Le concept de la géo-économie diffère d’un auteur à autre, selon LOROT il
repose sur la sécurité de l’Eco nationale et l’aide de développement alors que Strange insiste sur 3 ligne de forces des relations internationales : - Rapport interétatiques - Rapport entre état et firmes multinationales - Rapport entre les firmes elles-mêmes Cependant luttwak et beckouche dépasse la géo-éco en la simple conquête du territoire en se focalisant sur la maximisation d’emploi hautement qualifié et les services à haute VA « les territoires chers qui attirent le développement » Les échanges se sont mondialisé à partir de 19éme siècle ou la révolution technologique s’est accélérée ainsi que les flux migratoires et les mouvements de capitaux. Au 20éme siècle l’internationalisation des échanges s’accélère avec les accords du GATT qui développe le libre-échange fondé sur la spécialisation, sur les avantages comparatifs mais la structure des échanges a bien changé, désormais des échanges souffrant intra-branche entre les pays semblables et entre produits semblable (Voiture américain vers la France et voiture Française vers les Etats-Unis). Puis il y a la division internationale des processus de production, R/D dans les pays du nord et atelier dans les pays du sud. Les autres échanges qui se développent sont des services avec l’explosion du tourisme par exemple (IDE accélère les flux du capitaux à travers le monde, ce qui a permis au pays des nord de se délocaliser dans les pays du sud. La DIPP et la globalisation financière ont permis d’utiliser les capitaux dans les pays du sud, ainsi que leur main d’œuvre tous cela parce que les accords de libre-échange ont été relancés par l’OMC fondée en 1995, pourquoi ? parce qu’on attend toujours du libre-échange des biens faits, accroissements de la taille de marché, économie d’échelle, diminution des prix, on arrive à l’augmentation de la compétitivité prix. Stratégie conforté par leur place dans la division du processus de production. C’est en effet en optimisant le processus de production avec la main d’œuvre la moins chère que les firmes transnationales parviennent à baisser les prix, ce qui implique l’augmentation du niveau de vie de la population mondiale ; Et la production augmente (augmentation du PIB). La mondialisation crée ainsi des nombreux débats depuis des dizaines d’années. Les gouvernements et les mouvements inter-mondialiste accusent les délocalisations qui crée des inégalités et accélère les flux migratoires, les frontières s’érige à nouveau entre les sud et les nord, les pays développés accuse ailleurs les pays du sud de pratiquer un dumping et une concurrence déloyale notamment on ne respectant pas des normes écologiques, c’est ce qu’on appelle un dumping écologique. D’autre pays comme l’Afrique du sud cherche à attirer les capitaux par un dumping fiscale avantageux , en fin le dumping social consiste à se baser sur des bas coûts salariaux , c’est la raison par lequel l’OMC à tenter de relancer le processus de libre échange à partir de 1995 , mais le problème et beaucoup plus grand , il s’agit aujourd’hui le gouvernance mondiale qui doit prendre en charge les questions de réchauffements planétaires comment en effet relever ce défis autrement qu’à échelle mondiale ? Comment relever le défi de pandémie de globalisation financière de la crise financière qui nous attoucher depuis 5 ans désormais. En fin en vois bien aujourd’hui que les défis planétaires se situe sous l’angle politique avec le développement des crises de terrorisme internationales de tous ses défis dépend aujourd’hui l’avenir de la mondialisation. l’UE et considéré comme le principal partenaire des pays méditerrané pour le commerce et le plus important des investisseurs étrangers directs le premier bailleur de fonds de régions , cette politique méditerrané du UE aggrave la fracture nord-sud doux ka féroce compétitivité entre les pays du pour tout méditerrané et la région Est de l’Europe , en 2004 l’instauration de la politique européenne de voisinage « PEV » cependant la Turquie fait l’exception au niveau du PPM qui est très spécialisé dans les secteurs à faible VA . Qui vu l’insuffisance du financement d’aide au développement du PPM, la CE et l’abord du programme d’aide à la transition économique financer au titre de MEDA, un progrès était constaté mais reste toujours insuffisant et insatisfaisant, alors la constatation d’une inefficience de la MEDA. Après l’échec du partenariat sur le plan du résultat économique y avait un lancement d’un projet du libre-échange entre « la Jordanie /Egypte /Maroc /Tunisie » Pourquoi le risque pays occupe-t-il une telle importance dans notre société ? L’internationalisation des échanges commerciaux implique une croissance des investissements directs étrangers dans les pays émergents. Ces pays sont en pleine expansion ce qui explique que les flux d’investissements directs étrangers sont majoritairement à destination de ces pays où les risques sont parfois nombreux. Il s’agit alors de concilier d’un côté les intérêts des entreprises multinationales qui désirent investir dans ces pays, car ceci leur permet de délocaliser leurs activités et d’augmenter leur profit. D’autres raisons sont la recherche de nouveaux marchés, de ressources naturelles situées dans les pays émergents et de bénéficier d’une concurrence imparfaite. De l’autre côté, les pays émergents souhaitent attirer les investissements directs étrangers, car ceci entraîne une hausse de la production de biens et services et un transfert des technologies. Lorsqu’une entreprise, agissant à un niveau international, désire investir dans un pays donné, elle va donc devoir analyser le risque inhérent au pays d’accueil de l’investissement et le rendement de celui-ci. L’évaluation de cette analyse se fonde sur différents risques, qui ne cesse d’évoluer et qu’il faut réadapter à la conjoncture actuelle. La conception traditionnelle du risque politique (I) a cédé sa place à une notion renouvelée appelant à une extension large du risque pays (II).