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Déontologie de travail

Fait par :BENCHALKHA Houda - DOKKALI Lamiae - OULHARIR Faiçal


Sommaire

- Le travail au Japon

- Principales conditions de travail

- Le monde du travail dans la société japonaise

- Réflexions sur les différences culturelles


entre l’Occident et le Japon

- Conclusion
Sommaire

- Le travail au Japon

- Principales conditions de travail

- Le monde du travail dans la société japonaise

- Réflexions sur les différences culturelles


entre l’Occident et le Japon

- Conclusion
Le travail au Japon
Le travail au Japon

Les salariés japonais travaillent normalement de 8 heures à 12 heures et de 13 heures à 17heures, soient 8
heures par jour, 40 heures par semaine. En réalité, beaucoup de Japonais font des heures supplémentaires : la
durée hebdomadaire du travail reste une des plus longues du monde ! La main-d’œuvre est disciplinée et bien
formée. Les salariés sont peu syndiqués et ne font pas grève !

Traditionnellement, les Japonais travaillent dans la même entreprise jusqu’à la retraite. Le salaire et l’avancement
sont liés à l’ancienneté, non à la compétence, en témoignage du respect accordé aux anciens.

On note toutefois quelques évolutions : aujourd’hui 3 millions de Japonais par an changent d’emploi et la notion
de vacances et de détente apparaît (généralisation de la semaine de 5 jours).

L’entreprise domine toute l’existence de l’individu : elle est considérée comme sa seconde famille. Le dévouement
à l’entreprise se doit d’être absolu : il en découle un fort esprit d’émulation. Cet esprit de compétition force les
employés à travailler très dur en sacrifiant une partie de leur temps libre.

L’individu, voire l’individualisme, n’a pas sa place dans l’entreprise : la plupart des entreprises prônent le travail
d’équipe, la coopération entre collègues. Chez les Japonais, un bureau est une immense salle dans laquelle les
employés sont divisés en équipes de 10 personnes et chaque équipe occupe une table !
Principales conditions
de travail
Principales conditions de travail

- Les horaires sont de 40 heures par semaine.

- L'âge de départ à la retraite est graduellement repoussé à 65 ans

- Les congés annuels sont de 10 jours/an pour atteindre un maximum de 20 jours après 6 ans et demi d'ancien-
neté. Habituellement, ces congés sont pris lors des deux périodes habituelles de Shogatsu (début d'année) et
d'Obon (mi-août).

- Les jours fériés annuels sont au nombre de 15.

- Des congés spéciaux (mariage, naissance, décès ...) sont également accordés par coutume.

- Le préavis en cas de licenciement ou de démission est de 30 jours, ou à défaut l'équivalent en salaire et doit
être déclaré au Bureau de l'Inspection du Travail compétent géographiquement.

Emploi du conjoint

Seuls les conjoints mariés peuvent obtenir un titre de séjour.

Pour les personnes ne parlant pas japonais, il est très difficile de trouver un emploi.
Principales conditions de travail

- Cas des conjoints français de ressortissants japonais :

La réglementation japonaise n'impose aucune limitation aux activités que les titulaires du statut de "conjoint de
Japonais" sont autorisés à exercer au Japon.

- Cas des conjoints (non-japonais) de ressortissants français :

Le visa de conjoint permet de travailler 28 heures par semaine, à condition d'en demander l'autorisation auprès
du Bureau de l'immigration (Nyukokukanrikyoku). A noter que ceci est une tolérance et non un droit.

Contrats de travail - spécificités

La durée des contrats à durée déterminée peut être conclue pour une durée maximale de trois ans. Cette durée
maximale peut être étendue à cinq ans dans deux cas précis :

- Besoins en qualifications particulières ou développement de nouveaux produits, technologies ou services.

- Emploi de salariés de plus de 60 ans


Le monde du
travail dans la société
Japonaise
Le monde du travail dans la société japonaise

Un modèle paternaliste basé sur l’esprit d’équipe

Les japonais appartiennent à deux groupes : la famille et l’entreprise, ces derniers étant calqué sur un modèle
paternaliste, respect de l’ancêtre (d’ailleurs la société est ainsi faite, l’empereur est le père, on le respecte) dans
une entreprise le patron est un père, un "oyabun"

L’esprit d’équipe à la primauté, l’individu japonais se définit toujours par l’entreprise pour laquelle il travail, il
se présente souvent comme "monsieur machin de la société truc muche". Du fait de l’attachement au groupe, il
est normal que l’avais du commun prévaut sur l’avis d’une seul personne, à savoir qu’un bon chef japonais
écoute ce que ses subordonnés et les autres en général ont à dire et met en application une bonne idée, même
si ce n’était pas la sienne au départ.

Pour renforcer la cohésion du groupe il n’est pas rare de voir les japonais sortirent à la fin de la journée avec
leurs collègues de bureau ou leurs supérieurs au karaoké ou dans des bars, cela permet de se détendre mais
aussi d’avoir une meilleure confiance dans l’équipe de travail.
Le monde du travail dans la société japonaise

Une importante hiérarchie.

Comme dans le système familial, dans l’entreprise il existe un fort respect de la hiérarchie, une harmonie des
relations humaines, une loyauté envers les supérieurs.

En effet la relation entre le salarié (également appelé salary man) et son entreprise et très forte : l’entreprise
forme sa recrue de zéro, elle la protège, lui permet d’exister au sein de la société japonaise car sans travail il
n’y a pas de connaissance sociale.

En échange de cette loyauté, l’entreprise accorde à ses employés une forme d’emploi vie caractéristique du
modèle japonais obligeant ainsi l’employé à se donner corps et âme à son entreprise.
Le monde du travail dans la société japonaise

Un système méritocratique

La méritocratie détient une place importante dans le fonctionnement des entreprise nipponne, en effet les diplô-
més provenant d’université réputés (comme celle de Tokyo ou plus communément appelée Todai) sont embau-
chés avec un salaire de misère et commencent au bas de l’échelle, dans des bureaux obscurs afin de se familiari-
ser avec les autres salariés et l’esprit de l’entreprise.

De plus chaque semaine est désigné le meilleur employé de la semaine, ce qui incite les japonais à se surpasser
au travail.

Ceci montre une particularité nippone en effet le système de l’entreprise est fondé sur l’esprit d’équipe, de l’unité
du groupe et pourtant de part l'élection du meilleur salarié de la semaine, l’entreprise crée un esprit de compéti-
tion déjà présent dans le système scolaire.

D’ailleurs tout comme le système scolaire l’entreprise impose en quelque sorte un uniforme à ses salariés. Tradi-
tionnellement, les japonais ne réclament pas de rémunération pour les heures supplémentaires : "la règle
consiste à rester plus tard que son chef même si l’on n’a plus rien à faire et il est bien vu d’arriver tôt.
Le monde du travail dans la société japonaise

Un système méritocratique

La méritocratie détient une place importante dans le fonctionnement des entreprise nipponne, en effet les diplô-
més provenant d’université réputés (comme celle de Tokyo ou plus communément appelée Todai) sont embau-
chés avec un salaire de misère et commencent au bas de l’échelle, dans des bureaux obscurs afin de se familiari-
ser avec les autres salariés et l’esprit de l’entreprise.

De plus chaque semaine est désigné le meilleur employé de la semaine, ce qui incite les japonais à se surpasser
au travail.

Ceci montre une particularité nippone en effet le système de l’entreprise est fondé sur l’esprit d’équipe, de l’unité
du groupe et pourtant de part l'élection du meilleur salarié de la semaine, l’entreprise crée un esprit de compéti-
tion déjà présent dans le système scolaire.

D’ailleurs tout comme le système scolaire l’entreprise impose en quelque sorte un uniforme à ses salariés. Tradi-
tionnellement, les japonais ne réclament pas de rémunération pour les heures supplémentaires : "la règle
consiste à rester plus tard que son chef même si l’on n’a plus rien à faire et il est bien vu d’arriver tôt.
Quelques
Réflexions sur les
différences culturelles entre
l’Occident et le Japon
Quelques réflexions sur les différences culturelles entre l’Occident et le Japon

La culture japonaise est fondée sur la solidarité; c’est pourquoi dans les entreprises japonaises, on ne licencie
pas, car on est en famille.

Les Occidentaux introduisent une séparation nette entre l’Etat et le privé. Au Japon, il y a recouvrement et imbri-
cation sans qu’on puisse identifier une frontière nette. De la même façon, on peut trouver chaque chose au sein
de son contraire.

Pour les Japonais comme pour Hegel, le futur est écrit dans le passé. Or, les Occidentaux oublient le passé.
Pour les Japonais, c’est la terre qui est sacrée, non le ciel ; d’où l’acharnement à défendre le riz japonais contre
l’ouverture aux importations américaines.

La société japonaise encourage la soumission totale à la hiérarchie, l’humilité, l’abnégation devant ses collègues
et la servilité. Ces notions permettent de pouvoir introduire les valeurs suivantes :

• Respect de l’autorité
• Honneur
• Travail
• Respect de la tradition
Quelques réflexions sur les différences culturelles entre l’Occident et le Japon

• Comparaison du travail dans l’entreprise japonaise et l’entreprise occidentale :

Valeurs des actions de la narratrice dans une entreprise occidentale :

Norme Valeur

Prendre une initiative Autonomie / Affirmation de soi

Contester une décision Liberté de penser / Démocratie

Défendre un collègue Solidarité / Justice sociale / Dignité


Quelques réflexions sur les différences culturelles entre l’Occident et le Japon

• Comparaison du travail dans l’entreprise japonaise et l’entreprise occidentale :

La culture japonaise est considérée comme supérieure à la culture occidentale d’Amélie. Cette dernière se
soumet au modèle culturel de Yumimoto. Ainsi on peut obtenir la comparaison suivante :

Culture occidentale Culture japonaise

Discussion, contestation Obéissance, soumission

Créativité, initiative Respect des procédures

Expression des sentiments,


Négation de soi
des émotions

Liberté dans le travails Vie consacrée à l’entreprise

Solidarité Respect de la hiérarchie


Conclusion
MERCI

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