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EPIGRAPHE..................................................................................................iv
Dédicace......................................................................................................v
REMERCIEMENTS.........................................................................................vi
RESUME.....................................................................................................viii
INTRODUCTION............................................................................................1
1.1. DESCRIPTION....................................................................................3
1.2.1.1. Climat........................................................................................4
1.2.1.2. Sol.............................................................................................4
1.3. CULTURE.............................................................................................5
1.3.2. Semis...........................................................................................6
1.3.4. Irrigation.......................................................................................7
1.3.5. Fertilisation...................................................................................7
1.3.6. Désherbage..................................................................................9
Alimentation humaine..........................................................................10
Alcool et distillation..............................................................................10
5
Alimentation animale...........................................................................10
1.5. RENDEMENT.....................................................................................10
1.6. RECOLTE...........................................................................................12
2. 2. GRAMINEE VIVACE...........................................................................14
2. 3. DICOTYLENES ANNUELLES...........................................................14
3.1. GENERALITE..................................................................................17
- Labour............................................................................................17
- Sarclages – binages........................................................................17
Technique du paillage.....................................................................18
- Herbicide systémique.....................................................................19
CONCLUSION ET SUGGESTIONS..............................................................24
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES..............................................................26
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EPIGRAPHE
Dédicace
REMERCIEMENTS
RESUME
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INTRODUCTION
Ordre : Poales
Famille : Poaceae (Classification APG III 2009)
Le maïs (Zea mays L., ou Zea mays subsp. mays) appelé blé d’Inde au
Canada, est une plante herbacée tropicale annuelle de la famille des
Poacées (graminées), largement cultivée non seulement comme céréale
pour ses grains riches en amidon, mais aussi comme plante fourragère. Ce
terme désigne aussi le grain de maïs lui-même. Cette espèce, originaire du
Mexique, constituait l'aliment de base des Amérindiens avant l'arrivée en
Amérique de Christophe Colomb.
1.3. CULTURE
Le maïs est une plante exigeante en soins et en travail, ; sa culture
nécessite du matériel et donc des investissements importants, la mise en
place de système d’irrigation (en zone non tropicale), le remplacement des
cultures traditionnelles. Elle implique de respecter certains paramètres
agro-climatiques et nécessite un lien plus fort avec les sociétés
semencières, puisque la semence hybride doit être achetée chaque année
pour permettre une meilleure productivité. Malgré ces contraintes,
largement compensées par les avantages des nouvelles semences (Gnis –
pedagogie, ).
1.3.2. Semis
Le semis se fait à l’aide de semoirs de précision, permettant de contrôler
tant la profondeur (3 à 5 cm), l’écartement des lignes que la densité sur
les lignes. L'implantation optimale pour les cultivars de maïs cornés
modernes (grains et fourrage) est composée de rangs espacés de 75 cm
(pour un bon ensoleillement) avec un plant tous les 13 cm (pour une
bonne irrigation et un bon développement racinaire) soit 102 500
plants/hectare. On obtient ainsi de beaux épis, résistants à la verse et
ayant une bonne tolérance à la sécheresse. Plus on augmente la densité
du semis, plus les plants sont grands mais avec une tige plus fine et de
plus petits épis plus ou moins développés. Les semis les plus denses sont
donc réservés aux maïs cornés précoces (à plus faible développement).
Les maïs dentés tardifs sont plutôt plantés à une densité de 90 000
plants/hectare (1 plant tous les 15 cm au lieu de 13). (Anonyme, 2012).
1.3.4. Irrigation
Avec son système racinaire superficiel, le maïs nécessite une importante
irrigation en zones à étés secs comme le Sud de l'Europe, l'Égypte, le Chili
ou le Pérou. Selon le type de climat et de sol, les besoins varient de 800 à
1 500 m3 d'eau/ha par mois, de la floraison jusqu'à la maturation des
grains. La solution la plus économique en eau est la goutte à goutte
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Dans les zones plus humides, les grands producteurs de maïs dans le
monde (États-Unis, Chine, Brésil, Argentine, Europe de l'Est) se passent
totalement d'irrigation (sauf pour leurs productions de semences). Dans
les régions tropicales, au climat humide et ensoleillé, sans période sèche
trop marquée, le maïs peut être cultivé sans irrigation artificielle toute
l'année et donner donné jusqu'à trois récoltes par an. À titre de
comparaison, pour 1 kg de matière sèche produite, le maïs fourrage
nécessite 240 L d'eau, le maïs grain 450, le blé 590, le soja 900, le
tournesol 1 200 et le riz inondé 5 000. Le maïs est donc la plante qui
utilise de façon la plus efficiente l'eau qu'elle reçoit. Mais, le maïs a
particulièrement besoin d'eau et de nutriments en été notamment à partir
du stade 10 feuilles pour les variétés précoces (12 feuilles pour les
tardives) et pendant au moins tout le mois suivant soit au début de la
période de formation des grains allant de 60 à 90 jours après le semis.
Dans les
plantes 105 50 75 10 10 6
entières
(parties
aériennes)
Uniquement
dans les 70 35 25 1,5 4,5 5
50quintaux
de grains
Les prélèvements (ou exportations) sont différents suivant que les pailles
de maïs sont sorties du champ ou au contraire réincorporées au sol. Il faut
ajouter à ces six éléments principaux (voir tableau Tableau 1) des
quantités plus faibles (de l’ordre de quelques centaines de grammes par
hectare) de manganèse, zinc, bore, cuivre, etc.
Les besoins de la plante ne sont pas constants tout au long de la culture :
faibles au début, ils croissent rapidement pour atteindre un maximum
avant la floraison et décroître ensuite, sauf pour le phosphore dont
l’absorption est relativement étalée dans le temps. Il faut souligner
l’exigence particulière en azote juste avant la floraison pour permettre une
formation normale de l’épi. En culture manuelle peu intensive, l’apport
minimum est de vingt-cinq à trente unités d’azote par hectare, quand le
maïs a commencé sa montaison (environ quarante jours après le semis).
Un apport d’engrais complet au semis (par exemple 30-30-30) est utile,
mais rarement pratiqué. La teneur en matière organique du sol est une
des clés de la culture du maïs. Les apports de fumier sont recommandés,
car le maïs réagit très positivement à la fumure organique, même à faible
dose. Cet effet est particulièrement net dans les sols épuisés. Dans tous
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Le maïs est cultivé pour ses grains, riches en amidon (environ 63 %), il qui
constituent la base de l’alimentation de nombreuses populations. (Food et
l’agriculture, 1993)
Alcool et distillation
1.5. RENDEMENT
Le tableau 2 ci-dessous nous donne les informations relatives aux données
de principaux producteurs de maïs.
1.6. RECOLTE
La récolte du maïs-grains peut se faire en épis ou en grains. La récolte en
épis peut se faire plus précocement, à un taux d’humidité allant de 35 à
45 %. Les épis sont séchés naturellement en silos-cage (cribs). On utilise à
cet effet des cueilleurs-épanouilleurs, tractés ou automoteurs, qui
récoltent les épis débarrassés de leurs spathes. La récolte en grains, la
plus répandue actuellement, nécessite l’opération de battage (réalisée par
des cueilleurs-égreneurs ou des moissonneuses-batteuses adaptées,
munies de bec cueilleurs), et suppose un taux d’humidité compris entre 20
et 35 %. Les grains doivent être séchés à l’air chaud pour ramener le taux
d’humidité à 14-15 % permettant un stockage prolongé. Le maïs-fourrage
se récolte à l’aide d’ensileuses qui hachent les plantes entières lorsque le
taux de matière sèche atteint 30 % (grain rayable à l’ongle). Le maïs-
fourrage est destiné aux ruminants et peut être ensilé ou utilisé comme
fourrage frais (Maybelline et Alal., 2012).
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2. 2. GRAMINEE VIVACE
2.2.1. Chiendent rampant (Elymus repens L. Gould, 1947)
Elymus repens repens est une plante herbacée de la famille des Poaceae,
très vivace par ses rhizomes. Cette plante, très commune, est une
mauvaise herbe des cultures et des jardins. (Luc Brouillet, 2010)
2. 3. DICOTYLENES ANNUELLES
2. 3.1. Morelle noire (Solanum nigrum L., 1753)
La morelle noire (solanum nigrum), est une plante herbacée de la famille
de Solanacées, appartenant à l’important genre Solanum. La morelle noire
est considérée en Europe comme un adventice. Elle pousse dans les
cultures maraichères, les platebandes de fleurs, des cultures sarclées, les
jardins. Elle aime les sols riches en nitrates et bien arrosés. En ville, on la
trouve au pied des murs, des arbres, dans les haies et sous les plantations
horticoles. Elle prospère jusqu’à 1500 m d’altitude. Son origine est
inconnue. (Julve, Ph. Version 2004).
Comme cultures, le maïs figure parmi les plantes les plus performantes.
Sous tous les climats, des variétés adaptées permettent de réussir sa
culture sur presque tous les sites. Cependant, le maïs est particulièrement
fragile au stade jeune plantule, et souffre d’un manque de pouvoir
compétitif face aux adventices. Outre l’ensemencement en sol
suffisamment échauffé, il faut que le lit de semis soit finement émietté et
bien aéré, préalablement indispensable à l’établissement d’un peuplement
performant. Autre élément concourant à la réussite : la lutte contre les
plantes adventices pour débarrasser le maïs de cette concurrence
indésirable autour de l’eau et des nutriments (Indiquer la source).
- Labour
- Sarclages – binages
- Buttage (c'est un moyen qui bouscule les jeunes herbes.)
Désherbage (avec outil ou manuel)
Technique du paillage
Exemple de calcul
= 8,61 L d’AATREX/réservoir
- poudresPoudres mouillables ;
- produitsProduits pulvérulents et granulés dispersables
dispersibles dans l’eau.
-
Tout en faisant fonctionner l’agitateur, ajouter de l’eau jusqu’aux
trois quarts du volume de bouillie souhaité. Puis ajouter :
- solutionsSolutions à base d’eau;d’eau ;
- concentrésConcentrés émulsifiables;émulsifiables ;
- adjuvantsAdjuvants.
Finir de remplir la cuve jusqu’au volume voulu. Maintenir l’agitateur
en marche pendant le mélange, le remplissage final et la
pulvérisation.
CONCLUSION ET SUGGESTIONS
L’objectif de notre travail visait à relever les stratégies de lutte contre les
mauvaises herbes qui infestent sévissent sur la culture de maïs.
Les informations compilées renseignent que le mais est sensible à la
concurrence de plantes adventices qui peuvent considérablement affecter
le rendement. Il est évident que les dangers que ceux-ci représentent
pour la culture de mais n’ont pas tous le même degré de gravité.
Certaines d’entre eux, notamment dans le cas d’extension de la culture de
maïs, se signalent par l’importance économique des dégâts qu’ils peuvent
occasionner. C’est ainsi parmi les mauvaises herbes de dicotylenes
vivaces, nous retiendrons surtout le liseron (Calystegia sepium) des haies
qui est une mauvaise herbe le plus commune et les plus problématiques.
En s’enroulant autour des plantes, ils étouffent les pentes et déparent les
massifs. Le liseron s’installe notamment sur les sols manquant de silice
afin justement de remédier à ce manque.
Une autre mauvaise herbe chiendent (Elymus repens) peut être un
réservoir de virus ou de champignons transmissibles aux céréales. C’est
en particulier, un hôte de l’ergot du seigle.
Parfois aussi, les mauvaises herbes ont également des effets sur le
fonctionnement de l’agroécosystème qui sont neutres ou positifs pour les
humains, dont certains sont des auxiliaires de culture notamment, le
liseron joue ainsi plusieurs rôles importants, quand on sait le gérer dont
celui de maintenir les mycorhizes.
Pour lutte contre les mauvaises herbes ; nous avons quelques moyens :
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
25. Anonyme 2014. Pratique les faux- semis pour diminue le stock
semencier des parcelles. Sur arvalis-infos.fr
26. Smith, R .G. Mortensen, D.A. Ryan , M.R. … 2009. A new
hypothesis for the functional role of diversity in mediating ressance
pools and weed- crop competition in agroecosystems weed reseach
50, 37 – 98.
27. Christian Gauvrit, 1996. Efficacité et sélectivité des herbicides,
Quae, coll : « du labo au terrain « 158 p. (ISBN 9782738006 172,
ISSN 1150 – 3564).
28. Equipe agro de BASF 2018. Guide des cultures p. 31 – 33.
29. Ontario 2017. Stratégie de lutte contre les mauvaises herbes
difficiles à combattre. P. 1.
30. Ontario 2017. Stratégie de lutte contre les mauvaises herbes
difficiles à combattre. Publication 75F. P17 et P19.
31. Ponge Jean- François (Museum), 2000. Biodiversité et
biomasse de la faune du sol sous climat tempéré ; comptes-rendus
de l’academie d’agriculture de France 86,8(2000) 129 – 135
32. Anonyme 2004. Cours de malherbologie offert à l’universite de
laval. Formation en paysage commercialisation en horticulture,
ornementale, etc.
Sites internes
1. Plantyfoli.com/dossier-pratique/lutte_mauvaises_herbes
2. Cipf.be/ culture du mais