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8 JUIN 1867 RIO DE JANEIRO 2 RATACHAN CHINOISERIE FRANCO-BRESILIENNE PARAISSANT LE SAMEDI. ADMINISTRATION BT REDACTION, RUE DO OUVIDOR, 169 Ge TAGE) Prix de Va Rio de Janeiro ot Nictheroy 29000. ‘On sabonné dor 36 5 M. Gi Jbonnements partent du ter de chaque mois. BA-T es quatres pages de roma chaque sei avee I J, sont une prime offerte (A-CLAN ses al 1 pas] A Ia Gazette du Hrésil En lisant le prem edu Brésil a fullise trouver mal Son nerf olfselif, habitus aux parfams délie venjoin et de Vessonco de hergamolte, n'a pu supporter Vscreté de nos plaisanteri cuisine. Quo voulez-vous ? Ia Gazette est régence stolons rougys, larube & paniors,la mouche et Vail d poudre ila maréehale. Etpuiselle n’sime pasa rire, cette pauvre Gazette Hire! fi done! et sa dignité! Aprés avoir sonné Lafleur, Picard, Jasmin et Com pour leur intimer'ordre do porter & Vofliee eette petite horreur dechinoiserie numéro de Ba-ta-clim, Ia Ga 15 du lle pris uno foullo de papior ambré, a trempé sa plume sans une enere rose parfumée re auz Chinois, ile. uvélivert ot nousa déeoché sa Pre sur Vaiede la Marquise de Pretin Vaves-vous lu? steoquet, ison Tes couplet deson patron swéusrable Gazetle,vous vou la pose Vous voulez done avaler eo pauste petit ehinvis come me ca, d'un seule bouchée wlez dome la fa 1c Bactacclan | Voy. ns, marquise, pardonnez-nous Ja libotié grande, Vous aves Voir d'insinuet que Ba-fa-clan ignore ses Depuis quelque Journaux nsissent est comine un b issenlits Vousaveztort, Buel te, a dit Que e'est comme fur entrep) L'a yas voulu, en reproduisantlitiéralement, & pr Uy uplus, sa eomparsison est « en A-CLAN Estit un journal dans le monde Dont on pourrait en dire autant | Vou Ba-ta-clan, me disait an home il, vous avez grandement tort i eallaboration), je eroyais Stnion des niais, jo me tampaiss Bu-ta s dites unsuite, chore marquise, « avant d'avoir lu sprit si vous cone naissez des hommes ¢ dene ps que Tes homrn Tour demander | jan ma prouré que ce sont des idiots. » Cast sans dante du eorvean de eet homme desprits tenant les sutees pour des ninis, qu'a da jail un beau matin lidée de fonder In Gazette. Si Ba-facelan lui a prouxé qu'il n'est qu'un idiot illui a rendw un service ar sichant parfaitement qu'elle est sa mnala- dio, il pourra se guérie Quant auxlrquais que « insolent ot s'éparguet le ridicule ennui de Vétre tui mem Cest une race qu'il Aétoste; du restesos moyens ne lui per- mettraiout Hey comme un dentist, un pédicure au an ‘-ta-elan paye pour élee as de les eutretenir » loi mee, est toujours 3 lui méme, parlanta sa personne — come ime disont ces guenx d'buissiers — que tronverout a alles wntrownnes quilui feront Uhonneur lle emviser avec lui la pyinle.... de lene plune Ae Ariequim Vindiserétion d'un du ts eo n'a permis de avant Ia leltre de > de eo jour tu adresses das ton nium Jo ter de tes félieitotions Ta mn’as compris, Nous rirons done ensombl batifolerons dans tos champs do Ia fantaisio et de le On m'accuse, dis-tu, do top me encotiser! Mais de- puis la création, n’estce pas la eocotte qui gouverue Te monde? Eve no faisit-elle pas la eogotte, lorsqu’a Vinstigetion du serpentello invitait Adam A gonter a la pomme ? ai tonite se axles Athi 02 Pheyné, | Qui fait la gloire du rigue de Louis XIV? madame ions, 08s rois Aspasie : trois cocottes. Jd Montespan, une eocotte We haute volée, mais reuse fille, Qui 9 ca vers? tne coeit mbéguinge, inadame de Maiutenon du Parogesy ne § yeh, une eovote Que celui qui 1 rifié 2 eotte divin adurer | BATA dom’expy ups. Je Yavoucrai donefanc jen , comme labrille, je butine de ment que Commerson est mon auteur favori, inspire du Tintamarre de la, prenant mon bie Qui ne pille pas un. pe ‘quante ans les journalist tig iventils pas cli oi jole trowv fence monde ® Depnis ein- 1 Tes sérioux ateurs po 8 n'6e ° mes articles t que personne ne les éeonte ni Tu as résoin mon probléme, je n’en suis pas épat Tu es dn nombre des Tectours pour lesquels je fais une] exception ; malheurousement pour moi, tu y réponds| run ealenibourg an quel je ne pois risposter, n’e ayant pas en ee mom ns In main, rit facile, aissimplement: tute eroiesinvilnérable, ‘Ob si ty Gis une femme , Jote: quete aslo cour sans vible, ta fais eopendant une fee poupée. Mais tu n’es qu'un homme et je te la broie Ba-ra-cuan, Dictionnaire de Ba-ta-clan Depuis q Leargot di ques années Ja langue frangaise dépérit evient V'ididme du jour, nos salons retentis- sent chaque instant des mots Tes plus recherehés du Vocabulaice dela Cou Tu peur Cfouiller, Ww et ta at 8 expressions recherchées par les membres du corps diplomatique des miracles. ¢ la fais i osell sur! elo, efc, tolles sont aujourd'hui dans loves relations oficieles sil efi gémit, mais elle se sent impuissante & remédier au mal. Bins de eet iat do choses, les rédactours de Baca lan ont eompris que Vabsenco d'un Di rious était 1a cause de co. dépséris ent. Is se sont sasement misaVceavre, et ils liveent aujourd'hui aux classes sisées et Ia jounesse studieuse, a qui ils sont) las spéciale s premiers fruits t nt digs, aus ot de leurs veilles, Homme Tours ples et modestes, les auteurs a'ambition- res, ni dScorations. Fiers d'un dexoir accom. pli transmettre leurs nom: dos. statues, ils laisseront anx générations futures Ie soin de i la postérité et de leur élever du papier et qui rapporie des dane le quel on sdme #8 des Cause. — Animal qui n'a pastoajouts un bosse sur le dos, Dor ra CLAN Haverye, — Petit instrument nécesssre eux eordonniors ct la respirati Orcsux.— Paate ¢ et donlourense qui vont aux Oc— Pavtcale et mésal, La particule ost générolement lemélal, 2 de cor Vasage dos Abphant, Test t8 sorte Vien | Ha nouvel A LPUSAGE DES GENERATIONS FUTURES. Frappé duromollissement de malheureuse époqn Jaga tu qui distingue notr Ba-ta-clana tout bonnement déei 16 en remetiant au jour— apres les Ia modo — les immortels principes sanver In socié | avoir fait habiller | de 89. Non, don morale en action. Test évident —demandez. le plut de Olinda — que notre sitelo V tout, dopuis l'efieacité du sirop de salsepareille du doc- tour Ayer ot In sinedrité des journalistes, mits du pouvoir temporel du pape effrayante rapidité vers un af Notro misérable gndration ne respecte plus rien, tien! rion I AM. le marquis airien, qai doute de josqu’a la ronle avec une Nous en sommesarcivés ées, In vertu des foram In Croix, bluguer tes chosos tes plus etle miracle de U6 Bneore deux cents ans de ce régime, etnousserons Are ot Ia poude porvertis pour traitor fnité de Jeanne bala Ga na pout pas durer, il est temps de calerlarou Ba-ta-c Aévoue. Ilva publi nération henoitonne, série di quell i entondre sonner Ia premidro henre du vingtiéme sitele, pourra pulser les salutaires préceples de morale et deci ‘quels elle méritera dela postéri | Whaleine nous manque, mai | Emprontant aux tune phrase qui n engageons —Lospoir de notre race, — une conseils, exemples et renseignements, dans le Ta jeunesse qui est appel Ios... le ecour y est mpagnies d'assnrances sur la vie sa toujours paru splendid ment les péres de fa abe a | oupent de? tard & Ba-ta-cl Je soin de sur les moubles, a la portée de leu jv Quillsy pensont | mir de leurs enfants ersans 1 1 A avoir ce trainer Lbumanité n'est pasereore perdue, mais nons ero- yons qu'il n'est que temps. Reeweill Fais-moi un peu le plaisir de me dire ce que to Touves de drole chez e — Or que j'y trouve de drdle? Parilet ! co sontles hommes ! 11 est incontestable que nous naissons sans avoir de-| mands 4 naitr Pactant de li, nous ne devons tion la sociét outraire, Une fois au monde, nous devons nous occuper uni- jpinent de nous proeurer le plus facilement possible tout fe qui nous est vtile etagréable, sans nous assujettir 3 un tas de exquineset toutes de conven les on donné le uom de onsideéretions lida, auxq) Honndteté, Respect du bien d’autra, et Tout ce ete que I terre produit sppartient a Phomme qui sait le prendre Onn'a riensans pei procurer ce que lon désireen faisant travailler les au~ To but dela viewst d'e rsonne n'étent plus semblable 4 svi que soi-1ném t de Ia vie est de s'tre ule a soi-méme, . Thome doit marcher droit & son but, ortune, en Gvitant de sembarrasser lesjambes tas dobstacles que le gévie du mal a semés sur ule son semblable. Or, mn passogo et dont les plus dangereux sou la fierté, lo owur et esp | Ine doitjamais perdre de-vue son but. Pour Vatteindre plus vite, il marchera sur ses cempa- | gnons plus faibles et se glissera sous les coudes des stro. Sa fortune atteinte, il briguera les honneurs ; moins qu'il n’ait brigaé les honneurs pour atteindro la fortune. Le lingo, c'est "homme Le linge est une demi-vertu, est aussi impossible un misérable de chonger de conduite que de chemi. | Metter a chaussettes & un garcon eoiffe ez un homme yous aver pas de chemise, porter une cravate Tongue et un faux-col en papier, mais alors éviter Water votre gilet dans le monde, Le mouchoir de poche est quelqnefois utile, mais il n'est pas indispensable. Brutus se mouchait sur sa man vee le ot Voreingétorix doigts de ses aides de eamp Lhistoirene lour on a pos fait un erime Dans les petites soirées bourgooises ot: Yon est trbs rueule, on sen sort généralement. Mais,dan Tout est le grand monde,il est ineonnu. On y ren {ne ASX Portraits en pied de la rédaction de Bacta-clan, d’aprés les photographies de Pacheeo, rue do Ouvidor, 102 Dw CHOWK DES Aas, | Cotte pensée ne s‘applique qu’a quelques-uns de |nos abonnés. Vhomme avisé doit chercher a se fsite de ainis, pour Temae clea reine eu tate ae ee Yunique raison qu'il pout en avoir besoin. ase Colte vérité posde, il doit les choisir riches et influ-| Ona effin quo cee pessée Gait de mademei ee Yoviont ee Solange. Mes compliments bien sindtes. Ves prendra six cans enfons pour avoir la pers] — Si le Mont de Pidté tat en eaoutchoue, it pr ae (atone Bb a ree cat al ae al eee ea hla cops Mnpmired gee eae des mines de cuir de Russie ou du chemin de fer tran-| regrette Gnormement de Vavoir formulé, ta ane et ater nee ee SU ener "Catan soon, Tee ag, = ME PC epee ean Sian. hi : ae fants, car c'est les exposer tot ob tard a la lecture Ah oui... Un te... mesomble que j'si connu| 44 Joel do Commercio. aa | = Il vaut_ mieux danser Ie cancan que d'en faire Cette pensée a été ramassée sur Ia sedne par le ron do théatre de V'Aleazar. 2 Clee sured oeogealore aubbd® iG por rat manquer de fous Cet pense os un Joune enfin do mes ais qui 4 |aoune les plus belles espsranees, eee eucicenmuce. Beaucoup de maris croient voir une corne ax Bene ge aa arden: aissat | pace Lainie SEE Naame Siimaginent pss éire devant un miroir. wie les leeteurs de Ba-ta-clan de croire quiils BA-TACLAN Staient loin de ma penséo, quand colle-ci s'est présen-| Note eeplicative pour les abonnés de 14 Seman te aw bout do ms plume usTAADA La réalité est Le corbillard des illusions. | DIX NEZ, Yai pear que cette penis ne soit une tite 46. MON] 55645 psotn co probléme | Madomoiseli Virginie Personne, de1'Alcazar. Ceux qui n'ont jamais simé sont & plaindre, car| yf Adolphe Hubert ils peuvent s' laisser prendre. aie pallens Ceite penséo est da Vamant de mademoiselle D.... qui I's laisé échapper en sépanchant dans le gilet de fla nelle de Mil. Mademotsells Virginie Personne résera, pendant ‘hoit nuits, qu'un arr8té do police vient de défendre, sous peine de mort,aux dames de V’Alenzar, lorsqu'elles se livreront a une danso de earactire plus ow moins chovelée, de donner du pied dans!'ail de leur eav cazar en rebe de chambre [hier, i moins que la taille do eos derniors no soit infé- rieure a cela d'un tambour-inajor. M. Adolphe Hubert eomtinuera & éerire, chaque di Woon manche dans le Jornal do Commereia, au prix de 160 PHOTOGRAPHIES 1A PLUME La personification du thie lyrique francais, Quand on| Peis la réelarbes pove Vabbé Janrard parle de mademoisell AimGe,on vout dirol’Aleazar. Sa grand»| Bactacclan n’inflige pas pout cette fois de pénitence dress solution Geen ent bs 906% reprsentalon to: «(est lorqu'l powt poiser a méme dans Ja ‘Uno physionomie provoquate, dos yeux omens pétons| wbatibre de som voisin, a Vinsu de co dernier, » Wat Eouat alee tr ico pba ats revs pai que’ cote stlulion deoods pez pop aout an rePs 40 do caisson ortilors, un nex fin comme sn jew ov #5) pect do Ia propriété d'autrai que Lon ne saurait trop en popolarité ainsi que celle du théttre date @'Orphée aur Znfers| A mademoiselle Solange qui lui a Fepertes, une bouche mignonne, Jes épaules et une jambe| arisit,ajouterb eela une bonne voix et une paraite intelli excy de la sebno qui lui faitdevinor 0» qu'elle n'a pas appris, nonLar. fn fan pos por rus an thio 2 Las sucss au poure| 4 quel jeu lee adversaires ont-ils toujours Pair sbiais mademiselle Ainéo sur ls suimes paisonnenot ole | ys Yigpyter? tera tit ou tard appelée,a'étonneront done pas les ait de Aleazar Lyrique Par ia talent hors ligae avec lequsl_mademoiselle Aimée a jou Io le de Boulots dans Barke-Blove, uve doses draidres| Bourriche. rian cate artist ® prowné quvon pouait woot erpter] ys yung femme msigr et infdéle, Un de ses lle, On avait por denaitrement do dépar, als Pedminie-| 4,55 1yi demondait pourquoi il n’employait pas la mé- tmais moi, je travallerais, pour le plalsic das autres, ce qui est bien différent | Casse-té | x Les lectours do Ba-tacclan ont ripondu avec ompres-| _SiademoiselleS.....de1'Aleazar,oyant a remplir dans Fea ee ccna ates sont tenves tui prowvr quel 8 Présentation générale dans une toilet (abate ait pas aus complet que pourat te| Bie ue ls derazes gravares du Journal dela Mode, Bien qua les solutions présentées soient pour la plu-[ivaliser aveo les plas élégantes, part manquéos au scenu du erstinisme le plos avaned, | — Quoi Cestla votre costume? lui dit le régisseu it pense que rien n'est encore désospéré Jonné, J yous avais coponlant prévena qu'il vous |fallait une robe meyen-Age mnovutae Peovost SameDT DERSIER | — Msisit mosemn insteuetions que je me suis conforméa a vos Quand est-ce qu'un priseur consomme le plus 3 % = ILn'y parait No m'avez-vous pas dit: mademoiselle, vous sav Rerosst |qwit vn ot you ete pisceuncobome myeedge Quand sta ding | =a bien ee BA-TA-CLAN = Eh bien! un costume moye il mo oquel fespére bien avoir a grande médsille & Yex- Somble, si je connais la valear des mots, un eostame| pos aqui n'est ni vieux ni vont, Et ils s'arrét@rent duvant que Vouveier ve Lerigissour rit de la réponse, mais ne fut pasiésarme; | nait do quit ilinfligea une amende & Vartste qui soutien | Le patron s’assiod. Vavoie pas encouru, Derridre Ini, egmatique, le noble Respectons ses illusions, ebout, éonntait Te patron se met en devoir de presser les touche: niesse, comme c'est fl Rien ne sor — Vous llez voir quelle pureté de sons, quelle fi- Mademoiselle Barbottidisat avanthier a la eépétition i madenoiselle De Be pe Etonné, M. X... souléve vivement le convercle et se perche pour examiner. L'Anglas se ponche avee lai — Oh! yes! oh! yes! je voyais trés bien, fatal on se collont le carreau dans Veil, ecui-ci, ett la eonnais, ma ch?re Jeanne, donne-moi done| sse do co famenx cardwr de Rabelais dont on parle tant, jo yeux Tui faire arranger un do mes ma- oats piano-closet Yous eontoraijo Phistoie qui vient de m’étce rappor | SRR ae tée? Jéprouve des scruy Non, quello soit graveleuse! Taut s'en faut. Tout au plus pourraiton necuser d'éire un pew trop... | lyrique fromis.—Rion do bien saillant pendant lo semi: ‘Thédtres. mali Jui vient de s'écouler. Ce théatre vit prineiéremient sur Mais bast! Je brave le sclioking de mes lectrices, et *™ ede oti por, on and a jai vio. |e ne de son direcwur,M, Arnaxd,qui nous rapporte Ta sednio se passe A Paris, chee un eéltbre factour de °2 Pats es nouveautésthétraes et amine avee lui quslques artistes chofsis.Bion que la taupe actuelle wait pas besoin d pianos, Brard ou lun de ses eoufrores, & votre ehofs. peal se renfort, eas nouvelles rectues seront bien secuoilis, Un ouvrier ayant passé en orgie un jour dela somaine, Sait venu le dimanche matin davis Vatelier du pateon,| larique Fleminense.—Le suects des tabiemx vivants dol testa aac capaiee ie walneal io Kel ajourd'hut un fait aecompli Le publi Wecavaillait seul & Taeheveient d'un piano magai- | een plus nombrenx & chaque représentation, moi rene ciation ute ses applaudissemeuts son adwiration pour le genie artis Jtiauedqui préside A la. conception des tobleoux, pout le (On en foit de toutes sortes, aujourd hui iS Ae ae Il travaillait en homme arrieé qui veut se rattrapor |°** * Sate phe promptement Touta coup, ils‘arréte pale, ému, treublont Deux gouseanx tab eau, K jour ef la mui ot le quatre si eae Gym rng. = Co hie dona wort eraler Sortir? le patron peut le voir, Ini demander ce qu’il|® Geiatode Lisbon, traduction du Gamin de Paris, une des fat, il faudra avouerV'seapale do ta semaine. Tout] =rsbls erations de Bouts! M, Vaqoeschaged rie justement M. X...se proméne surle perron, & deux pas| #° Joseet te gamin, toatén Vinterpritant ayes un talent xéel dela ports viteée, avec un noble étranger (ur fire + = Qe quil ft. Un piano, c'est une eaisse, apres tout, bien close... | souviens pos 'avoir vumieux rondu sur los scbnes porisieane mn 4 pore un pen oulré le cots eonsique, mals je nal q ges sans resteetion donner & M. Furtado Coelho qu ait le général, Cot artiste a mis tant d*Ame, de"ehaleur, semimentjen méme temps que de naturel, dans eo rdleod il Et puis eala peut se motire sur le eompte d'un autre. |par nos sommtés atsiques, Allez done chercher parmi trois cents auvriers peot-dtre! | Par le devuiercoweror d'Rurope, M. Furtado Coetho a Bref, Touvrier fit... ce quia sa place yous auriez apple Lisbonne pou sies emplois au thet peutttre fit mal, Espéons gul décliners cet houneur et qu'lrste Dix minutes aprés, lo patron so présente, suivi da| Pata nous * ti fie Albion Tr ltendnnt samt, enddrome tie du roman de Po ble étranger . on du Tosril, le Gymnas reprend o Hemors0 Vito, le suee Laissez-nous, dill Vouvrier Vouvrier prend sa easquette et Sener la Famille Benoite = Je vais vous montror différents modéles, con inue le patron en s‘adressant a mylorl. Voiei le le pia no-seerétaire,woici le piano-bitlard, voici le prano-lit, | —. Say Yoiei maintenant un piauo d'une espe nouelle,.. pour| Imp. et lith, de Ba-ra-cian, rua $. Antoni

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