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Dans cet interview paru sur le site web de Rfi, le journaliste Frédéric Rivière interpelle

Mehdi Ouraoui, membre du conseil national du PS, ancien directeur de cabinet d’Harlem Désir, à
propos de la situation actuelle de la gauche française.
À partir de la phrase « la gauche peut mourir », prononcé par le Premier Ministre Manuel
Valls, Ouraoui réfléchi sur l'affaiblissement de la gauche et du Parti Socialiste. Selon lui, la cause de
cette faiblesse serait le manque de pluralité : dans son libre Marine Le Pen, notre faute, il raconte
comment la gauche plurielle a été remplacé par ce qu'il appelle « la gauche bourdel », celle du
gouvernement, de laquelle il se montre déçu. Il signale la nécessité de se reprendre, avec ses
drapeaux et ses principes : face à une politique « dangereuse » d'un Premier Ministre qui « ne
s'engage pas », il faudrait que la gauche reprenne ses combat majeures, parmi lesquels le plus
important serait le combat sur les inégalités. Ouraoui conçoit les rassemblements envisagés par des
responsables de gauche comme bénéfiques : pour lui, la solution, en toute circonstance, serait l'unité
de la gauche.

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