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Chapitre 2 : L’analyse de l’activité

I L’analyse du compte de résultat : Les soldes intermédiaires de


gestion (S.I.G)
Le tableau des SIG constitue un outil d’analyse de l’activité et de la rentabilité de la firme. Les SIG
sont une cascade de soldes qui constituent des paliers dans la détermination du résultat net. Ils
permettent d’étudier l’activité, la rentabilité et la performance. Cela s’effectue à l’aide de ratios.

1.1 La liste des soldes intermédiaires de gestions.

Il existe 8+1 SIG :

 Les opérations d’exloitation du solde 1 à 5


 Les opérations courantes et exceptionnelles du solde 6 à 8 (or le solde 8 fait partie du solde
7)
 La synthèse avec le solde 9

1.1.1 La marge commerciale (MC) : Solde N°1

Elle traduit l’activité commerciale de l’entreprise. On l’analyse par le ratio :


𝑀𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟𝑐𝑖𝑎𝑙𝑒
𝐶𝑕𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑑 ′ 𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑕𝑜𝑟𝑠 𝑡𝑎𝑥𝑒 .

Marge commerciale = ventes de marchandise – coût d’achat des marchandises vendues (CAMV)

Et CAMV : Achats + frais sur Achats + (Stock initial – sotck final de marchandises).

1.1.2 La production de l’exercice (PE) Solde N°2

Production de l’exercice= Production vendue + production stockée + production immobilisée. Ce


solde ne concerne que les firmes de production.

1.1.3 La valeur ajoutée (VA) Solde N°3

Elle mesure la richesse créée par l’entreprise, son poids économique est un critère de taille
intéressant, d’autant que c’est un indicateur reprise dans la comptabilité nationale.

Valeur ajouté= Marge commerciale + production de l’exercice – consommation de l’exercice en


provenance des tiers.

Consommation de l’exercice en provenance des tiers= Achats d’approvisionnements – les remises


rabais ristournes obtenues + (stock initial – stock final) + services extérieurs1 + autres services
extérieurs 2

On calcule l’affectation de la valeur ajouté avec des ratios

1
Sous traitante, location, assurance
2

31
Publicité, transports, frais postaux…
𝐹𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙
Ratio 1 : qui indique la part de la valeur ajouté qui va au personnel.
𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡 é𝑒

𝐶𝑕𝑎𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑖 è𝑟𝑒𝑠


Ratio 2= qui est le 1er indicateur de risque financier que l’on compare au
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡 é𝑒
concurrent de manière spatio-temporelle.

Tous les ratios doivent être comparés avec les autres ratios, dans le temps avec les concurrents.

𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡 é𝑒 𝑟𝑒𝑡𝑟𝑎𝑖𝑡 é𝑒


Ratio 3 : pour déterminer la productivité apparente du travail (non réel).
𝐸𝑓𝑓𝑒𝑐𝑡𝑖𝑓𝑠

Cette valeur ajoutée va permettre :

 de classer les entreprises selon leur taille,


 de mesurer l’importance relative des différences activités de l’entreprise
 d’apprécier le développement ou de la régression de l’entreprise.

La valeur ajoutée tend à rendre compte de l’efficacité des moyens de production, c'est-à-dire qu’une
entreprise qui ne créerait pas de la valeur ajoutée ne serait pas rentable).

1.1.4 L’excédent brut d’exploitation (EBE) : solde N°4

C’est un solde centrale car c’est le point de passage entre les tableaux de flux de fonds et les tableaux
de flux de trésoreries. C’est un élément essentiel pour l’analyse de la rentabilité puisqu’on calcul la
capacité d’autofinancement (CAF) à partir de l’excédent brut d’exploitation.

Excédent brut d’exploitation= Valeur ajouté + subvention d’exploitation – Impôts et taxes – charges
de personnel.

L’EBE représente la part de la valeur ajoutée qui revient à l’entreprise et aux apporteurs de capitaux.
La centrale des bilans de la banque de France propose 4+1 ratios

𝐸𝐵𝐸
Ratio 1 : le taux de rentabilité économique :
𝑅𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠

𝐶𝑕𝑎𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑑 ′ 𝑖𝑛𝑡 é𝑟ê𝑡𝑠


Ratio 2 : le poids de l’endettement de la firme :
𝐸𝐵𝐸

𝐸𝐵𝐸
Ratio 3 : la part de l’EBE dans la valeur ajoutée :
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡 é𝑒

𝐸𝐵𝐸
Ratio 4 : Le taux de marge brute d’exploitation : 𝐶𝑕𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑑 ′ 𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖 𝑟𝑒 𝑕𝑜𝑟𝑠 𝑡𝑎𝑥𝑒

𝐹𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠
Ratio 5 : Centrale des bilans de la banque de France : 𝐸𝐵𝐸
avec un ratio de 0,4, rien
d’inquiétant, avec un ration de 0,9, l’entreprise risque d’être défaillante d’ici 3 ans.

Sous l’influence de l’analyse financière anglo-saxone, les praticiens de la finance utilisent la


notion D’EBITDA (Earnings Before Interest, Taxes, Depreciation and Amortization) proche de
l’EBE.

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L’EBE constitue la ressource qui l’entreprise tire de son exploitation c’est donc le fondement de
l’autofinancent et de la trésorerie générée par l’exploitation.

1.1.5 le résultat d’exploitation

Il est peut significative puisqu’il fait intervenir les charges et les produits calculé. IL est égal à l’EBE +
les RAP et transfert de charges d’exploitations + les autres produits d’exploitations – DAP
d’exploitation – autres charges d’exploitation.

Ce résultat représente la valeur créée par l’activité de la firme de part son exploitation mais avant
prise en compte des fonds utilisées. Il constitue un résultat économique et est indépendant de la
politique de financement de la société.

1.1.6 Le résultat financier (solde 6)

Il est égal aux produits financiers – les charges financières.

1.1.7 Le résultat courant avant impôt (solde 7)

Il provient des opérations normales et habituelles de l’entreprise. Il mesure la performance


économique et financière et il peut refléter la politique d’investissement de l’entreprise si les
cessions d’immobilisations sont significatives. Le résultat courant avant impôt prend en charge la
politique d’endettement mais il n’est pas impacté par les opérations exceptionnelles ou la fiscalité.

Il est égal au résultat d’exploitation + le résultat financier (produit financier – charge financière) +/- la
cote part des opérations faite en commun.

1.1.8 Le résultat exceptionnel (solde 8)

Il est égal au produits exceptionnels – charges exceptionnelles. Il est peut significatif de l’activité de
la firme. On peut calculer les +/- value de cession d’éléments d’actif qui est égal au produits de
cessions d’éléments d’actif cédé – la valeur comptable des éléments d’actif cédé.

1.1.9 Le résultat de l’exercice (solde N°9)

Il est égal au courant avant impôt + résultat exceptionnel – participation des salariés – impôt sur les
bénéfices (IS).

En conclusion, ces soldes doivent être analysés dans une approche spatio-temporelle (avec un
minimum de 3 ans).

1.2 Les retraitements de base

Plusieurs retraitements sont admis par les analystes financiers et la banque centrale des bilans de la
banque de France concernant les charges externes par exemple.

1.2.1 Les retraitements relatifs aux charges de personnel.

Le personnel intérimaire (621 « autres services externes » et la participation des salariés (691) sont
réintégrés aux charges de personnel (64) afin de déterminer le coût du facteur travail. On va
constater que la valeur ajouté augmente et l’excédent brut d’exploitation sera identique. La

33
participation des salariés lorsqu’elles sont intégrées dans les charges de personnel, l’excédent brut
d’exploitation diminuera du même montant.

Si la sous traitante générale (611) est occasionnel, elle peut être retraitée en achat. Dans le cas
contraire, on peut les retraitées en charges de personnels.

1.2.2 Retraitement relatif au crédit bail

LE crédit bail est le poste 612. Il est le plus difficile à retraiter. Les biens financés par crédit bail sont
traités comme s’ils avaient été acquis par endettement.

Les loyers ou redevances de crédit bail sont scindés en deux parties :

L’une étant assimilée à des dotations aux amortissements


L’autre à des charges financières (à un emprunt virtuel.)

Néanmoins, d’autres analystes financiers proposent des méthodes simplistes ou des méthodes
actuaires.

La méthode simpliste consiste à retraiter 2/3 des redevances de crédit bail en dotation aux
provisions et 1/3 en intérêt.
La méthode actuarielle qui est conforme à la norme N°17 de l’IASC sépare les aspects
« amortissement économique de l’immobilisation » et le « service de l’emprunt fictif ». (voir
doc email).
1.2.3 Les divers retraitements

Les charges et produits sur exercice antérieurs figurent dans les comptes de charges et produits
normaux selon leur nature, or cela fausse la nature de l’exercice au temps N. Il faut donc :

Les sous traiter au niveau du résultat exceptionnel


Soit les traiter au niveau du résultat net comptable (mieux).

Les produits des activités annexes (compte 708) et les autres charges et produits de la gestion
courante (comptes 65 et 75). Ce sont des postes « faux » aussi est il intéressant d’analyser ces
comptes afin de voir si certaines opérations qu’ils contiennent ne pourraient pas êtres affectées
ailleurs.

Les charges de location (compte 613) peuvent être retraitées comme du crédit-bail.

Les impôts, taxes et versements assimilés. On les retrouve au niveau de l’excédent brut
d’exploitation mais deux autres solutions ont préférables et dépendent de la société :

Soit cette charge est une réparation sans contrepartie directe en faveur de l’état : dans cette
optique, on devrait les introduire en ce qui concerne la détermination du résultat net
comptable (comme pour l’IS).
Mais la banque de France considère que cette charge est la contrepartie d’un service rendu à
l’entreprise par l’Etat et dans ce cas on introduit ces charges dans la détermination de la
valeur ajoutée.

C’est la deuxième solution qui est suivie par les organismes financiers.

34
Les frais de publicité concernant le lancement d’un produit nouveau peuvent être reclassés en
charges exceptionnelles.

La production immobilisée peut correspondre à un mécanisme d’étalement des charges liées par
exemple à une augmentation de capital, dans ce cas elle doit être reclassée en produits financiers.

La redevance sur contrat de franchise (compte 751) peut être considérée comme partie intégrante
de l’activité de l’entreprise, elle doit être reclassée en production vendue.

Les transferts de charges font apparaître trois situations :

Soit on a le compte 79 « transfert de charges » d’exploitation, on le traite au niveau du


résultat d’exploitation.
Soit le poste est divisé en 3 comptes :
 Compte 791 « transfert de charge d’exploitation » qui relève du compte de résultat
d’exploitation
 Le compte 796 « transfert de charge financière » qui relève du compte de résultat
financier
 Compte 797 « transfert de charge exceptionnelle » qui va dans le résultat
exceptionnel.
Soit on connaît le contenu des transferts de charges d’exploitation, dans ce cas on ventile le
compte 791 au niveau des charges qui sont transférées.

1.2.4 Les retraitements de la centrale des bilans de la banque de France.

La centrale des bilans de la banque de France n’a pas la même conception de la valeur ajouté que le
PCG, car la valeur ajouté est égale à la somme des facteurs de production d’où les quartes
retraitements suivants (qui n’auront aucune incidence sur le résultat final) :

1. La subvention d’exploitation (compte 74) si elle présente le caractère d’un complément du


prix de vente, il importe de la rajouter ou rattacher à la production vendue dans mesure où
elle compense le plus souvent une insuffisance de prix de vente.
2. Les impôt et taxes (compte 64) sont considérés comme des consommations externes et pris
en compte dans le calcul de la valeur ajoutée.
3. Le personnel intérimaire (compte 621 « autres services externes » et la participation des
salariés sont considérés comme des frais de personnel (rappel).
4. Le crédit bail : la redevance (le loyer) doit être divisée en dotations aux amortissements, qui
iront dans le résultat d’exploitation et en frais financiers qui iront dans le résultat courant
avant impôt. On utilise parfois un coefficient k= (valeur d’origine – valeur
résiduelle)/(somme des annuités). On applique ce coefficient à l’annuité pour déterminer le
montant des dotations, et par différence à l’annuité, on obtient le montant des charges.

35
1.3 La présentation des Solde intermédiaires de gestions (SIG).

Confère polycopier

1.3.1 Analyse de l’exploitation par la centrale de la banque de France.


1.3.2 Passage des concepts Passage des concepts du PCG a ceux de la CBBdF

II analyse du cycle d’exploitation


2.1 Le besoins en fond de roulement normatif ou dynamique

Il existe deux méthodes :

La méthode descriptive ou statique par l’étude des bilans fonctionnels (constatations à


posteriori)
La méthode normative ou dynamique par l’étude du cycle d’exploitation (prévisions).

Le calcul du besoin de fond de roulement d’exploitation provient des décalages d’exploitation :

 Décalage entre les achats et leur entrée dans la production ou la mise en vente
 Décalage entre produit d’exploitation (ventes) et l’encaissement
 Décalage entre les charges d’exploitation et les décaissements correspondants.

Ces décalages entrainent un besoin de fond de roulement d’exploitation. Ces divers décalages
peuvent être mesurés par des rations appelés délais de rotation ou délais d’écoulement ou délais de
crédit.

On distinuge trois étapes :

1. On évalue en jours les durées de rotation des stocks, du crédit clients et du crédit
fournisseurs.
On détermine ensuite un coefficient de pondération en fonction du chiffre d’affaire hors taxe
pour uniformiser les durées, puis les durées sont converties en nombre de jours de chiffre
d’affaire hors taxe en multipliant les durées par les coefficients.

Par exemple pour la durée


𝑆𝑡𝑜𝑐𝑘 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑐 𝑕𝑎𝑛𝑑𝑖𝑠𝑒𝑠
D1=rotation des stocks = 𝐶𝐴𝑀𝑉 𝐻𝑇
𝑥360

𝐶𝑙𝑖𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑇𝑇𝐶+𝐸𝑛𝑐𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑 𝑒𝑠𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑒
D2= Les crédits clients = 𝐶𝐴 𝑇𝑇𝐶
𝑥360 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠

Pour les pondérations
𝐶𝐴𝑀𝑉 𝐻𝑇 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙′ 𝑒𝑥𝑒𝑟𝑐𝑖𝑐𝑒
P1= pondération stocks = 𝐶𝐴 𝐻𝑇
𝐶𝐴 𝑇𝑇𝐶
P2= Pondération crédit clients= 𝐶𝐴 𝐻𝑇
𝐴𝑐𝑕𝑎𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑏𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑒𝑡 𝑠𝑒𝑟𝑣𝑖𝑐𝑒𝑠 𝑇𝑇𝐶
P3=pondération de crédit fournisseur = 𝐶𝐴𝐻𝑇

Le nombre jours de CA HT
Nombre de jours de stock=D1xP1…
(Confère doc)

36
2. On calcule le BFR normatif en nombre de jours de chiffre d’affaire hors taxe en faisant un
chainage des ratios :
𝑆𝑡𝑜𝑐𝑘 𝐶𝑙𝑖𝑒𝑛𝑡 𝐹𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝐵𝐹𝑅𝑁
𝑥360 + 𝑥360𝑗 − 𝑥360 = 𝑥360𝑗
𝐶𝐴 𝐻𝑇 𝐶𝐴 𝐻𝑇 𝐶𝐴 𝐻𝑇 𝐶𝐴 𝐻𝑇

3. Il faut convertir le fond de roulement normatif en valeur afin d’effecteur une comparaison
avec la méthode statique et de déterminer le BFR pour un chiffre d’affaire donné.

Il existe d’autres éléments qui peuvent être des ressources de financement ou des besoins de
financement :

 Le crédit accordé par le personnel mensualisé et payé en fin de mois (crédit de 15 jours en
moyenne)
 Les crédits accordés par les organismes sociaux (URSAFF, ASSEDIC, caisse de retraite), en
principe réglé le 15 du mois suivant
 Les acomptes reçus des clients,
 La TVA collectée
 Les autres créditeurs divers
 Les produits constatés d’avance (avances clients).

Cependant, il existe des besoins :

 Les avances faites aux fournisseurs


 La TVA déductible
 Les autres débiteurs d’exploitation
 Les charges constatées d’avances.

2.1.2. Remarques

En ce qui concerne les délais, on considère habituellement que les créances ou les dettes naissent en
moyenne au milieu du mois et que la TVA a un impact puisque la TVA déductible est un besoin de
financement et la TVA collecté est une ressource de financement.

On suppose que le besoin de fond de roulement normatif est proportionnel au chiffre d’affaire hors
taxes, or la nature des charges (fixes ou variables) peut rendre nécessaire la prise en compte :

D’une fraction stable du besoin de fond de roulement normatif (charges de personnel).


D’une parti variable (coût d’achat) ou semi-variable (fixe et variable pour le coût de
production.

2.1.3. Critiques

3 critiques :

Le temps d’écoulement est délicat à prévoir.


On détermine le besoin moyen alors qu’il faudrait connaître le besoin maximal
L’hypothèse de proportionnalité au chiffre d’affaire hors taxe est approximative.

37
Il faut être prudent quant à l’interprétation :

Une augmentation des stocks n’est pas forcément un indicateur de mauvaise gestion
Si le crédit client augmente, l’entreprise ne domestique pas ses crédits (parallèlement il y a
une dégradation de la rentabilité), cela peut aussi résulter d’une ouverture de l’entreprise
sur les marchés internationaux ou l’usage est d’accorder des crédits clients.
Notons qu’il n’y a pas unanimité sur le calcul de la trésorerie nette en fonction de l’écart
entre le fond de roulement normatif et le besoin de fond de roulement dû au problème de
l’arrêté des comptes. C’est pourquoi on privilégie la vision normative.

2.2 De l’excédent brut d’exploitation (EBE) à l’excédent de trésorerie d’exploitation (ETE).

2.2.1. Le passage de l’EBE a L’ETE

Le passage de la liquidité potentielle d’exploitation à la liquidité réelle se fait par le retraitement de


l’EBE.

L’excédent de trésorerie d’exploitation=excédent brut d’exploitation-variation besoin de fond de


roulement d’exploitation

On va passer d’un flux de fond (EBE) à un flux de trésorerie (ETE) correspondant à l’excédent de
trésorerie d’exploitation nécessite la prise en compte de la variation besoin de fond de roulement
d’exploitation.

Un ETE négatif indique que l’entreprise vie une situation critique. Certains corrigent l’ETE du montant
de la production immobilisée.

ETE corrigé= EBE – variation de BFRE – production immobilisée.

2.3 Les ratios (analyse du compte de résultat et du bilan)

Les ratios sont des rapports entre deux grandeurs que l’on exprime généralement en pourcentage.
Un ratio ne s’étudie pas seul mais au sein d’une batterie d’un ratio, de manière spatiotemporelle. Il
faut également tenir compte de la nature juridique de la société étudiée, c'est-à-dire de la taille, de
son vécu, de ses ressources humaines ou encore de son environnement.

2.3.1 Les ratios classiques.

Voir polycopier doc 3 page 6.

NATURE
FORMULES INTERPRETATIONS
RATIO DE STRUCTURE

Financement des emplois Ressources stables


Mesure la couverture des emplois stables
stables
Emplois stables

Ressources propres Mesure la capacité d’endettement de


Autonomie financière
Endettement l’entreprise qui ne doit pas être inférieur à 1

38
Dettes financières
Capacité de remboursement L’endettement ne doit pas excéder 4 fois la CAF
CAF

CAF Mesure la part de valeur ajoutée consacrée à


Autofinancement
Valeur ajoutée l’autofinancement

FRNG Mesure la part du FRNG qui finance l’actif


Couverture de l’actif circulant
par le FRNG circulant
Actif circulant

FRNG * 360 jours Mesure la marge de sécurité financière en


Evolution du FRNG
nombre de jours de CA HT.
CA HT

BFRE * 360 jours Mesure l’importance du BFRE en nombre de


Evolution du BFRE
jours de CA HT
CA HT

NATURE
FORMULES INTERPRETATIONS
RATIO DE RENTABILITE

Marge commerciale Mesure l’évolution de la performance de


Taux de marge commerciale
l’activité commerciale de l’entreprise
Ventes de marchandises HT

EBE Mesure la capacité de l’entreprise à rentabiliser


Taux de marge brute
les fonds apportés par les associés.
CA HT

Résultat net Mesure l’aptitude de l’entreprise à rentabiliser


Taux de rentabilité financière
les fonds apportés par les associés
Capitaux propres

EBE Mesure la capacité de l’entreprise à rentabiliser


Taux de rentabilité économique les fonds apportés par les associés et les
Ressources stables prêteurs

Résultat de l’exercice
Taux de marge nette Bénéfice net à partir du chiffre d’affaires
CA HT

NATURE

RATIO DE LIQUIDITE ET FORMULES INTERPRETATIONS


DE SOLVABILITE

Solvabilité générale Total actif Mesure la capacité de l’entreprise à payer


l’ensemble de ses dettes en utilisant l’ensemble de

39
Dettes à + 1 an et à - 1 an l’actif.

Capitaux propres Mesure la capacité de l’entreprise à faire face à


Autonomie financière
l’ensemble de ses dettes
Total passif

Dettes financières
Liquidité générale L’endettement ne doit pas excéder 4 fois la CAF
CAF

Actif à moins d’1 an Mesure la capacité de l’entreprise à payer ses


Autofinancement dettes à court terme en utilisant ses actifs à court
Passif à - 1 an terme

Créances à - 1 an + Disponibilités Mesure la capacité de l’entreprise à payer ses


Trésorerie dettes à court terme en utilisant les créances et les
Passif à - 1 an disponibilités

Disponibilité Mesure la capacité de l’entreprise à payer ses


Liquidité immédiate
dettes à court terme en utilisant les disponibilités.
Passif à - d’1 an

NATURE
FORMULES
RATIO CBBDF

Capital d’exploitation
Coefficient de capital
VA CDB

Rendement apparent de la main- VA CDB


d’œuvre
Effectif

Investissement productif
Taux d’investissement production
VA CDB

Financement stable .
Couverture des capitaux investis
Valeurs immobilisées + BFRE

40
NATURE
FORMULES INTERPRETATIONS
RATIO D’ACTIVITE

Taux de croissance du CAt -CAt-1 L’évolution du CA permet de mesurer


Chiffre d’Affaires Hors
CAt-1 le taux de croissance de l’entreprise
Taxes (CA HT)

Taux de croissance de VAt -VAt-1 L’évolution de la VA est un indicateur


la Valeur ajoutée (VA) de croissance
VAt-1

Mesure le taux d’intégration de


VAt l’entreprise dans le processus de
Taux d’intégration
production ainsi que le poids des
CAt
charges externes

Partage de la Valeur
Charges de Personnel Mesure la part de richesse qui rému-
Ajoutée
nère le travail des salariés
VA
(Facteur travail)

Partage de la Valeur
Excédent Brut d’Exploitation Mesure la part de richesse qui rému-
Ajoutée nère les apporteurs de capitaux et à
VA renouveler le capital investi
(Facteur capital)

Charges d’intérêts Mesure le poids de l’endettement de


Poids de l’endettement
Excédent Brut d’Exploitation l’entreprise

Rotation des stocks Mesure la durée d’écoulement des


Stock moyen de marchandises * 360 j stocks (une augmentation de cette
pour une entreprise durée entraîne une augmentation du
Coût d’achat des marchandises vendues
commerciale BFRE)

Stock moyen de matières 1° * 360 j

Coût d’achat des matières 1° consommées Mesure la durée d’écoulement des


Rotation des stocks
stocks (une augmentation de cette
pour une entreprise durée entraîne une augmentation du
industrielle BFRE)
Stock moyen de produits finis * 360 j

Coût de production des produits vendus

Créances clients+comptes rattachés+encours


Mesure la durée moyenne en jours
Durée moyenne du d’escompte * 360 du crédit consenti par l’entreprise à
crédit clients
CA TTC ses clients

Durée moyenne du
Dettes fournisseurs + comptes rattachés * 360j Mesure la durée moyenne en jours
crédit fournisseurs du crédit consenti par l’entreprise de

41
Achats TTC la part de ses fournisseurs

Le taux de croissance réel est égal à *(1+taux de croissance nominale)/(1+taux d’inflation)+-1

2.3.2 Les ratios de la centrale des bilans de la banque de France

Il va falloir travailler sur des documents corrigé par la banque de France.

Par exemple, le coefficient de capital : capital d’exploitation / VA CBBdf

Le rendement apparent de la main d’œuvre VACBBdF/Effectif

3- La rentabilité

3.1 La rentabilité de l’activité

L’appréciation de la performance financière confronte les résultats au chiffre d’affaire hors taxe. Il
faut que l’entreprise génère suffisamment de bénéfices pour couvrir ses charges fixes et variables
afin de dégager une marge.

On calcule plusieurs ratios de marges aux capitaux utilisés.

Rentabilité d’activité :

- le ratio de marge brute = (CA H.T. - Prix de Revient des marchandises vendues) / CA H.T.

- le taux de marge brute d’exploitation = EBE/ CA H.T.

- le ratio de marge nette = Bénéfice net/ CA H.T.

Le ratio de marge brute permet d’apprécier la stratégie commerciale de l’entreprise

Le taux marge brute d’exploitation qui indique la performance de l’entreprise ainsi que son aptitude
à générer des ressource de trésorerie. Si la baisse de ce ratio est forte, la situation financière de
l’entreprise se dégradera.

Le ratio de marge nette est un indicateur de l’aptitude de l’entreprise à réaliser un bénéfice à résister
à la concurrence.

3.2 La rentabilité économique

La rentabilité économique mesure la capacité de la firme à s’enrichir, elle doit être la plus élevée
possible.

3.2.1 Le ratio classique

Elle mesure l’efficacité de l’outil économique utilisé par l’entreprise pour son exploitation courante.
Le résultat économique est la somme du résultat nette + IS + charges financières= bénéfice après
intérêts et impôt (BAII)

42
C'est-à-dire le revenu engendré par l’actif économique.

L’actif économique (moyens mis en œuvre)= somme des immobilisations d’exploitation et du BFRE
= capitaux investis
= capitaux propres + dettes financières
= immobilisations nettes + actif net d’exploitation (annexe)
= immobilisation nettes + (actif circulant – dettes non financières et provisions pour risques et
charges).
Il est calculé à partir du bilan financier.

Par exemple, la société utilise :

 Des immobilisations d’une valeur de : 200 000€


 Le BFR lié à l’activité de l’entreprise : 70 000€
 Le résultat d’exploitation est de : 32 400€

Quelle est la rentabilité économique ?

= 32400/(200 000+ 70 000)= 12% de rentabilité économique.

3.2.2 Les autres ratios liés à la rentabilité économique.

Rentabilité économique = résultat économique / actif économique


- la rentabilité économique = (bénéfice net + frais financier)/ actif

- la rentabilité des capitaux investis = bénéfice net / Actif

- le ratio = résultat d’exploitation/ Actif

- le ratio = résultat d’exploitation après IS/ (capitaux propres + dettes financières)

- la rentabilité économique brute = EBE/ (Actif immobilisé + BFRe)

- la rentabilité économique nette = Résultat d’exploitation/ (Actif immobilisé + BFR)

3.3 La rentabilité financière

Elle mesure la rentabilité des capitaux propre, c'est-à-dire la rémunération potentielle des
propriétaires de la firme.

Rentabilité financière = Résultat net / Capitaux propres

On peut calculer une variante en prenant le Cash Flow à la place du bénéfice. On veut que le ratio
soit le plus élevé possible ce qui permettra à l’entreprise de disposer des capitaux sur les marchés
financiers pour financer sa croissance.

Exemple :

La société Maumille utilise :

 Immobilisation d’une valeur de : 200 000

43
 Le BFR lié à son activité est de 70 000€
 Le résultat d’exploitation s’élève à 32 400€

La société a financé son actif économique à hauteur de 100 000€ par des capitaux propres et le solde
par un emprunt au taux de 10%.

Quel est le montant des Dettes financières ?


Quel est le taux de rentabilités financières ?

Solution :
Les dettes financières s’élèvent à = (200 000 + 70 000) – 100 000 = 170 000 €
Les charges d’intérêts sont donc de = 170 000 x 10 % = 17 000 €
Le résultat net, en faisant abstraction de l’impôt sur les sociétés est donc de = 32 400 (résultat
d’exploitation) – 17 000 (charges d’intérêt) = 15 400 €
La rentabilité financières est de 15 400/ 100 000 = 15 ;4%

3.2.2 Autres ratios

- rentabilité des capitaux propres

= Bénéfice / Capitaux propres

= (Bénéfice / CA H.T.) * (CA H.T./ Capitaux propres)

= (Marge nette) * (taux de rotation des capitaux propres)

- le ratio de rentabilité des capitaux permanents

= (Bénéfice net + intérêts des emprunts à LMT)

Capitaux permanents.

3.4 L’effet de levier financier

Il repose sur l’hypothèse que la rentabilité financière d’une entreprise pour être améliorée par un
accroissement de l’endettement. Il faut cependant que la rentabilité de l’investissement soit
supérieure au taux d’emprunt pour un « effet de levier », sinon on a un « effet de massue ».

3.4.1 Une formule simple

Il mesure l’effet positif ou négatif de l’endettement sur la rentabilité financièrement en comparant le


coût de l’endettement à la rentabilité économique. On va pouvoir établir une relation entre la
rentabilité économique et la rentabilité financière.

44
Effet de levier = dettes totales /actif

= Rentabilité financière -Rentabilité économique


=Rentabilité des capitaux propres -

=> diminution de la rentabilité des capitaux propres


Taux d’intérêt des emprunts > Taux de rentabilité => dégradation de la rentabilité financière due à
l’accroissement de l’endettement

=> augmentation de la rentabilité des capitaux propres


Taux d’intérêt des emprunts < Taux de rentabilité => Amélioration de la rentabilité financière grâce à
l’accroissement de l’endettement

=> la rentabilité est constante quel que soit le niveau


Taux d’intérêt des emprunts = Taux de rentabilité
d’endettement

3.4.2 Une formulation sophistiquée.

KP les capitaux propres DF les dettes financières


I le taux d’intérêts AE l’actif économique
Ré la rentabilité économique Rf la rentabilité financière

Actif économique = capitaux propres + Dettes financières =


AE = KP + DF

Résultat net = Résultat économique - intérêts


= Résultat économique - (Dettes financières * taux d’intérêts)
= Résultat économique - (DF * I )

Résultat économique = Actif économique * Rentabilité économique


= Actif économique * (résultat économique/Actif économique)
= AE * (Ré)

Résultat net = AE * Ré - DF * I
= (KP+DF)*Ré - DF * I
= KP*Ré + DF*(Ré - I)

Rentabilité financière = Résultat net / capitaux propres


= [KP*Ré + DF*(Ré - I)] / KP
= Ré + [Ré - I] * DF/KP

Rentabilité financière sans IS = Ré + [Ré - I] * DF/KP

si on appelle  le taux de l’IS la formule devient :


Rentabilité financière avec IS = [ Ré + (Ré - I) * (DF/KP) ] * (1-)
EXEMPLE :

45
La société Mauville à un taux d’IS de 1/3. Le reste est identique :

 Immobilisation d’une valeur de : 200 000


 Le BFR lié à son activité est de 70 000€
 Le résultat d’exploitation s’élève à 32 400€

La société a financé son actif économique à hauteur de 100 000€ par des capitaux propres et le solde
par un emprunt au taux de 10%.

Sachant que le Ré est de 12%, le résultat net de 15 400€

Calculez la rentabilité financière en tenant compte de l’IS

Solution :

Le résultat net (après IS) = 15 400 ( 1-1/3)=10 267€

Rentabilité financières après IS = Rf= 10627/100 000 = 10,267%

Ou bien

Rentabilité économique= 12%

Ré nette d’IS = 12% x (1-1/3)= 8%

Le taux d’intérêt net d’IS = 10% x (1-1/3) = 6,67%

Rentabilité financière avec IS = 8% + (8%-6,67%)x(170 000/100 000) = 10,267%

Ou bien

= [12% + (12%-10%)x(170 000/ 100 000)] x (1-1/3) = 10,267%.

3.4.3 Le chainage de ratios.

TABLEAU 03-15 LE CHAINAGE DE RATIOS

(Résultat net/ résultat économique) poids des intérêts, de l’IS

* (résultat économique/ CA) taux de marge économique

* (CA/ Actif économique) rotation de l’actif économique

* (Actif économique/ Capitaux propres) poids de l’endettement

= Rentabilité financière = Rf

ou bien :
Rf = Rentabilité financière = (Résultat net/Résultat économique) * (Résultat économique / CA)* (CA/Actif
économique)*(Actif économique/Capitaux propres)

46
En conclusion, les SIG nous ont permis d’avoir une vue d’ensemble sur les différents niveaux de
résultat et il répond par conséquent aux attentes des différents observateurs.

Cependant, ils subsistent des questions sans réponse :

 Une augmentation du chiffre d’affaire peut masquer une augmentation des prix ou des
quantités vendues.
 En cas de charges d’exploitation activées ou transférées, la Va et L’EBE sont injustement
diminué
 Le résultat financier est hétérogène ce qui ôte de la pertinence au RCAI.
 Le besoin en fond de roulement normatif consiste à décomposer le besoins en fonction des
temps d’écoulement et des coefficients de chaque élément composant le BFR exprimé par
rapport à une norme.
 Les experts comptables expriment ce dernier en jours de chiffre d’affaire hors taxe. IL est
vital pour la firme de surveiller l’évolution de ce besoins car toute augmentation de chiffre
d’affaire entraîne le plus souvent une augmentation du besoin de financement d’exploitation
et lorsque cette croissance n’est pas maîtrisée au plan financier elle conduit à un
assèchement de la trésorerie.
 La CAF est un flux potentiel de liquidité, mais ce concept possède des limites liées à la
fiscalité, à l’intégration de provisions sur des actifs circulants et aux redevances de crédit bail
qui la minorent injustement.
 Les ratios servent de clignotant aux gestionnaires et aux analystes externes. Ils éclairent le
diagnostic sur les différents aspects de la vie de l’entreprise, mais ils doivent être manipulés
avec prudence
 L’écart entre la rentabilité financière et économique (Rf-Ré) est fonction de la politique
d’endettement. En effet, l’endettement externe améliore la Rf des capitaux propres si la ré
est supérieure au taux d’intérêt.

47
III La prévention des difficultés d’entreprises.
Certains outils apportent une aide au diagnostique. En matière de prévention des difficultés
d’entreprises, il existe plusieurs méthodes

- Le scoring qui permet de discriminer une entreprise en bonne ou mauvaise posture.


- Il existe des systèmes experts comme la méthode géode
- Des organismes spécialisés qui proposent des notations d’entreprise, de pays… en faisant du
rating ou du noting.

La méthode des scores de la banque de France

Il existe deux grandes versions. Cette idée vient des états unis en 1929 ou les banquiers proposent
une analyse empirique des notations des entreprises en s’aidant d’une batterie de ratio.

Z=a1R1+a2R2+…+anRn

Avec ai les coefficients numérique déterminés par l’analyse discriminante et Ri les différents ratios
introduits dans l’analyse.

Voir polycopier page 5.

Le fichier bancaire des entreprises (FIBEN) est réalisé en établissant une cotation qui comprend une
cote d’activité (lettre), une cote de crédit (chiffre). Ce dispositif est rentré en vigueur en 2004 et
s’appui sur des éléments financiers et non financiers.

Les indicateurs sur les personnes physiques : 000 aucune remarque, O40, attention particulière, 050
attention forte, 060 attention très forte.

La cote FIBEN est demandée pour s’avoir si l’on va accorder du crédit, fournisseurs loyaux…

Le rating ou le notng

Les entreprises concernées par le tarint émettent :

- Soit des titres représentatifs de créances à moyen et long terme : obligations ;


- Soit des titres du marché monétaire : billet de trésorerie.

Les entreprises qui émettent des titres représentatifs de créances à moyen et long terme, qui
émettent des titres sur le marché monétaire sont elles aussi notées. Les sociétés de rating on fait leur
apparition en 1986.

Il existe trois grandes agences qui dominent le marché mondial de la notation :

- Stantard & poors


- Moody’s
- Fitch
- Duff & Phelps.

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