afin de les stocker et manipuler par un ordinateur. Le
principal problème est la limitation de la taille du codage :
un nombre mathématique peut prendre des valeurs
arbitrairement grandes, tandis que le codage dans
l’ordinateur doit s’effectuer sur un nombre de bits fixé.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
Codage
Entiers naturels
Les entiers naturels (positifs ou nuls) sont codés sur un nombre
d’octets fixé (un octet est un groupe de 8 bits). On rencontre
habituellement des codages sur 1, 2 ou 4 octets, plus
rarement sur 64 bits (8 octets, par exemple sur les
processeurs DEC Alpha).
Un codage sur n bits permet de représenter tous les nombres
naturels compris entre 0 et 2n - 1. Par exemple sur 1 octet,
on pourra coder les nombres de 0 à 255 = 28 - 1.
On représente le nombre en base 2 et on range les bits dans les
cellules binaires correspondant à leur poids binaire, de la
droite vers la gauche. Si nécessaire, on complète à gauche
par des zéros (bits de poids fort).
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Codage
Entiers relatifs
Il faut ici coder le signe du nombre. On utilise le codage
en complément à deux, qui permet d’effectuer ensuite
les opérations arithmétiques entre nombres relatifs de la
même façon qu’entre nombres naturels.
1. Entiers positifs ou nuls : On représente le nombre en
base 2 et on range les bits comme pour les entiers
naturels. Cependant, la cellule de poids fort est toujours
à 0 : on utilise donc n - 1 bits.
Le plus grand entier positif représentable sur n bits en
relatif est donc 2n-1-1
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Code ASCII
Notons que le code ASCII original, défini pour les besoins de l’informatique en
langue anglaise) ne permet la représentation des caractères accentués (é, è, à,
ù, ...), et encore moins des caractères chinois ou arabes. Pour ces langues,
d’autres codages existent, utilisant 16 bits par caractères. A chaque caractère
est associée une configuration de 8 chiffres binaires (1 octet), le chiffre de
poids fort (le plus à gauche) étant toujours égal à zéro. La table indique aussi
les valeurs en base 10 (décimal) et 16 (hexadécimal) du nombre correspondant.
Plusieurs points importants à propos du code ASCII :
– Les codes compris entre 0 et 31 ne représentent pas des caractères, ils ne sont
pas affichables. Ces codes, souvent nommés caractères de contrôles sont
utilisés pour indiquer des actions comme passer à la ligne (CR, LF), émettre un
bip sonore, etc.
– Les lettres se suivent dans l’ordre alphabétique (codes 65 à 90 pour les
majuscules, 97 à 122 pour les minuscules), ce qui simplifie les comparaisons.
– On passe des majuscules aux minuscules en modifiant le 5ième bit, ce qui
revient à ajouter 32 au code ASCII décimal.
– Les chiffres sont rangés dans l’ordre croissant (codes 48 à 57), et les 4 bits de
poids faibles définissent la valeur en binaire du chiffre.
Récapitulatif
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Récapitulatif
Complément binaire et codage des entiers négatifs
– En binaire, le principe du complément est le même, le
complément à 1 revient simplement à inverser les bits
d’un nombre et le complément à 2 ajoute 1 au
complément à 1.
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Interfaces d’Entrée/Sortie
Les interfaces E/S sont indispensable pour les raisons
suivantes :
Diversités des périphériques externes : imprimantes, clavier,
mémoire de masse, écran, souris, …
Différence de vitesse des traitement entre l’unité centrale et
les périphériques externes.
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Ports
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Logiciels -Software
On parle d’applications et de programmes
Un programme est constitué d’une suite d ’instructions (ou
ordres) exécutées pour accomplir une tâche particulières
Un logiciel (ou une application) est un ensemble de
programmes qui coopèrent afin de réaliser un objectif bien
précis
Pour être actif un programme (ou un logiciel) doit être
résident en mémoire principale (RAM)
Classification des logiciels (3 catégories) :
Les langages de programmation
Les logiciels d’applications
Les systèmes d ’exploitation
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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
Langages de programmation
Ce sont des logiciels qui permettent de produire d’autres
logiciels
Un langage de programmation permet d’exprimer les
indications nécessaires aux traitement, de concevoir et
de rédiger les programmes souhaités.
Exemples :
Programmation procédurale : Pascal, C , Visual Basic,….
Programmation logique : Lisp, Prolog,….
Programmation Scientifique : Matlab, Maple…
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Système d ’Exploitation
(Operating System)
Le système d’exploitation (SE) est le logiciel de base de
tous les systèmes informatiques :
Sans lui la machine ne pourrait rien faire et, surtout, sans lui
les logiciels d’application ne pourraient s’exécuter
Le SE sert d'intermédiaire entre l’utilisateur et la
machine :
Son objectif est de rendre les machines plus faciles à
utiliser et par conséquent la tâche de l’utilisateur moins
fastidieuse
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Fonctions d’un SE
Fournir une “interface” entre l'ordinateur et l'utilisateur
pour permettre de donner des ordres à la machine
(lancer une impression, ...);
Interface textuelle; interface semi-graphique; interface
graphique
Gérer les “ressources” de l'ordinateur (mémoires,
processeur, périphériques, …) ;
Gérer l’organisation du stockage de l’information sur
les mémoires secondaires par l’intermédiaire de son
“système de gestion de disques” ;
..
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Sous répertoire 1
S-R 2 Fichier 1 Fichier 2
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Types de SE
SE mono-tâches : exécute une tâche à la fois
SE multi-tâches : exécute plusieurs tâches simultanément
(partage du temps processeur)
SE mono-utilisateur : un utilisateur peut utiliser les ressources
de la machine à la fois
SE multi-utilisateurs : possibilité de servir plusieurs
utilisateurs
Exemples de SE:
MS-DOS : mono-tâche mono-utilisateur
Windows 98/2000/XP ; MacOS : multi-tâches monoutilisateur
Windows NT/2OOO servers ; Unix/Linux : multi-tâches multi-
utilisateurs
...
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Logiciels : applications,
langages de programmation
Pilotes ou Drivers
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démarrage
L’installation veut dire mettre (ou stocker) tous les logiciels et
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La carte mère
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Le chipset
Le chipset est un circuit électronique chargé de
coordonner les échanges de données entre les divers
composants de l'ordinateur (processeur, mémoire...)..
Certains chipsets intègrent parfois une puce graphique
ou une puce audio, ce qui signifie qu'il n'est pas
nécessaire d'installer une carte graphique ou une carte
son. Il est toutefois parfois conseillé de les désactiver
(lorsque cela est possible) dans le setup du BIOS et
d'installer des cartes d'extension de qualité dans les
emplacements prévus à cet effet.
Le chipset
Le chipset n’est généralement pas constitué d’un seul
circuit intégré, mais parfois de 8 et parfois de 2.
Pour les ordinateurs contenant deux circuits intégrés
constituant le CHIPSET, le premier sert de lien entre le
processeur et la ram (northbridge) et l’autre circuit
intégré (southbridge) gère les I/O, mais intègre aussi des
circuits supplémentaires comme la carte réseau et la
carte son
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Le BIOS
3.4. Le BIOS
Le BIOS (Basic Input/Output System) est le programme
basique servant d'interface entre le système d'exploitation et
la carte mère. Le BIOS est stocké dans une ROM (mémoire
morte, c'est-à-dire une mémoire en lecture seule), ainsi il
utilise les données contenues dans le CMOS pour connaître
la configuration matérielle du système.
Il est possible de configurer le BIOS grâce à une interface
(nommée BIOS setup, traduisez configuration du BIOS)
accessible au démarrage de l'ordinateur par simple pression
d'une touche (généralement la touche Suppr. En réalité le
setup du BIOS sert uniquement d'interface pour la
configuration, les données sont stockées dans le CMOS.
Pour plus d'informations n'hésitez pas à vous reporter au
manuel de votre carte mère).
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
Le processeur
Le processeur (CPU, pour Central Processing Unit,
soit Unité Centrale de Traitement) est le cerveau de
l'ordinateur. Il permet de manipuler des informations
numériques, c'est-à-dire des informations codées sous
forme binaire, et d'exécuter les instructions stockées en
mémoire.
Le premier microprocesseur (Intel 4004) a été inventé
en 1971. Il s'agissait d'une unité de calcul de 4 bits,
cadencé à 108 kHz. Depuis, la puissance des
microprocesseurs augmente exponentiellement. Quels
sont donc ces petits morceaux de silicium qui dirigent
nos ordinateurs?
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Le support de processeur
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Le boîtier
Le boîtier de l'ordinateur est le squelette métallique
abritant ses différents composants internes. Les boîtiers
ont par ailleurs d'autres utilités telles que l'isolement
phonique ou la protection contre les rayonnements
électromagnétiques. Ainsi des normes existent afin de
garantir un niveau de protection conforme à la
réglementation en vigueur.
Le boîtier
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Bloc d'alimentation
Bloc d'alimentation
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MEMOIRE
Rôle de la mémoire
On appelle « mémoire » tout composant électronique capable de
stocker temporairement des données. On distingue ainsi deux
grandes catégories de mémoires :
La mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
permettant de mémoriser temporairement les données lors de
l'exécution des programmes. La mémoire centrale est réalisée à
l'aide de micro-conducteurs, c'est-à-dire des circuits électroniques
spécialisés rapides. La mémoire centrale correspond à ce que l'on
appelle la mémoire vive.
La mémoire de masse (appelée également mémoire physique ou
mémoire externe) permettant de stocker des informations à long
terme, y compris lors de l'arrêt de l'ordinateur. La mémoire de
masse correspond aux dispositifs de stockage magnétiques, tels
que le disque dur, aux dispositifs de stockage optique,
correspondant par exemple aux CD-ROM ou aux DVD-ROM.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
Types de mémoire
Mémoire vive (RAM)
La mémoire vive, généralement appelée RAM (Random Access Memory,
traduisez mémoire à accès direct), est la mémoire principale du système,
c'est-à-dire qu'il s'agit d'un espace permettant de stocker de manière
temporaire des données lors de l'exécution d'un programme.
En effet, contrairement au stockage de données sur une mémoire de masse telle
que le disque dur, la mémoire vive est volatile,
On distingue généralement deux grandes catégories de mémoires vives :
Les mémoires dynamiques (DRAM, Dynamic Random Access Module),
peu coûteuses. Elles sont principalement utilisées pour la mémoire centrale
de l'ordinateur ;
Les mémoires statiques (SRAM, Static Random Access Module), rapides
et onéreuses. Les SRAM sont notamment utilisées pour les mémoires cache
du processeur ;
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La mémoire morte
Mémoire morte (ROM)
La mémoire morte, appelée ROM pour Read Only Memory (traduisez
mémoire en lecture seule) est un type de mémoire permettant de conserver
les informations qui y sont contenues même lorsque la mémoire n'est plus
alimentée électriquement. A la base ce type de mémoire ne peut être
accédée qu'en lecture. Toutefois il est désormais possible d'enregistrer des
informations dans certaines mémoires de type ROM.
Différentes mémoires de type ROM contiennent des données indispensables
au démarrage, c'est-à-dire :
Le BIOS est un programme permettant de piloter les interfaces d'entrée-sortie
principales du système, d'où le nom de BIOS ROM donné parfois à la puce
de mémoire morte de la carte-mère qui l'héberge.
Le chargeur d'amorce: un programme permettant de charger le système
d'exploitation en mémoire (vive) et de le lancer. Celui-ci cherche
généralement le système d'exploitation sur le lecteur de disquette, puis sur
le disque dur, ce qui permet de pouvoir lancer le système d'exploitation à
partir d'une disquette système en cas de dysfonctionnement du système
installé sur le disque dur.
La mémoire morte
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La mémoire morte
Liste des chargeurs d'amorçage
Les chargeurs d'amorçage les plus usuels sont
Société Microsoft :
La mémoire morte
Liste des chargeurs d'amorçage
Apple :
Boot Camp est un outil de partitionnement de disque qui écrit
le chargeur d'amorçage utilisé par EFI
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Mémoire ROM
Le Setup CMOS : c'est l'écran disponible à l'allumage de
l'ordinateur permettant de modifier les paramètres du
système (souvent appelé BIOS à tort...). Le Power-On Self
Test (POST) : programme exécuté automatiquement à
l'amorçage du système permettant de faire un test du
système (c'est pour cela par exemple que vous voyez le
système "compter" la RAM au démarrage). Etant donné que
les ROM sont beaucoup plus lentes que les mémoires de
types RAM (une ROM a un temps d'accès de l'ordre de 150
ns tandis qu'une mémoire de type SDRAM a un temps
d'accès d'environ 10 ns), les instructions contenues dans la
ROM sont parfois copiées en RAM au démarrage, on parle
alors de shadowing (en français cela pourrait se traduire par
ombrage, mais on parle généralement de mémoire fantôme).
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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Types de ROM
EEPROM
Les EEPROM (Electrically Erasable Read Only Memory)
sont aussi des PROM effaçables, mais contrairement
aux EPROM, celles-ci peuvent être effacées par un
simple courant électrique, c'est-à-dire qu'elles peuvent
être effacées même lorsqu'elles sont en position dans
l'ordinateur
Mémoire Flash
La mémoire flash est une mémoire à semi-conducteurs, non
volatile et réinscriptible, c'est-à-dire une mémoire
possédant les caractéristiques d'une mémoire vive mais
dont les données ne se volatilisent pas lors d'une mise hors
tension. Ainsi la mémoire flash stocke les bits de données
dans des cellules de mémoire, mais les données sont
conservées en mémoire lorsque l'alimentation électrique
est coupée.
En raison de sa vitesse élevée, de sa durabilité et de sa faible
consommation, la mémoire flash est idéale pour de
nombreuses applications - comme les appareils photos
numériques, les téléphones cellulaires, les imprimantes, les
assistants personnels (PDA), les ordinateurs portables, ou
les dispositifs de lecture ou d'enregistrement sonore tels
que les baladeurs mp3. De plus ce type de mémoire ne
possède pas d'éléments mécaniques, ce qui leur confère
une grande résistance aux chocs.
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Secteur
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La géométrie du CD
Le CD (Compact Disc) est un disque optique de 12 cm
de diamètre et de 1.2 mm d'épaisseur (l'épaisseur peut
varier de 1.1 à 1.5 mm) permettant de stocker des
informations numériques, c'est-à-dire correspondant à
650 Mo de données informatiques (soient 300 000
pages dactylographiées) ou bien jusqu'à 74 minutes de
données audio. Un trou circulaire de 15 mm de diamètre
en son milieu permet de le centrer sur la platine de
lecture.
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La composition du CD
Le CD est constitué d'un substrat en matière plastique
(polycarbonate) et d'une fine pellicule métallique
réfléchissante (alliage d'argent). La couche
réfléchissante est recouverte d'une laque anti-UV créant
un film protecteur pour les données. Enfin, une couche
supplémentaire peut être ajoutée afin d'obtenir une face
supérieure imprimée.
La composition du CD
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Fonctionnement du CD ROM
Fonctionnement du CD ROM
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La disquette :
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Disquette
Disquette
Une disquette est composée d'un disque que l'on
pourrait comparer à un plateau du disque dur.
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disquette
La disquette comporte un petit taquet : il indique si le
mode lecture seule est activé ou non. Vous pouvez le
déplacer. Le trou à gauche : si une disquette à un trou à
gauche, cela signifie qu'elle est haute densité. Vous
aurez donc plus de place pour vos données à taille égale
de disque.
Bus d'extension
On appelle bus d'extension (parfois Bus de périphérique
ou en anglais expansion bus) les bus possédant des
connecteurs permettant d'ajouter des cartes d'extension
(périphériques) à l'ordinateur. Il existe différents types
de bus internes normalisés caractérisés par :
- Leur forme,
- Le nombre de broches de connexion,
- Le type de signaux (fréquence, données, etc).
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Le bus ISA
La version originale du bus ISA (Industry Standard Architecture),
apparue en 1981 avec le PC XT, était un bus d'une largeur de 8 bits
cadencé à une fréquence de 4,77 MHz.
En 1984, avec l'apparition du PC AT (processeur Intel 286), la largeur du
bus est passée à 16 bits et la fréquence successivement de 6 à 8 MHz,
puis finalement 8,33 MHz, offrant ainsi un débit théorique maximal de
16 Mo/s
Le bus ISA permettait le bus mastering, c'est-à-dire qu'il permettait de
communiquer directement avec les autres périphériques sans passer par
le processeur. Une des conséquences du bus mastering est l'accès direct
à la mémoire (DMA, pour Direct Memory Access). Toutefois le bus
ISA ne permettait d'adresser que les 16 premiers mégaoctets de la
mémoire vive.
Jusqu'à la fin des années 1990 le bus ISA équipait la quasi-totalité des
ordinateurs de type PC, puis il a été progressivement remplacé par le
bus PCI, offrant de meilleures performances.
Le bus ISA
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Le bus MCA
Le bus MCA (Micro Channel Architecture) est un bus
propriétaire amélioré conçu par IBM en 1987 afin
d'équiper leur gamme d'ordinateurs PS/2. Ce bus, d'une
largeur de 16 et 32 bits, était incompatible avec le bus
ISA et permettait d'obtenir un taux de transfert de 20
Mo/s.
Le bus EISA
Le bus EISA (Extended Industry Standard Architecture), a
été mis au point en 1988 par un consortium de sociétés
(AST, Compaq, Epson, Hewlett-Packard, NEC, Olivetti,
Tandy, Wyse et Zenith), afin de concurrencer le bus
propriétaire MCA lancé par IBM l'année précédente. Le bus
EISA utilisait des connecteurs de même dimension que le
connecteur ISA, mais avec 4 rangées de contacts au lieu de
2, permettant ainsi un adressage sur 32 bits.
Les connecteurs EISA étaient plus profonds et les rangées de
contacts supplémentaires étaient placées en dessous des
rangées de contacts ISA. Il était ainsi possible d'enficher une
carte ISA dans un connecteur EISA. Elle rentrait cependant
moins profondément dans le connecteur (grâce à des ergots)
et n'utilisait ainsi que les rangées de contacts supérieures
(ISA).
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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Le bus VLB
En 1992 le bus local VESA (VLB pour VESA Local
Bus) a été mis au point par l'association VESA (Video
Electronics Standard Association sous l'égide de la
société NEC) afin de proposer un bus local dédié aux
systèmes graphiques. Il s'agit d'un connecteur ISA 16-
bits auquel vient s'ajouter un connecteur supplémentaire
de 16 bits :
Le bus VLB
Le bus VLB est ainsi un bus 32-bit prévu initialement pour
fonctionner à une fréquence de 33 MHz (fréquence des
premiers PC 486 de l'époque). Le bus local VESA a été
utilisé sur les modèles de 486 (respectivement 40 et 50
MHz) ainsi que sur les tout premiers Pentium, mais il a
rapidement été remplacé par le bus PCI.
« Connecteur PCI (Peripheral Component InterConnect) :
permettant de connecter des cartes PCI, beaucoup plus
rapides que les cartes ISA et fonctionnant en 32- bit »
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Bus PCI
Le bus PCI (Peripheral Component Interconnect) a été mis
au point par Intel. Contrairement au bus VLB il ne s'agit
pas à proprement parler d'un bus local mais d'un bus
intermédiaire situé entre le bus processeur et le bus
d’entres/sories(DMA)
Le bus PCI utilise le DMA (Direct Memory Access) pour
le transfert de données vers la RAM ou entre les cartes,
avec quelques limitations pour d'anciens chipset vers le
port AGP qui utilise également cette technique.
Bus
En haut 2
bus PCI
En bas 4 bus
VLB
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Périphériques d’entrées:
Les périphériques d’entrées se sont des outils qui aident
l’utilisateur à faire entrer ses données à l’ordinateur. Il existe
plusieurs périphériques d’entrées, parmi lesquels on cite :
carte magnétique, lecteur optique (lecteur des codes barres
(utilisé dans les super marché)), le clavier, la souris, le
scanner, etc.
Clavier :
Le clavier est le périphérique d’entrée le plus commode pour
saisir des caractères (lettres, chiffres, symboles, etc), ce
dernier est composé de trois parties : partie alphanumérique
(A,B,C,…), partie numérique (0,1,…,9), partie fonction
(Enter, Shift, Ctrl,…). Les claviers se différent selon le
nombre de leurs touches (102 touches, 105 touches,…).
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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Périphériques d’entrées:
Souris:
En 1964, Dougle Englebrat a crée pour la première fois dans l’histoire un
indicateur de coordonnées pour un système d’affichage, dénommé souris en
raison de sa petite taille et de son câble. La souris est une petite boite de
plastique ayant la forme d’une souris et c’est parmi les périphériques d’entrées
les plus important car sans cette dernière on ne peut pas se communiquer avec
la plus part des logiciels qui se trouvent sur notre ordinateur. Le mouvement de
la souris sur un plan entraîne un déplacement d’un curseur sur l’écran de
l’ordinateur ce qui permet d’appliquer certaines tâches sur ce dernier.
La souris comprend de 1 à 4 boutons sur sa face supérieure, ces boutons sont
utilisés pour sélectionner et d’activer les items de menus ou pour défiler un
texte, etc. En général, il existe 2 types de souris : Souris mécaniques et Souris
optiques
Types de souris
Souris mécanique : il dispose sous sa face inférieure
d’une bille en contact avec deux roulettes. Le
déplacement de la souris, entraîne la rotation de ces
roulettes ce qui entraîne le déplacement du curseur
de la souris sur l’écran de l’ordinateur.
Souris optique : il ne contient ni bille ni roulette,
elle dispose seulement d’une diode optique de type
LED (Light Emitting Diode) et d’un photo-détecteur
sous sa face inférieure. La souris optique doit se
déplacer sous une plaque spéciale (réfléchissante)
constituée d’une grille rectangulaire qui permet de
caractériser le déplacement de chaque déplacement
de la souris.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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Périphériques d’entrées:
Scanner :
Le clavier est un outil très efficace pour saisir les données de type
texte ou des symboles simples (+, μ,…), mais il est incapable de
saisir des informations graphiques (des images par exemple).
Actuellement, il existe plusieurs outils qui permettent de saisir
des données graphique, on cite parmi ces outils : le scanner,
caméra reliée à une carte vidéo, appareil photo numérique, etc.
Pour stocker une image sur un ordinateur, il faut la numériser, c'est-
à-dire la décomposer en un très grand nombre de valeurs
numériques, chaque valeur numérique représente toute une bande
dans l’image réelle. Scanner veut dire numériser. Le scanner
décompose l’image en un grand nombre de points. Pour chaque
point le scanner mesure sa couleur qu’est une valeur située dans
un intervalle de valeurs (par exemple 0,…,16777215).
Périphériques d’entrées:
Lorsqu’on veut scanner un document, le scanner est illuminé par une
lumière fluorescente, ensuite le document reflète cette lumière qu’est
plus au moins intense suivant que la zone illuminée est plus au moins
sombre. La lumière reflétée est redirigée à l’aide d’un miroir et une
lentille focalisante vers une composante photo-sensitive qui contient
une rangée de capteurs qui convertissent la lumière reçue en signaux
électriques qui sont convertis en valeurs numériques par un
convertisseur analagique/numérique.
Parmi les facteurs de la qualité d’un scanner :
* la résolution d’analyse est le nombre de points de l’image qui sont
scannés par unité de surface, elle est exprimée en points par pouce
(Dots Per Inch). Si cette valeur est 300 dpi, alors la résolution est
300×300 points par pouce2 (1 pouce=2,54cm).
* la profondeur d’échantillonnage : elle correspond le nombre de couleurs
que le scanner est capable de capter. Si cette profondeur est de 8 bits
signifie que le scanner capable de distinguer 28=256 nuances de chaque
primaire, c'est-à-dire le scanner fait la différence de 2563=16.777.216
couleurs.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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Périphériques de sorties
Le rôle principal d’un ordinateur est de fournir les
résultats d’un traitement réalisé par un utilisateur sur des
données saisies par ce dernier. Les outils qui permettent
de retourner ces résultats à l’utilisateur sont appelés
périphériques de sortie. Parmi ces périphériques, on cite
: l’écran, l’imprimante, etc.
Périphériques de sorties
Ecran :
L’écran de l’ordinateur (appelé aussi moniteur) est le périphérique
de sortie le plus répondu. Il permet d’afficher du texte et de
graphique. En général, il existe plusieurs types d’écrans : écran à
tube cathodique, écran plat, etc.
* Ecran à tube cathodique : cet écran contient un tube cathodique
comme celui des télévisions à tubes cathodiques. Ce type d’écran
est caractérisé par : la fréquence de balayage horizontale et
verticale, la taille de son écran (on parle d’écran de 14, 15, 17
pouces (pouce=2,54 cm)) elle représente la longueur de son
diagonal, finesse ou pitch elle indique le nombre de points par
unités de longueur de l’écran, plus la finesse est grande plus
l’image est précise, la fréquence maximale de balayage, elle
indique la fréquence de rafraîchissement, plus cette fréquence est
grande plus que l’image apparaît plus stable.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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Périphériques de sorties
Imprimante :
L’écran est le périphérique de sortie le plus utilisé de nos jours, mais parfois il est
nécessaire de disposer d’une copie des résultats retournés sur écran sur papier
(les factures, les rapports, etc). L’imprimante est l’outil qui permet de faire
ceci. En général, il existe plusieurs 3 types d’imprimantes : imprimante
matricielle (en train de disparaître), imprimante jet d’encre et imprimante laser.
* Imprimante matricielle ou imprimante à aiguille: elle comprend une tête
contenant un ensemble d’aiguilles très fines activées par un électro-aimant et
agissant de façon semblable aux soupapes d’un moteur, ensuite des points sont
propulsés sur le ruban encré. Ainsi une caractère est obtenue à l’aide d’une
matrice de points, le nombre de lignes correspond au nombre d’aiguilles et le
nombre de colonnes correspond au nombre de déplacement de la tête de
l’imprimante.
Afin d’obtenir une qualité d’impression bonne, il faut augmenter le nombre
d’aiguilles sur la tête de l’imprimante, il existe des têtes à 24 à 36 aiguilles.
* Imprimante laser ou imprimante page : comme son nom indique, ce type
d’imprimante a une technique d’impression par page utilisant la même
technique que celui de photocopieur.
Périphériques de sorties
L’imprimante laser est constituée d’un tambour rotatif,
ou début d’impression le tambour est placé dans un
champ électrique de 100 volts pour le rendre
photosensible. Ensuite ce tambour est balayé ligne par
ligne par un faisceau laser et ceci grâce à un miroir
rotatif octogonal. Ce faisceau produira un ensemble de
points lumineux et sombres sur la surface du tambour.
Ensuite la rotation du tambour amène ce dernier devant
un réservoir de tonner qui est attiré seulement par les
points qui ont perdu leurs charges électriques, ensuite
cet encre se trouvant sur ce tambour se dépose sur le
papier qui passe dans un four pour imprégner cet encre
sur le papier.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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L’ENIAC
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI
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Système d’exploitation
Wikipedia:
Le système d'exploitation (SE, en anglais
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Rôles du SE
Le maître d’orchestre: essentiel pour utiliser les ressources
de la machine:
gestion de la mémoire centrale
gestion des processeurs: temps de calcul entre plusieurs
programmes qui s’exécutent simultanément
gestion des périphériques E/S
gestion des fichiers: sur les mémoires de masses
gestion des ressources: attribution des ressources nécessaires
exécution du programme sans empiétement
gestion des utilisateurs: pas d’interférence entre eux
Composition
Un système d'exploitation est typiquement composé de :
un Noyau
Bibliothèque dynamique (libraries)
un ensemble d'outil système (utilitaires – shell)
programmes applicatifs de base
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Système d’exploitation
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Noyau (kernel)
Le noyau assure ces fonctionnalités :
gestion des périphériques(au moyen de pilotes)
gestion des files d'exécution (aussi nommée processus) :
attribution de la mémoire à chaque processus
ordonnancement des processus (répartition du temps d'exécution sur le
ou les processeurs)
synchronisation et communication entre processus (services de
synchronisation, d'échange de messages, mise en commun de segments
de mémoire, etc.)
gestion des fichiers (au moyen de systèmes de fichiers)
gestion des protocoles réseau (TCP/IP, IPX, etc.)
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Noyau
Au lancement:
Boot: le programme qui initialise l’ordinateur
Permet aux premiers services d’accéder aux applications
système : gestion de la mémoire, accès aux disques durs et
accès aux périphériques
Mémoire centrale (vive): répartition
Réservée pour le système
Réservée pour les applications
Assure une indépendance entre les applications et les
matériels
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Le système de fichiers
Un système de fichiers est une structure de données permettant de
stocker les informations et de les organiser dans des fichiers sur
des mémoires secondaires (disque dur, disquette, CD-ROM, clé
USB, etc.)
E.g. une structure hiérarchique
/u/nie/HTML/IFT6800/introduction.txt
Ce stockage de l'information est persistant
Une telle gestion des fichiers permet de traiter, de conserver des
quantités importantes de données ainsi que de les partager entre
plusieurs programmes informatiques
Il offre à l'utilisateur une vue abstraite sur ses données et permet
de les localiser à partir d'un chemin d'accès
Interface homme-machine
Via ligne de commande
shell, MSDos
Interface graphique
Xterm, Linux, Windows, Macintosh
GUI (Graphical User Interface)
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Shell
Shell (coquille par opposition au noyau) = L'interpréteur de
commandes permettant la communication avec le SE par
l'intermédiaire d'un langage de commandes
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Multi-utilisateurs et multi-tâches
Multi-utilisateurs
plusieurs utilisateurs utilisent le même ordinateur en même temps
Multi-tâches
un utilisateur lance plusieurs applications
Gestion de temps et de ressources
Processus: exécuter, suspendre, détruire
e.g. ps –u nie
PID TTY TIME CMD
10057 ? 00:00:00 sshd
10059 pts/0 00:00:00 tcsh
10061 ? 00:00:00 pkboost
10105 pts/0 00:00:00 xterm
10107 pts/1 00:00:00 tcsh
25753 pts/1 00:00:00 ps
Évolution des SE
1980s
Unix (sur des machines plus grosses)
CP/M
MSDOS
Mac OS
1990s et 2000s
Interface graphique
Windows
Mac OS X
Linux avec GUI
Compatibilité
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