Boa tarde,

Eu destacaria três momentos do texto:

O primeiro momento diz respeito aos roubos no supermercado. Segundo o texto, certa vez,
Miriam estava fazendo compras num supermercado chamado Monoprix e não percebeu que
havia esquecido um par de meias no carrinho de bebê do filho Adam. Só percebeu quando
estava a alguns metros de lá. Depois disso, shampoo, creme, batom foram “esquecidos” no
carrinho, sem que ninguém soubesse, nem seu marido Paul. No texto se diz que, nesses
momentos, ela sentia-se com o ar de quem caçoava do mundo inteiro, uma sensação de ter
poder sobre tudo.

O segundo momento que destaco é a suposta traição de Miriam. Quando completou-se seis
meses que ela estava trabalhando no escritório de Pascal, ele a convidou para irem a um bistrô
comemorar. Isso mexeu com Miriam, pois segundo o texto ela tinha “fome imensa de
reconhecimento”. Havia um certo clima entre os dois. Pascal pediu uma garrafa de vinho
branco e passam a falar de alguns amigos de faculdade: Charlotte, Céline e outros. Myriam
bebia rápido e Pascal a fazia rir, de modo que ela não queria voltar para casa. Segundo o texto,
“uma tensão erótica leve, picante, queima sua garganta e seus seios. Passa a língua nos lábios.
Tem vontade de fazer alguma coisa. Pela primeira vez depois de muito tempo, ela experimenta
um prazer gratuito, fútil, egoísta. Um desejo por si mesma”.

O terceiro momento é aquele em que a investigadora Nona Dorval, ao final do texto, está
diante da babá Louise. Depois de interrogar os Rouvier, o sr. Franck, a sra. Perrin, médicos.
Diante de Louise, que estava no hospital, segundo o texto, ela “falou como se fala com crianças
que fingem dormir”. Prossegue o texto: “Nina Dorval fez a experiência: as reconstituições às
vezes são reveladoras, como essas cerimônias vodu em que o transe faz jorrar uma verdade na
dor, em que o passado se ilumina com uma luz nova”. Proferiu, então, para Louise,
desacordada, o que teria sido o processo do ato criminoso:

Louise, entrara no apartamento, encontrar pia com muitas louças sujas, brinquedos
espalhados pela casa, pegara uma faca no armário e levara as crianças para o banho.

É tudo!

guillemets ouverts

guillemets fermés

Bon après-midi,
Je soulignerais trois moments du texte :

Le premier moment concerne les braquages au supermarché. Selon le texte, Miriam faisait une
fois ses courses dans un supermarché appelé Monoprix et ne s'est pas rendu compte qu'elle
avait oublié une paire de chaussettes dans la poussette de son fils Adam. Il ne s'en est rendu
compte qu'à quelques mètres de lui. Après cela, shampoing, crème, rouge à lèvres ont été «
oubliés » dans le chariot, sans que personne ne le sache, pas même son mari Paul. Dans le
texte il est dit que, dans ces moments-là, elle ressentait avec l'air de celle qui se moquait du
monde entier, un sentiment d'avoir du pouvoir sur tout.

Le deuxième moment que je souligne est la prétendue trahison de Miriam. Alors que cela
faisait six mois qu'elle travaillait dans le bureau de Pascal, il l'invita dans un bistrot pour fêter
ça. Cela a affecté Myriam, car selon le texte, elle avait "une immense soif de reconnaissance".
Il y avait une certaine ambiance entre les deux. Pascal a commandé une bouteille de vin blanc
et ils commencent à parler de quelques amis de collège : Charlotte, Céline et d'autres. Myriam
a bu vite et Pascal l'a fait rire pour qu'elle ne veuille pas rentrer chez elle. Selon le texte, « une
tension érotique légère et épicée brûle as sa gorge et ses seins. Passe la langue sur leurs lèvres.
Pour la première fois depuis longtemps, elle éprouve un plaisir gratuit, futile, égoïste. Un
souhait pour elle-même”.

Le troisième moment est celui où la chercheuse Nona Dorval, à la fin du texte, se retrouve face
à la nounou Louise. Après avoir interrogé les Rouvier, M. Franck, Mme. Perrin, médecins.
Devant Louise, qui se trouvait à l'hôpital, selon le texte, elle "parlait comme on parle aux
enfants qui font semblant de dormir". Le texte poursuit : « Nina Dorval en a fait l'expérience :
les reconstitutions sont parfois révélatrices, comme ces cérémonies vaudou où la transe fait
jaillir une vérité dans la douleur, où le passé s'illumine d'une nouvelle lumière ». Il dit alors à
Louise, inconsciente, ce qu'aurait été le processus de l'acte criminel :

Louise, était entrée dans l'appartement, avait trouvé un évier avec beaucoup de vaisselle sale,
des jouets éparpillés dans la maison, avait sorti un couteau du placard et avait emmené les
enfants au bain.

Et tout !