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Je m’informe
Les mots pour …Parler de la presse écrite.
Je (ne) fais (pas) confiance à la presse.
Les journalistes? Je n’ai pas confiance en eux.
Je me méfie de certains journaux.
Je lis le journal de A à Z.
Je parcours / le journal.
Je feuillette / le journal.
Je jette un coup d’œil sur la une, les titres, les photos, le sommaire…
Je suis sélectif(ve), je ne lis que les rubriques qui m’intéressent(sport, économie, politique,
culture…)
Je suis éclectique, je m’intéresse à tout.
L'emploi de la phrase nominale permet de mettre en valeur certains effets stylistiques : elle
donne une impression de raccourci, d'accélération, qui permet de renforcer une idée ou une
émotion. On la rencontre également dans des portraits ou des descriptions.
On utilise ce procédé dans la presse parce que sans verbe, une phrase est réduite à son
minimum, et ne garde que les mots essentiels. L’accent est mis sur l’essentiel du message c’est
à dire un mot.
Dans les titres de presse, le but est donc d’éliminer le verbe pour concentrer la lecture sur le
terme le plus fort de l’information pour qu’il ait un effect choc.
Il est utile de faire associer le verbe au substantif correspondant et de faire construire des
phrases nominales à partir de phrases verbales et viceversa, histoire d'enseigner à mieux
maîtriser l'expression orale ou écrite.
La nominalisation peut se faire à partir d'adjectifs ou de verbes. Elle entraîne en général une
transformation de la phrase et demande de la précision dans le choix des mots.
Utilisation :
On utilise le passif quand on met l’accent sur l’objet du verbe au lieu du sujet :
John Baird a inventé la télévision.
La télévision a été inventée par John Baird.
On peut mettre l’accent sur l’événement, sans mentionner le sujet de l’action :
Le président Kennedy a été assassiné.
On utilise surtout le passif pour les inventions, les lois et les événements subis :
Un vaccin a été découvert.
Une loi a été votée.
Un homme a été agressé.
Pour les personnes, on utilise la forme active avec « on » de préférence à la forme
passive :
On m’a envoyé en mission. (= J’ai été envoyé en mission. )
La cause
« Parce que », « comme » et « puisque »
Parce que introduit une cause :
Je ne suis pas venu parce que j’avais une réunion.
Je suis venu en métro parce que ma voiture est en panne.
En langage plus formel ou à l’écrit, on utilise souvent « car » :
Je ne suis pas venu car j’avais une réunion.
« Comme » exprime la cause avant la conséquence, en début de phrase :
Comme j’avais une réunion, je ne suis pas venu.
Comme ma voiture est en panne, je suis venu en métro.
« Puisque » exprime une cause connue des interlocuteurs :
Puisque votre voiture est en panne, je vous raccompagne.
« Puisque » exprime une cause évidente, qui détermine la conséquence :
Nous sommes mortels puisque nous sommes des hommes.
Je m’en vais puisque personne ne m’écoute.
La conséquence
« Donc » ou « c’est pourquoi » expriment une conséquence :
Je n’ai pas le permis, donc je ne peux pas conduire.
Il a commis une faute, c’est pourquoi on l’a renvoyé.
« C’est la raison pour laquelle » s’utilise à l’écrit ou en langage plus formel :
Je cherche un emploi. C’est la raison pour laquelle je m’adresse à vous.
« Alors » ou « c’est pour ça que » s’utilisent en langage courant :
Je dois conduire/ alors ou c’est pour ça que/ je ne bois pas d’alcool.
« Si bien que », « de sorte que », « à tel point que » expriment une conséquence
prévisible :
Paul a travaillé comme un fou, si bien qu’il a réussi avec mention.
L’examen était difficile, de sorte que beaucoup ont abandonné.
Il faisait très chaud à tel point qu’ils ont ouvert les fenêtres.
Point Langue : Évoquer un événement non confirmé.
Vocabulaire de la presse.