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Conclusion générale
Conclusion générale
Apres une étude quantitative et qualitative, des divers aspects du problème des inondations
et des averse dans le bassin d’Oum El Bouaghi, depuis l’influence du milieu physique, à celle de
l’intervention de l’homme, en passant par l’étude hydro climatique et géomorphologique,
néanmoins il est utile de rappeler qu’avec ses 17.37km², le bassin d’Oum El Bouaghi compte
parmi les petits bassins, d’où les deux remarques essentielles :
• cours secondaire appartenant à un grand bassin – bassin de GUERAAT ETARF –sera classé
cours principal si on l’étudie (en rapport) avec un bassin partiel – bassin d’Oum El Bouaghi.
• Rôle prépondérant des petits bassins dans la genèse des inondations puisque la somme des
distances accumulées des cours d’eaux classés (1 et 2) suivant le classement STRALHER
dépasse toujours de 80% les distances des cours d’eaux d’un grand bassin.
Ainsi les petits bassins se comportent comme les grands bassins par sa dynamique fluviale
et expliquent de la sorte les mécanismes de la naissance des inondations et qui représente un cas
limite d’écoulement.
Donc le bassin d’Oum El Bouaghi explique un autre type d’inondation, celui résultant de
l’accumulation des eaux de ruissellements entraînant l’accroissement du niveau des eaux causant
l’envahissement des plaines.
Il en résulte deux types de risques : risque des torrents au niveau du versant (piémont) et
risque d’inondation de la vallée.
Notant par ailleurs l’homogénéité spécifique à ce bassin mise en lumière par des indices
CT, IRP, IG, aussi que ses caractéristiques naturelle telle la composition rocailleuse, les pentes
qui font que la participation des divers bassins partiels soient égal ou presque dans la collection
des eaux d’averses. D’où la nécessité de la distribution équitable des moyens de protections, car,
pour le moment la situation incarne un aménagement erroné et une intervention manquant de
rationalisme surtout en matière d’urbanisation.
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- le bassin appartient a une zone semi aride à l’hiver tiède. La période humide s’étende
d’octobre à mars et le période sèche de mars à septembre.
- La moyenne pluviométrique annuelle de la période considérée est de 35.12mm.(station
d’Oum El Bouaghi).
- Tapis végétal dégradé et taux de couverture végétal faible.
- Pjmax pour 10ans (62.52mm) et pour 100ans (95.83)
- Précipitations maximales (Qmax) pour 10 ans :
. Oued MAROUI (22.66m3/sec).
. Oued KOUIDER (14.74 m3/sec).
- pour 100 ans :
- existence de divers érosions linéaire (ruissellement sous toutes ses formes) et érosion de
masses (effondrement).
- Il existe deux types fondamentaux de cours, en forme de V au niveau du versant (oued
KOUIDER et oued MAROUI), et de forme U au niveau des plaines.
Donc :
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Ce travail de recherche ne sera qu’un début et une base pour des recherches à avenir nécessaires
en raison de l’instabilité de la nature.
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