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Marge commerciale = ventes de marchandise – coût d’achat des marchandises vendues (CAMV)
Et CAMV : Achats + frais sur Achats + (Stock initial – sotck final de marchandises).
Elle mesure la richesse créée par l’entreprise, son poids économique est un critère de taille
intéressant, d’autant que c’est un indicateur reprise dans la comptabilité nationale.
1
Sous traitante, location, assurance
2
31
Publicité, transports, frais postaux…
𝐹𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑒𝑟𝑠𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙
Ratio 1 : qui indique la part de la valeur ajouté qui va au personnel.
𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡 é𝑒
Tous les ratios doivent être comparés avec les autres ratios, dans le temps avec les concurrents.
La valeur ajoutée tend à rendre compte de l’efficacité des moyens de production, c'est-à-dire qu’une
entreprise qui ne créerait pas de la valeur ajoutée ne serait pas rentable).
C’est un solde centrale car c’est le point de passage entre les tableaux de flux de fonds et les tableaux
de flux de trésoreries. C’est un élément essentiel pour l’analyse de la rentabilité puisqu’on calcul la
capacité d’autofinancement (CAF) à partir de l’excédent brut d’exploitation.
Excédent brut d’exploitation= Valeur ajouté + subvention d’exploitation – Impôts et taxes – charges
de personnel.
L’EBE représente la part de la valeur ajoutée qui revient à l’entreprise et aux apporteurs de capitaux.
La centrale des bilans de la banque de France propose 4+1 ratios
𝐸𝐵𝐸
Ratio 1 : le taux de rentabilité économique :
𝑅𝑒𝑠𝑠𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠
𝐸𝐵𝐸
Ratio 3 : la part de l’EBE dans la valeur ajoutée :
𝑉𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎𝑗𝑜𝑢𝑡 é𝑒
𝐸𝐵𝐸
Ratio 4 : Le taux de marge brute d’exploitation : 𝐶𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒 𝑑 ′ 𝑎𝑓𝑓𝑎𝑖 𝑟𝑒 𝑜𝑟𝑠 𝑡𝑎𝑥𝑒
𝐹𝑟𝑎𝑖𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒𝑟𝑠
Ratio 5 : Centrale des bilans de la banque de France : 𝐸𝐵𝐸
avec un ratio de 0,4, rien
d’inquiétant, avec un ration de 0,9, l’entreprise risque d’être défaillante d’ici 3 ans.
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L’EBE constitue la ressource qui l’entreprise tire de son exploitation c’est donc le fondement de
l’autofinancent et de la trésorerie générée par l’exploitation.
Il est peut significative puisqu’il fait intervenir les charges et les produits calculé. IL est égal à l’EBE +
les RAP et transfert de charges d’exploitations + les autres produits d’exploitations – DAP
d’exploitation – autres charges d’exploitation.
Ce résultat représente la valeur créée par l’activité de la firme de part son exploitation mais avant
prise en compte des fonds utilisées. Il constitue un résultat économique et est indépendant de la
politique de financement de la société.
Il est égal au résultat d’exploitation + le résultat financier (produit financier – charge financière) +/- la
cote part des opérations faite en commun.
Il est égal au produits exceptionnels – charges exceptionnelles. Il est peut significatif de l’activité de
la firme. On peut calculer les +/- value de cession d’éléments d’actif qui est égal au produits de
cessions d’éléments d’actif cédé – la valeur comptable des éléments d’actif cédé.
Il est égal au courant avant impôt + résultat exceptionnel – participation des salariés – impôt sur les
bénéfices (IS).
En conclusion, ces soldes doivent être analysés dans une approche spatio-temporelle (avec un
minimum de 3 ans).
Plusieurs retraitements sont admis par les analystes financiers et la banque centrale des bilans de la
banque de France concernant les charges externes par exemple.
Le personnel intérimaire (621 « autres services externes » et la participation des salariés (691) sont
réintégrés aux charges de personnel (64) afin de déterminer le coût du facteur travail. On va
constater que la valeur ajouté augmente et l’excédent brut d’exploitation sera identique. La
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participation des salariés lorsqu’elles sont intégrées dans les charges de personnel, l’excédent brut
d’exploitation diminuera du même montant.
Si la sous traitante générale (611) est occasionnel, elle peut être retraitée en achat. Dans le cas
contraire, on peut les retraitées en charges de personnels.
LE crédit bail est le poste 612. Il est le plus difficile à retraiter. Les biens financés par crédit bail sont
traités comme s’ils avaient été acquis par endettement.
Néanmoins, d’autres analystes financiers proposent des méthodes simplistes ou des méthodes
actuaires.
La méthode simpliste consiste à retraiter 2/3 des redevances de crédit bail en dotation aux
provisions et 1/3 en intérêt.
La méthode actuarielle qui est conforme à la norme N°17 de l’IASC sépare les aspects
« amortissement économique de l’immobilisation » et le « service de l’emprunt fictif ». (voir
doc email).
1.2.3 Les divers retraitements
Les charges et produits sur exercice antérieurs figurent dans les comptes de charges et produits
normaux selon leur nature, or cela fausse la nature de l’exercice au temps N. Il faut donc :
Les produits des activités annexes (compte 708) et les autres charges et produits de la gestion
courante (comptes 65 et 75). Ce sont des postes « faux » aussi est il intéressant d’analyser ces
comptes afin de voir si certaines opérations qu’ils contiennent ne pourraient pas êtres affectées
ailleurs.
Les charges de location (compte 613) peuvent être retraitées comme du crédit-bail.
Les impôts, taxes et versements assimilés. On les retrouve au niveau de l’excédent brut
d’exploitation mais deux autres solutions ont préférables et dépendent de la société :
Soit cette charge est une réparation sans contrepartie directe en faveur de l’état : dans cette
optique, on devrait les introduire en ce qui concerne la détermination du résultat net
comptable (comme pour l’IS).
Mais la banque de France considère que cette charge est la contrepartie d’un service rendu à
l’entreprise par l’Etat et dans ce cas on introduit ces charges dans la détermination de la
valeur ajoutée.
C’est la deuxième solution qui est suivie par les organismes financiers.
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Les frais de publicité concernant le lancement d’un produit nouveau peuvent être reclassés en
charges exceptionnelles.
La production immobilisée peut correspondre à un mécanisme d’étalement des charges liées par
exemple à une augmentation de capital, dans ce cas elle doit être reclassée en produits financiers.
La redevance sur contrat de franchise (compte 751) peut être considérée comme partie intégrante
de l’activité de l’entreprise, elle doit être reclassée en production vendue.
La centrale des bilans de la banque de France n’a pas la même conception de la valeur ajouté que le
PCG, car la valeur ajouté est égale à la somme des facteurs de production d’où les quartes
retraitements suivants (qui n’auront aucune incidence sur le résultat final) :
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1.3 La présentation des Solde intermédiaires de gestions (SIG).
Confère polycopier
Décalage entre les achats et leur entrée dans la production ou la mise en vente
Décalage entre produit d’exploitation (ventes) et l’encaissement
Décalage entre les charges d’exploitation et les décaissements correspondants.
Ces décalages entrainent un besoin de fond de roulement d’exploitation. Ces divers décalages
peuvent être mesurés par des rations appelés délais de rotation ou délais d’écoulement ou délais de
crédit.
1. On évalue en jours les durées de rotation des stocks, du crédit clients et du crédit
fournisseurs.
On détermine ensuite un coefficient de pondération en fonction du chiffre d’affaire hors taxe
pour uniformiser les durées, puis les durées sont converties en nombre de jours de chiffre
d’affaire hors taxe en multipliant les durées par les coefficients.
Le nombre jours de CA HT
Nombre de jours de stock=D1xP1…
(Confère doc)
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2. On calcule le BFR normatif en nombre de jours de chiffre d’affaire hors taxe en faisant un
chainage des ratios :
𝑆𝑡𝑜𝑐𝑘 𝐶𝑙𝑖𝑒𝑛𝑡 𝐹𝑜𝑢𝑟𝑛𝑖𝑠𝑠𝑒𝑢𝑟 𝐵𝐹𝑅𝑁
𝑥360 + 𝑥360𝑗 − 𝑥360 = 𝑥360𝑗
𝐶𝐴 𝐻𝑇 𝐶𝐴 𝐻𝑇 𝐶𝐴 𝐻𝑇 𝐶𝐴 𝐻𝑇
3. Il faut convertir le fond de roulement normatif en valeur afin d’effecteur une comparaison
avec la méthode statique et de déterminer le BFR pour un chiffre d’affaire donné.
Il existe d’autres éléments qui peuvent être des ressources de financement ou des besoins de
financement :
Le crédit accordé par le personnel mensualisé et payé en fin de mois (crédit de 15 jours en
moyenne)
Les crédits accordés par les organismes sociaux (URSAFF, ASSEDIC, caisse de retraite), en
principe réglé le 15 du mois suivant
Les acomptes reçus des clients,
La TVA collectée
Les autres créditeurs divers
Les produits constatés d’avance (avances clients).
2.1.2. Remarques
En ce qui concerne les délais, on considère habituellement que les créances ou les dettes naissent en
moyenne au milieu du mois et que la TVA a un impact puisque la TVA déductible est un besoin de
financement et la TVA collecté est une ressource de financement.
On suppose que le besoin de fond de roulement normatif est proportionnel au chiffre d’affaire hors
taxes, or la nature des charges (fixes ou variables) peut rendre nécessaire la prise en compte :
2.1.3. Critiques
3 critiques :
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Il faut être prudent quant à l’interprétation :
Une augmentation des stocks n’est pas forcément un indicateur de mauvaise gestion
Si le crédit client augmente, l’entreprise ne domestique pas ses crédits (parallèlement il y a
une dégradation de la rentabilité), cela peut aussi résulter d’une ouverture de l’entreprise
sur les marchés internationaux ou l’usage est d’accorder des crédits clients.
Notons qu’il n’y a pas unanimité sur le calcul de la trésorerie nette en fonction de l’écart
entre le fond de roulement normatif et le besoin de fond de roulement dû au problème de
l’arrêté des comptes. C’est pourquoi on privilégie la vision normative.
On va passer d’un flux de fond (EBE) à un flux de trésorerie (ETE) correspondant à l’excédent de
trésorerie d’exploitation nécessite la prise en compte de la variation besoin de fond de roulement
d’exploitation.
Un ETE négatif indique que l’entreprise vie une situation critique. Certains corrigent l’ETE du montant
de la production immobilisée.
Les ratios sont des rapports entre deux grandeurs que l’on exprime généralement en pourcentage.
Un ratio ne s’étudie pas seul mais au sein d’une batterie d’un ratio, de manière spatiotemporelle. Il
faut également tenir compte de la nature juridique de la société étudiée, c'est-à-dire de la taille, de
son vécu, de ses ressources humaines ou encore de son environnement.
NATURE
FORMULES INTERPRETATIONS
RATIO DE STRUCTURE
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Dettes financières
Capacité de remboursement L’endettement ne doit pas excéder 4 fois la CAF
CAF
NATURE
FORMULES INTERPRETATIONS
RATIO DE RENTABILITE
Résultat de l’exercice
Taux de marge nette Bénéfice net à partir du chiffre d’affaires
CA HT
NATURE
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Dettes à + 1 an et à - 1 an l’actif.
Dettes financières
Liquidité générale L’endettement ne doit pas excéder 4 fois la CAF
CAF
NATURE
FORMULES
RATIO CBBDF
Capital d’exploitation
Coefficient de capital
VA CDB
Investissement productif
Taux d’investissement production
VA CDB
Financement stable .
Couverture des capitaux investis
Valeurs immobilisées + BFRE
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NATURE
FORMULES INTERPRETATIONS
RATIO D’ACTIVITE
Partage de la Valeur
Charges de Personnel Mesure la part de richesse qui rému-
Ajoutée
nère le travail des salariés
VA
(Facteur travail)
Partage de la Valeur
Excédent Brut d’Exploitation Mesure la part de richesse qui rému-
Ajoutée nère les apporteurs de capitaux et à
VA renouveler le capital investi
(Facteur capital)
Durée moyenne du
Dettes fournisseurs + comptes rattachés * 360j Mesure la durée moyenne en jours
crédit fournisseurs du crédit consenti par l’entreprise de
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Achats TTC la part de ses fournisseurs
3- La rentabilité
L’appréciation de la performance financière confronte les résultats au chiffre d’affaire hors taxe. Il
faut que l’entreprise génère suffisamment de bénéfices pour couvrir ses charges fixes et variables
afin de dégager une marge.
Rentabilité d’activité :
- le ratio de marge brute = (CA H.T. - Prix de Revient des marchandises vendues) / CA H.T.
Le taux marge brute d’exploitation qui indique la performance de l’entreprise ainsi que son aptitude
à générer des ressource de trésorerie. Si la baisse de ce ratio est forte, la situation financière de
l’entreprise se dégradera.
Le ratio de marge nette est un indicateur de l’aptitude de l’entreprise à réaliser un bénéfice à résister
à la concurrence.
La rentabilité économique mesure la capacité de la firme à s’enrichir, elle doit être la plus élevée
possible.
Elle mesure l’efficacité de l’outil économique utilisé par l’entreprise pour son exploitation courante.
Le résultat économique est la somme du résultat nette + IS + charges financières= bénéfice après
intérêts et impôt (BAII)
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C'est-à-dire le revenu engendré par l’actif économique.
L’actif économique (moyens mis en œuvre)= somme des immobilisations d’exploitation et du BFRE
= capitaux investis
= capitaux propres + dettes financières
= immobilisations nettes + actif net d’exploitation (annexe)
= immobilisation nettes + (actif circulant – dettes non financières et provisions pour risques et
charges).
Il est calculé à partir du bilan financier.
Elle mesure la rentabilité des capitaux propre, c'est-à-dire la rémunération potentielle des
propriétaires de la firme.
On peut calculer une variante en prenant le Cash Flow à la place du bénéfice. On veut que le ratio
soit le plus élevé possible ce qui permettra à l’entreprise de disposer des capitaux sur les marchés
financiers pour financer sa croissance.
Exemple :
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Le BFR lié à son activité est de 70 000€
Le résultat d’exploitation s’élève à 32 400€
La société a financé son actif économique à hauteur de 100 000€ par des capitaux propres et le solde
par un emprunt au taux de 10%.
Solution :
Les dettes financières s’élèvent à = (200 000 + 70 000) – 100 000 = 170 000 €
Les charges d’intérêts sont donc de = 170 000 x 10 % = 17 000 €
Le résultat net, en faisant abstraction de l’impôt sur les sociétés est donc de = 32 400 (résultat
d’exploitation) – 17 000 (charges d’intérêt) = 15 400 €
La rentabilité financières est de 15 400/ 100 000 = 15 ;4%
Capitaux permanents.
Il repose sur l’hypothèse que la rentabilité financière d’une entreprise pour être améliorée par un
accroissement de l’endettement. Il faut cependant que la rentabilité de l’investissement soit
supérieure au taux d’emprunt pour un « effet de levier », sinon on a un « effet de massue ».
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Effet de levier = dettes totales /actif
Résultat net = AE * Ré - DF * I
= (KP+DF)*Ré - DF * I
= KP*Ré + DF*(Ré - I)
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La société Mauville à un taux d’IS de 1/3. Le reste est identique :
La société a financé son actif économique à hauteur de 100 000€ par des capitaux propres et le solde
par un emprunt au taux de 10%.
Solution :
Ou bien
Ou bien
= Rentabilité financière = Rf
ou bien :
Rf = Rentabilité financière = (Résultat net/Résultat économique) * (Résultat économique / CA)* (CA/Actif
économique)*(Actif économique/Capitaux propres)
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En conclusion, les SIG nous ont permis d’avoir une vue d’ensemble sur les différents niveaux de
résultat et il répond par conséquent aux attentes des différents observateurs.
Une augmentation du chiffre d’affaire peut masquer une augmentation des prix ou des
quantités vendues.
En cas de charges d’exploitation activées ou transférées, la Va et L’EBE sont injustement
diminué
Le résultat financier est hétérogène ce qui ôte de la pertinence au RCAI.
Le besoin en fond de roulement normatif consiste à décomposer le besoins en fonction des
temps d’écoulement et des coefficients de chaque élément composant le BFR exprimé par
rapport à une norme.
Les experts comptables expriment ce dernier en jours de chiffre d’affaire hors taxe. IL est
vital pour la firme de surveiller l’évolution de ce besoins car toute augmentation de chiffre
d’affaire entraîne le plus souvent une augmentation du besoin de financement d’exploitation
et lorsque cette croissance n’est pas maîtrisée au plan financier elle conduit à un
assèchement de la trésorerie.
La CAF est un flux potentiel de liquidité, mais ce concept possède des limites liées à la
fiscalité, à l’intégration de provisions sur des actifs circulants et aux redevances de crédit bail
qui la minorent injustement.
Les ratios servent de clignotant aux gestionnaires et aux analystes externes. Ils éclairent le
diagnostic sur les différents aspects de la vie de l’entreprise, mais ils doivent être manipulés
avec prudence
L’écart entre la rentabilité financière et économique (Rf-Ré) est fonction de la politique
d’endettement. En effet, l’endettement externe améliore la Rf des capitaux propres si la ré
est supérieure au taux d’intérêt.
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III La prévention des difficultés d’entreprises.
Certains outils apportent une aide au diagnostique. En matière de prévention des difficultés
d’entreprises, il existe plusieurs méthodes
Il existe deux grandes versions. Cette idée vient des états unis en 1929 ou les banquiers proposent
une analyse empirique des notations des entreprises en s’aidant d’une batterie de ratio.
Z=a1R1+a2R2+…+anRn
Avec ai les coefficients numérique déterminés par l’analyse discriminante et Ri les différents ratios
introduits dans l’analyse.
Le fichier bancaire des entreprises (FIBEN) est réalisé en établissant une cotation qui comprend une
cote d’activité (lettre), une cote de crédit (chiffre). Ce dispositif est rentré en vigueur en 2004 et
s’appui sur des éléments financiers et non financiers.
Les indicateurs sur les personnes physiques : 000 aucune remarque, O40, attention particulière, 050
attention forte, 060 attention très forte.
La cote FIBEN est demandée pour s’avoir si l’on va accorder du crédit, fournisseurs loyaux…
Le rating ou le notng
Les entreprises qui émettent des titres représentatifs de créances à moyen et long terme, qui
émettent des titres sur le marché monétaire sont elles aussi notées. Les sociétés de rating on fait leur
apparition en 1986.
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