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3/14/2017

Département de Mathématique et
Informatique

Informatique et traitement
automatisé

14-Mar-17

définition : Informatique
 En anglais : Computer science
 L’informatique (Information + Automatique) est la
science du traitement automatique de l’information
 L’information : est un élément de connaissance humaine
susceptible d’être représentée à l’aide d’un système de
codage afin d’être conservée, traitée ou communiquée.

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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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Traitement automatique de
l’information
 Suite d’informations transformant une représentation de
cette information en une autre représentation plus facile
à manipuler ou à interpréter
 Exemple:
 Calcul de 3*4 = 12
 Calcul de la moyenne des notes d’un module
 Etablir la fiche de paye, faire la facturation
 Trier par ordre alphabétique une liste des étudiants

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Aspects d’un système informatique


 Un système informatique est caractérisé par deux
aspects :
 Aspects matériel (hardware)
 éléments physiques, des composants électroniques, des câbles
électriques, ... ----> Ordinateur
 Aspect Logiciel (software)
 ensemble de programmes informatiques (suite d ’instructions qui dit à
l’ordinateur quoi faire) : système d’exploitation, langage de
programmation, …

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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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Ordinateur
 C’est une machine qui permet le traitement de
l’information en exécutant une série d’ordres
 C’est une machine doté de mémoires à grandes
capacités et de moyens de calculs ultrarapides

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Différents types d’ordinateurs


 Toute machine capable de manipuler des informations
peut être qualifiée d'ordinateur
 Il existe plusieurs type d’ordinateur :
 Micro-ordinateur (ordinateur compatible IBM),
 Apple Macintosh
 Ordinateur portable (en anglais : laptop),
 PDA (Personal digital Assistant : ordinateur de poche),
 Station SUN (ordinateur puissant ; en Anglais mainframe),
 ...

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Apple macintosh
 Les Macinstosh ou Mac, sont des ordinateurs personnels
fabriqués et commercialisés par la société Apple depuis
janvier 1984. ils cohabitent sur le marché des
ordinateurs personnels avec les PC.
 Les premiers Macintosh ont tiré leur succès de leur
interface graphique simple d’utilisation
 Ils sont aujourd'hui très utilisés par les professionnels de
la vidéo numérique, de l’inforgraphie, de la presse…

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Ordinateur portable
 Un ordinateur portable est un ordinateur intégrant
l'ensemble des éléments dont il a besoin pour
fonctionner.
 L'intérêt principal d'un ordinateur portable par rapport à
un ordinateur de bureau est sa mobilité ainsi que son
encombrement réduit

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PDA presonal digital assistant


 Il s'agit d'un petit boîtier de la taille d'une tiers de la
taille d'une calculatrice, qui tient dans une main, abritant
une architecture informatique et doté d’un écran tactile
et parfois d’un clavier incorporé avec des petites
touches. Un stylet est souvent associé à l’écran tactile.
 Un PDA est utilisé principalement pour ses fonctions
d’agenda, de répertoire téléphonique et de bloc-notes,
mais les avancées technologiques ont permis de lui
adjoindre des fonctionnalités multimédia.

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Architecture d’un ordinateur

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Architecture d’un ordinateur


 La structure générale d’un ordinateur est constitué par
trois blocs fondamentaux :
 Unité centrale de traitement: processeur, cœur de l’ordinateur
 Mémoire centrale: sert à stocker les données et les
programmes
 Interfaces d’entrées/sorties: permet de raccorder les
périphériques externes d’un ordinateurs
 Sont reliés entre eux par des bus. Un bus est un
ensemble de broches qui véhicule l’information

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CPU
 Unité Arithmétique et Logique ( UAL )
 Responsable des opérations arithmétiques et logiques
(Addition,soustraction,Multiplication,…)
 Registres
 Petites mémoires très rapide qui stockent localement les informations
traitées par l’UAL
 Unité de Contrôle (UC )
 Coordonne le travail des différents organes UAL, mémoires,
périphériques, …
 Horloge
 Base de temps qui distribue régulièrement des impulsions pour
synchroniser les différentes opérations élémentaires effectuées par le
processeur. Ainsi, un processeur cadencé à 450 MHz possède 450
millions de cycles d'horloge par seconde.
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Evolution de la vitesse des


processeurs
Processeur Année Fréquence (MHz)
Intel 86 1981 de 4 à 8
Intel 286 1984 de 6 à 16
Intel 386 1985 de 16 à 33
Intel 486 1989 de 25 à 100
Pentium 1993 de 60 à 200
Cyrix 6x86 1996 de 133 à 150
Pentium MMX 1997 de 166 à 233
PENTIUM III 1999 500
AMD ATHLON 1999 600, 750 1000
PENTIUM IV 2000 1,4 à 2 GHz
AMD ATHLON 64 2003 2à 2,4 GHz
PENTIUM IV 2004 2,8 à 3,4 GHz

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Mémoire centrale
 Il y a deux types de mémoires:
 ROM (Read Only Memory) :
 Mémoire morte où les informations ne sont accessibles à l’utilisateur
que pour la lecture
 permanente (conserve indéfiniment son contenu)
 Contient des programmes spéciales (fait par le constructeur ) BIOS
(Basic Input Output System))
 RAM (Random Access Memory) :
 Mémoire vive où l’on peut faire toutes les modifications souhaitées
 volatile ( contenu perdu si coupure de courant

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Représentation de l’information
 Sur machine, toute information est représentée sous
forme binaire : bit
 le bit est L'unité de base de la théorie de l'information :
bit = binary digit.
 Un bit, par définition, est un composant quelconque ne
pouvant se trouver que dans deux états possibles,
exclusifs l'un de l'autre.
 Exemples:
 un fil électrique dans lequel le courant circule ou pas;
 un aimant pouvant être polarisé «Sud» ou «Nord» ;
 une surface ayant soit un creux soit une bosse. …
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Bit
 Par convention, on appelle l'un des deux états possibles
d'un tel composant 0, et l'autre 1.
 Un bit sera donc un espace dans lequel on pourra soit
écrire 0, soit écrire 1.
 Que faire avec de tels composants aussi élémentaires ?
 Réponse : Avec un seul, pas grand chose, mais
 avec plusieurs, beaucoup de choses !
 Que peut-on faire avec plusieurs bits ?
 le nombre total d'états possibles que peuvent prendre ces deux
bits est de quatre : 00, 01, 10 ou 11. Donc on code 4
informations
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Bits
 3 bits ?
 le nombre total d'états possibles est huit : 000, 001, 010, 011,
100, 101, 110, 111 donc on code 8 informations
 Avec n bits ?
 Pour 1 bit 2=21 ; Pour 2 bits 4=22 ; Pour 3 bits 8=23
 Par récurrence on montre que pour n bits il y a 2n états
possibles. On code 2n informations

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Système d’unités
 On utilise un système d’unités basés sur l’octet ( en
anglais byte) :
 L’octet = 8 bits = 23 bits. Noté 1 o
 Le Kilo-octet = 1024 o = 210 octets. Noté 1 Ko
 1 kilo-octet Environ 1/2 page de texte
 Le Méga-octet = 10242 o = 220 octets. Noté 1 Mo
 1 Mega-octet Environ un livre de 500 pages
 Le Giga-octet = 10243 o = 230 octets. Noté 1 Go
 Le Téra-octet = 10244 o = 240 octets. Noté 1 To

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Codage des informations


 Bases usuelles : base 10, 8.
 Représentation des nombres dans une base b :

1. Si b <= 10, on utilise simplement les chiffres de 0 à


b-1 (exemple : base 2).
2. Si b > 10, on utilise les chiffres de 0 à 9 et des lettres.
Ainsi, en base 16 (numération hexadécimale) on utilise les
chiffres de 0 à 9 et les lettres de A (=10) à F (=15).
E2A116 = 14*163+2*162+10*16+1 = 5801710
Exemple : l’adresse mémoire.

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Opérations arithmétiques
Les principes sont les mêmes que ceux utilisés en base 10
Exemples de calculs en base 2 (172 + 101 = 273 et 5 x 5 = 25) :
– Tables d’addition et de multiplication en base 2.

Dans le système de calcul binaire la soustraction ressemble en quelque sorte à


l’addition, sauf que lorsque l'on soustrait un bit égal à un d'un bit égal à zéro,
on obtient une retenue pour le bit de poids plus élevé.
Principe de base :
0−0=0 0 − 1 = 1 (avec retenue)
1−0=1 1−1=0
Exemple de soustraction :
r r r r
1101110
− 10111
----------------
1010111

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Les conversions
Conversion Binaire décimal:
Passage d’une base quelconque à la base 10
Il suffit d’écrire le nombre comme ci-dessus et
d’effectuer les opérations en décimal.
Exemple en hexadécimal :
(AB)16 = 10 *161 + 11 *160 = 160 + 11 = (171)10
(En base 16, A représente 10, B  11, et F 15).

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Les conversions
Passage de la base 10 vers une base quelconque
Nombres entiers : On procède par divisions successives. On divise
le nombre par la base, puis le quotient obtenu par la base, et ainsi
de suite jusqu’a l’obtention d’un quotient nul.
La suite des restes obtenus correspond aux chiffres dans la base
visée, a0a1…an.
Exemple : soit à convertir (44)10 vers la base 2.
44 = 22 x 2 + 0 => a0 = 0
22 = 11 x 2 + 0 => a1 = 0
11 = 2 x 5 + 1 =>a2 = 1
5 = 2 x 2 + 1 =>a3 = 1
2 = 1 x 2 + 0 => a4 = 0
1 = 0 x 2 + 1 => a5 = 1
Donc (44)10 = (101100)2.
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Les conversions
Nombres fractionnaires : On multiplie la partie fractionnaire
par la base en répétant l’opération sur la partie fractionnaire
du produit jusqu’a ce qu’elle soit nulle (ou que la précision
voulue soit atteinte).
Pour la partie entière, on procède par divisions comme pour un
entier.
 Exemple : conversion de (54, 25)10 en base 2

Partie entière : (54)10 = (110110)2 par divisions.


Partie fractionnaire :
 0,25 x 2 = 0,50 => a-1 = 0

 0,50 x 2 = 1,00 => a-2 = 1

 0,00 x 2 = 0,00 => a-3 = 0

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Les conversions
Cas des bases 2, 8 et 16
Ces bases correspondent à des puissances de 2 (21, 23 et 24), d’où
des passages de l’une à l’autre très simples. Les bases 8 et 16 sont
pour cela très utilisées en informatique, elles permettent de
représenter rapidement et de manière compacte des
configurations binaires.
La base 8 est appelée notation octale, et la base 16 notation
hexadécimale.
Chaque chiffre en base 16 (24) représente un paquet de 4 bits
consécutifs. Par exemple :
(10011011)2 = (1001 1011)2 = (9B)16
De même, chaque chiffre octal représente 3 bits.
On manipule souvent des nombres formés de 8 bits, nommés
octets, qui sont donc notés sur 2 chiffres hexadécimaux.
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Les conversions

Exemples :
Décimal  binaire : on procède par division entière
successive par 2. Exemple : 2910 :
29 : 2 = 14 reste 1
14 : 2 = 7 reste 0
7 : 2 = 3 reste 1
3 : 2 = 1 reste 1
1 : 2 = 0 reste 1 donc 2910 = 111012:

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Les conversions
Exemple : 145 = 910 = 127 :
– Conversion de la base 5 vers la base 7: division entière par 7 = 127 en base 7.
145 : 125 = 1 reste 2
15 : 125 = 0 reste 1
Le codage de 145 est donc 127.
– Conversion de la base 7 vers la base 5 : division entière par 5 = 57 en base 7.
X 07 17 27 37 47 57 67 107
57 07 57 137 217 267 347 427 507

 127 : 57 = 1 reste 4
 17 : 57 = 0 reste 1
 Le codage de 127 est donc 145.

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Les conversions
REPRÉSENTATION DES ENTIERS
Exemple plus compliqué : conversion de 14527 en base 5

D’où 14527 = 43015. Les sceptiques peuvent vérifier que 14527 =


1*73+4*72+5*7+2 = 576 et 43015 = 4*53+3*52+0*5+1 = 576...
En pratique, si b1 != 10, on évite d’effectuer la division en base b1 en
convertissant X en base 10 puis en procédant par division sur le nombre
obtenu pour effectuer la conversion de la base 10 vers la base b2.
Certaines conversions sont très faciles à réaliser comme la conversion binaire
vers octal (base 8) ou binaire vers hexadécimal (base 16).

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Les conversions
Exemple : 10100111012
– base 8 découpages par blocs de 3 chiffres :
001 010 011 101
1 2 3 5 = 12358
– base 16 découpages par blocs de 4 chiffres :
0010 1001 1101
2 9 D = 29D16
De manière générale, les conversions sont faciles lorsque b2 est
une puissance de b1. Les conversions en base 8 ou 16 sont
très fréquentes pour l’affichage des nombres binaires qui,
par leurs longueurs, sont rapidement illisibles.
Exemple : octal pour les codes de caractères, hexadécimal pour
les adresses mémoires.
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Autres Opérations
Opérations arithmétiques
Les opérations arithmétiques s’effectuent en base quelconque b
avec les mêmes méthodes qu’en base 10. Une retenue ou un
report apparait lorsque l’on atteint ou dépasse la valeur b de
la base.
Représentation des entiers
Codage machine
La représentation (ou codification) des nombres est nécessaire
afin de les stocker et manipuler par un ordinateur. Le
principal problème est la limitation de la taille du codage :
un nombre mathématique peut prendre des valeurs
arbitrairement grandes, tandis que le codage dans
l’ordinateur doit s’effectuer sur un nombre de bits fixé.
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Codage
Entiers naturels
Les entiers naturels (positifs ou nuls) sont codés sur un nombre
d’octets fixé (un octet est un groupe de 8 bits). On rencontre
habituellement des codages sur 1, 2 ou 4 octets, plus
rarement sur 64 bits (8 octets, par exemple sur les
processeurs DEC Alpha).
Un codage sur n bits permet de représenter tous les nombres
naturels compris entre 0 et 2n - 1. Par exemple sur 1 octet,
on pourra coder les nombres de 0 à 255 = 28 - 1.
On représente le nombre en base 2 et on range les bits dans les
cellules binaires correspondant à leur poids binaire, de la
droite vers la gauche. Si nécessaire, on complète à gauche
par des zéros (bits de poids fort).
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Codage
Entiers relatifs
Il faut ici coder le signe du nombre. On utilise le codage
en complément à deux, qui permet d’effectuer ensuite
les opérations arithmétiques entre nombres relatifs de la
même façon qu’entre nombres naturels.
1. Entiers positifs ou nuls : On représente le nombre en
base 2 et on range les bits comme pour les entiers
naturels. Cependant, la cellule de poids fort est toujours
à 0 : on utilise donc n - 1 bits.
Le plus grand entier positif représentable sur n bits en
relatif est donc 2n-1-1
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Représentation des caractères:


Code ASCII
Les caractères sont des données non numériques : il n’y a pas de sens à
additionner ou multiplier deux caractères. Par contre, il est souvent
utile de comparer deux caractères, par exemple pour les trier dans
l’ordre alphabétique.
Les caractères, appelés symboles alphanumériques, incluent les lettres
majuscules et minuscules, les symboles de ponctuation (& ~ , . ; # " -
etc...), et les chiffres.
Un texte, ou chaîne de caractères, sera représenté comme une suite de
caractères.
Le codage des caractères est fait par une table de correspondance
indiquant la configuration binaire représentant chaque caractère. Les
deux codes les plus connus sont l’EBCDIC (en voie de disparition) et le
code ASCII (American Standard Code for Information Interchange).
Le code ASCII représente chaque caractère sur 7 bits (on parle parfois de
code
ASCII étendu, utilisant 8 bits pour coder des caractères supplémentaires).

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Code ASCII
Notons que le code ASCII original, défini pour les besoins de l’informatique en
langue anglaise) ne permet la représentation des caractères accentués (é, è, à,
ù, ...), et encore moins des caractères chinois ou arabes. Pour ces langues,
d’autres codages existent, utilisant 16 bits par caractères. A chaque caractère
est associée une configuration de 8 chiffres binaires (1 octet), le chiffre de
poids fort (le plus à gauche) étant toujours égal à zéro. La table indique aussi
les valeurs en base 10 (décimal) et 16 (hexadécimal) du nombre correspondant.
Plusieurs points importants à propos du code ASCII :
– Les codes compris entre 0 et 31 ne représentent pas des caractères, ils ne sont
pas affichables. Ces codes, souvent nommés caractères de contrôles sont
utilisés pour indiquer des actions comme passer à la ligne (CR, LF), émettre un
bip sonore, etc.
– Les lettres se suivent dans l’ordre alphabétique (codes 65 à 90 pour les
majuscules, 97 à 122 pour les minuscules), ce qui simplifie les comparaisons.
– On passe des majuscules aux minuscules en modifiant le 5ième bit, ce qui
revient à ajouter 32 au code ASCII décimal.
– Les chiffres sont rangés dans l’ordre croissant (codes 48 à 57), et les 4 bits de
poids faibles définissent la valeur en binaire du chiffre.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Récapitulatif

– Codage en binaire, ici un chiffre est appelé un bit (binary digit :


chiffre binaire).
– Les nombres sont codés sur n octets, généralement 2 (short en
Language C) ou 4 (int ou long en language C).
– m bits --> 2m nombres différents, si n = 2 ---> 216 = 65 536
nombres, si n = 4 ---> 232 = 4294 967 296 nombres.
– le problème c’est que la capacité de la mémoire est limitée. Si
le résultat de l’opération est supérieur au nombre maximum
représentable ----> overflow (dépassement de capacité).
Exemple sur 4 bits : 9 + 7 = 16 qui ne peut être stocké sur 4 bits...
1001
+ 111
0000

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Récapitulatif
Complément binaire et codage des entiers négatifs
– En binaire, le principe du complément est le même, le
complément à 1 revient simplement à inverser les bits
d’un nombre et le complément à 2 ajoute 1 au
complément à 1.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Fonctionnement de la mémoire vive


 La mémoire vive est constituée de centaines de milliers de microscopiques
condensateurs emmagasinant des charges. Lorsqu'il est chargé, l'état
logique du condensateur est égal à 1, dans le cas contraire il est à 0, ce qui
signifie que chaque condensateur représente un bit de la mémoire.
 Chaque condensateur est couplé à un transistor permettant de « récupérer »
ou de modifier l'état du condensateur. Ces transistors sont rangés sous
forme de tableau (matrice), c'est-à-dire que l'on accède à une case mémoire
(aussi appelée point mémoire) par une ligne et une colonne

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Interfaces d’Entrée/Sortie
 Les interfaces E/S sont indispensable pour les raisons
suivantes :
 Diversités des périphériques externes : imprimantes, clavier,
mémoire de masse, écran, souris, …
 Différence de vitesse des traitement entre l’unité centrale et
les périphériques externes.

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Périphériques externes d’un


ordinateur
 Ecran de visualisation (moniteur) : Ce périphérie permet de
visualiser le contenu de la mémoire vive (RAM): périphérique
de sortie
 Clavier : Ce dispositif permet à l’utilisateur de communiquer
avec mémoire vive (RAM) et l’écran de visualisation. Il
assure donc la fonction de saisie: P.E
 Souris : La souris permet de remplacer le clavier en gérant
l’écran sous des menus déroulant environnement graphique :
P.E
 Imprimante : Elle permet l’impression sur papier le contenu
de la mémoire vive (programme, données) : P.S
 Scanner -PE-, Haut parleur -PS-,….
 Mémoires de masse 38
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Mémoires moires de masse


 On associe à la mémoire centrale d’un ordinateur des
mémoires externes appelées mémoire de masse. Ce sont
des supports qui peuvent stocker d’une manière
permanente les programmes et les données
 Il existe divers types :
 Disque dur ( actuellement de l’ordre des To)
 Disquettes 5 ” 1/4(512 Ko) , 3” 1/2(1.44 Mo)
 CD_ROM (700 Mo),
 DVD (4,7GO, …)
 …

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Fonctionnement d’un disque dur


 Les têtes commencent à inscrire des données à la périphérie
du disque (piste 0), puis avancent vers le centre. Les données
sont organisées en cercles concentriques appelés « pistes »
 Les pistes sont séparées en quartiers (entre deux rayons) que
l'on appelle secteurs, contenant les données (au minimum 512
octets par secteur en général).
 On appelle cylindre l'ensemble des données situées sur une
même piste sur des plateaux différents (c'est-à-dire à la
verticale les unes des autres) car cela forme dans l'espace un
"cylindre" de données.
cylindre
secteur

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Structure d’un disque compact


CD-ROM
 Le CD (Compact Disc) est un disque optique permettant de
stocker des informations numériques. Il peut contenir jusquà
700 Mo de données informatiques (plus de 300 000 pages de
texte).
 Le CD est constitué, entre autre, d'une fine couche métallique
réfléchissante. La couche réfléchissante possède de petites
alvéoles. Lorsque le laser traverse la surface, la lumière est
réfléchie sur la couche réfléchissante, sauf lorsque le laser
passe sur une alvéole, c'est ce qui permet de coder
l'information.
 Les informations sont stockées sur 22188 pistes gravées en
spirales

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Composants d’un ordinateur


Architecture de Von Neumann

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Carte mère de l’ordinateur


(En anglais : Motherboard))
 La carte mère est une carte maîtresse, prenant la forme d'un
grand circuit imprimé possédant des connecteurs pour le
processeur, la mémoire vive, des cartes d'extension.

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Ports

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loi de Moore: Evolution de la vitesse


des processeurs
 La loi de Moore, édictée en 1965 par Gordon E. Moore
alors employé d'Intel, prévoyait que les performances de
processeurs doubleraient tous les 12 mois. Cette loi a été
révisée en 1975, portant le nombre de mois à 24. La loi
de Moore s'applique toujours aujourd'hui.

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Logiciels -Software
 On parle d’applications et de programmes
 Un programme est constitué d’une suite d ’instructions (ou
ordres) exécutées pour accomplir une tâche particulières
 Un logiciel (ou une application) est un ensemble de
programmes qui coopèrent afin de réaliser un objectif bien
précis
 Pour être actif un programme (ou un logiciel) doit être
résident en mémoire principale (RAM)
 Classification des logiciels (3 catégories) :
 Les langages de programmation
 Les logiciels d’applications
 Les systèmes d ’exploitation
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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Langages de programmation
 Ce sont des logiciels qui permettent de produire d’autres
logiciels
 Un langage de programmation permet d’exprimer les
indications nécessaires aux traitement, de concevoir et
de rédiger les programmes souhaités.
 Exemples :
 Programmation procédurale : Pascal, C , Visual Basic,….
 Programmation logique : Lisp, Prolog,….
 Programmation Scientifique : Matlab, Maple…

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Système d ’Exploitation
(Operating System)
 Le système d’exploitation (SE) est le logiciel de base de
tous les systèmes informatiques :
 Sans lui la machine ne pourrait rien faire et, surtout, sans lui
les logiciels d’application ne pourraient s’exécuter
 Le SE sert d'intermédiaire entre l’utilisateur et la
machine :
 Son objectif est de rendre les machines plus faciles à
utiliser et par conséquent la tâche de l’utilisateur moins
fastidieuse

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Les logiciels d’applications


 Ce sont des logiciels destinés à des utilisateurs non
informaticiens (on peut les utiliser directement)
 Exemples :
 Traitement de textes
 Tableurs
 Jeux
 ...

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Fonctions d’un SE
 Fournir une “interface” entre l'ordinateur et l'utilisateur
pour permettre de donner des ordres à la machine
(lancer une impression, ...);
 Interface textuelle; interface semi-graphique; interface
graphique
 Gérer les “ressources” de l'ordinateur (mémoires,
processeur, périphériques, …) ;
 Gérer l’organisation du stockage de l’information sur
les mémoires secondaires par l’intermédiaire de son
“système de gestion de disques” ;
 ..
51
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Système de Gestion des disques


 Le système de gestion des disques d ’un SE organise les
informations (c.-à-d. les données et les programmes) en
deux niveaux :
 Niveau physique :
 décrit comment l’information sera organisée sur les supports de
stockages
 Ce niveau est géré par le SE.
 Niveau logique :
 décrit comment ces informations seront manipulées par l’utilisateur.
 Ce niveau rend le niveau physique transparent

52
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

26
3/14/2017

Système de Gestion de disques


 Organisation logique :
 Pour faciliter aux utilisateurs les actions de stockage,
d’identification et de la recherche des informations sur les
mémoires de masse, les systèmes d’exploitations utilisent
deux notions (ou entités ) :
 Fichier.
 Dossier (ou répertoire).

53
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Système de Gestion de disques


 Organisation logique : Fichiers
 Les informations sont rangées dans des fichiers,
 Un fichier peut servir à mémoriser un texte, une image, mais
aussi un programme…
 Un fichier est identifié par un nom qui lui est attribué par
l’utilisateur et qui a la forme suivante :
nom_du_fichier.extension
l ’extension sert à regrouper les fichiers de même nature
 Exemples :
 Lettre.doc : fichier document créé par Word
 Produit.exe : fichier exécutable (programme multiplication)

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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

27
3/14/2017

Système de Gestion de disques


 Organisation logique : Dossier
 Les dossiers (ou répertoires), permettent de ranger soit des
fichiers, soit d'autres dossiers (ils peuvent aussi rester vides).
 Les dossiers sont structurés de façon arborescente. Dans un
tel arbre, les fichiers ne peuvent figurer qu'au niveau des
feuilles.
 le premier niveau de cette arborescence est appelé « répertoire
racine ». On peut y créer d ’autres répertoires contenant des
sous-répertoires et/ou des fichiers.
 Dans une telle organisation, on peut se déplacer de deux
façons :
 par un chemin absolu (en partant de la racine)
 par un chemin relatif (en partant du répertoire dit « courant »)
55
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Système de Gestion de fichiers


(SGF): Exemple
 C'est le SE (SGF) qui gère toute cette organisation : il
permet par exemple d'ajouter, de déplacer, de supprimer,
de recopier... tout dossier ou fichier.
 Exemple: Répertoire racine

Sous répertoire 1
S-R 2 Fichier 1 Fichier 2

S-R 1.1 S-R 1.2 Fichier 1.1 Fichier 1.2

Fichier 1.1.1 Fichier 1.2.1


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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Types de SE
 SE mono-tâches : exécute une tâche à la fois
 SE multi-tâches : exécute plusieurs tâches simultanément
(partage du temps processeur)
 SE mono-utilisateur : un utilisateur peut utiliser les ressources
de la machine à la fois
 SE multi-utilisateurs : possibilité de servir plusieurs
utilisateurs
 Exemples de SE:
 MS-DOS : mono-tâche mono-utilisateur
 Windows 98/2000/XP ; MacOS : multi-tâches monoutilisateur
 Windows NT/2OOO servers ; Unix/Linux : multi-tâches multi-
utilisateurs
 ...
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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Positionnement des logiciels


users

Logiciels : applications,
langages de programmation

Système d’exploitation : ensemble de logiciels pour


utiliser l’ordinateur

Pilotes ou Drivers

Ordinateur : Unité centrale (CPU,M.C.,I.E/S), périphériques


(écran,souris,clavier,D.Dur,CD-ROM,imprimante,carte graphique,carte
son,carte satellite,camera numérique,scanner,modem,…)
58
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Pilotes ou Drivers en anglais)


 Appelés aussi gestionnaires de périphériques
 Se sont des informations à installer et qui permettent au SE
d’utiliser (ou d’exploiter) les périphériques (imprimantes,
scanners, lecteurs etc..) issus des constructeurs différents.
 Ils sont développés par les fabricants de périphériques. Chaque
périphérique est vendu avec son driver.
 On peut aussi trouver les drivers sur l’Internet ou avec les SE.
 N'importe quel périphérique (ex disque dur), a besoin de driver
pour fonctionner. Au démarrage de l'ordinateur, c'est le BIOS qui
permet aux composants vitaux (carte vidéo, disque dur, lecteur
de disquettes, clavier) de démarrer grâce à des pilotes standards.
 Une fois le SE démarré, celui-ci reprend le contrôle de ces
composants
59
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Installation d’un système


d’exploitation
 Choix d’un système d’exploitation
 Sur un ordinateur de famille (micro-ordinateur), on peut installer :

 Windows : 98, millenium, 2000, XP,…;


 Linux : Redhat, Mandrak, Suse,…
 Après le choix d’un système exploitation (ex Windows)
 Installation sur PC : CD-ROM d’installation, Disquette de

démarrage
 L’installation veut dire mettre (ou stocker) tous les logiciels et

données dans une des mémoires de masse : DISQUE DUR


 Installation sur disque dur nécessite une prréparation de ce dernier :
 Créer des partitions

 Formater les partitions revient à créer un système de fichier (FAT :

File Allocation Table) sur chaque partition


 Après préparation du disque dur, l’installation peut commencer pour
mettre le système d’exploitation sur une des partitions crées (partition
C:) 60
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Organisations du disque dur


 Disque dur: C: S.E(Windows) D: Données et Applications E: Données et Applications

 Sous Windows, Comment designer les partitions (ou la


partition) constituant le disque dur et aussi les autres
mémoires de masse?
 1ère partition du disque Dur : C
 2ème partition : D
 3ème partition : E
 1ère Disquette : A
 2ème Disquette : B
 CDROM toujours la lettre qui suit : F
 Disque amovible (mémoire flash) la lettre qui suit : G

61
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

62
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Partie 2: architecture avancée

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Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

La carte mère

L'élément constitutif principal de l'ordinateur est la carte


mère (en anglais « mainboard » ou « motherboard »,
parfois abrégé en « mobo »). La carte mère est le socle
permettant la connexion de l'ensemble des éléments
essentiels de l'ordinateur.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Le chipset
 Le chipset est un circuit électronique chargé de
coordonner les échanges de données entre les divers
composants de l'ordinateur (processeur, mémoire...)..
 Certains chipsets intègrent parfois une puce graphique
ou une puce audio, ce qui signifie qu'il n'est pas
nécessaire d'installer une carte graphique ou une carte
son. Il est toutefois parfois conseillé de les désactiver
(lorsque cela est possible) dans le setup du BIOS et
d'installer des cartes d'extension de qualité dans les
emplacements prévus à cet effet.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Le chipset
Le chipset n’est généralement pas constitué d’un seul
circuit intégré, mais parfois de 8 et parfois de 2.
Pour les ordinateurs contenant deux circuits intégrés
constituant le CHIPSET, le premier sert de lien entre le
processeur et la ram (northbridge) et l’autre circuit
intégré (southbridge) gère les I/O, mais intègre aussi des
circuits supplémentaires comme la carte réseau et la
carte son

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Le BIOS
 3.4. Le BIOS
Le BIOS (Basic Input/Output System) est le programme
basique servant d'interface entre le système d'exploitation et
la carte mère. Le BIOS est stocké dans une ROM (mémoire
morte, c'est-à-dire une mémoire en lecture seule), ainsi il
utilise les données contenues dans le CMOS pour connaître
la configuration matérielle du système.
Il est possible de configurer le BIOS grâce à une interface
(nommée BIOS setup, traduisez configuration du BIOS)
accessible au démarrage de l'ordinateur par simple pression
d'une touche (généralement la touche Suppr. En réalité le
setup du BIOS sert uniquement d'interface pour la
configuration, les données sont stockées dans le CMOS.
Pour plus d'informations n'hésitez pas à vous reporter au
manuel de votre carte mère).
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Le processeur
 Le processeur (CPU, pour Central Processing Unit,
soit Unité Centrale de Traitement) est le cerveau de
l'ordinateur. Il permet de manipuler des informations
numériques, c'est-à-dire des informations codées sous
forme binaire, et d'exécuter les instructions stockées en
mémoire.
 Le premier microprocesseur (Intel 4004) a été inventé
en 1971. Il s'agissait d'une unité de calcul de 4 bits,
cadencé à 108 kHz. Depuis, la puissance des
microprocesseurs augmente exponentiellement. Quels
sont donc ces petits morceaux de silicium qui dirigent
nos ordinateurs?
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Le support de processeur

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Les connecteurs de mémoire vive

La mémoire vive (RAM pour Random Access Memory) permet


de stocker des informations pendant tout le temps de
fonctionnement de l'ordinateur, son contenu est par contre
détruit dès lors que l'ordinateur est éteint ou redémarré,
contrairement à une mémoire de masse telle que le disque dur,
capable de garder les informations même lorsqu'il est hors
tension. On parle de « volatilité » pour désigner ce
phénomène.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Les connecteurs de mémoire vive

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Les connecteurs d'extension


Les connecteurs d'extension (en anglais slots) sont des
réceptacles dans lesquels il est possible d'insérer des cartes
d'extension, c'est-à-dire des cartes offrant de nouvelles
fonctionnalités ou de meilleures performances à l'ordinateur.
 Connecteur VLB (Vesa Local Bus): Bus servant autrefois à
connecter des cartes graphiques
 Connecteur PCI (Peripheral Component InterConnect) :
permettant de connecter des cartes PCI, beaucoup plus
rapides que les cartes ISA et fonctionnant en 32- bit
 Connecteur AGP (Accelerated Graphic Port): un
connecteur rapide pour carte graphique.
 Connecteur PCI Express (Peripheral Component
InterConnect Exress) : architecture de bus plus rapide que
les bus AGP et PCI.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Les connecteurs d'entrée-sortie


La carte mère possède un certain nombre de connecteurs d'entrées-sorties
regroupés sur le « panneau arrière ».
La plupart des cartes mères proposent les connecteurs suivants :
 Port série, permettant de connecter de vieux périphériques ;
 Port parallèle, permettant notamment de connecter de vieilles imprimantes
 Ports USB (1.1, bas débit, ou 2.0, haut débit), permettant de connecter des
périphériques plus récents ;
 Connecteur RJ45 (appelés LAN ou port ethernet) permettant de connecter
l'ordinateur à un réseau. Il correspond à une carte réseau intégrée à la carte
mère ;
 Connecteur VGA (appelé SUB-D15), permettant de connecter un écran. Ce
connecteur correspond à la carte graphique intégrée ;
 Prises audio (entrée Line-In, sortie Line-Out et microphone), permettant de
connecter des enceintes acoustiques ou une chaîne hi fi, ainsi qu'un
microphone. Ce connecteur correspond à la carte son intégrée.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Les connecteurs d'entrée-sortie

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Le boîtier
Le boîtier de l'ordinateur est le squelette métallique
abritant ses différents composants internes. Les boîtiers
ont par ailleurs d'autres utilités telles que l'isolement
phonique ou la protection contre les rayonnements
électromagnétiques. Ainsi des normes existent afin de
garantir un niveau de protection conforme à la
réglementation en vigueur.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Le boîtier

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

38
3/14/2017

Bloc d'alimentation

 La plupart des boîtiers sont fournis avec un bloc


d'alimentation. L'alimentation permet de fournir du courant
électrique à l'ensemble des composants de l'ordinateur. Aux
Etats-Unis les blocs d'alimentation délivrent un courant à
110V et à 60 Hz, tandis qu'en Europe la norme est 220V à une
fréquence de 50 Hz, c'est la raison pour laquelle les blocs
d'alimentation possèdent la plupart du temps un commutateur
permettant de choisir le type de tension à délivrer.
 Il est essentiel de s'assurer que le commutateur est bien
positionné sur le bon voltage afin de ne pas risquer de
détériorer des éléments de l'unité centrale.
 Le bloc d'alimentation doit posséder une puissance suffisante
pour alimenter les périphériques de l'ordinateur

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Bloc d'alimentation

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

39
3/14/2017

MEMOIRE
 Rôle de la mémoire
On appelle « mémoire » tout composant électronique capable de
stocker temporairement des données. On distingue ainsi deux
grandes catégories de mémoires :
La mémoire centrale (appelée également mémoire interne)
permettant de mémoriser temporairement les données lors de
l'exécution des programmes. La mémoire centrale est réalisée à
l'aide de micro-conducteurs, c'est-à-dire des circuits électroniques
spécialisés rapides. La mémoire centrale correspond à ce que l'on
appelle la mémoire vive.
La mémoire de masse (appelée également mémoire physique ou
mémoire externe) permettant de stocker des informations à long
terme, y compris lors de l'arrêt de l'ordinateur. La mémoire de
masse correspond aux dispositifs de stockage magnétiques, tels
que le disque dur, aux dispositifs de stockage optique,
correspondant par exemple aux CD-ROM ou aux DVD-ROM.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Types de mémoire
 Mémoire vive (RAM)
La mémoire vive, généralement appelée RAM (Random Access Memory,
traduisez mémoire à accès direct), est la mémoire principale du système,
c'est-à-dire qu'il s'agit d'un espace permettant de stocker de manière
temporaire des données lors de l'exécution d'un programme.
En effet, contrairement au stockage de données sur une mémoire de masse telle
que le disque dur, la mémoire vive est volatile,
On distingue généralement deux grandes catégories de mémoires vives :
Les mémoires dynamiques (DRAM, Dynamic Random Access Module),
peu coûteuses. Elles sont principalement utilisées pour la mémoire centrale
de l'ordinateur ;
Les mémoires statiques (SRAM, Static Random Access Module), rapides
et onéreuses. Les SRAM sont notamment utilisées pour les mémoires cache
du processeur ;

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

40
3/14/2017

Fonctionnement de la mémoire vive


La mémoire vive est constituée de centaines de milliers de
petits condensateurs emmagasinant des charges.
Lorsqu'il est chargé, l'état logique du condensateur
est égal à 1, dans le cas contraire il est à 0, ce qui
signifie que chaque condensateur représente un bit de la
mémoire.
Etant donné que les condensateurs se déchargent, il faut
constamment les recharger (le terme exact est rafraîchir,
en anglais refresh) à un intervalle de temps régulier
appelé cycle de rafraîchissement. Les mémoires
DRAM nécessitent par exemple des cycles de
rafraîchissement est d'environ 15 nanosecondes (ns).
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Fonctionnement de la mémoire vive

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

La mémoire morte
 Mémoire morte (ROM)
La mémoire morte, appelée ROM pour Read Only Memory (traduisez
mémoire en lecture seule) est un type de mémoire permettant de conserver
les informations qui y sont contenues même lorsque la mémoire n'est plus
alimentée électriquement. A la base ce type de mémoire ne peut être
accédée qu'en lecture. Toutefois il est désormais possible d'enregistrer des
informations dans certaines mémoires de type ROM.
Différentes mémoires de type ROM contiennent des données indispensables
au démarrage, c'est-à-dire :
Le BIOS est un programme permettant de piloter les interfaces d'entrée-sortie
principales du système, d'où le nom de BIOS ROM donné parfois à la puce
de mémoire morte de la carte-mère qui l'héberge.
Le chargeur d'amorce: un programme permettant de charger le système
d'exploitation en mémoire (vive) et de le lancer. Celui-ci cherche
généralement le système d'exploitation sur le lecteur de disquette, puis sur
le disque dur, ce qui permet de pouvoir lancer le système d'exploitation à
partir d'une disquette système en cas de dysfonctionnement du système
installé sur le disque dur.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

La mémoire morte

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

La mémoire morte
Liste des chargeurs d'amorçage
Les chargeurs d'amorçage les plus usuels sont
 Société Microsoft :

 NTLDR (NT LoaDeR ou Chargeur


d'amorçage de Window NT) avec le BIOS. Sa
configuration est stockée dans le fichier
boot.ini.
 Pour le système d'exploitation Vista : le
chargeur d'amorçage est winload.exe et sa
configuration est stockée dans un registre :
BCD (Boot Configuration Data)
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

La mémoire morte
Liste des chargeurs d'amorçage
 Apple :
 Boot Camp est un outil de partitionnement de disque qui écrit
le chargeur d'amorçage utilisé par EFI

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Mémoire ROM
Le Setup CMOS : c'est l'écran disponible à l'allumage de
l'ordinateur permettant de modifier les paramètres du
système (souvent appelé BIOS à tort...). Le Power-On Self
Test (POST) : programme exécuté automatiquement à
l'amorçage du système permettant de faire un test du
système (c'est pour cela par exemple que vous voyez le
système "compter" la RAM au démarrage). Etant donné que
les ROM sont beaucoup plus lentes que les mémoires de
types RAM (une ROM a un temps d'accès de l'ordre de 150
ns tandis qu'une mémoire de type SDRAM a un temps
d'accès d'environ 10 ns), les instructions contenues dans la
ROM sont parfois copiées en RAM au démarrage, on parle
alors de shadowing (en français cela pourrait se traduire par
ombrage, mais on parle généralement de mémoire fantôme).
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Types de mémoire ROM


 Les ROM ont petit à petit évolué de mémoires mortes figées à des mémoires programmables, puis
reprogrammables.
Les premières ROM étaient fabriquées à l'aide d'un procédé inscrivant directement les données binaires
dans une plaque de silicium grâce à un masque.
 PROM
Les PROM (Programmable Read Only Memory) ont été mises au point à la fin des années 70 par la
firme Texas Instruments. Ces mémoires sont des puces constituées de milliers de fusibles (ou bien
de diodes) pouvant être "grillés" grâce à un appareil appelé « programmateur de ROM », appliquant
une forte tension (12V) aux cases mémoire devant être marquées. Les fusibles ainsi grillés
correspondent à des 0, les autres à des 1.
 EPROM
Les EPROM (Erasable Programmable Read Only Memory) sont des PROM pouvant être effacées.
Ces puces possèdent une vitre permettant de laisser passer des rayons ultra-violets. Lorsque la puce
est en présence de rayons ultra-violets d'une certaine longueur d'onde, les fusibles sont reconstitués,
c'est-à-dire que tous les bits de la mémoire sont à nouveau à 1. C'est pour cette raison que l'on
qualifie ce type de PROM d'effaçable.
 EEPROM

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Types de ROM
EEPROM
Les EEPROM (Electrically Erasable Read Only Memory)
sont aussi des PROM effaçables, mais contrairement
aux EPROM, celles-ci peuvent être effacées par un
simple courant électrique, c'est-à-dire qu'elles peuvent
être effacées même lorsqu'elles sont en position dans
l'ordinateur

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Mémoire Flash
La mémoire flash est une mémoire à semi-conducteurs, non
volatile et réinscriptible, c'est-à-dire une mémoire
possédant les caractéristiques d'une mémoire vive mais
dont les données ne se volatilisent pas lors d'une mise hors
tension. Ainsi la mémoire flash stocke les bits de données
dans des cellules de mémoire, mais les données sont
conservées en mémoire lorsque l'alimentation électrique
est coupée.
En raison de sa vitesse élevée, de sa durabilité et de sa faible
consommation, la mémoire flash est idéale pour de
nombreuses applications - comme les appareils photos
numériques, les téléphones cellulaires, les imprimantes, les
assistants personnels (PDA), les ordinateurs portables, ou
les dispositifs de lecture ou d'enregistrement sonore tels
que les baladeurs mp3. De plus ce type de mémoire ne
possède pas d'éléments mécaniques, ce qui leur confère
une grande résistance aux chocs.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Différents types de mémoires de masse


La mémoire de masse (appelée également mémoire
physique ou mémoire externe) permettant de stocker des
informations à long terme, y compris lors de l'arrêt de
l'ordinateur. La mémoire de masse correspond aux
dispositifs de stockage magnétiques, tels que le disque
dur, aux dispositifs de stockage optique, correspondant
par exemple aux CD-ROM ou aux DVD-ROM, ainsi
qu'aux mémoires mortes.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Différents types de mémoires de masse


 LE DISQUE DUR
Le disque dur est l'organe servant à conserver les données de manière
permanente, contrairement à la mémoire vive, qui s'efface à chaque
redémarrage de l'ordinateur. Le disque dur est relié à la carte-mère par
l'intermédiaire d'un contrôleur de disque dur faisant l'interface entre le
processeur et le disque dur par une nappe PATA ou par un câble 8
broches(SATA). Le contrôleur de disque dur gère les disques qui lui sont
reliés, interprète les commandes envoyées par le processeur et les achemine au
disque concerné. On distingue généralement les interfaces suivantes :
 IDE
 SCSI
 Serial ATA
Avec l'apparition de la norme USB, des boîtiers externes permettant de connecter
un disque dur sur un port USB ont fait leur apparition, rendant le disque dur
facile à installer et permettant de rajouter de la capacité de stockage pour faire
des sauvegardes. On parle ainsi de disque dur externe par opposition aux
disques durs internes branchés directement sur la carte mère, mais il s'agit bien
des mêmes disques, si ce n'est qu'ils sont connectés à l'ordinateur par
l'intermédiaire d'un boîtier branché sur un port USB.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Différents types de mémoires de masse:


Disque dure
Structure
Un disque dur est constitué non pas d'un seul disque, mais
de plusieurs disques rigides (en anglais hard disk
signifie disque dur) en métal, en verre ou en céramique,
empilés à une très faible distance les uns des autres et
appelés plateaux (en anglais platters).

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Différents types de mémoires de masse:


Disque dur

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

47
3/14/2017

Différents types de mémoires de masse:


Disque dur
Les disques tournent très rapidement autour d'un axe (à plusieurs
milliers de tours par minute actuellement) dans le sens inverse
des aiguilles d'une montre. Un ordinateur fonctionne de manière
binaire, c'est-à-dire que les données sont stockées sous forme de
0 et de 1 (appelés bits). Il existe sur les disques durs des millions
de ces bits, stockés très proches les uns des autres sur une fine
couche magnétique de quelques microns d'épaisseur, elle-même
recouverte d'un film protecteur.
La lecture et l'écriture se fait grâce à des têtes de lecture (en
anglais heads) situées de part et d'autre de chacun des plateaux.
Ces têtes sont des électroaimants qui se baissent et se soulèvent
pour pouvoir lire l'information ou l'écrire. Les têtes ne sont qu'à
quelques microns de la surface, séparées par une couche d'air
provoquée par la rotation des disques qui crée un vent d'environ
250km/h ! De plus ces têtes sont mobiles latéralement afin de
pouvoir balayer l'ensemble de la surface du disque.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Les unités de mesure d’un disque dur

Symbole Kilo Capacité


K Kilo 210 = 1024
M Méga 220 = (1024)2
G Giga 230 = (1024)3
T Téra 240 = (1024)4
P Péra 250 = (1024)5
E Exa 260 = (1024)6
Z Zetta 270 = (1024)7
Y Yotta 280 = (1024)8

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Le nombre de têtes du lecteur.

Schéma d’un disque dure représentant ses


différentes composantes.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Structure d’un disque dur

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Fonctionnement du disque dur


Les têtes commencent à inscrire des données à la
périphérie du disque (piste 0), puis avancent vers le
centre. Les données sont organisées en cercles
concentriques appelés « pistes », créées par le
formatage de bas niveau.
Les pistes sont séparées en quartiers (entre deux rayons)
que l'on appelle secteurs, contenant les données (au
minimum 512 octets par secteur en général).

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Fonctionnement du disque dur

Secteur

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Différents types de mémoires de masse


 CD-ROM
Le Compact Disc a été inventé par Sony et Philips en 1981
afin de constituer un support audio compact de haute
qualité permettant un accès direct aux pistes
numériques. Il a été officiellement lancé en octobre
1982. En 1984, les spécifications du Compact Disc ont
été étendues afin de lui permettre de stocker des
données numériques.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

La géométrie du CD
Le CD (Compact Disc) est un disque optique de 12 cm
de diamètre et de 1.2 mm d'épaisseur (l'épaisseur peut
varier de 1.1 à 1.5 mm) permettant de stocker des
informations numériques, c'est-à-dire correspondant à
650 Mo de données informatiques (soient 300 000
pages dactylographiées) ou bien jusqu'à 74 minutes de
données audio. Un trou circulaire de 15 mm de diamètre
en son milieu permet de le centrer sur la platine de
lecture.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

La composition du CD
Le CD est constitué d'un substrat en matière plastique
(polycarbonate) et d'une fine pellicule métallique
réfléchissante (alliage d'argent). La couche
réfléchissante est recouverte d'une laque anti-UV créant
un film protecteur pour les données. Enfin, une couche
supplémentaire peut être ajoutée afin d'obtenir une face
supérieure imprimée.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

La composition du CD

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Fonctionnement du CD ROM

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Fonctionnement du CD ROM

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Le codage des informations

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

La disquette :

Le lecteur de disquettes permet de sauvegarder et de lire des


disquettes. Seulement, il est en voie de disparition car la
capacité n'est que de 1.44 Mo, voire pire : 720 Ko ! De plus
il est très lent. C'est pour cette raison qu'on lui préfère le
CD.
La disquette contient un petit disque en matière plastique
pouvant être magnétisé. Cette couche sert à recevoir les
données.
Au milieu de la disquette se trouve un axe permettant de la
faire tourner par le lecteur. Sur le bord de la disquette se
trouve un orifice protégé par un volet métallique coulissant :
c'est l'orifice de lecture/écriture. Ce volet métallique est
poussé vers le côté au moment de l'insertion de la disquette.
Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

Disquette

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Disquette
 Une disquette est composée d'un disque que l'on
pourrait comparer à un plateau du disque dur.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

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3/14/2017

disquette
La disquette comporte un petit taquet : il indique si le
mode lecture seule est activé ou non. Vous pouvez le
déplacer. Le trou à gauche : si une disquette à un trou à
gauche, cela signifie qu'elle est haute densité. Vous
aurez donc plus de place pour vos données à taille égale
de disque.

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Bus d'extension
On appelle bus d'extension (parfois Bus de périphérique
ou en anglais expansion bus) les bus possédant des
connecteurs permettant d'ajouter des cartes d'extension
(périphériques) à l'ordinateur. Il existe différents types
de bus internes normalisés caractérisés par :
- Leur forme,
- Le nombre de broches de connexion,
- Le type de signaux (fréquence, données, etc).

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Le bus ISA
La version originale du bus ISA (Industry Standard Architecture),
apparue en 1981 avec le PC XT, était un bus d'une largeur de 8 bits
cadencé à une fréquence de 4,77 MHz.
En 1984, avec l'apparition du PC AT (processeur Intel 286), la largeur du
bus est passée à 16 bits et la fréquence successivement de 6 à 8 MHz,
puis finalement 8,33 MHz, offrant ainsi un débit théorique maximal de
16 Mo/s
Le bus ISA permettait le bus mastering, c'est-à-dire qu'il permettait de
communiquer directement avec les autres périphériques sans passer par
le processeur. Une des conséquences du bus mastering est l'accès direct
à la mémoire (DMA, pour Direct Memory Access). Toutefois le bus
ISA ne permettait d'adresser que les 16 premiers mégaoctets de la
mémoire vive.
Jusqu'à la fin des années 1990 le bus ISA équipait la quasi-totalité des
ordinateurs de type PC, puis il a été progressivement remplacé par le
bus PCI, offrant de meilleures performances.

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Le bus ISA

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Le bus MCA
Le bus MCA (Micro Channel Architecture) est un bus
propriétaire amélioré conçu par IBM en 1987 afin
d'équiper leur gamme d'ordinateurs PS/2. Ce bus, d'une
largeur de 16 et 32 bits, était incompatible avec le bus
ISA et permettait d'obtenir un taux de transfert de 20
Mo/s.

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Le bus EISA
Le bus EISA (Extended Industry Standard Architecture), a
été mis au point en 1988 par un consortium de sociétés
(AST, Compaq, Epson, Hewlett-Packard, NEC, Olivetti,
Tandy, Wyse et Zenith), afin de concurrencer le bus
propriétaire MCA lancé par IBM l'année précédente. Le bus
EISA utilisait des connecteurs de même dimension que le
connecteur ISA, mais avec 4 rangées de contacts au lieu de
2, permettant ainsi un adressage sur 32 bits.
Les connecteurs EISA étaient plus profonds et les rangées de
contacts supplémentaires étaient placées en dessous des
rangées de contacts ISA. Il était ainsi possible d'enficher une
carte ISA dans un connecteur EISA. Elle rentrait cependant
moins profondément dans le connecteur (grâce à des ergots)
et n'utilisait ainsi que les rangées de contacts supérieures
(ISA).
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Le bus VLB
En 1992 le bus local VESA (VLB pour VESA Local
Bus) a été mis au point par l'association VESA (Video
Electronics Standard Association sous l'égide de la
société NEC) afin de proposer un bus local dédié aux
systèmes graphiques. Il s'agit d'un connecteur ISA 16-
bits auquel vient s'ajouter un connecteur supplémentaire
de 16 bits :

Pr. MOHAMED CHAKRAOUI

Le bus VLB
Le bus VLB est ainsi un bus 32-bit prévu initialement pour
fonctionner à une fréquence de 33 MHz (fréquence des
premiers PC 486 de l'époque). Le bus local VESA a été
utilisé sur les modèles de 486 (respectivement 40 et 50
MHz) ainsi que sur les tout premiers Pentium, mais il a
rapidement été remplacé par le bus PCI.
« Connecteur PCI (Peripheral Component InterConnect) :
permettant de connecter des cartes PCI, beaucoup plus
rapides que les cartes ISA et fonctionnant en 32- bit »

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Bus PCI
Le bus PCI (Peripheral Component Interconnect) a été mis
au point par Intel. Contrairement au bus VLB il ne s'agit
pas à proprement parler d'un bus local mais d'un bus
intermédiaire situé entre le bus processeur et le bus
d’entres/sories(DMA)
Le bus PCI utilise le DMA (Direct Memory Access) pour
le transfert de données vers la RAM ou entre les cartes,
avec quelques limitations pour d'anciens chipset vers le
port AGP qui utilise également cette technique.

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Bus

En haut 2
bus PCI
En bas 4 bus
VLB

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Les périphériques d’entrées et de sorties


Un ordinateur c’est une machine qui reçoit des données
pour les stocker ou les traiter et ensuite faire retourner
ces données aux utilisateurs. Les échanges de ces
données entre l’ordinateur et l’utilisateur se fait par les
périphériques d’entrées et de sorties.

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Périphériques d’entrées:
Les périphériques d’entrées se sont des outils qui aident
l’utilisateur à faire entrer ses données à l’ordinateur. Il existe
plusieurs périphériques d’entrées, parmi lesquels on cite :
carte magnétique, lecteur optique (lecteur des codes barres
(utilisé dans les super marché)), le clavier, la souris, le
scanner, etc.
Clavier :
Le clavier est le périphérique d’entrée le plus commode pour
saisir des caractères (lettres, chiffres, symboles, etc), ce
dernier est composé de trois parties : partie alphanumérique
(A,B,C,…), partie numérique (0,1,…,9), partie fonction
(Enter, Shift, Ctrl,…). Les claviers se différent selon le
nombre de leurs touches (102 touches, 105 touches,…).
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Périphériques d’entrées:
Souris:
En 1964, Dougle Englebrat a crée pour la première fois dans l’histoire un
indicateur de coordonnées pour un système d’affichage, dénommé souris en
raison de sa petite taille et de son câble. La souris est une petite boite de
plastique ayant la forme d’une souris et c’est parmi les périphériques d’entrées
les plus important car sans cette dernière on ne peut pas se communiquer avec
la plus part des logiciels qui se trouvent sur notre ordinateur. Le mouvement de
la souris sur un plan entraîne un déplacement d’un curseur sur l’écran de
l’ordinateur ce qui permet d’appliquer certaines tâches sur ce dernier.
La souris comprend de 1 à 4 boutons sur sa face supérieure, ces boutons sont
utilisés pour sélectionner et d’activer les items de menus ou pour défiler un
texte, etc. En général, il existe 2 types de souris : Souris mécaniques et Souris
optiques

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Types de souris
 Souris mécanique : il dispose sous sa face inférieure
d’une bille en contact avec deux roulettes. Le
déplacement de la souris, entraîne la rotation de ces
roulettes ce qui entraîne le déplacement du curseur
de la souris sur l’écran de l’ordinateur.
 Souris optique : il ne contient ni bille ni roulette,
elle dispose seulement d’une diode optique de type
LED (Light Emitting Diode) et d’un photo-détecteur
sous sa face inférieure. La souris optique doit se
déplacer sous une plaque spéciale (réfléchissante)
constituée d’une grille rectangulaire qui permet de
caractériser le déplacement de chaque déplacement
de la souris.
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Périphériques d’entrées:
Scanner :
Le clavier est un outil très efficace pour saisir les données de type
texte ou des symboles simples (+, μ,…), mais il est incapable de
saisir des informations graphiques (des images par exemple).
Actuellement, il existe plusieurs outils qui permettent de saisir
des données graphique, on cite parmi ces outils : le scanner,
caméra reliée à une carte vidéo, appareil photo numérique, etc.
Pour stocker une image sur un ordinateur, il faut la numériser, c'est-
à-dire la décomposer en un très grand nombre de valeurs
numériques, chaque valeur numérique représente toute une bande
dans l’image réelle. Scanner veut dire numériser. Le scanner
décompose l’image en un grand nombre de points. Pour chaque
point le scanner mesure sa couleur qu’est une valeur située dans
un intervalle de valeurs (par exemple 0,…,16777215).

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Périphériques d’entrées:
Lorsqu’on veut scanner un document, le scanner est illuminé par une
lumière fluorescente, ensuite le document reflète cette lumière qu’est
plus au moins intense suivant que la zone illuminée est plus au moins
sombre. La lumière reflétée est redirigée à l’aide d’un miroir et une
lentille focalisante vers une composante photo-sensitive qui contient
une rangée de capteurs qui convertissent la lumière reçue en signaux
électriques qui sont convertis en valeurs numériques par un
convertisseur analagique/numérique.
Parmi les facteurs de la qualité d’un scanner :
* la résolution d’analyse est le nombre de points de l’image qui sont
scannés par unité de surface, elle est exprimée en points par pouce
(Dots Per Inch). Si cette valeur est 300 dpi, alors la résolution est
300×300 points par pouce2 (1 pouce=2,54cm).
* la profondeur d’échantillonnage : elle correspond le nombre de couleurs
que le scanner est capable de capter. Si cette profondeur est de 8 bits
signifie que le scanner capable de distinguer 28=256 nuances de chaque
primaire, c'est-à-dire le scanner fait la différence de 2563=16.777.216
couleurs.
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Périphériques de sorties
Le rôle principal d’un ordinateur est de fournir les
résultats d’un traitement réalisé par un utilisateur sur des
données saisies par ce dernier. Les outils qui permettent
de retourner ces résultats à l’utilisateur sont appelés
périphériques de sortie. Parmi ces périphériques, on cite
: l’écran, l’imprimante, etc.

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Périphériques de sorties
Ecran :
L’écran de l’ordinateur (appelé aussi moniteur) est le périphérique
de sortie le plus répondu. Il permet d’afficher du texte et de
graphique. En général, il existe plusieurs types d’écrans : écran à
tube cathodique, écran plat, etc.
* Ecran à tube cathodique : cet écran contient un tube cathodique
comme celui des télévisions à tubes cathodiques. Ce type d’écran
est caractérisé par : la fréquence de balayage horizontale et
verticale, la taille de son écran (on parle d’écran de 14, 15, 17
pouces (pouce=2,54 cm)) elle représente la longueur de son
diagonal, finesse ou pitch elle indique le nombre de points par
unités de longueur de l’écran, plus la finesse est grande plus
l’image est précise, la fréquence maximale de balayage, elle
indique la fréquence de rafraîchissement, plus cette fréquence est
grande plus que l’image apparaît plus stable.
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Périphériques de sorties
Imprimante :
L’écran est le périphérique de sortie le plus utilisé de nos jours, mais parfois il est
nécessaire de disposer d’une copie des résultats retournés sur écran sur papier
(les factures, les rapports, etc). L’imprimante est l’outil qui permet de faire
ceci. En général, il existe plusieurs 3 types d’imprimantes : imprimante
matricielle (en train de disparaître), imprimante jet d’encre et imprimante laser.
* Imprimante matricielle ou imprimante à aiguille: elle comprend une tête
contenant un ensemble d’aiguilles très fines activées par un électro-aimant et
agissant de façon semblable aux soupapes d’un moteur, ensuite des points sont
propulsés sur le ruban encré. Ainsi une caractère est obtenue à l’aide d’une
matrice de points, le nombre de lignes correspond au nombre d’aiguilles et le
nombre de colonnes correspond au nombre de déplacement de la tête de
l’imprimante.
Afin d’obtenir une qualité d’impression bonne, il faut augmenter le nombre
d’aiguilles sur la tête de l’imprimante, il existe des têtes à 24 à 36 aiguilles.
* Imprimante laser ou imprimante page : comme son nom indique, ce type
d’imprimante a une technique d’impression par page utilisant la même
technique que celui de photocopieur.

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Périphériques de sorties
 L’imprimante laser est constituée d’un tambour rotatif,
ou début d’impression le tambour est placé dans un
champ électrique de 100 volts pour le rendre
photosensible. Ensuite ce tambour est balayé ligne par
ligne par un faisceau laser et ceci grâce à un miroir
rotatif octogonal. Ce faisceau produira un ensemble de
points lumineux et sombres sur la surface du tambour.
Ensuite la rotation du tambour amène ce dernier devant
un réservoir de tonner qui est attiré seulement par les
points qui ont perdu leurs charges électriques, ensuite
cet encre se trouvant sur ce tambour se dépose sur le
papier qui passe dans un four pour imprégner cet encre
sur le papier.
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Architecture Von Neemann


 John Von Neumann 1946
- Projet ENIAC (Electronic Numerical Integrator and
Computer ) fut le premier calculateur entièrement
électronique; de dimensions plus de 20m de longueur,
2,50m de hauteur, 30 tonnes. Comportant 18 000 tubes
électroniques, il consommait 150 kw
- Appliqués jusqu’à nos jours
Trois blocs fonctionnels:
* le processeur
* la mémoire
* le bus
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Architecture Von Neemann

L’ENIAC
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Architecture Von Neumann

Le modèle originel de Von Neumann pour


l’architecture des ordinateurs.
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Architecture Von Neumann


 Plus de 60 ans après son invention, le modèle d’architecture de von
Neumann régit toujours l’architecture des ordinateurs. Par rapport au
schéma initial, on peut noter deux évolutions.
 Les entrées-sorties, initialement commandées par l’unité centrale, sont
depuis le début des années 1960 sous le contrôle de processeurs
autonomes (canaux d’entrée-sortie et mécanismes assimilés). Associée
à la multiprogrammation (partage de la mémoire entre plusieurs
programmes), cette organisation a notamment permis le développement
des systèmes en temps partagé.
 Les ordinateurs comportent maintenant des processeurs multiples, qu’il
s’agisse d’unités séparées ou de « cœurs » multiples à l’intérieur d’une
même puce. Cette organisation permet d’atteindre une puissance
globale de calcul élevée sans augmenter la vitesse des processeurs
individuels, limitée par les capacités d’évacuation de la chaleur dans
des circuits de plus en plus denses.

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Architecture Von Neumann

Le modèle de von Neumann,


aujourd’hui.
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Système d’exploitation
Wikipedia:
 Le système d'exploitation (SE, en anglais

Operating System ou OS) est un ensemble de


programmes résponsables de la liaison entre les
ressources matérielles d'un ordinateur et les
applications de l'utilisateur (traitement de texte,
jeu vidéo, …)
 Il fournit aux programmes applicatifs des points
d'entrée génériques pour les périphériques

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Rôles du SE
Le maître d’orchestre: essentiel pour utiliser les ressources
de la machine:
 gestion de la mémoire centrale
 gestion des processeurs: temps de calcul entre plusieurs
programmes qui s’exécutent simultanément
 gestion des périphériques E/S
 gestion des fichiers: sur les mémoires de masses
 gestion des ressources: attribution des ressources nécessaires
 exécution du programme sans empiétement
 gestion des utilisateurs: pas d’interférence entre eux

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Composition
Un système d'exploitation est typiquement composé de :
 un Noyau
 Bibliothèque dynamique (libraries)
 un ensemble d'outil système (utilitaires – shell)
 programmes applicatifs de base

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Système d’exploitation

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Noyau (kernel)
Le noyau assure ces fonctionnalités :
 gestion des périphériques(au moyen de pilotes)
 gestion des files d'exécution (aussi nommée processus) :
 attribution de la mémoire à chaque processus
 ordonnancement des processus (répartition du temps d'exécution sur le
ou les processeurs)
 synchronisation et communication entre processus (services de
synchronisation, d'échange de messages, mise en commun de segments
de mémoire, etc.)
 gestion des fichiers (au moyen de systèmes de fichiers)
 gestion des protocoles réseau (TCP/IP, IPX, etc.)

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Noyau
 Au lancement:
 Boot: le programme qui initialise l’ordinateur
 Permet aux premiers services d’accéder aux applications
système : gestion de la mémoire, accès aux disques durs et
accès aux périphériques
 Mémoire centrale (vive): répartition
 Réservée pour le système
 Réservée pour les applications
 Assure une indépendance entre les applications et les
matériels

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Les bibliothèques dynamiques


= Libraries
Regroupent les opérations souvent utilisées, selon
les fonctionnalités (E/S, fichier, …)
Ces opérations sont disponibles pour être appelées
et exécutées par d’autres programmes

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Le système de fichiers
 Un système de fichiers est une structure de données permettant de
stocker les informations et de les organiser dans des fichiers sur
des mémoires secondaires (disque dur, disquette, CD-ROM, clé
USB, etc.)
 E.g. une structure hiérarchique
 /u/nie/HTML/IFT6800/introduction.txt
 Ce stockage de l'information est persistant
 Une telle gestion des fichiers permet de traiter, de conserver des
quantités importantes de données ainsi que de les partager entre
plusieurs programmes informatiques
 Il offre à l'utilisateur une vue abstraite sur ses données et permet
de les localiser à partir d'un chemin d'accès

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Interface homme-machine
 Via ligne de commande
 shell, MSDos
 Interface graphique
 Xterm, Linux, Windows, Macintosh
 GUI (Graphical User Interface)

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Shell
 Shell (coquille par opposition au noyau) = L'interpréteur de
commandes permettant la communication avec le SE par
l'intermédiaire d'un langage de commandes

 Permet à l'utilisateur de piloter les périphériques en ignorant tout


des caractéristiques du matériel qu'il utilise, de la gestion des
adresses physiques, etc.

 E.g. sur Unix/Linux: csh, tcsh, …


 ls : lister les répertoires et les fichiers du répertoire courant
 mv x y : changer le nom du fichier/répertoire « x » en « y »

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Programmes applicatifs de base


 Des applications et services souvent installés
ensembles avec le SE
 E.g. calculatrice, éditeur de texte, navigateur
web, etc.

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Multi-utilisateurs et multi-tâches
 Multi-utilisateurs
 plusieurs utilisateurs utilisent le même ordinateur en même temps
 Multi-tâches
 un utilisateur lance plusieurs applications
 Gestion de temps et de ressources
 Processus: exécuter, suspendre, détruire

e.g. ps –u nie
PID TTY TIME CMD
10057 ? 00:00:00 sshd
10059 pts/0 00:00:00 tcsh
10061 ? 00:00:00 pkboost
10105 pts/0 00:00:00 xterm
10107 pts/1 00:00:00 tcsh
25753 pts/1 00:00:00 ps

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Évolution des SE
 1980s
 Unix (sur des machines plus grosses)
 CP/M
 MSDOS
 Mac OS
 1990s et 2000s
 Interface graphique
 Windows
 Mac OS X
 Linux avec GUI
 Compatibilité

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