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La cybercriminalité concerne l’ensemble des

infractions pénales susceptibles d'être commises au


moyen d’un système informatique connecté à un
réseau interne ou externe.

En interne : c’est la fraude des personnels par la fuite


des données par négligence (vol ou espionnage).
CRIMINALITE : différents forfaits

• escroqueries,
• fraudes,
• extorsions,
• abus,
• espionnages,
• vandalismes,
• harcèlements,
•etc.
Aux termes précedents on peut accoler le
préfixe cyber.

La cybercriminalité recouvre ainsi toute


activité illégale ou irrégulière réalisée à travers
le cyberespace.

Par extension, elle intègre toute forme de


malveillance électronique effectuée au
moyen de l'informatique et des
télécommunications (téléphonie, cartes à
puce,...).
Les technologies de l'information et de la
communication TIC sont devenues :
- des cibles de la malveillance (vol d'ordinateurs
ou de données, prise en otage de ressources
informatiques...)
- des moyens pour commettre des actions illicites
(chantage, détournement, blanchiment
d'argent...).

Le réseau Internet facilite des délits classiques,


notamment ceux relevant de la criminalité
économique, et donne lieu à de nouvelles
formes de délits (fraude informatique, piratage
de logiciels...).
Dématérialisation des Services

Dans le cyberespace, tout le monde peut


communiquer avec n'importe qui, n'importe
quand, n'importe où.
Définition légale : Risque Informatique
d'Origine Criminelle Omniprésent et
Permanent.

Les crimes et délits commis dans le


cyberespace peuvent viser :
•des individus,
• des organisations,
• des entreprises
• et même des États
Le Cyberespace sans Limites et sans frontières
- Février 2000, la plus grande attaque coordonnée contre des sites
Web, dont Amazon.com, eBay.com, Yahoo.com, CNN.com tous
ont été temporairement indisponibles lorsque des pirates ont utilisé
des ordinateurs aux quatre coins du globe afin de submerger ces
sites de données inutiles.

- Vagues de cyberattaques contre les banques en 2012


Les cyberattaquants ont récolter près de 80 millions de dollars
durant la vague de cyberattaques contre les banques
américaines, européennes et latino-americaines selon l’étude
de Guardian Analytics et Mc AFee publiée le 26 juin 2012.
- Cyber-attaque d’un réseau ferroviaire aux USA
Janvier 2012, le système de gestion du trafic ferroviaire d’une
ligne du Nord-Ouest du pays avait été attaqué, occasionnant
des retards.

- Attaques répétées et continues de gazoducs aux USA


Séries d’attaques informatique contre les réseaux de gazoducs
nord-américain, mettant à risque l’approvisionnement des USA
en énergie
La « cyber-guerre » des pays du golfe

Résumé en trois épisodes :

en avril on apprend que le principal terminal pétrolier iranien a dû


se déconnecter d’internet pour cause d’attaque informatique
détruisant les données de postes informatiques (virus « Wiper »).
C’est peut-être d’ailleurs ce qui conduira à faire d’autres analyses
permettant en mai de découvrir l’attaque « Flame » : décidément
l’Iran est un terrain de jeu pour plusieurs équipes de hackers, les
attaquent se poursuivant apparemment selon LeMagIT.

fin août, ce sont les terminaux méthaniers du Qatar (Rasgas) qui


sont visés par une attaque similaire (à cette date on n’a pas
encore de confirmation – Shamoon aussi ? autre chose ?)
La « cyber-guerre » des pays du golfe

Résumé en trois épisodes :

en juillet, le virus « Shamoon » qui s’est installé sur 30,000 (trente


mille) postes informatiques d’Aramco (la compagnie pétrolière
nationale d’Arabie Saoudite) écrase simultanément les données,
Windows, et le secteur de boot de tous ces postes. Le fait que le
code du virus soit « mal écrit« , n’utilise pas de faille 0-day (comme
Stuxnet) mais uniquement des mauvaises configurations de la
sécurité chez Aramco, et autres indices, a amené les analystes de
Kaspersky et autres de suggérer qu’il s’agit d’activistes anti-
américains, pas forcément d’une attaque d’un état. D’autres
analyses sérieuses pointent cependant du doigt l’Iran, car ils ont
les moyens, des hackers (éventuellement empruntés au Hezbollah
libanais), et des infiltrés chez Aramco (ah les clés USB !).
La « cyber-guerre » des pays du golfe

Résumé en trois épisodes :

fin août, ce sont les terminaux méthaniers du Qatar (Rasgas) qui


sont visés par une attaque similaire (à cette date on n’a pas
encore de confirmation – Shamoon aussi ? autre chose ?)
Kevin Mitnick Jonathan Joseph
James
Kevin Poulsen

Robert Tappan
Adrian Lamo Morris
Bendelladj Hamza
La cybercriminalité fait partie des grandes
préoccupations mondiales de ces dernières années.
Les cyberattaques concernent aujourd’hui autant les
particuliers, que les entreprises ou les nations, mais
beaucoup ne se protègent pas encore assez contre
ce type de menaces.
Manque de prudence chez les internautes
Combattre la cybercriminalité dans un
monde de plus en plus interconnecté:

- La cybercriminalité est l’un des plus grand défis du


21e Siècle auquel tous les Etats sont confrontés et dont
la lutte est considérée partout comme une priorité
nationale.

- La lutte contre la cybercriminalité ne pourra être


efficace que moyennant la mobilisation de toutes les
parties prenantes, à savoir la communauté
scientifique, la société civile et bien sûr, les
entreprises, les organisations et les états.
Face à ce fléau il faut:
- renforcer la coopération,
- harmoniser les normes, les lois, etc.
- Encourager l’innovation,
- Le cadre législatif doit progresser au
niveau national et international,
- Les crimes dits “informatiques” doivent
clairement être définits
L’Algérie a depuis 2004 mis en place un
système de lutte contre la cybercriminalité:

- par la promulgation de la loi 04-15 du 10


novembre 2004 relative aux atteintes des
systèmes de traitement automatisé de
données et de Et la la loi 09-04 du 5 août
2009 relative à la prévention et à la lutte
contre les infractions liées aux TICs,
- lancement de programme de lutte contre
la cybercriminalité et installation du centre
de lutte et de prévention contre la
cybercriminalité de la gendarmerie
nationale
- mise en place de laboratoires spécialisés et
de brigades spécialisées de la direction de la
sûreté nationale.

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