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INTRODUCTION :
CONCLUSION…………………………………………………………………………
……………………………………..42
BIBLIOGRAPHIE
……………………………………………………………………………………………
……………43
1
INTRODUCTION
Le cycle économique d’une entreprise peut être perturbé à tout les stades
de son déroulement. Plus les blocages, les lenteurs, les anomalies vont se
développer et plus la mécanique générale du cycle va se ralentir, voire
même s’arrêter.
1
L’entreprise corps actif complexe, dispose d’un système de
communication d’informations qui comporte des instruments de collecte,
de diffusion et de traitement.
Capital de base 1
Activité
d’achat 2
Matières premières
Achat de matières premières ; personnel… 3
- Du personnel Personnel et service
- Comptable; financière
- budgétaire… Mobilier materiel;
ACTIVITE D’ADMINISTRATION immeuble
4
ACTIVITE DE
GESTION
ET DE
ACTIVITE
CONTROLE
DE RECHERCHE
1
Stock
matières
premières
7
- Politique et planification
- prévisions
- objectifs
- critères de mesure
- analyse des résultats
Recherche et développement
- Marketing
- Vente et Mise en œuvre
expedition
- Facturation Stock des en-cours
6
ACTIVITE DE
PRODUCTION
5
Stock de
produits
On peutfinis
jamais dissocier l’entreprise de son cadre. En effet, sa vie est
ACTIVITE COMMERCIALE
conditionnée de manière essentielle par un cadre juridique, administratif
et pratique. Elle est soumise aux conditions physiques de son
environnement et aux particularités des économies locales, nationales et
internationales. Elle est tributaire des conditions du marché, de la
concurrence, des disponibilités et de l’adéquation de la main d’œuvre. Elle
vit en étroite liaison avec d’autres entreprises : clients, sous-traitants,
fournisseurs, banquiers… Elle n’existe que parce qu’elle fait partie d’un
tout.
1
« Le système d’information de l’entreprise » Par Hugues Angot –Figure 3- page : 19
Flux d’informations de l’entreprise
On distingue quelques grands flux d’information qui relient chaque
activité du cycle d’exploitation au « dispatching » central de contrôle.
Flux de base :
Flux de vente,
Flux d’achat,
Flux de production,
Flux de personnel.
1
l’information et développer de nouveaux systèmes ou faire évoluer les
réalisations actuelles pour améliorer la création de valeur par l’entreprise?
Ce premier volet du contenu concerne donc les emplois , c’est-à-dire la
composition du portefeuille d’applications.
– Comment?
Quels sont les moyens à utiliser pour que les objectifs envisagés puissent
être atteints? Comment choisir, organiser et développer les ressources
fondamentales indispensables à la construction et au fonctionnement du
portefeuille d’applications ainsi défini?
1
Le développement d’applications spécifiques constitue la base d’un
avantage compétitif dès lors qu’il est susceptible d’agir sur la dynamique
des forces concurrentielles (voir plus loin le modèle des forces
concurrentielles) ; ainsi, implanter des systèmes d’information novateurs
permet:
- de répondre avec succès aux concurrents actuels du domaine par la
réduction des coûts: réduction des coûts de conception par la
conception assistée par ordinateur, de fabrication par amélioration
de l’automatisation et du pilotage, de distribution par le recours à
Internet, économies d’échelle par élargissement de la base de
clientèle… par des pratiques de différenciation des produits ou des
services offerts: personnalisation autour d’une base standard,
assistance à l’après-vente par hot-line, etc.
- d’améliorer le pouvoir de négociation vis-à-vis des clients, soit en
élargissant le marché
- accès au marché mondial via Internet, soit en éliminant certains
intermédiaires (accès direct au client final), soit en augmentant les
coûts de changement pour le client (en lui offrant, par exemple,
l’utilisation d’un logiciel convivial de gestion de ses commandes…) ;
- d’améliorer le pouvoir de négociation vis à vis des fournisseurs , en
élargissant la base des appels d’offres (diffusion sur le Web) ou en
ayant recours à des marchés électroniques (plates-formes
d’achat…);
- de lutter contre la menace de nouveaux entrants par la baisse des
coûts, l’amélioration du produit ou du service, la création de
barrières à l’entrée (développement d’un logiciel complexe de
gestion de la relation client…);
- de limiter la menace de produits ou services de substitution en
améliorant le rapport performance-prix tout en élargissant la
gamme de produits offerts (recours à la «customisation de masse»,
effets des économies de champ…).
La référence à ce modèle bien connu de la dynamique des forces
concurrentielles (Porter, 1986) peut constituer la base d’un
questionnement systématique sur l’intérêt de développer de nouvelles
applications pour aboutir à la formation d’un avantage concurrentiel
durable. Bien entendu, il importe ensuite d’estimer quel peut être l’impact
de ces applications sur la chaîne de valeur de l’entreprise, tant pour ce
qui concerne les activités de soutien (infrastructure, gestion des
ressources humaines, développement technologique, approvisionnement
général) que les activités principales (logistique amont, production,
logistique aval, marketing et service après-vente). La modification
du positionnement stratégique envisagée n’a de sens que si elle peut
aboutir à une amélioration de la création de valeur dont une partie doit
1
pouvoir être conservée par l’entreprise sous forme de profit. Assez
souvent, des avantages notables sont obtenus par le biais d’une
déconstruction de la chaîne de valeur, c’est-à-dire par la séparation des
activités physiques et des activités informationnelles.
L’entreprise conserve la maîtrise de la chaîne d’informations et
externalise la réalisation de certaines activités physiques pour lesquelles
elle ne dispose pas de compétences spécifiques (activités logistiques,
fabrication de composants banals, etc.).
En définitive, les systèmes d’information bien conçus peuvent améliorer la
création de valeur de chaque activité et la façon d’exploiter les liens
entre activités à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise.
L’apport des systèmes d’information à cette stratégie de mouvement peut
s’opérer selon différents mécanismes:
1
- les technologies de l’information sont une plateforme pour l’agilité
stratégique. L’agilité traduit la capacité de détecter puis de saisir les
opportunités en assemblant les actifs nécessaires, les
connaissances et les relations requises dans des délais limités.
Cette agilité doit s’appliquer aux clients, aux partenaires et aux
opérations internes. En intégrant les TI avec les autres ressources
dans les processus clés (relation client, fabrication,
approvisionnement…), en séparant les activités physiques et les
activités informationnelles (déconstruction de la chaîne de valeur),
l’entreprise développe une plate-forme numérisée (digitized
platform),ensemble de processus, de connaissances, imbriqués dans
des systèmes d’information, qui lui permet de s’adapter aux
modifications de l’environnement par des réactions rapides et
cohérentes (promotion de l’innovation vers les clients, mobilisation
accrue des partenaires, efficience plus grande des processus
internes). Les TI parce qu’elles constituent la base de compétences
spécifiques, sans cesse actualisées, sont une source d’options
stratégiques, qui confèrent ainsi à l’entreprise la possibilité de saisir
et d’exploiter, dans le futur, un plus grand nombre d’opportunités
que ses concurrents. Ces options étendues reposent d’abord sur
une maîtrise de processus informatisés, internes et externes,
réassemblables sous des formes variées ; par exemple, e-Bay
combine processus de commande, processus de paiement,
processus d’expédition dans son système.
d’intermédiation mobilisant différents partenaires. Elles reposent
également sur l’existence de systèmes de gestion de connaissances
évolués permettant la capitalisation et le partage des expériences
multiples acquises en différents points de l’organisation.
Grâce à ce double capital évolutif de processus et de connaissances,
l’entreprise accroît le répertoire de ses réponses potentielles, c’est-
à-dire le nombre et la complexité des actions qu’elle peut
entreprendre dans un intervalle de temps limité.
1
La définition des applications à construire, à partir de leurs objectifs,
constitue le premier élément de la stratégie systèmes d’information. La
mise en œuvre de ces applications (comme le fonctionnement des
applications existantes) exige la mobilisation des moyens matériels,
logiciels, humains… nécessaires. Cette gestion des ressources doit
assurer, en permanence, la disponibilité
de l’ensemble des composants à intégrer.
Elle s’applique à deux grands types de ressources :
1
- peu imitable car découlant d’une imbrication particulière d’actifs
matériels et d’actifs humains, grâce à des connaissances non
totalement explicitées ;
- d’évolution relativement lente car liée, en partie, à des
phénomènes d’apprentissage dans l’organisation. La gestion de
cette ressource doit satisfaire des critères qui ne sont pas
obligatoirement compatibles:
- critère d’efficience: minimiser les coûts de mise en oeuvre et de
fonctionnement;
- critère de sécurité: assurer la permanence du service, protéger des
risques d’erreur, de fraude;
- critère d’évolutivité: répondre rapidement aux nouveaux besoins et
intégrer, en permanence, les solutions nouvelles proposées par les
offreurs de technologie;
- critère d’efficacité: contribuer à la performance de l’entreprise par
une affectation judicieuse des investissements.
1
- recentrage sur le métier de base…
Très variée dans ses modalités contractuelles comme dans les périmètres
qu’elle recouvre (exploitation, maintenance, conception-développement
d’applications, gestion de réseaux…) séduisante dans son principe, cette
externalisation comporte cependant des risques
importants: risque de défaillance du partenaire, risque de dépendance
pour le renouvellement du contrat, perte de la maîtrise de compétences
technologiques dans l’entreprise. Il s’agit donc d’une décision stratégique
cruciale à long terme, difficilement réversible, qui ne doit pas découler
d’effets de mode mais être le fruit d’une analyse approfondie identifiant,
en particulier, les compétences clés (associées aux métiers actuels et
futurs de l’entreprise) et les activités potentiellement externalisables.
1
avec un apprentissage collectif aboutissant à l’émergence de nouvelles
compétences
collectives liées, en particulier au développement de capacités
relationnelles dans l’entreprise et entre entreprises.
Ces compétences particulières, qui combinent savoirs du métier, savoirs
de management et maîtrise
des TI dans des formules parfaitement contingentes, n’apparaissent pas
de manière complètement spontanée : leur qualité dépend de la qualité et
de l’intensité de l’apprentissage individuel et collectif. Par conséquent, au
même titre que le portefeuille d’applications et que l’infrastructure, la
compétence utilisateurs constitue un objet de gestion stratégique des SI,
une ressource à maintenir et à développer.
Ce développement découle de la combinaison de deux modalités
d’apprentissage:
1
Même si une partie importante de son développement se réalise lors de la
construction des systèmes d’information, la compétence des utilisateurs,
leur capacité à exploiter les ressources potentielles des TI apparaît bien
désormais comme une ressource distinctive fondamentale (durable, peu
imitable) et donc un élément majeur de la gestion stratégique des
systèmes d’information.
En conclusion, la définition de la stratégie conduit donc, d’une part au
choix des activités, c’est-à-dire à la proposition d’un portefeuille
d’applications et d’autre part au choix des moyens donc à la proposition
de développement des ressources fondamentales que sont l’infrastructure
et les compétences utilisateurs. Mais «le véritable objectif doit être de
construire une structure organisationnelle (avec les ressources
adéquates) et des processus internes, convenablement définis,
qui reflètent à la fois la stratégie de l’organisation et les possibilités des
technologies de l’information que cette organisation a choisi de
développer». Émerge donc un impératif de cohérence dans la construction
des choix. C’est cet impératif de cohérence qui constitue le problème
majeur
du processus d’élaboration de la stratégie.
Élaborer une stratégie, c’est concevoir un futur désiré et les moyens d’y
parvenir. Ce processus d’élaboration ou planification doit aboutir à un
ensemble de choix cohérents car, malgré ses dimensions multiples, la
stratégie reflète l’identité et l’unicité de l’entreprise. La stratégie des
systèmes d’information ne constitue qu’un aspect de la stratégie générale
et doit s’articuler
avec toutes les autres composantes de cette vision unitaire du futur
(choix des domaines, des marchés, des modes de distribution, de
production, de partenariat…).
Dire que ces groupes de choix doivent être cohérents signifie qu’il faut
éviter les effets antagonistes
et rechercher, au contraire, les effets de renforcement, de synergie, entre
des ensembles de décisions non indépendantes selon une logique
d’optimisation globale (dans la plupart des cas, l’optimum global n’est pas
la somme des optima locaux). Cette recherche de mise en cohérence est
l’un des objets majeurs des processus (formalisés ou émergents) de
planification stratégique. Pour ce qui concerne les systèmes d’information,
la mise en cohérence repose sur un modèle «d’alignement stratégique»
qui sera présenté dans un premier point. Mais si ce modèle de processus
fournit des directions de solution, son application concrète se heurte à des
1
difficultés non encore complètement résolues, comme nous le montrerons
dans un second point.
C’est pourquoi chaque analyse stratégique est unique. Elle doit prendre
en compte les évolutions qui exercent leur pression sur les entreprises.
1
Ensuite, le système d’information devient stratégique par le fait même
qu’il est quotidien, banal, présent au cœur de tous les processus de
l’entrepris. Son alignement avec la stratégie d’entreprise est automatique
est essentielle. Il s’agit de l’utiliser à des fins stratégiques dans le but s’en
tirer un avantage concurrentiel, de fournir à chaque instant une fonction
permettant à l’entreprise de mener se stratégie.
Enfin, pour toutes les stratégies, les expériences montrent que le système
d’information a vocation à apporter une forte valeur ajoutée.
1
d’affaires (développement de produits, gestion de la relation client,
gestion de la qualité, logistique d’approvisionnement, etc.);
- celui de la stratégie des technologies de l’information
correspondant au positionnement de l’entreprise par rapport au
marché (amont) des technologies de l’information. Ce domaine, à
orientation externe, recouvre trois ensembles de choix: l’étendue du
domaine technologique (quelles sont les technologies accessibles
présentant un intérêt pour l’entreprise? leur portée et leur richesse
potentielle de services?), les compétences requises pour assurer
une utilisation satisfaisante (fiabilité, rapport performance- coût,
flexibilité,…), les mécanismes de gouvernance pour la sélection et
l’usage des technologies envisagées (alliances, externalisation,
licences d’exploitation…);
- celui des systèmes d’information, à orientation interne, recouvrant
les choix d’architecture (le portefeuille d’applications et
l’infrastructure technologique : matériels, logiciels, données), la
définition des processus de développement, de maintenance et de
contrôle des systèmes en place, l’acquisition, le maintien et le
développement des compétences et connaissances indispensables
pour la mise en œuvre et l’utilisation des SI développés.
Organisation Systèmes
Infrastructure d’information
administrative Architecture,
Processus d’affaires, portefeuille
Processus d’applications,
managériaux processus de
1
À partir de ce schéma de base, le modèle de l’alignement stratégique
propose de construire la cohérence des choix selon deux dimensions
complémentaires :
1
des choix multiples aux variations de différents déterminants (action de la
concurrence, innovation technologique, pression de l’environnement
politique ou écologique…) et ceci dans des délais satisfaisants.
L’alignement peut ainsi être vu comme une succession continuelle de
différents co-alignements. Chaque co-alignement peut être caractérisé
par trois domaines :
1
1987), un véritable renversement de leur logique traditionnelle.
Finalement, quelle que soit la démarche de planification adoptée,
l’analyse stratégique des apports potentiels des TI et de leurs modes de
gouvernance constitue un préalable indispensable: stratégie d’affaires et
stratégie des systèmes d’information doivent être construites de manière
interdépendante. Mais l’application de ce principe, simple en apparence,
ne se réalise pas sans difficultés.
1
Causes inhérentes à la nature même des systèmes
d’information
1
Causes intrinsèques à l’objectif de cohérence ensuite
1
opérationnels, systèmes d’information marketing, systèmes d’aide à la
décision stratégique, systèmes inter-organisationnels), d’autre part, par
les critères d’efficacité retenus (efficience, flexibilité, exhaustivité).
1
TI structurée pour que le personnel spécialisé applique des méthodologies
systématiques et complètes pour l’implantation et le management des
technologies de l’information…»
(Bergeron et al., 2004, p. 1013-1014). À partir de ce repérage initial de
«formes idéales d’alignement», la recherche va consister à expliquer
pourquoi ces formes conduisent au succès et sous quelles conditions la
formule est transposable à d’autres entreprises et applicable dans le
futur.
Sur un plan plus pratique, d’autres recherches se consacrent à
l’amélioration des processus organisationnels d’alignement. Ainsi, par
exemple, Reich et Benbasat (2000) considèrent-ils que l’alignement peut
être caractérisé selon deux dimensions: une dimension
intellectuelle (la qualité des plans stratégiques dans le domaine d’affaires
et dans le domaine des TI) et une dimension sociale (compréhension et
engagement réciproques des cadres responsables des métiers et des
cadres responsables des systèmes d’information).
Leurs études confirment le rôle majeur des connaissances partagées entre
les deux catégories d’acteurs et le poids déterminant des pratiques de
communication lors du processus de planification. L’objectif est double: il
s’agit d’abord d’obtenir un alignement de
court terme, c’est-à-dire une compréhension mutuelle et un accord sur
des objectifs immédiats et, ensuite, un alignement de long terme, c’est-à-
dire une vision commune du rôle des TI et de l’importance des SI dans la
conduite de l’entreprise. De nombreuses autres études soulignent
également l’importance du rôle des acteurs clés, en particulier celui de la
direction des systèmes
d’information (Lapon, 1999) dans la réussite des processus de mise en
cohérence. Si le modèle de l’alignement stratégique semble ignorer la
problématique de la contribution des acteurs, il n’en est pas moins vrai
que le succès de son application concrète repose
sur la collaboration effective de nombreux participants. Parce qu’il est de
nature fondamentalement contingente (tout au moins dans l’état de nos
connaissances actuelles), le succès de l’alignement, qui est en même
temps le succès de la stratégie SI, repose, pour
une large part, sur la capacité de l’organisation à mobiliser efficacement
un ensemble de connaissances variées dans un processus
d’apprentissage collectif fait, à la fois d’exploitation et d’exploration,
conduisant à l’émergence de compétences distinctives tant au plan
individuel qu’au plan collectif.
En conclusion, Comment une organisation peut-elle effectivement traduire
les investissements consacrés aux technologies
de l’information en une performance accrue, en termes de productivité,
de parts de marché, de profitabilité ou de tout autre indicateur
1
d’efficacité? Cette question fondamentale, qui est au coeur des débats sur
la stratégie des systèmes d’information, n’a pas encore reçu de réponse
définitive. Cependant, à partir des réflexions des chercheurs comme des
expériences des praticiens, quelques certitudes commencent à s’imposer,
il est judicieux de rappeler les deux considérées les plus importantes.
1
Paramètres des systèmes d’information
Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, database)
est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de
façon structurée et avec le moins de redondance possible. Ces données
doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs
différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement couplée
à celle de réseau, afin de pouvoir mettre en commun ces informations,
d'où le nom de base. On parle généralement de système d'information
pour désigner toute la structure regroupant les moyens mis en place pour
pouvoir partager des données.
afin de pouvoir mettre en commun ces informations, d'où le nom de base.
On parle généralement de système d'information pour désigner toute la
structure regroupant les moyens mis en place pour pouvoir partager des
données.
1
Utilité d'une base de données
• Borland Paradox
• Filemaker
• IBM DB2
• Ingres
• Interbase
• Microsoft SQL server
• Microsoft Access
• Microsoft FoxPro
• Oracle
• Sybase
• MySQL
• PostgreSQL
• mSQL
• SQL Server 11
1
• Manipulabilité : des personnes ne connaissant pas la base de
données doivent être capables de décrire leur requête sans faire
référence à des éléments techniques de la base de données
• Rapidité des accès : le système doit pouvoir fournir les réponses
aux requêtes le plus rapidement possible, cela implique des
algorithmes de recherche rapides
• Administration centralisée : le SGBD doit permettre à
l'administrateur de pouvoir manipuler les données, insérer des
éléments, vérifier son intégrité de façon centralisée
• Limitation de la redondance : le SGBD doit pouvoir éviter dans la
mesure du possible des informations redondantes, afin d'éviter
d'une part un gaspillage d'espace mémoire mais aussi des erreurs
• Vérification de l'intégrité : les données doivent être cohérentes
entre elles, de plus lorsque des éléments font référence à d'autres,
ces derniers doivent être présents
• Partageabilité des données : le SGBD doit permettre l'accès
simultané à la base de données par plusieurs utilisateurs
• Sécurité des données : le SGBD doit présenter des mécanismes
permettant de gérer les droits d'accès aux données selon les
utilisateurs
À noter que des PGI sont désormais disponibles pour des entreprises de
type PME-PMI, soit en utilisation autonome soit en utilisation en ASP-
Application Solution Provider. Dans ce dernier cas, le PGI est hébergé chez
le fournisseur qui administre les applications ERP de la PME-PMI. Cette
dernière loue le service auprès de l’hébergeur.
1
smodule de logistique de livraisons, le module de la comptabilité,
facturation, gestion financière…
Dans les deux cas, on comprend aisément que l’implication des hommes
de l’entreprise connaissant bien son fonctionnement et ses processus
métiers est fondamentale, en apoint des informaticiens de l’entreprise,
car un ERP va bien au-delà d’une simple réorganisation du système
informatique.
D’autre part, nous savons tous qu’une entreprise évolue sans arrêt, pour
s’adapter à son environnement, aux changements permanents de
nouveaux marchés, nouveaux produits, législation, technologies. Il faudra
donc adapter le progiciel ERP de façon continue, alors que sa structure
propre mono-fournisseur, garante de la cohérence de l’ensemble, peut
devenir un facteur limitatif. En effet, quelles que soient les qualités et la
1
force d’un éditeur, il aura des difficultés à suivre sur tous les fronts les
explosions des technologies et des besoins des marchés.
En résumé, les ERP (ou PGI) n’ont plus à ce jour le même développement
que par le passé. Le marché d’oriente nettement vers un concept plus
ouvert, appelé EAI (Entreprise Application Integration).
En tant qu’outil orienté client, le CRM s’adresse avant tout aux services :
1
CRM = Marketing relationnel
1
produire des statistiques visant à segmenter et catégoriser les clients afin
de leur apporter un traitement aussi personnalisé et efficace que possible.
La gestion de changement
Exemple :
Choisir un CRM
1
bénéfices d’une entreprise en centrant ses activités sur les clients. En
conséquence, toute entreprise ayant des clients peut, si elle le souhaite,
mettre en place un CRM.
Etap Action
es
1 Identifier le contexte
1
5 Sélectionner
1
Modules dédiés au marketing (EMA)
Les modules de type EMA proposés par les fournisseurs de solutions CRM
permettent de générer automatiquement :
Les modules de type EMA peuvent être paramétrés finement pour fournir
des informations croisées ou complexes (sélection automatique de panels
de clients selon critères, gestion automatisée des relances clients, etc.).
Il s’agit ici de permettre aux équipes de vente d'avoir accès à toutes les
informations utiles pour répondre en temps réel aux attentes et besoins
du client.
1
a- Le marché CRM
Tendances
• après une forte progression dans les années 90, le marché des
solutions CRM a stagné jusqu’en 2004. En cause, le coût des
solutions, les profonds changements induits dans l’entreprise, tant
en termes d’infrastructures techniques que de changement de
culture, les délais promis et non tenus par les fournisseurs de
solutions, les demandes irréalistes des clients pour des solutions
complexes et surdimensionnées ;
• depuis 2004, on assiste à une rationalisation du marché, avec des
projets de taille plus raisonnable, des délais de prise de décision
plus longs, allant dans le sens de projets réellement adaptés aux
besoins de l’entreprise.
Les besoins en termes de CRM varient selon les secteurs d’activité. Ainsi,
une étude de Forrester d’octobre 2006 indique que :
Les solutions CRM propriétaires restent les plus répandues sur le marché,
mais les solutions open-source progressent régulièrement.
Oracle SugarCRM
Amdocs
1
3- Gestion de la chaîne logistique
1
• La configuration du réseau de distribution en identifiant le nombre
et la localisation des fournisseurs, des usines de production, des
centres de distribution, des clients.
• La gestion de la demande.
1
• La gestion du flux de production.
1
• Le gain de productivité mesurable.
Systèmes de stockage
1
réaction très court par rapport aux bandes permet des relectures plus
fréquentes des données.
a- Identification / authentification :
- Ingénier système ;
- Administrateur de sécurité ;
- Opérateur.
b- Contrôle d’accès :
1
Nul ne doit avoir directement accès à la clef permettant de certifier les
conventions secrètes des clients. L’utilisation d’un processeur de sécurité
interfacé avec le système est indispensable.
Pendant toute la durée de leur détention, les conventions secrètes sont
chiffrées. Elles ne sont déchiffrées que pour la mise en œuvre ou la
remise. Il est souhaitable que le déchiffrement d’opère à l’intérieur d’un
processeur de sécurité, ou que les paramètres utilisés pour le
déchiffrement soient
Partagés entre deux dispositifs détenus par des opérateurs différents dont
seule la présence simultanée permet d’accéder aux conventions secrètes
en clair.
c- Imputabilité :
d- Audit :
- Le nom de l’opérateur ;
- L’opération effectuée ;
e- Réutilisation d’objets :
1
CONCLUSION
1
Avec le développement des marchés et la croissance de la concurrence, les
entreprises ont été amenées à améliorer l’organisation et la gestion des
ressources dont elles disposent, ainsi que les processus et procédures de
fonctionnement. La complexité des organisations a exigé l’instauration des
systèmes d’information qui ont vu leur apogée avec le développement des
technologies d’information et l’apparition de l’internet et des systèmes réseau.
Bibliographie
Les NTIC
Par Collectif du CPA (Centre de perfectionnement aux affaires),
Pierre Bouloc, Collectif
http://www.uclouvain.be