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LYCEE SECONDAIRE

SIJOUMI DEVOIR DE SYNTHESE N° 2

Sections : TECHNIQUES Coefficient : 4


SCIENCES EXPERIMENTALES Coefficient : 4

EPREUVE : Durée : 3 heures

Proposé par : Mme Mermech Date : 06 / 03 / 2009


Mrs Mejri , Missaoui & Benaich

L’épreuve comporte deux exercices de chimie et trois exercices de physique répartis sur quatre
pages numérotées de 1/4 à 4/4
Chimie :  Exercice 1 : Acide faible . Physique :  Exercice 1 : Oscillations mécaniques
libres .
 Exercice 2 : Base faible .  Exercice 2 : Oscillations mécaniques
forcées .
 Exercice 3 : Exercice documentaire .

Les mesures sont faites à 25°C , température à laquelle le produit ionique de l’eau est Ke = 10-14 .
On prépare une solution aqueuse (S1) d’acide éthanoïque CH3COOH de concentration
-1 -1
molaire C1 = 10 moℓ.L . La mesure du pH de la solution obtenue donne pH1 = 2,9 .
1°) a) Montrer que l’acide éthanoïque est un acide faible .
b) Ecrire alors l’équation de sa réaction d’ionisation dans l’eau .
2°) a) Dresser le tableau descriptif d’évolution relatif à la dissociation de cet acide dans l’eau .
b) Calculer les concentrations molaires des espèces chimiques , autres que les molécules
d’eau , présentes dans la solution (S1) .
3°) a) Déterminer la valeur du taux d’avancement final τf de la réaction d’ionisation de cet acide
dans l’eau . Conclure .
b) Etablir alors l’expression du pH de cette solution en fonction de C1 et du pKa du
couple acide-base considéré et calculer la valeur du pKa( CH3COOH / CH3COO- ) .
4°) On se propose de préparer un volume V2 = 100 mL d’une solution (S2) de concentration
C2 = 10-2 moℓ.L-1 et de pH2 = 3,4 à partir de (S1) .
a) Déterminer la valeur du prélèvement V1 à effectuer à partir de (S1) pour préparer
les 100 mL de (S2) .
b) Décrire le protocole expérimental permettant de préparer (S2) en choisissant la verrerie
la plus adéquate et qui nécessite le minimum d’opérations .
On dispose du matériel suivant :
 Des pipettes jaugées de 5 mL ; 10 mL et 20 mL .
 Des béchers .
 Des fioles jaugées de 50 mL ; 100 mL et 250 mL .
 De l’eau distillée .
5°) a) Calculer la nouvelle valeur du taux d’avancement final τf’ après dilution de cet acide .
b) Comparer τf et τf’ et déduire alors l’effet de la dilution sur l’ionisation de cet acide .
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Les mesures sont faites à 25°C , température à laquelle le produit ionique de l’eau est Ke = 10-14 .
On considère deux solutions (S1) et (S2) de deux monobases B1 et B2 . Une mesure du pH de ces
deux solutions donne pH1 = pH2 . Les concentrations molaires C1 de (S1) et C2 de (S2)
vérifient la relation : C2 = 10.C1 .
1°) Comparer les forces des deux bases B1 et B2 . Justifier votre réponse .
2°) Des mesures du pH ont été effectuées pour différentes valeurs de C de la base B1
considérée comme étant faible , ont permis de tracer pH
la courbe donnant les variations du pH en
fonction de ℓogC représentée sur la figure 1 .
a) On rappelle que l’expression du pH d’une solution de 11,6
10,1
monobase faible faiblement ionisée est donnée par la
1
relation suivante : pH = ( pKa + pKe + ℓogC ) . Figure -1-
2
Déduire du graphe la valeur du pka du couple
acide-base correspondant à la solution (S1) . ℓogC
-3 0
b) Sachant pH1 = 10,6 , déduire les valeurs des
concentrations molaires C1 et C2 .
c) Le tableau suivant regroupe quelques valeurs de pKa de couples acide-base :
Couple acide-base CH3COOH / CH3COO- NH4+ / NH3 HCOOH / HCOO-
pKa 4,8 9,2 3,8
Identifier le couple acide-base auquel appartient la base B1 utilisée .

(R) (S) Figure -2-


G
I/-Les frottements sont supposés négligeables .
r
Le pendule élastique représenté par la figure -2- i
x’ x
est constitué par : O
 Un ressort (R) à spires non jointives , d'axe horizontal , de masse négligeable et de raideur k .
 Un solide (S) , supposé ponctuel , de centre d'inertie G et de masse m .
Lorsque (S) est au repos , son centre d'inertie G occupe la position O origine d'un axe x'Ox
horizontal .
On écarte (S) de sa position d’équilibre O jusqu’au point d’abscisse x0 et on lui communique
une vitesse v0 à un instant qu’on prendra comme origine des dates .
A une date t quelconque , le centre d'inertie G de (S) a une élongation x et sa vitesse
instantanée est v .
1°) En utilisant la relation fondamentale de la dynamique , monter que le solide (S) est animé d’un
mouvement rectiligne sinusoïdal de période propre T0 dont on donnera l’expression en
fonction de m et k .
2°) a) Donner l’expression de l’énergie mécanique E du système { solide (S) , ressort (R) } lorsque
(S) passe par un point M quelconque d’abscisse x avec une vitesse v .
b) Déduire de 1°) que le système { solide (S) , ressort (R) } est conservatif .

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3°) La figure – 3 -, représente les variations de la v(t)(m.s-1)
vitesse instantanée v(t) au cours du temps .
2
a) Déterminer à partir de ce graphe l’expression
2
de v(t) en précisant les valeurs de l’amplitude Vm , 0 t(s)
de la pulsation propre ω0 et de la phase initiale ϕv .
b) Donner alors l’expression de l’élongation x(t) du -1
π
0,08π
centre d’inertie G de (S) en fonction du temps .
Figure -3-
Déduire la valeur de x0 .
4°) La courbe de la figure – 4 -, représente les variations
de l'énergie potentielle Ep(t) du système { solide (S) , Ep(t) (10-3 J)
ressort (R) } en fonction du temps .
8
a) Montrer que l’énergie potentielle Ep(t) est une
fonction périodique du temps de période T dont 4
on donnera l’expression en fonction de la période
0 t
propre T0 .
Figure -4-
b) Déterminer en utilisant le graphe , la valeur de m et celle de k .
II/-Les frottements ne sont plus négligeables
A l’aide d’un dispositif approprié , on soumet maintenant le solide (S) à des frottements visqueux
r r r
dont la résultante est f = -h. v où h est une constante positive et v la vitesse instantanée
du centre d'inertie G de (S) .
1°) a) En utilisant la relation fondamentale de la dynamique , établir l’équation différentielle
régissant le mouvement du solide (S) .
b) Déduire que l’énergie mécanique E du système { solide (S) , ressort (R) } n’est pas
conservée au cours du temps .
2°) L’enregistrement des différentes positions de G au cours du temps donne la courbe de
la figure – 5 - .

Figure -5-

Déterminer la perte d’énergie entre les instants t1 = 0 s et t2 = 2T .


( T étant la pseudopériode ) .

Un oscillateur est formé d’un ressort (R) de constante de raideur k = 40 N.m-1 et d’un
solide (S) de masse m . Le solide (S) est soumis à l’action de forces de frottement visqueux dont
r r
la résultante est de la forme f =-h. v où h est une constante positive et à l’action d’une force
r r
ω.t). i exercée à l’aide d’un dispositif approprié .
excitatrice de la forme F = Fmax sin(ω

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dx d2 x
Ainsi , à tout instant t, l’élongation x de G , sa dérivée première et sa dérivée seconde
dt dt 2
dx d2 x
vérifient la relation : kx + h + m 2 = Fmax sin(ω.t)
dt dt
dont la solution est x(t) = Xm sin(ωt + ϕx) . x(t) en m
F(t) en N
La figure -6- représente les variations des valeurs
de x(t) et de F(t) au cours du temps . 8.10-2
2(V )
1°) Montrer , en le justifiant , que la courbe (V2)
correspond à x(t) . 2
(V1)
2°) En exploitant la figure -6- , préciser les
expressions de x(t) et de F(t) en indiquant t (s)
0
0,25 0,5
les valeurs de Xm , ϕx , ω et Fm .
3°) a) Faire la construction de Fresnel correspondante
en prenant pour échelle : 1cm ↔ 0,5 N .
b) Déduire à partir de cette construction les
valeurs de m et de h . Figure -6-
4°) a) A l’aide de la construction de Fresnel , déterminer l’expression de Xm en fonction de Fmax ,
h , ω , k et m .
b) Etablir , à l'aide de l'analogie mécanique – électrique que l’on précisera , l'expression de
l'amplitude Qmax des oscillations électriques forcées . Tracer l'allure des variations
de Qmax en fonction de la pulsation ω ; on notera , approximativement sur le tracé ,
la position de la fréquence ωr correspondant à la résonance de charge par rapport à
la pulsation propre ω0 de l'oscillateur .

Un tsunami est un phénomène d’origine géologique qui


prend naissance à la suite d’un séisme sous-marin .
Une masse d’eau énorme est alors brusquement
déplacée sur toute la hauteur de l’océan . Les vagues
créées dont la longueur d’onde peut atteindre 200 km
contiennent une énergie considérable . En pleine mer ,
ces vagues produisent une élévation du niveau de la
surface de l’eau , faible de quelques dizaines de
centimètres à un mètre , qui , se mêlant à la houle
produite par le vent passent inaperçues . Elles se propagent à partir de l’épicentre du séisme dans toutes
les directions .
Le séisme du 26 Décembre 2004 à Sumatra à produit un tsunami qui peut être considéré comme une
onde plane progressive sinusoïdale d’axe Nord-sud . Il s’est propagé sur un fond océanique moyen de
3000 m . Frappant d’abord l’Indonésie puis l’Inde et les côtes Africaines , les vagues de 6 à 10 m de
hauteur firent des centaines de milliers de victimes .
1°) Dire si le tsunami est une onde transversale ou longitudinale . Justifier votre réponse .
2°) En se référant au texte , donner la valeur de la longueur d’onde λ de l’onde correspondante au
tsunami .
3°) Sachant que la célérité des ondes périodiques à la surface de la mer est approximativement
v = 170 m.s-1 , déduire la période T et la fréquence N de l’onde .

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Correction du devoir de synthèse N°2

1°) a) [H3O+]1 = 10-2,9 < 10-1 = C1 ⇒ CH3COOH est un acide faible

b) CH3COOH + H2O CH3COO- + H3O+

2°) a)
Equation de la réaction CH3COOH + H 2O CH3COO- + H3O+
Avancement
Etat du système Concentrations (moℓ.L-1)
volumique
pKe
-
Initial 0 C1 En excès 0 10 2

Final yf C1 – yf En excès yf 10-pH

b) [H3O+]1 = 10-2,9 = 1,25.10-3 moℓ.L-1 et [OH-]1 = 10-11,1 = 7,94.10-12 moℓ.L-1


pH < 6 ⇒ on peut négliger les ions provenant de l’ionisation propre de l’eau ⇒[H3O+]1 = yf

d’après le tableau d’avancement , [CH3COO-] = yf soit [CH3COO-] = 1,25.10-3 moℓ.L-1

[CH3COOH] = C1 – yf = 10-1 - 1,25.10-3 soit [CH3COOH] = 9,87.10-2 moℓ.L-1

y f1 [H3 O + ]1 1,25.10 -3
3°) a) τf = = = soit τf =1,25.10-2 < 5.10-2 ⇒ τf << 1 ( acide faiblement ionisé)
C1 C1 10 -1

[CH3 COO - ].[H3 O + ] [H3 O + ] 2 [H3 O + ] 2 [H3 O + ] 2


b) Ka = = = = ( car τf << 1 )
[CH3 COOH] C1 - y f C1 .(1 - τ f ) C1
1
⇒ ℓogKa = 2.ℓog[H3O+] – ℓogC1 soit pH1 = ( pKa – ℓogC1 )
2
et pKa = 2.pH1 + ℓogC1 = (2x2,9) + ℓog10-1 soit pKa = 4,8

4°) a) (S1) C1 (S2) C2


V1 V2
C'2
Les deux solutions contiennent le même nombre de moles ⇒ C1.V1 = C2.V2 ⇒ V1 = V2 soit V1 = 10 mL
C1
b) A l’aide de la pipette jaugée de 10 mL , on prélève 10 mL de (S1) qu’on introduit dans la fiole jaugée de
100 mL , puis on complète avec de l’eau distillée jusqu’au trait de jauge . Enfin , on agite la solution .
1 1 C1 1 1
5°) a) pH2 = ( pKa – ℓogC2 ) = ( pKa – ℓog ) = ( pKa – ℓogC1 + 1 ) = pH1 + = 3,4
2 2 10 2 2
-3,4
[H3 O + ]2 10
τf’ = = = 10-1,4 soit τf’ =3,98.10-2
C2 10 -2

b) τf’ > τf ⇒ la dilution favorise l’ionisation de l’acide

1°) pH1 = pH2 et C1 < C2 ⇒ B1 base plus forte que B2

2°) a) La courbe pH =f(ℓogC) est une droite qui passe par l’origine ⇒ pH = a.ℓogC + b
avec a : pente de la droite et b : ordonnée à l’origine ( b = 11,6 )
1 1 1
D’autre part , pH = ( pKa + pKe + ℓogC ) ou encore pH = ℓogC + ( pKa + pKe )
2 2 2
1
Donc , par identification , ( pKa + pKe ) = b ⇒ pKa = 2b – pKe = 23,2 -14 soit pKa = 9,2
2
1
b) pH1 = ( pKa + pKe + ℓogC1 ) ⇒ ℓogC1 = 2pH1 – ( pKa + pKe) ⇒ C1 = 102pH1 – ( pKa + pke) soit C1 = 10-2 moℓ.L-1
2
et C2 = 10.C1 soit C2 = 10-1 moℓ.L-1

c) pKa = 9,2 ⇒ B1 : NH3


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r r r r
I/-1°) R.F.D. : P + R + T = m. a
d2 x d2 x k
Sur (x’x) : -kx = m 2
⇒ 2
+ x=0
dt dt m

k k d2x
Posons ω02 = ⇒ ω0= . L’éq. précédente devient + ω02 .x = 0
m m dt 2
C’est une éq. diff. qui admet comme solution x(t) = xm.sin( ω0t + ϕx)
2π m
(S) est donc animé d’un mouvement rectiligne sinusoïdal de période propre T0 = ⇒ T0 = 2π
ω0 k
1 2 1 2
2°) a) E = kx + mv
2 2
2 2
dE 1 1 d x d x
b) = k.2x.v + m.2v 2 + 0 = v.( k.x + m. 2 ) = 0 ⇒ E = cste
dt 2 2 dt dt

0 d’après 1°)
2.π 2. π
3°) a) T0 = 0,08 πs et ω0 = = = 25 rad.s-1 et Vm = 1 m.s-1 .
T0 0,08π
2 2 2 π
v= sinϕv = sinϕv = = sin( ) π
At=0 2 ⇒ 2 ⇒ 2 4 ⇒ ϕv = rad
4
a>0 ω0.Vm.cosϕv > 0 cosϕv > 0
π
Donc , v(t) = sin(25t + ) (m.s-1)
4

1 π π π
b) x(t) = sin(25t + - ) soit , x(t) = 4.10-2.sin(25t – ) (m)
25 4 2 4
π
Donc , x0 = x(t=0) = 4.10-2. sin(– ) soit x0 = – 2 2 ..10-2 m
4
1 2
4°) a) Ep = kx avec x(t) = xm. sin( ω0t + ϕx)
2
1 1 1 - cos(2X)
⇒ Ep(t) = k.xm2.sin2( ω0t + ϕx) = k.xm2[ 1 - cos(2.ω0t + 2ϕx) ] ( sin2X = )
2 4 2
2π T0
Donc , Ep set une fonction périodique du temps de période T = =
2ω0 2
-3
1 2.Ep max 2 × 8.10
b) Epmax = k.xm2 ⇒ k = A.N. : k = soit k = 10 N.m-1
2 2
x max 16.10 -4

k k 10
ω02 = ⇒ m = 2 m.ω02 A.N. : m = soit m = 0,016 kg
m ω0 25 2
r r r r r
II/-1°) a) R.F.D. : P + R + T + f = m. a
dx d2 x
Sur (x’x) : kx + h +m 2 =0
dt dt
2
dE d x
b) = v.( k.x + m. 2 ) = -hv2 ≤ 0 ⇒ E décroît au cours du temps
dt dt

-hv d’après 1°) a)

2°) A t1 = 0 , x = x1m = 4.10-2 m et v = 0 et à t2 = 2T , x = x2m = 1,6.10-2 m et v = 0


1
Donc , ∆E = k.( x2m2 – x1m2 ) soit ∆E = -6,72.10-3 J
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1°) x(t) est toujours en retard de phase par rapport à F(t) ⇒ (V2) → x(t)


2°) Fm = 2 N et ω = = 4π rad.s-1 soit F(t) = 2.sin( 4πt ) (N)
0,5
2π.Δt 2πx1 π
xm = 8.10-2 m et ∆ϕ = = = rad
T 6 3
π π π
x(t) est en retard de phase par rapport à F(t) ⇒ ϕx = ϕF - = 0 - = - rad
3 3 3
π
Soit x(t) = 8.10-2.sin( 4πt - ) (m)
3
Axe origine des phases
3°) a) k.xm = 40x8.10-2 = 3,2 N → 6,4 cm
ω2.Xm
m.ω
+
Fm = 2 N → 4 cm

b) m.ω2.Xm = 2,2 N
2,2 2,2
⇒m= = soit m = 0,174 kg Fm
2 2
ω .Xm 16π x8.10
2 ω.Xm
h.ω

h.ω.Xm = 1,75 N
1,75 1,75 π
⇒h= = 2
soit h = 1,74 kg.s-1 3
ω.Xm 4πx8.10
k.Xm

Fm
4°) a) D’après la construction de Fresnel , on a : Xm =
h2ω2 + (k - mω2 )2

b) Fm ↔ Um
Qmax
h↔R+r Um
1 ⇒ Qmax =
k↔ 1
C (R + r)2 ω2 + ( - Lω 2 ) 2
C
m↔L
Amortissement RT1 faible
(Résonance aigue)

Amortissement RT2 important


(Résonance floue)

ωR2 ωR1 ω0
ω
0

1°) Il s’agit dune onde transversale car l’élongation d’un point M est perpendiculaire à la direction de
propagation .

2°) λ = 200 km = 2.105 m

5
λ 2.10
3°) λ = v.T ⇒ T = = soit T = 1,176.103 s
v 170
1
N= soit N =8,5.10-4 Hz
T
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