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RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE

MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE


SCIENTIFIQUE

Université de djilali bounaama khemis milliana

Présenté par:
Kastali Fatima
Taibi Hamida spécialité: aménagement hydro-agricole
Introduction générale

Définition de l’évapotranspiration
• Les demande en eau des plantes varient d’une période à un
autre. Les conditions climatologiques, font que les
différentes cultures pour un cycle végétal sont intimement
liées
• On appelle évapotranspiration d'une culture la
combinaison de deux processus l’évaporation et la
transpiration.
• L’évaporation, désigne l’eau qui s’évapore à partir d’un sol
(nu) ou d’un plan d’eau ,l’évaporation est un transfert de
l’eau, à partir de la surface du sol, vers l’atmosphère, elle
dépend des facteurs climatiques : de la nature de la surface
évaporant et de ses caractéristiques physiques.
 La transpiration désigne la transpiration des
végétaux à travers les stomates (micropores
par lesquels d’eau s’évapore). Les racines
des végétaux captent l’eau qui se trouve dans
le sol . une fois parvenue aux feuilles , une
partie de l’eau va s’évaporer à travers les
stomates des feuilles .l’autre partie va servir
à la photosynthèse
 L’évapotranspiration d'une culture
s'exprime en millimètres d'eau, c'est-à-dire
en litres d'eau par mètre carré de surface du
sol.
 On distingue deux types
d’évapotranspiration :
 • Evapotranspiration potentielle ETP.
 • Evapotranspiration réelle ETR.
L’évapotranspiration potentielle représente la quantité d’eau
évaporée, et transpirée par une végétation qui recouvre totalement le
sol et bien alimenté en eau.

Le calcul de l’évapotranspiration potentielle se fait soit à partir de


stations (méthodes directes), soit à partir des données climatiques
disponibles, à partir des méthodes empiriques.
 Evapotranspiromètre ou case isymétrie.
 Bacs d’évaporation
 Les évaporomètre: l’évaporomètre de
piche.
Vu la complexité de la mise en oeuvre d’un
dispositif de mesure de l’évapotranspiration
potentielle et à défaut de mesures directes, il
est toujours préférable d'utiliser des formules
empiriques suffisamment variées, et adaptées
à différents climats.
 Formule de Turc 1960 : basée sur la
température et le rayonnement
 Formule de Blaney-Criddle 1959:Elle utilise
des paramètres facilement accessibles et
introduit des coefficients culturaux
susceptibles d’ajustement aux données
locales éventuelles.
Formule de Thornthwaite 1948 : C’est une
formule qui utilise un seul paramètre qui
est la température
 formule de Penman modifiée (formule
de Monteith)
 Pour une culture donnée, il existe une
évapotranspiration maximale ETM
différente d’ET0 car elle dépend du
stade phénologique de la culture (une
culture peu couvrante évapore moins
qu’une culture pleinement développée).
 Comment obtenir l’ETM ?
 Pour estimer l’évapotranspiration maximale
(ETM) à partir de l’évapotranspiration de
référence (ET0), souvent appelée ETP, on utilise
les coefficients culturaux (Kc), dépendant du
type de la culture et de son stade de
développement et des conditions climatiques
qui y règnent.
 L’évapotranspiration maximale (ETM) est
mesurée expérimentalement et comparée à
une évapotranspiration de référence (ET0)
d’où l’on tire :
 Kc = ETM / ET0
 La quantité d’eau perdue par une
culture constitue l’évapotranspiration
réelle ETR.
 Elle varie à la fois avec les conditions
météorologiques, le type de culture, les
stades phénologiques et les conditions
d’humidité du sol. Selon que l’offre sera
plus ou moins limitant, ETR sera inférieure
ou égale à ETM.

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