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(1) « L'économie est la science qui étudie comment l'homme lutte contre la rareté des biens pour
satisfaire ses besoins ». (CEnv. Éc. , Notion 1)
(2) « L'économie consiste à observer et à résoudreobserver et résoudre des problèmes est le propre de toute science les
contradictions entre les ressources et les besoins des individus » meilleure formulation/ approche de
l’objet de cette science (à titre de caractère distinctif)
Définition proposée, construite de toutes pièces à partir des deux premiers énoncés définitoire dans la
liste : « L'économie est la science qui étudie les contradictions entre les ressources et les
besoins des individus »
(3) « L'économie cherche à fournir aux individus des solutions [= résoudre] qui leur permettront d'obtenir
le maximum de satisfaction [implicite : des besoins] à partir des ressources rares [voir idée de
contradiction, ici seulement indiquée, implicite] dont ils disposent » (cet énoncé est plus ou moins
redondant informativement aux deux premiers, à ceci près qu’il est moins explicite)
(4) « L'économie, c'est la vie des hommes au travail afin de produire des biens et des services nécessaires
à la satisfaction de ses [sic ! leurs] besoins ». Glissement depuis l’ordre cognitif à l’ordre du réel.
Nouvelle définition de l’économie, non plus en tant que science, mais comme domaine de la vie
sociale.
(5) « L'économie traite de [économie = science] ce que nous gagnons [ ressources ] et de ce que nous pouvons
acheter [ besoins]. Elle est au cœur de la vie sociale [ économie =domaine de la vie sociale, vie économique »]. Noter
le caractère non uniforme de cette soi-disant définition : elle renvoie à deux concepts différents. C’est
là au mieux une explication.
II. Les biens. Les biens économiques (C.Env. éc., Notion 3)/ Les besoins (C.Env. éc.,
Notion 2) : définitions associatives
- le concept superordonné peut ne pas être spécifique au domaine (ISO 704 : 2009, 26), voire
être un concept très général (moyen, action, objet,…)
(1) « Les biens sont les MOYENS qui permettent de satisfaire les besoins ».
« Genre prochain » : <MOYENS> [genre prochain très général, très vague, de l’ordre des relations
associatives lui-même – mais ce n’est pas là une condition nécessaire pour ce type de définitions]
(2) « Un besoin est un SENTIMENTgenre prochain : concept supra-ordonné non relationnel de privation, de manque,
parallèle à la notion de désircaractère distinctif (1), que l'individu cherche à faire disparaître par la
consommation d'un bien caractère distinctif référé au concept associé : <bien> ; le caractère associatif indique clairement la relation entre
bien et besoin
».
(1)
« (…) on peut relever l'existence de deux types de biens :
les biens naturels ou biens libres
? « produits de la nature et non d'une activité humaine, comme l'eau, l'air, la lumière du soleil, ils sont
théoriquement en quantité illimitée ».
? « nés de l'activité humaine et transformés tout au long du processus productif, comme la paire de
chaussures, l'ordinateur, le lave-linge, ils sont d'une grande variété ».