Escolar Documentos
Profissional Documentos
Cultura Documentos
15/04/2007 au 15/06/2007
Remerciements
À Monsieur Thomas Coulomb, mon tuteur au sein de l’entreprise, pour m’avoir suivi tout au long
de mon stage et qui m’a permis d’être a l’aise au sein du service.
À Monsieur David Trichard, pour ses conseils durant ses deux mois de stage.
À l’ensemble des autres personnes d’Adverline qui n’ont pas hésité à m’aider lors de mon stage :
Equipe Technique, Equipe Commerciale, service comptabilité.
À l’ensemble des Sociétés d’Adverline avec qui je me suis bien entendu : Optelo, Kelprof,
Societé.com, Oldiblog, Top départ.
À Monsieur Emmanuel Dubois, pour avoir assuré le tutorat universitaire de ma mission. Merci
pour votre suivi.
Synthèse
● Réalisation d'un centre de documentation indexé avec moteur de recherche, aide en ligne, Foire
aux questions. L'objectif est de mettre à disposition des rédacteurs un support technique
dynamique et administrable par un non informaticien.
Observations
Ce stage a été pour moi une première véritable confrontation avec le monde du travail. Le fait
d'assumer dans un contexte professionnel l'intégralité d'un projet informatique m'a vraiment plu.
Introduction
1. Présentation de l'entreprise
Il y a 3 ans, Adverline fêtait sa première année à l’équilibre financier. Régie publicitaire on-
line, Adverline est l’une des seules régies publicitaires on-line en France, et probablement en
Europe, à atteindre l’équilibre sur une année pleine.
Aujourd’hui, Adverline fête ses 7 ans d’existence et affiche une très bonne santé, comme le
montrent ces chiffres clés :
• Chiffre d’affaires 2006 : Plus de 8 millions d'€uros (soit une croissance de + 107% par
rapport à 2005)
Adverline est donc aujourd’hui la preuve qu’il est possible de conduire une régie publicitaire
on-line à la rentabilité, et même au profit.
Adverline est une Société Anonyme à Directoire au capital de 1 045 381 euros, fondée par
Loïc de Kerdrel et Charles Costa de Beauregard en Janvier 2000.
Métier :
– Diffuser sur son réseau constitué de sites Internet de moyenne audience, des
publicités pour le compte d’annonceurs.
Objectifs :
– Générer des revenus pour les éditeurs
– Rechercher de la visibilité pour les annonceurs
Métier :
– Mettre à disposition gratuitement une technologie de micro paiements pour les sites
éditeurs pour faciliter la vente de leurs contenus
Objectifs :
– Permettre aux sites éditeurs de générer de nouveaux revenus.
Une croissance fulgurante des investissements publicitaires sur Internet dans un marché
global stable
Un média impactant :
• Un taux de mémorisation important
• Une capacité de ciblage multiple : horaire, géographique, comportementale…
Un media mesurable :
• Des outils de suivi en temps réel des campagnes
• Une efficacité d’impacts et de retour sur investissement pour les annonceurs
Un media comparable :
• Internet bénéficie aujourd’hui des mêmes outils de mesure d’audience et de
notoriété que les media off line (médiamétrie, Ipsos)
36,4% 37,4%
31,0%
20,0%
17,0%
3,5%
TV Presse In tern et
Sources: EIAA 2004 pour la Consommation Media, Ad Barometer Report 2005 pour les investissements
publicitaires
On remarque que la consommation media est assez importante dans les domaines de la
télévison, de la presse et d'internet.
1.4. La concurrence
La
filière sort donc de 10 années fastes. Ce marché suit scrupuleusement la croissance économique, en
anticipant les crises et les reprises. Tous les acteurs de la filière sont intimement liés. Toutefois,
Adverline bénéficie d’un avantage concurrentiel en cas de crise : en optimisant le coût des
campagnes pour les annonceurs, l’offre devient alors non seulement un complément aux régies
traditionnelles, mais aussi une alternative.Adverline a su innover en répondant à un nouveau besoin,
exprimé par une cible d’éditeurs pour lesquels aucune offre n’existait, leur permettant d’accéder au
marché de la publicité on-line. De plus, la société a su offrir, par sa compétence métier et sa
technologie, des services à valeur ajoutée mis à la disposition des centrales d’achat : mutualiser des
campagnes, créer des bouquets, optimiser en temps réel les campagnes, acheter de l’espace en ligne,
etc.
Par ailleurs, la force d’Adverline est d’avoir su fédérer plus de 10 000 éditeurs sur un marché
difficile d’accès, où les négociations pour créer un bouquet cohérent de thématiques sont longues.
Les clients d’Adverline sont à 80 % les centrales d’achat et 20 % les annonceurs en direct. Certains
clients ne disposent pas de centrales. Adverline démarche parfois le client final en direct, l’objectif
n’étant alors pas d’outrepasser la centrale, mais de faire en sorte que le client incite sa centrale à
utiliser les services d’Adverline.
Adverline est à l’origine, en France, des régies à la performance et en est aujourd’hui encore
l’unique représentante, que ce soit sur des problématiques de transformation, de génération de trafic
ou d’image. (annexe 1: analyse des différentes stratégies de régies.)
L’analyse de chacun des secteurs nous conduit à mettre en évidence les forces et les
faiblesses des concurrents d’Adverline.
Il s’agit de proposer aux agences d’achat d’espace différents supports pour des campagnes
publicitaires on-line. Adverline propose plusieurs niveaux de personnalisation, qui sont autant de
critères de détermination du prix de vente. Le support le plus vendu est principalement la bannière.
Celle-ci est commercialisée au CPM, au Clic.
Le micro paiement est représenté par la société Optelo racheté par Adverline. Les clients d’Optelo
sont souvent des éditeurs Adverline et Vice versa.
• Principe et offre :
Adverline possède d’autres activités comme l’emailing, les liens sponsorisés, gestion de
base d’adresse email. Elle a racheté de nombreuses sociétés:
Le revenu est tiré de la différence entre le prix de l’espace vendu aux centrales d’achat et le prix
d’achat de l’espace aux éditeurs.
La marge brute sur cette activité se situe entre 30 % et 50 % alors que les standards du marché
oscillent entre 20 et 30 %. Le positionnement d’Adverline est à l’origine de cet écart : les
négociations sont plus faciles avec les éditeurs de sites de petite et moyenne audiences. De plus, les
technologies employées sont largement moins coûteuses : ainsi, le coût de diffusion de 1 000
bannières peut atteindre 0,45 € à 0,60 € pour certaines régies, alors que la moyenne du marché est
proche de 0,15 €, et que le coût pour Adverline est de 0,02 €.
La contrainte majeure pour les régies publicitaires concerne la gestion de trésorerie. En effet,
les annonceurs règlent généralement leurs achats d’espace sur la base d’un contrat qui propose un
règlement « 30 jours fin de campagne ». Pour éviter de lourds frais financiers, Adverline a choisi
d’imposer aux éditeurs un règlement à « 60 jours fin de campagne », à partir d’un seuil de
déclenchement de 100 €. Beaucoup de petits éditeurs mettent plusieurs mois avant de dépasser ce
seuil, ce qui est un avantage concurrentiel important pour Adverline. Ces conditions sont
exceptionnelles en comparaison avec les conditions imposées par les grands éditeurs aux régies qui
travaillent sur le modèle de l’exclusivité : il n’est pas rare en effet que ces régies doivent payer à
l’avance – généralement à la signature du contrat d’exclusivité – une partie de l’espace mis à leur
disposition.
Toutefois, la société constate des délais de règlement annonceurs qui s’allongent à « 90 jours
fin de campagne », en raison des conditions de marché qui se dégradent. Cette pratique a tendance à
se répandre dans la cible des grands comptes. Les difficultés de règlement sont très consommatrices
de temps et coûteuses en BFR. En revanche, Adverline ne déplore aucun incident de paiement,
justement en raison de la taille des annonceurs.
Un des buts d’Adverline est de parvenir à recruter de nouveaux éditeurs de qualité, mais
aussi d’améliorer encore les services rendus aux éditeurs de la première heure.
Mais l’enjeu, c’est aussi de souder encore plus la communauté des éditeurs grâce à des
offres de service innovantes, qui leur apportent de la valeur et qui les fidélisent : Adverline veut
devenir le « one stop shopping » des éditeurs de site de petite et moyenne audiences. En augmentant
le panier moyen des éditeurs, Adverline agit directement sur leur dépendance financière, mais aussi
leur dépendance technologique.
La technologie reste le second facteur clé du succès. La propriété de la technologie doit être
pérennisée dans les développements futurs pour garantir la flexibilité, l’innovation, la qualité du
service et les prix proposés aux centrales d’achat.
Pour atteindre cet objectif, Adverline devra également réaliser un lourd travail pour qualifier
l’audience des sites du réseau, ce qui permettra de vendre plus cher l’espace, augmentation justifiée
par des performances accrues. Ce prix plus élevé permettra également de satisfaire l’éditeur et de le
fidéliser : le cercle vertueux est alors enclenché.
Partant du constat simple qu’il n’existe pas aujourd’hui de régie publicitaire on-line de
dimension nationale capable de satisfaire aux exigences des PME-PMI, Adverline prépare les offres
et les outils qui lui permettront rapidement de rentabiliser son investissement et d’ériger des
barrières à l’entrée.
Quatre éléments sont indispensables pour pouvoir lancer une telle offre :
- bénéficier d’un réseau d’éditeurs souple, à thématique diversifiée et puissant ;
- avoir automatisé en aval la diffusion et la gestion des campagnes on-line avec une technologie
propriétaire pour limiter les coûts ;
- en amont, disposer d’une interface d’administration de campagnes on-line intuitives, simple
d’utilisation et offrant toutes les garanties de sécurité ;
- et enfin, pourvoir proposer à ses clients une variété de packages simples et pertinents.
Adnext est une technologie qui a été développée en interne depuis la création de la société.
Support du succès d'Adverline, Adnext permet de répondre aux 2 objectifs d'une régie:
– Accroitre au meilleur prix le trafic pour les annonceurs
– Maximiser les revenus des sites éditeurs
Adnext, c'est un logiciel présent à chaque étape du cycle de vie d'une campagne publicitaire.
Il sera même commercialisé à partir de cette année.
1.6. Organisation
La Direction opérationnelle est assurée collégialement par Loïc de Kerdrel, Charles Costa, et
Marc Wacogne.
Equipe Commerciale
La Direction Commerciale est assurée par Grégor Savidan, avec le soutien de Loïc de
Kerdrel pour 25% de son temps et de Charles Costa pour 40% du sien.
L’équipe commerciale est composée de 5 personnes : Mathieu Montou, Hubert hesbarn, Natacha
Bouketo, Caroline Mayer, Karine Joly.
Les missions de l’équipe commerciale sont :
o prospection ;
o développement commercial ;
o suivi des clients ;
o Rédactions de propositions commerciales, rédaction de media planning ;
o négociations commerciales ;
o SAV ;
o Partenariats ;
o recrutement de sites affiliés.
La responsabilité de l’équipe Trafic Management est assurée par Francis Kandjian qui y
consacre 50% de son temps
Le trafic est composé de 4 personnes :
Sylvain Ansart : trafic manager
Sophie Le Lan : responsable Editeurs
Francis Kandjian : Responsable pole
Equipe Informatique
L’équipe informatique est dirigée par Loïc de Kerdrel qui y consacre 25% de son temps,
avec sous sa responsabilité Francis Kandjian, pour 50% de son temps.
Elle est composée de 3 personnes : Thomas Coulomb (Directeur technique), David trichard,
Benjamin Clot
Leurs missions sont :
o rédaction du cahier des charges
o tests
o négociations avec les prestataires externes
o suivi des équipes externes
o Gestion Backoffice
Service Comptable
Une personne est responsable de ce service. Sa fonction est de payer les éditeurs.
2. Mission
2.2. Objectifs
La mission confiée par l'entreprise a été de développer une application offrant une aide en
ligne, une foire aux questions ainsi qu'un moteur de recherche interne pour faciliter l'accès à
l'information. L'objectif final était de mettre à disposition des rédacteurs un support technique
dynamique et administrable par un non informaticien.
Pour satisfaire ses besoins, il aurait été possible d'utiliser un outil wikipedia ou assimilé. Le
choix pour un outil redéveloppé est purement fonctionnel et technologique. La société a voulu
privilégier un outil adapté aux besoins internes, le tout développé en Coldfusion dans la continuité
de l'outil Adnext.
La partie administration de l'outil doit permettre la rédaction d'articles par un utilisateur non
technicien. Ainsi, il est possible de définir des catégories sur 3 niveaux pouvant comporter les
articles. Les actions possibles dans l'espace d'administration sont les suivantes:
– Créer des catégories
– Ajouter des articles et les associer à une catégorie
– Modifier, supprimer des articles
– Formater un article pour le web (mise en page par un éditeur de texte
WISIWYG)
Cet outil exploite une base de donnée MS-SQL. Cinq langages de programmation sont
utilisés pour cet outil:
– html
– CSS
– Coldfusion
– Javascript
– Bibliothèque Ajax (YUI)
– categorie: Elle gère une arborescence sur 3 niveaux ( niveau 0, 1 et 2). Cette gestion se fait
grâce au champ « parent » contenant l'ensemble de l'arborescence relative à la catégorie. Par
exemple, pour une catégorie de niveau 1 avec pour catégorie mère d'id 75, le champ contiendra :
75& &.
– article: Comporte toutes les informations relatives à l'article, mais pas le contenu de celui-ci.
– paragraphe: liée à un article tout en possédant sa position dans celui-ci, elle est une
composante de l'article.
– etat_redaction: Elle sert à gérer les statuts d'affichage pour les articles et les questions (hors
ligne, en attente, visible,...)
– faq_section: Répertorie les sections relative à la foire aux questions.
– faq_question: Liée à la fois à la table paragraphe et articles, il est possible pour répondre à
une question de renvoyer à un article complet ou cibler plus particulièrement un paragraphe.
– utilisateur: Stocke toutes les informations sur les utilisateurs.
– statut: Liée à la table utilisateur, elle liste les différents statuts possibles (Administrateur,
Utilisateur,...)
– mailing: Permet de modifier le contenu des mails qui sont envoyés à l'utilisateur. Stocker en
base, ces mails sont modifiables grâce au portail d'administration, et il n'est pas nécessaire de
toucher au code.
2.4.2. Backoffice:
Le backoffice recquiert une connexion préalable. Seuls les administrateurs sont autorisés à
accéder au backoffice.
Cette section permet l'administration des articles. Il est donc possible d'ajouter de nouveaux articles,
de voir, modifier ou supprimer les articles existants. Lorsque un article est créé, il est mis en attente et il faut
le valider pour qu'il soit visible sur le Centre d'aide.
L'index de cette section répertorie tous les articles. Ils sont classés par catégories. Voici un aperçu de
cette page:
Pour l'ajout d'articles, c'est un formulaire en 2 parties. Tout d'abord, le choix de la section se fait
grâce à un menu Ajax qui se remplit automatiquement en interrogeant la base de donnée.La deuxième partie
sert à remplir les autres informations (titre, résumé et article). Pour le formatage du contenu, j'ai choisi
d'utiliser un éditeur wisiwyg. Mon choix s'est orienté pour une valeur sûre: TinyceMCE. C'est un petit
module javascript libre d'utilisation, performant et pratique pour l'avoir déjà utilisé auparavant sur d'autres
projets. J'ai réduit au minimum les options possibles de formatage de texte comme il était défini au début du
projet.
La gestion des catégories comporte uniquement les catégories de niveau 1 et 2. J'ai choisi de
créer une section rubrique uniquement pour une question de clarté. Le fonctionnement des deux
sections est donc semblable. La gestion se fait de manière logique pour l'utilisateur, puisque tout est
visuellement représenté.
Les actions possibles sont la modification ou la suppression de catégories (niveau 1 et 2), ainsi que la
gestion de l'ordre d'affichage des catégories les unes par rapport aux autres. En effet, un ordre de priorité est
défini et il est possible de les modifier par un simple clic. L'affichage est rendu dynamique par du javascript
qui permet de dérouler les catégories de niveau 2 si on le souhaite uniquement en cliquant sur une image. Par
défaut, tous les arborescences sont repliées. Ce choix a été fait pour prévoir les cas où le nombre de
catégories est important, pour éviter d'avoir un affichage à rallonge
Cette section fonctionn de la même manière que la précédente mais pour les catégories de niveau 0
UNIQUEMENT.
2.4.2.4. FAQ
Cette rubrique permet d'administrer intégralement la foire aux questions. En index, on voit toutes les
questions qui ont été traités et où on leur a attribué une section de référence. Les sections sont gérées
dynamiquement et il est donc possible de les supprimer et d'en ajouter par un simple clic. L'ajout renvoie
vers un formulaire et la suppression vers une confirmation.
En ce qui concerne le traitement des questions, toutes les questions non traitées sont mises en attente,
et il faut aller les traiter une à une. Pour chacune d'elle, on a le choix entre ajouter un nouvel article,
répondre par un article existant ou répondre en privé. Il est aussi possible de ne pas traiter la question et de
la supprimer si celle ci n'est pas jugée pertinente.
Dans certains cas, l'article ou le paragraphe qui était lié à une question peut avoir été supprimé ou ne
plus exister. Dans ce cas, on peut les traiter à nouveau au travers des questions orphelines ou les supprimer si
la question est jugée obsolète. L'intéret de cette fonctionnalité est d'éviter de supprimer sans s'enr endre
compte des questions pouvant être jugées importantes.
La dernière option d'administration de la foire aux questions est la gestion des contenus des mails qui
seront envoyés à l'auteur d'une question lorsque la réponse est disponible. C'est une fonction basique pouvant
s'avérer pratique si un non technicien souhaite modifier le message du mail de réponse.
2.4.2.5. Utilisateurs
L'espace de gestion des utilisateurs affiche tous les utilisateurs enregistrés et les informations relative
à la personne. Les informations disponibles sont:
– le login
– le nom
– le prénom
– le mail
– le statut ( Utilisateur ou Administrateur)
2.4.3. FrontOffice
L'accès au centre d'aide se fait sans connexion (mode Invité). Cependant ce mode est
restreint à la consultation d'articles. Il faut se connecter pour devenir membre actif et pouvoir
participer à la Foire aux questions.
Le centre d'aide est composé de 2 pages statiques:
– La page d'accueil
– Le formulaire pour poser ses questions dans la faq.
Toutes les autres pages sont générés dynamiquement à partir de la base de donnée et
administrées grâce au backoffice.
La mise en page est entièrement sans tableau. Le design est proche du backoffice. L'objectif
était d'adapter au mieux le centre d'aide à l'outil de référence, Adnext. Finalement, la seule
différence est au niveau du menu qui par contrainte (affichage cliquable sur 3 niveaux), n'était pas
utilisable et dont il a fallu repenser dans son ensemble.
2.4.3.2. FAQ
La faq possède 2 sous-menus:
– la FAQ: Toutes les questions sont situés dans leur section respective et sont cliquables pour
accéder à la réponse. Une question peut avoir soit un article ou un paragraphe pour réponse. Une
page d'erreur s'affiche s'il n'y a pas de réponse pour une raison quelquonque (suppression de
l'article ou du paragraphe)
– Poser une question: Formulaire simple avec un champ texte pour poser sa question. Une fois
validée, la question est mise en attente pour être traitée côté backoffice.
Le moteur de recherche est accessible à partir de niporte quelle page du Centre d'aide. Il est intégré
à l'affichage principal de la page. Ce moteur de recherche a été codé manuellement. Il effectue les recherches
sur LE ou LES mot(s) demandé(s) dans 3 champs(de la base) pour chaque article:
– Champ titre de la table 'articles'
– Champ resume de la table 'articles'
– Champ contenu de la table 'paragraphe' (appartenant à l'article)
Pour obtenir des réponses fiables lors d'une recherche, il existe des critères de pertinence permettant
de filtrer et ordonner les résultats. Ces critères prennent en compte la fréquence d'utilisation du ou des mots
ainsi que sa position (dans le champ titre ou le contenu, la pertinence n'est pas la même).La requête de
recherche attribue des points de pertinence selon l'endroit où se situe le mot et sa répétition tout au long de
l'article. C'est à dire que l'on attribue 10 points par mot présent dans le titre, 5 dans le résumé et 1 dans
l'article en lui-même. Ils sont ensuite affichés par degré de pertinence.
Après avoir pris connaissance des locaux et du matériel qui me serait alloué pour ce projet,
j'ai eu un entretien avec mon tuteur et le développeur d'Adnext pour faire une mise au point sur le
projet. Ainsi, les premières orientation sur le projet avec la définition des besoins essentiels de la
société ainsi que les contraintes de réalisation qui en découlent ont pu être établient.
Cette première phase d'une durée approximative à une semaine a principalement été
consacré à deux choses:
– Réalisation d'une maquette c'est à dire réflexion sur l'architecture de l'outil de l'outil
et la mise en place d'une base de donnée adaptée.
– Familiarisation avec les différents outils disponibles pour atteindre les objectifs
demandés. Ces outils sont Coldfusion, langage que je ne connaissais pas avant le
stage et Microsoft MS-SQL. Cette étape fût relativement rapide car Coldfusion est
un langage de balises relativement simple justemment optimiser pour aider au
développement rapide.
2.5.2. Développement
Cette phase est l'étape essentiel de tout projet informatique. J'ai tenté tant que possible de ne
pas me lancer trop rapidemment dans le développement en négligeant le moins possible la première
étape. Finalement, je m'attela à cette tâche à partir de la seconde semaine, et ce pendant 5 semaines.
2.5.3. Design
Après réception de la maquette Adnext, j'ai travaillé sur le design. Cette phase m'a pris 2
petites semaines environ. Grâce à une rigueur de travail dans le développement en définissant un
style pour tout élément visuel, j'ai pu réalisé aisément la mise en page post-développement en css en
récupérant les éléments de la maquette Adnext existante.
validation du projet par l'ensemble de l'équipe. Cette équipe etait composé de mon tuteur (Thomas),
un développeur Adnext (David) ainsi que Francis, futur administrateur du centre d'aide.
3. Analyse personnelle
Les méthodes internes à l'entreprise sont basés sur la confiance. Ainsi, travaillant sur un
projet indépendant, j'ai été très autonome durant mon stage, tout en conservant un suivi régulier et
efficace du projet. Mes rapports avec le tuteur se sont très bien passés.
En général, nous réalisions au minimum un bilan par semaine dans lequel une analyse assez
complète de l'état d'avancement du projet était réalisé. Le tuteur me soumettait à cette occasion
d'éventuelles corrections ou améliorations. En dehors de ces bilans, il m'était laissé libre de
m'organiser comme bon il me semblait, et je pouvais néanmoins demander des conseils ou de l'aide
à nimporte quelle moment.
D'un point de vue technique, j'ai opté pour le développement en parallèle des deux portails
(backoffice et frontoffice) et non l'une après l'autre comme il aurait pu être possible. Ce choix a été
fait après consultation de mon tuteur. Celui-ci étant disposé à me laisser toute la souplesse voulue
dans l'organisation du projet, il accepta. Ma préférence pour cette méthode était de permettre une
diversification dans le travail selon l'envie, mais aussi car je pense qu'il est plus facile d'apréhender
deux projets qui ne font qu'un parallelèment avec un état d'avancement plus faible plutôt que l'un
après l'autre au risque une fois le premier fini d'avoir des soucis d'estimation sur l'ensemble du
second projet. De plus, les projets étant étroitement liés, des dépendances peuvent entraîner des
modifications l'une vis à vis de l'autre.
Ayant déjà réalisé des projets personnelles ou dans le cadre du DUT, la réalisation d'un
projet comme celui-ci n'était pas techniquement, du domaine de l'inconnu total.
A mon sens, j'ai été quelques peu hésitant dans la plannification sur le long terme de mon
projet et sur le rythme de travail dans ce domaine. En effet, ayant toujours réalisé mes projets dans
un cadre privé, l'adaptation ne fut pas forcément évidente et il m'est arrivé parfois de vouloir aller
trop vite sur certains points ou l'inverse. Ainsi, on s'aperçoit de l'intérêt sucscité par la formation
Services et Réseaux de Communication. La pluridisciplinarité ouvrant sur les notions de gestion de
projet notamment apporte un bagage théorique intéressant. Le fait de coupler çà à un stage
« projet » permet de valider ses compétences de manière pratique, ce qui est un vrai plus.
3.2.1. L'entreprise
Lors de ma recherche de stage, j'avais la ferme volonté de trouver une entreprise localisée à
Paris. Mon choix, aussi bizarre puisse t'il paraître, a été orienté par la ferme volonté d'être confronté
à ce rythme de travail, bien différent de la Province. Il me paraissait donc intéressant de réaliser
cette expérience.
Adverline n'étant pas connu du grand public, je suis rentré en contact avec la société suite à
une proposition de stage trouvée sur internet. Le choix pour Adverline s'est fait naturellement après
un entretien téléphonique. En effet, je demeurais convaincu que le projet qui allais m'être confié
serait pour moi un enrichissement personnel et professionnel dont je pourrai profiter pleinement.
Outre la structure même de l'entreprise, il me semble important de préciser la qualité des
équipes avec qui j'ai travaillé pendant deux mois. Jeunes, dynamiques et venant d'horizons des plus
divers, voici en quelques mots un résumé des personnes que j'ai côtoyées. Cela ressort une
ambiance de travail des plus agréables.
J'ai été intégré à l'équipe Développement qui regroupe trois personnes, lesquels ont oeuvré
pour faciliter mon intégration à mes débuts dans l'entreprise
3.2.2. Mission
Les horaires de travail étaient fixées de 9h30 à 18h. Toutefois, il faut souligner que ces
horaires ne demeurent pas rigides, chacun étant relativement libre de gérer son volume de travail
comme il l'entend dans le respect des délais de travail, bien évidemment. L'autogestion de son
temps de travail me semble une bonne méthode pour impliquer pleinement le personnel dans
l'entreprise. De plus, cela conserve en général des équipes motivées. Il en va de même pour les
pauses durant la journée, aucune pause fixe n'étant rigide, même le midi où chacun est assez
responsable pour savoir ce qu'il a à faire.
Ce que je viens de décrire était pleinement visible au travers de mon stage. Engagé sur un
projet indépendant dans le sens où mon projet est une application autonome, j'ai été responsabilisé
tout de suite et personne ne m'a jamais mis la pression, ni même programmés de délais. Bien
évidemment, on m'apportait toujours les conseils nécessaires mais toujours à titre de consultation,
me laissant libre d'en juger. Cette relation de confiance qui règne au sein de l'entreprise est très
agréable et positive à mon sens, et permet d'unir les forces autour d'un même objectif plus
facilement.
Adverline reste aujourd'hui encore une petite structure. Elle partage ses locaux avec la
plupart des sociétés qu'elle a racheté (société.com, kelprof, Optelo, ...). Certains disposent d'une
salle séparé comme kelprof, mais les autres sont bien souvent regroupés, du fait du faible nombre de
personnes. C'est le cas des développeurs par exemple, qui sont situés dans un bureau commun.
Cette disposition est positive pour la communication interne et unie les individus pour ne faire qu'un
grand groupe et permet de travailler main dans la main les uns avec les autres.
Utilisateur très régulier d'internet, mon passage chez Adverline m'a permis de découvrir la
réalité qui se cache derrière chaque publicité. J'ai découvert un domaine qui m'étais complètement
inconnu et je dois reconnaître que j'étais loin de m'imaginer qu'il puisse être aussi complexe.
Je pense que les stages « projet » en fin de D.U.T. sont vraiment utile pour les deux parties.
Dans le rôle d'étudiant, ce stage m'a ouvert les yeux sur la réalité du monde de l'entreprise moderne.
Le fait de réaliser un projet assure une immersion des plus complètes dans l'entreprise, avec ses
contraintes et ses devoirs. Pour l'entreprise, donner sa chance à un stagiaire sur un projet intéressant
mais dont l'équipe ne peut pas consacrer le temps nécessaire permet de former des jeunes tout en
valorisant le travail sur des projets nécessaires à l'entreprise, qui seront utilisés par la suite.
Conclusion
Au lendemain de ce stage dans un domaine qui me fascine, l'enrichissement n'en est pas
moins grand en bien des points. Il m'a d'abord permis d'être sujet à des obligations professionnelles
et d'intégrer une entreprise ouverte et conviviale. Ensuite, le projet qui a été le fil rouge de mon
stage m'a passionné du début à la fin et je suis satisfait de son aboutissement, qui a pu être validé
par toute l'équipe. Ce stage m'a permis de découvrir des technologies nouvelles, ainsi que beaucoup
de méthodologie, insdispensable pour ma future insertion professionnelle.
Je pense avoir intégré une société efficace et dont la place sur le marché en fait l'un des
pricipaux acteurs de son secteur. Ces deux mois auront également été pour moi le support d'une
réflexion autour de la communication au sein de l'entreprise.
D’un point de vue plus général, ce stage au sein d’Adverline demeure, pour ma part, une
véritable réussite. En ce qui concerne le futur, je désire continuer dans le même domaine et peut-
être même au sein de la même entreprise : en effet, il est question d'envisager une collaboration
avec Adverline.
Annexes
1. Régies exclusives
Le principe de base des sociétés ayant choisi ce modèle est de conquérir les éditeurs disposant de
marques à forte notoriété et de sites à gros trafic. Le nombre d’éditeurs de ce type étant limité à
quelques dizaines, la concurrence entre les régies ainsi positionnées a conduit depuis 1999 à
l’envolée des tarifs et à un durcissement des conditions commerciales. Ces régies sont ainsi
contraintes à l’achat anticipé d’importants volumes d’espace, qui nécessitent parfois plusieurs mois
de commercialisation avant d’être vendus.
La « rotation des stocks » de l’espace dont elles sont propriétaires est donc la cause majeure de leur
fragilité financière. Si ce modèle a pu faire illusion jusque fin 2000, il est évident aujourd’hui que
cette industrie propose au marché une surcapacité de production structurelle liée à une offre
d’espace publicitaire pléthorique, qui trouve comme débouché un marché atone tiré par les prix.
La sanction du marché à l’égard des sociétés construites sur ce modèle est proportionnelle aux
pertes abyssales affichées, trop souvent liées à une structure de coût inadaptée. Aucun de ces acteurs
n’est aujourd’hui rentable. Nombreux sont ceux, telle la régie publicitaire de Vivendi Universal, qui
ont d’ores et déjà cessé leur activité.
De plus, consécutivement au retournement du marché publicitaire on-line, ces régies doivent faire
face à la tendance actuelle des grands éditeurs à internaliser leur régie publicitaire, ce qui réduit
encore un peu plus leur marché.
2. Régies au clic
Ces régies exploitent un modèle proche de celui d’Adverline : leur objectif est de fédérer un
nombre important de sites de petits éditeurs, puis de proposer aux annonceurs d’acheter un nombre
de clics prédéfinis.
Ces acteurs sont donc loin de proposer un niveau de service comparable à celui d’Adverline.
Surtout, ils évoluent sur un marché principalement dirigé par les prix.
3 Régies d’affiliation
Le principe de l’affiliation fut lancé en France fin 1999. Présenté comme la panacée des
modèles de recrutement clients sur Internet, peu nombreux furent les éditeurs qui parvinrent à
rentabiliser le système : trop coûteux pour générer du trafic vers les sites éditoriaux et non rentables
pour les sites de e-commerce, la mode de l’affiliation est vite passée. Certaines sociétés ont essayé
de proposer la gestion du programme de fidélité en sous-traitance avec l‘espoir de valider le modèle
économique.
Les régies spécialisées sur le marché de l’affiliation ont de plus dû faire face à d’autres
contraintes :
- les éditeurs attirés par ce modèle économique sont principalement des sites à très faible
audience, composés essentiellement de pages personnelles ;
- chaque éditeur conserve la maîtrise de son site et des programmes auxquels il sera affilié.
L’éditeur peut donc refuser les programmes d’affiliation qui lui sont proposés.