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ARCHEOLOGIA NUOVA SERIE

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ARCHEOLOGIA NUOVA SERIE
4

Direzione
Prof. Stéphane Verger
Ecole Pratique des Hautes Etudes, Paris

Comitato Scientifico
Prof.ssa Irene Lemos, Università di Oxford
Prof.ssa Dirce Marzoli, Istituto Archeologico Germanico, Madrid
Prof.ssa Hatice Pamir, Università Mustafa Kemal, Hatay
Prof. Felix Pirson, Istituto Archeologico Germanico, Istanbul
Prof.ssa Marie Louise Stig Sørensen, Università di Cambridge
Prof. William van Andringa, Università di Lille 3
Prof. Didier Viviers, Università Libera di Bruxelles
Prof. Philippe Walter, CNRS, Paris
Prof. Andrew Wilson, Università di Oxford

ISBN 9788881675081

© 2017 OSANNA EDIZIONI s.r.l.

via appia 3/a 85029 venosa (pz) tel. 0972.35952 fax 35723
e mail: osanna@osannaedizioni.it
sito web: www.osannaedizioni.it

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Stéphanie Adroit – Raimon Graells

Arquitecturas funerarias y memoria:


la gestión de las necrópolis en
Europa occidental (ss. X-III a.C.)
Actas del Coloquio del 13-14 Marzo 2014
celebrado en La Casa de Velázquez (Madrid)

Osanna Edizioni

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4
ÍNDICE

117 Auteurs / Autores


‘Liste_Auteurs’

119 Stéphanie Adroit – Raimon Graells


Presentation / Presentación

Arquitecturas funerarias y memoria:


la gestión de las necrópolis en Europa occidental (ss. X-III a.C.).

115 Raúl Balsera Moraño


Análisis del significado espacial en las necrópolis ibéricas del Turó dels Dos Pins, Can Rodon
de l’Hort y Can Ros (Cabrera de Mar, Barcelona)

131 Ferran Falomir Granell - Jose Luis Luján - Bibiana Agustí - Antonia Díaz - Anna
Viciach - Victoria Robledo - Mónica Galea
El Área funeraria de los Cabañiles (Zucaina, Castellón). Agrupaciones tumulares, edificios y
su articulación espacial (Siglos VII i VI aC).

147 José Ignacio Royo Guillén - Luis Fatás Fernández


Arquitectura funeraria y gestión del espacio durante la Ia edad del hierro en la necrópolis de
Arroyo Vizcarra (Urriés, Zaragoza).

159 Marie De Jonghe


Organización de las necrópolis fenicias de Península Ibérica

175 Fernando Prados Martínez


Arquitectura funeraria en el ámbito púnico. Hitos en un paisaje de poder y memoria

195 Ana Margarida Arruda - Rui Barbosa - Francisco B. Gomes - Elisa Sousa
La nécropole de Vinha das Caliças 4 (Trigaches, Beja) : architectures et pratiques funéraires de
l’Âge du Fer dans le Sud du Portugal

109 Rui Mataloto


In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.)

129 Raquel Vilaça - Domingos Cruz - André Tomás Santos - João Nuno Marques
Encenar a morte, ritualizar o espaço. O monumento 1 da Lameira da Travessa de Lobos (Castro
Daire, Viseu, Portugal)

5
143 Martín Almagro-Gorbea
Paisaje y estructuras funerarias de la necrópolis de Medellín

161 Stefano Vassallo


Le necropoli di Himera: gli spazi, le architetture funerarie, i segni della memoria

175 Florent Mazière - Bernard Dedet - Xavier Carlús - Francisco Javier López Cachero
- Carme Rovira Hortalà
Se souvenir des morts du Rhône à l’Èbre, du Xe au Ve s. av. J.-C.

227 Alessandro Naso


Morire da Etruschi. Tombe e sepolture in Etruria meridionale

253 Silvia Paltineri


Architettura funeraria, articolazione dello spazio e forme di organizzazione sociale: il caso
della necropoli di Chiavari (Genova)

269 Alberto José Lorrio


Arquitecturas funerarias y memoria durante el Bronce Final y el periodo orientalizante en el
sureste de la península ibérica (ss. X-VI a.C.)

311 Stéphanie Adroit


Architectes de la mort : un état de la question entre Garonne et Èbre de la première moitié du
Ier millénaire a. C.

353 Mariano Torres Ortiz


El paisaje funerario de las necrópolis Tartésicas

393 Pierre-Yves Milcent


Construire, (ré)utiliser, entretenir ou piller des tumulus à l’âge du Bronze et au premier âge
du Fer. Le tumulus de Lazenay à Bourges et autres exemples de France centrale

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Auteurs / Autores
‘Liste_Auteurs’

Stéphanie Adroit Antonia Díaz


Docteure associée UMR 5608-TRACES, Arqueólogo
équipe RHAdAMANTE.
stephanie.adroit@orange.fr Ferran Falomir
Servicio de Investigaciones Arqueológicas y
Bibiana Agustí Prehistóricas de la Diputación de Castellón;
Arqueólogo. Museo de BB.AA de Castellón, Avda.
bagusti@gmail.com
A l’Université d’Aix-Marseille, auGermans sein du Bou, 28,Camille
Centre CP. 12003. Castellón.
Jullian, j’ai eu la
chance de diriger les recherches ffalomir@dipcas.es
doctorales de Raphaël Golosetti. Ce jeune
Martín Almagro-Gorbea
chercheur a avant tout une excellente formation d’historien et une connaissance
Académico Anticuario
précise desde sources
la Real Academia Luis Fatás Fernández
textuelles et épigraphiques de la Gaule. Mais c’est aussi
de la Historia, un
León 21, 28014 de
archéologue Madrid.
terrain formé,Arqueólogo
en France (Gaulede laméridionale,
Dirección General
Alésia…) deet
anticuario@rah.es Patrimonio
à l’étranger (Italie, Tunisie, Chypre…), Cultural del
à une archéologie Gobierno
rigoureuse. de
Il a été
lui-même titulaire d’autorisationsAragón.de fouilles ou responsable de secteurs sur
Ana Margarida plusieurs
Arrudasites importants. C’est dire qu’il est capable d’exploiter des données
lfatas@aragon.es
UNIARQ – Centro mais aussi de «produire»
de Arqueologia une documentation originale et, ainsi, de renouveler
da Uni-
versidade de Lisboa; Faculdade de Letras da scientifiques.
significativement des dossiers Mónica Galea Son curriculum vitae est riche
Universidade de d’expériences
Lisboa. variées et d’une belle bibliographie ; ses qualités intellectuelles
Arqueólogo.
et humaines en ont fait un collaborateur et collègue apprécié.
monicagalea033@gmail.com
Grace au laboratoire AOROC (CNRS-ENS-EPHE), le lecteur trouvera ici une version
Raúl Balsera Moraño
Arqueólogo. remaniée et amendée de sa thèse deFrancisco doctorat. B.CeGomes
manuscrit avait d’ailleurs déjà
fait
raulbalsera@gmail.coml’objet d’enrichissements lors d’une première
UNIARQ – Centro acceptation pour publication
de Arqueologia da
comme supplément à Gallia ; ce projet avait finalement été abandonné
Universidade de Lisboa; Fundação para a au pro-
fit de la collection Archeologia-Nuova serie. On remerciera Stéphane Verger, le
Rui Barbosa Ciência e Tecnologia.
directeur d’AOROC, d’avoir largement contribué à publier ce travail.
Arqueohoje. franciscojbgomes@gmail.com
Cet ouvrage souligne l’évolution, de l’époque protohistorique à la période
Xavier Carlús Marie de Jonghe
romaine, des conceptions cultuelles au travers d’une démarche géographique.
Universitat Autònoma de Barcelona.
Ainsi, Raphaël Golosotti établit ceUniversité Paris 1appeler
que l’on pourrait - Panthéon Sorbonne,
une typologie des
cultes et sanctuaires dans le Sud-Est de la Gaule à l’époque protohistoriquede
ArScAn -Archéologies et Sciences et
Domingos Cruz l’Antiquité UMR 7041.
romaine. Ceci lui permet d’analyser les relations entre les perceptions religieuses
Instituto de Arqueologia.
de l’Homme Faculdade
et son de Letras
environnementm.a.dejonghe@gmail.com
dans une zone d’étude qui se distingue
da Universidade de Coimbra (Portugal).
par une diversité du paysage : la montagne, région plus ou moins hostile et
à l’occupation humaine particulière, Javier Francisco López
l’arrière-pays Cachero
entre deux mondes et les
Bernard Dedet Seminari Estudis i Recerques Prehistòriques
plaines alluviales et littorales, zones privilégiées de contact avec les influences
CNRS, UMR 5140 et
grecques “Archéologie
romaines. Mais, desoutre(SERP). Departamento
cette topographie du sacré,del’approche
Prehistòria,
géo-
Sociétés Méditerranéennes”,
graphique mise enUniversité
œuvre estde Història
novatrice car elleAntiga
constituei une
Arqueologia de des
lecture spatiale la
Montpellier III.
phénomènes et une représentation Universitat de Barcelona.
des dynamiques de peuplement. Elle met
notamment en évidence les processus
bernard.dedet@cnrs.fr de polarisation, de nodalité mais aussi les
xavierlopez@ub.edu

7
Alberto José Lorrio Victoria Robledo
Universidad de Alicante. Arqueólogo.
alberto.lorrio@ua.es vtrobledopozo@gmail.com

Jose Luis Luján José Ignacio Royo Guillén


Arqueólogo. Arqueólogo de la Dirección General de Pa-
jjlujan81@hotmail.com trimonio Cultural del Gobierno de Aragón.
jiroyo@aragon.es
João Nunointeractions,
éventuelles Marques interfaces et dynamiques : notions de distance
Centro de Estudos
aux lieux de culte, de Pré-históricos
déplacementdades Beira Carme
sanctuaires parRovira
rapportHortalà
aux
Alta
nouvelles zones de vie et de circulation. Ainsi, le fait religieux est-il de Catalunya.
(CEPBA). Museu d’Arqueologia
mis en relation avec les processus d’urbanisationcarmerovirah@gmail.com
et le développement
Rui Mataloto
des voies de communication.
Município de Redondo.
Cette esquisse de géographie du sacré permet donc André Tomás
de définir Santos
le rôle du
rmataloto@gmail.com Fundação
sanctuaire dans le paysage rural et semi-rural des plaines ou deCôa Parque.
montagne
(notion de «  géosymbole  »  : fonction de marqueurs du territoire)
et d’identifier
Florent Mazièrel’originalité des cultes du Sud-EstElisade ladeGaule,
Sousarégion
caractérisée par une juxtaposition
INRAP-Méditerranée, d’espaces civilisés,
TRACES, UMR5608, UNIARQ vécus –(plaines,
Centro de Arqueologia da
littoral, arrière-pays,
Université Jean Jaurèsfond de vallée
Toulouse II alpine) et d’espaces
Universidademarginaux,
de Lisboa; Fundação para a
traversés (haute-montagne,
florent.maziere@inrap.fr marécages, forêts). Ciência e Tecnologia.
Un livre d’archéologie
Pierre-Yves Milcent mais aussi d’histoire, de géographie du sacré et
d’anthropologie culturelle qui renouvelle
Université de Toulouse Jean Jaurès / UMR le sujet, liste des
Mariano TorrespointsOrtiz
de
réflexion et désigne
5608-TRACES, des RHAdAMANTE
équipe pistes de recherche. Universidad Complutense de Madrid.
milcent@univ-tlse2.fr mtorreso@ghis.ucm.es
Dominique Garcia
Professeur d’archéologie (Aix-Marseille université/IUF)
Alessandro Naso Stefano Vassallo
et Président de l’Inrap
Istituto di Studi sul Mediterraneo Antico, Regione Siciliana, Soprintendenza Palermo.
CNR Unità Operativa Beni Archeologici.
Leopold-Franzens-Universität, Innsbruck vassallo.stefano@gmail.com
Alessandro.Naso@uibk.ac.at
Anna Viciach
Silvia Paltineri Arqueólogo.
Professore a contratto. Insegnamento di annaviciach@gmail.com
Civiltà dell’Italia preromana, Università
degli Studi di Padova, Piazza Capitaniato 7, Raquel Vilaça
35139 Padova. Insegnamento di Archeologia Instituto de Arqueologia. Faculdade de Letras
dell’Italia preromana, Università degli Studi da Universidade de Coimbra (Portugal).
di Pavia, Piazza del Lino 2, 27100 Pavia. rvilaca@fl.uc.pt
silvia.paltineri@unipd.it; silvia.paltineri@
yahoo.it

Fernando Prados Martínez


Investigador Ramón y Cajal. Área de Arqueo-
logía de la Universidad de Alicante. Campus
de San Vicente del Raspeig. Ap. 99-03080
Alicante (España).
fernando.prados@ua.es

8
Rui Mataloto*

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles


rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.)

“vita enim mortuorum


in memoria vivorum est posita”
[Cícero, Philippica 9.10]

1. Território e sociedade dos meados do junto dos principais cursos de água, dispon-
Iº milénio a.C. no interior alentejano do-se as serranias paralelamente aos grandes
eixos de circulação (E-W) (serra de Portel/

O
território que aqui nos ocupa, Mendro, serra d’Ossa).
o interior alentejano, ainda que A área setentrional do Baixo Alentejo,
usualmente tido como um terri- acima de Beja, caracteriza-se por uma pai-
tório uniforme, “o Alentejo”, engloba um sagem aberta levemente ondulada, de solos
verdadeiro mosaico paisagístico marcado muito férteis, com as planuras do Sado e
por longos corredores de transitabilidade a serra do Mendro como pano de fundo,
Oeste – Este e Nordeste – Sudoeste, sendo para Norte. Os “Barros de Beja” dominam
bem menos vincados os corredores Norte- uma ampla região central, situando-se nas
Sul, entrecortados pelas serranias facilmente suas margens territórios de relevo mais
vadeáveis da Serra d’Ossa ou as de Portel/ ondulado, marcado pelos xistos, de terras
Mendro. Todavia, cremos que esta última menos férteis.
marca um limite geográfico real entre duas A primeira metade do Iº milénio a.C. no
unidades biofísicas com muitas dissemel- interior alentejano parece ter sido marcada
hanças, mas também alguns traços comuns. por um intenso processo de ruralização do
Neste trabalho iremos centrar-nos na povoamento, devendo as pequenas insta-
parte meridional do Alto Alentejo e na área lações rurais dispersas no agro constituir o
setentrional, interior baixo alentejano, es- cerne da estrutura populacional. Este fenó-
paço que temos vindo a estudar nos últimos meno tem vindo a ser particularmente bem
anos1 (fig. 1). documentado no Alentejo Central2, ainda
A região meridional do Alto Alentejo que nos últimos anos novos dados referentes
apresenta-se como um vasto corredor natu- ao Baixo Alentejo a Norte de Beja3 tenham
ral de ligação Este-Oeste, que une as planu- permitido alargar esta dinâmica a todo o
ras da bacia média do Guadiana, e o tramo interior alentejano, interligando a região de
superior do seu curso descendente, à faixa Ourique/Castro Verde, onde inicialmente
costeira atlântica, junto à foz dos rios Tejo se documentou este modelo de povoamen-
e Sado. A paisagem, aberta, caracteriza-se to4, com o Alentejo Central.
por um relevo apenas levemente ondulado, Este processo de ruralização parece des-
e pontualmente soerguido, que se encaixa enrolar-se, de modo sistemático, a partir de

109
Figura 1. As necrópoles da Tera, Hortinha e Pedrógão e o interior alentejano no Sudoeste peninsular.

meados/finais do séc. VII a.C.5, coincidindo os finais do séc. VII a.C. e os meados do
com o abandono dos grandes povoados for- milénio7.
tificados do final da Idade do Bronze, num O século VI a.C. deve ter sido marcado
movimento desencadeado, provavelmente, pela total reorganização do povoamento
ainda na centúria anterior. Na realidade, o alentejano, emergindo do desmantelamento
reforço da componente humana dispersa no das redes de grandes povoados do final da
campo surge claramente por oposição a um Idade do Bronze uma densa malha de pe-
abandono generalizado dos grandes povoa- quenas instalações rurais. Se o advento desta
dos6, sendo raras ou mesmo desconhecidas, realidade é já possível rastrear dentro do séc.
no Alentejo interior, grandes instalações VII a.C., será com o séc. VI a.C. que surgirá
humanas correspondentes ao período entre como um padrão consolidado, efectivando-

110 Rui Mataloto


se ao longo deste século, creio, o optimum qual não será de descartar por completo a
da ocupação rural. utilização de estruturas tumulares de planta
Julgo particularmente redutor ler toda circular, do tipo Atalaia, até aos inícios do
uma enorme densidade de pequenas ins- Iº milénio aC no Baixo Alentejo meridio-
talações rurais na superintendência de nal. Os diversos conjuntos de hipogeus
unidades diferenciadas, pouco ou nada que se têm vindo a registar nos últimos
documentadas, sendo a realidade bem mais anos em todo o Baixo Alentejo parecem,
complexa, no entrecruzar dos vários mode- pontualmente, continuar em uso até ao
los de instalação. Assim, grandes complexos final da Idade do Bronze (Monge Soares,
rurais, como o Espinhaço de Cão8 poderiam informação pessoal). Contudo, a grande
gerar e controlar diversas outras unidades novidade é constituída por um número
rurais, enquanto na margem dos territórios crescente de inumações em fossa, usualmen-
mais férteis estas se poderiam organizar em te sem espólio, associadas a ocupações de
pequenas comunidades interligadas por fundo rural do final da Idade do Bronze11.
laços familiares9. Estas definem com clareza a utilização do
A partir de meados do séc. V a.C. parece rito de inumação, num momento onde, a
consolidar-se um processo de concentração Sul do Tejo, eram já conhecidas as primeiras
populacional em povoados fortificados incinerações, anteriores, portanto, à coloni-
instalados em alcantilados rochosos, num zação fenícia12.
verdadeiro acto de encastelamento, que Assim, o que temos para o final da Ida-
estará em grande medida concluído nos de do Bronze no interior Sul do território
meados do século seguinte. Este processo, actualmente português é um panorama
provavelmente resultante de uma acção de dominado pelo rito da inumação, onde as
sinecismo, acabará por representar o aban- necrópoles propriamente ditas são quase
dono de grande parte das instalações em por completo desconhecidas.
meio rural no espaço alentejano. O conhecimento das mais antigas necró-
Em suma, a transição para a Idade do poles da Idade do Ferro do interior alente-
Ferro é marcada por um verdadeiro movi- jano era, até há poucos anos, centrado nos
mento de refundação e transformação social, dados obtidos pela ação de Caetano de Melo
que se traduzirá na criação de toda uma nova Beirão no planalto de Palheiros13.
Paisagem, processo no qual as necrópoles A intensidade dos trabalhos na micro-
parecem ter jogado um papel fulcral. região do planalto de Palheiros/Ourique,
com a intervenção de mais de uma dezena
de necrópoles, acompanhada pela iden-
2. Puzzling: a diversidade ritual e ar-
tificação de raros pequenos povoados, de
quitectónica das necrópoles sidéricas do
cariz iminentemente rural, estabeleceu um
interior alentejano
verdadeiro modelo civilizacional onde os
O território aqui em foco surge-nos como escassos elementos de origem exógena foram
um imenso mosaico cultural espelhado na sempre realçados num contexto marcado
diversidade das arquitectura e ritos funerá- pela presença da escrita como evidência de
rios inerentes. “orientalismo” e pujança14.
A escassez de espaços de enterramento A realidade funerária deste território,
claramente do final da Idade do Bronze, baseada na construção de impressionantes
apanágio aparente de todo o sudoeste penin- conjuntos tumulares, tem permitido a elabo-
sular, ao menos até há poucos anos10, tem ração de leituras diacrónicas evolutivas, que
vindo progressivamente a ser substituída permitem avançar, segundo alguns autores,
por uma realidade algo mais complexa na com espectros cronológicos mais amplos

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 111
(VIII-V aC)15 ou mais curtos (VI-V aC)16, conhecidas nas proximidades de Beringel25.
enquadrando grande parte do que deve ter Mais recentemente foi parcialmente inter-
sido a diacronia sidérica, pelo menos da vencionada uma destas necrópoles a Sul de
primeira metade do I milénio aC. Beja, Quinta do Estácio 6, presentemente
Os diversos autores sustentam a convi- em estudo26.
vência de ambos rituais de tratamento e Estas necrópoles parecem desenvolver-se
deposição do corpo, a inumação e a cre- entre finais do século VII aC e meados do
mação17, cremos que mais por prudência do séc. V aC, sendo o espólio que acompanha-
que por determos dados efectivos. va e adornava os féretros bastante diverso,
Contudo, nos últimos dez anos temos demonstrando evidentes ligações com as rea-
vindo a assistir, para o Alto Alentejo, a uma lidades litorais, quer nos adornos (fíbulas,
alteração progressiva do conhecimento dos fechos de cinturão, braceletes, conjuntos de
gestos funerários durante grande parte do tocador, anéis, pendentes em prata e ouro,
Iº milénio aC, com o estudo de diversas escaravelhos, contas de colar, etc), quer mes-
necrópoles como a de Torre de Palma18 ou mo nalgumas cerâmicas, pouco frequentes,
da Tera19. e noutros amuletos, que parecem traduzir
Todavia, tem sido na planície dos Barros a partilha de um fundo cultural de matiz
de Beja que se tem assistido a uma verdadeira mediterrâneo “orientalizante”. As armas
“revolução empírica” com a identificação de ferro restringem-se a grandes pontas e
de um já extenso número de necrópoles da contos de lança, a par de facas afalcatadas.
Idade do Ferro, emergindo um verdadeiro A necrópole do Olival dos Senhor dos
“Admirável Mundo Novo”20. Mártires, associada ao povoado de Alcácer
Estas necrópoles caracterizam-se, es- do Sal é, ainda hoje, a mais emblemática
sencialmente, pelo uso quase exclusivo da necrópole da Idade do Ferro do Sul do te-
inumação, com deposição do féretro em de- rritório actualmente português, assumindo-
cúbito lateral, em sepulturas rectangulares, se como um elemento determinante na
escavadas no substrato, por vezes com canal compreensão do imenso mosaico cultural
central, ou escalonadas, que centralizam, detectado no interior alentejano, de que Al-
ou rodeiam, recintos de fossos, de planta cácer constitui, certamente, a grande porta
rectangular, por vezes adossados. Com de entrada e saída. À falta de um estudo sis-
alguma frequência os fossos, ou mesmo os temático sobre o imenso espólio recolhido
seus preenchimentos, são utilizados como valem-nos ainda as preciosas observações
espaços sepulcrais. publicadas pelo seu escavador, V. Correia
Inicialmente concentradas na envolvente (1925; 1928), base de duas importantes
de Beringel, estas necrópoles distribuem-se revisões efectuadas recentemente, que per-
já por toda a região de Beja. Estando ainda mitiram estruturar novas perspectivas sobre
em falta a publicação de estudos monográfi- as sequências e características da necrópole
cos dispõe-se já de alguma informação sobre à luz dos novos dados27.
as necrópoles de Palhais21, Carlota22 e Vinha A cremação dos corpos manteve-se como
das Caliças 423. Além destas conhecem-se, ritual único de tratamento final do féretro,
também a Poente de Beja, as necrópoles de que poderá ter conhecido a convivência de
Monte Marquês 7, Poço da Gontinha e Cin- dois usos distintos numa fase inicial, entre
co Réis, entre outras menos documentadas24. meados do séc. VII aC e finais do seguin-
A noroeste de Beja, junto ao rio Guadiana, te, com cremações in situ e em ustrinum,
na zona de Pedrógão, foram intervencio- recolhendo-se os restos cremados em urna,
nados diversos núcleos sepulcrais, que aparentemente, na fase mais antiga e mais
partilham claramente características com as recente28. Se a organização da necrópole

112 Rui Mataloto


nos escapa, a sua arquitectura, ainda que é essencialmente um acto de construção
com bastante dúvida sobre a presença ou colectiva, fulcral para a própria formação
não de tumuli, seria baseada na abertura do grupo, o qual apenas existe num espaço
de covachos sub-rectangulares escavados e num tempo socialmente construído e
no substrato, por vezes com canal central, partilhado, inseparável de si mesmo35. É esta
num tipo bem conhecido entre fenícios e existência dos grupos no espaço que deriva
indígenas do espaço peninsular29. na própria acção de construção de Paisagem
Durante longas décadas a necrópole de sendo, como em outro lugar já escrevemos36,
Alcácer foi a única conhecida cujos espólios Memória e Paisagem um binómio insepa-
se integravam facilmente nos conjuntos fu- rável na criação da Identidade do próprio
nerários de feição mediterrânica, tartéssica grupo, isto é, na criação do seu Passado.
ou fenícia, consoante os autores30. Assim, a noção de grupo e do seu espaço “ne
A diversidade conhecida no Baixo Alen- dure que dans la mesure où le groupe fixe sur
tejo não se restringe, todavia, aos casos elle son attention et l’assimile à sa pensée”37.
avançados, sendo igualmente conhecidas A criação, manipulação e reconstrução de
necrópoles de cistas, como aquela em que memória, e logo do Passado, é um acto es-
se recolheu o impressionante tesouro do sencial na manutenção dos próprios grupos,
Gaio31, esta já bem próxima da costa, ou, podendo a construção de novos espaços
mais para o interior, Corte Margarida32, funerários resultar de verdadeiros actos de
igualmente com um notável conjunto de legitimação, sendo justamente nos mitos
oferendas de claro fundo mediterrâneo. fundadores onde se cristaliza a memória
Além destas seria importante, em particu- colectiva das sociedades sem escrita38.
lar neste contexto onde as arquitecturas e Cremos, então, que os espaços funerários
a memória desempenham papel fulcral na desempenham um papel fulcral na estru-
análise, assinalar um conjunto de outras turação da Paisagem Identitária do grupo,
ocorrências que retratam o reuso de antigos criando muitas vezes um Passado agregador
monumentos megalíticos, aparentemente e legitimista, como parece ter ocorrido, sob
para fins funerários, como parece ser o caso formas diversas, nas necrópoles que descre-
do Cerro do Gatão33 ou o Serro das Antas34. veremos em seguida.
A diversidade de arquitecturas, implan-
tações e certamente ritos evidencia um mo- 3.1. Tera (Mora)
saico cultural resultante de uma pluralidade A necrópole da Tera situa-se nas proximida-
de micro-dinâmicas nas quais se entrecru- des de Pavia (Mora), não muito distante da
zam influências exteriores, particularmente Ribeira de Tera, implantando-se numa zona
visíveis nas oferendas funerárias, com o pro- aplanada, bastante indiferenciada (fig. 1 e 2).
fundo localismo atávico dos grupos rurais. Foi identificada por Manuel Calado em
meados dos anos 90 e escavada inicialmente
por Leonor Rocha, na sequência da inter-
3. A criação do Passado e a construção
venção no alinhamento menírico da Tera,
da Memória no Mundo rural: as necró-
no qual se registaram igualmente materiais
poles da Tera, Hortinha e Pedrógão
sidéricos39.
A Memória é, sem entrarmos em detalhes, A partir de 2006 iniciámos a escavação da
a consciencialização individual da acção necrópole delimitada por uma grande estru-
cognoscente, mediada pela partilha de sím- tura tumular, composta por pedras pequenas
bolos e valores socialmente aceites. Assim, e e médias, sobre a qual estava acumulado
seguindo M. Halbwachs, o grande teórico da um conjunto de menires. O cairn pétreo
memória colectiva (1950 [1997]), a Memória identificado deverá corresponder a cerca de

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 113
Figura 2. Vista geral ao início dos trabalhos, planta de enterramentos e menires da necrópole da Tera (Pavia)

114 Rui Mataloto


metade do espaço de enterramento, que se outra vazia de qualquer espólio preservado.
prolongaria para Nascente (fig. 2). Os enterramentos apresentam uma clara
Sobre a necrópole, ou parcialmente concentração numa zona relativamente
integrados nela, registou-se cerca de uma central do cairn, entre duas das estruturas
dezena de menires, não tendo sido os dados tumulares identificadas sob aquele (fig. 2).
concludentes sobre a sua erecção durante o No total foram registadas nesta segunda fase
uso do espaço funerário; contudo, alguns dos trabalhos cerca de 30 deposições funerá-
dados parecem apontar nesse sentido. Um rias, havendo que esperar pela conclusão da
deles, relativamente pequeno, tinha ainda escavação integral das urnas para obter um
a base in situ, apesar de estar tombado e número exacto; contudo, deverá situar-se
partido, na margem da área tumular, e não entre 3 e 4 dezenas.
integrado nela (fig. 2). As urnas são, em geral, recipientes de
A cremação em ustrinum, com a depo- média dimensão, de bordo exvertido, com
sição cuidada dos restos cremados no inte- colo curto, produzidas a torno. Alguns
rior de urnas, foi o único ritual documenta- dos exemplares apresentam-se em cerâmica
do na necrópole40. A área de ustrinum não cinzenta, seguindo morfologias conhecidas
foi claramente identificada, contudo, uma em contextos funerários como Medellín42
estrutura de planta rectangular localizada ou Torre de Palma43.
na margem Sul da necrópole, que integrava O espólio que acompanha as deposições
um menir e se sobrepunha a um espesso raras vezes é extenso, por vezes apenas
estrato de terras muito negras e compactas, pratos, a modo de tampa, e pequenos
poderia ter desempenhado essa função. Na recipientes, do tipo unguentário, bicóni-
margem sudeste registou-se a presença de cos, depositados junto da mesma. Foram
um conjunto de covachos preenchidos e documentados dois unguentários de tipo
sobrepostos por uma área de terras muito alabastron em cerâmica, depositados dentro
negras, compactas com restos milimétricos da urna [278], acompanhados por dois anéis
de ossos carbonizados, nas quais restava al- em prata (fig. 3). No interior das urnas, e
gum espólio funerário, podendo constituir por vezes na sua envolvente, recolheram-
igualmente área de ustrinum. se fíbulas do tipo Alcores e Acebuchal ou
Os enterramentos são principalmente Bencarrón, além de raras contas de colar, um
em urna, posteriormente depositada num pequeno bracelete “acorazonado” (fig. 3) e,
pequeno covacho, sendo com frequência num caso, uma lâmina em ferro dobrada e
estruturada por blocos pétreos, que a en- uma faca afalcatada. As armas, nomeada-
volviam, sobrepondo, por vezes, o espólio mente uma ponta de lança e o seu conto,
funerário. Em diversos casos era claro que apenas foram documentadas no exterior de
parte das cinzas e dos restos cremados se uma sepultura periférica, conjuntamente
depositavam no exterior da urna, dentro com um fecho de cinturão de placa romboi-
do covacho onde aquela era depositada. dal de 3 garfos (DIII3/DIII5)44. Para além
Em contadas situações registou-se a pre- deste registou-se a presença de outro fecho
sença de várias urnas agregadas. Num de cinturão de placa romboidal, mas de um
caso (enterramentos 34, 35, 38 e 39), esta só garfo, do tipo CII ou CIII de Cerdeño, a
agregação de urnas parecia estar associada que devíamos acrescer parte de dois outros,
a um grupo familiar, ao registar a presença de tipo indeterminado, mas que deverão
de um elemento masculino, um feminino e integrar-se nos tipos já registados (fig. 3).
uma criança41. Creio que será de mencionar De clara origem forânea sobressai a pre-
ainda a deposição de uma urna dentro de sença de um ânforisco em vidro polícromo,
uma das duas cistas identificadas, estando a do Grupo Mediterrâneo I, forma 2 de Har-

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 115
Figura 3. Conjunto artefactual recolhido na necrópole da Tera - fíbulas Alcores; fechos de cinturão de placa
romboidal; bracelete acorazonado; unguentários em cerâmica e vidro; pendente e anel em prata; cálice em cerâ-
mica cinzenta e incensário.

116 Rui Mataloto


den (1981) (fig. 3), para além de algumas de todas as raras necrópoles conhecidas até
contas de colar azul turquesa com oculações ao momento no sudoeste peninsular, enve-
a azul e branco, que assinalam de forma clara redando pela edificação de uma estrutura de
a integração destas populações nos circuitos claro fundo megalítico. O gesto de emulação
de distribuição regional destas peças de de ancestrais construções, associadas agora a
larga circulação. Por fim resta assinalar que um recinto funerário, assinalaria o conheci-
junto dos féretros seriam provavelmente mento dos antigos monumentos, erguidos a
depositadas oferendas alimentares, que se escassos quilómetros de distância, caso dos
deduzem da presença de ossos não humanos cromeleques de Vale d’El Rei ou Figueiras46.
carbonizados no interior das urnas. Por outro lado, a sua implantação adjacente
Perante o conjunto de dados disponíveis a diversas antas e a uma mamoa, ainda hoje
creio que a necrópole da Tera se deverá ter particularmente bem preservada, situadas
desenvolvido entre meados do séc. VI aC e num raio aproximado de 100 m, permite su-
meados do século seguinte. bentender uma clara vontade de associação
O espaço da necrópole deveria apresen- a um contexto de forte cariz identitário,
tar uma dinâmica própria, à margem dos facilmente lido como um acto legitimador
ritmos sepulcrais, constituindo-se como da posse e exploração da terra e como ele-
um espaço de veneração dos mortos, onde mento de coesão do grupo, num momento
se encenariam homenagens e libações en- de grande pressão demográfica. Por outro
quadradas pela presença dos antepassados lado, a simples emulação e associação a
transfigurados nos monólitos, todos eles uma paisagem onde a espessura do tempo
oblongos e toscos. A identificação de um se encontra bem vincada poderia ser desen-
aparente incensário, [64] e de vários cálices, volvido como elemento de coesão interna
[47], dissociados das deposições funerárias, do grupo, independentemente de questões
parece confirmar esta utilização do espaço relacionadas com a exploração do território.
sepulcral para além dos ritos fúnebres em Este caso acaba por constituir-se como
si (fig. 3). a súmula do processo pós-megalítico, veri-
A veneração dos ancestros e a construção ficando a necessidade não só de reutilizar
de memória é, obviamente, indissociável os monumentos precedentes (o que parece
dos espaços sepulcrais; todavia, na necró- também ter efectivamente aqui acontecido
pole da Tera este factor assume um cariz nas suas imediações), mas igualmente de
exponencial, desde logo pela sua localização, construir um monumento que evidencias-
movendo-se por claro sentido identitário a se as mesmas raízes ancestrais, adjacente a
construção de uma memória legitimadora antigos espaços sepulcrais, compondo um
da posse de um dado território. conjunto cénico e identitário de raro cariz
A localização da necrópole da Tera assu- transgeracional, onde o sentido funerário
miu uma centralidade total face a um con- parece ter sido recuperado como elemento
junto de pré-existências que justificam a sua de coesão grupal, ao depositarem-se as urnas
implantação. A curta distância encontram-se cinerárias sob um mesmo tumulus, tal como
vários monumentos megalíticos, de dimen- acontecia em época pré-histórica.
são e tipologia distinta; estes não passaram
certamente despercebidos das populações 3.2. Hortinha 1 (Évora)
sidéricas, como foi possível verificar numa As construções megalíticas permaneceram
pequena na Anta do Monte das Figueiras45. na paisagem alentejana através de sucessivas
A necrópole da Tera, ainda que seja um acções de rememoração, sendo pouco pro-
monumento aparentemente erguido em vável que tenham alguma vez sido totalmen-
meados do Iº milénio aC, parece afastar-se te esquecidas e ignoradas pelas sociedades

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 117
Figura 4. Planta e espólio da Anta 1 da Hortinha (seg. Calado et al. 2007-2008).

118 Rui Mataloto


posteriores, todas elas com forte pendor associando-se à sua memória.
rural, que utilizaram, viveram e conceptua- O enterramento deve enquadrar-se, com
lizaram a realidade geográfica alentejana, alguma segurança, em torno ao séc. V aC49.
transformando-a numa Paisagem fortemente A sua cronologia avançada, associada a um
identitária. conjunto cerâmico com marcada indivi-
Não tenhamos, contudo, uma noção dualidade regional poderá estar a indicar a
meramente atávica do modo como as rea- chegada de pequenos grupos humanos a este
lidades megalíticas foram sendo integradas território, que procuram legitimar a posse e
nos discursos sociais e na construção da uso da Terra através da associação dos seus
memória, sendo com alguma certeza, apesar mortos a marcos de ancestralidade, como
dos escassos dados disponíveis, elementos se referiu para o caso da necrópole da Tera.
dinâmicos nas novas construções sociais Apesar da incerteza existente, é possível
e identitárias, integrando e absorvendo entender-se este enterramento como único,
novas cosmogonias, consoante a realidade o fundador, eventualmente o elemento que
sociológica emergente. Todavia, desde cedo liderou a chegada de um pequeno grupo a
parecem ser marcos da espessura do tempo, um novo território, pelo que acabou por se
criadoras do Passado, verdadeiros axis mun- sepultar junto dos ancestros, legitimando e
di que acompanhavam transversalmente a estreitando as ligações a este.
temporalidade da paisagem47, gerando fortes
memórias individuais e de grupo. Raras 3.3. As necrópoles de Pedrógão: o caso de Fa-
vezes devem ter sido elementos inócuos, releira 3 (Vidigueira, Alentejo)
perdidos nas paisagens, assumindo-se múlti- As três necrópoles deste núcleo (Poço Novo,
plas vezes como palcos cerimoniais de ritos Fareleira 2 e 3) localizam-se num cerro am-
e cultos diversos, bem distantes, por vezes, plo e aplanado relativamente destacado na
das realidades inaugurais. paisagem, delimitado a Este pelo Guadiana
Neste mesmo sentido aponta a deposição (fig. 1). Delas foi já dado a conhecer um
sepulcral da Hortinha 148. Esta trata-se de estudo mais detalhado, no qual se baseiam
uma pequena sepultura megalítica de 5 es- as seguintes observações50.
teios, localizada na margem da Serra de Por- Estas necrópoles, dispersas ao longo dos
tel, implantando-se, muito discreta, numa 3 km de um cerro aplanado, caracterizam-se
paisagem bastante ondulada, marcada por pela presença de 17 sepulturas individuais de
imponentes afloramentos graníticos (fig. 4). planta subrectangular escavadas no caliço,
Na pequena área intervencionada foi com orientação bastante variável; duas de-
registada uma deposição em urna acompan- las, Poço Novo 1 e Fareleira 3, apresentam
hada por três outros recipientes: uma taça um recinto funerário parcial escavado no
de pé em engobe vermelho, de produção substrato, de planta em “L” ou em “U”
aparentemente regional, uma taça manual (fig. 5). Nas três necrópoles registou-se,
de carena média e fundo em ônfalo decorado em exclusivo, o rito da inumação, usual-
com motivos radiais e, ligeiramente afastada mente em decúbito lateral, flectido. Este
para nascente, uma taça simples (fig. 4). A facto resulta particularmente relevante por
deposição dos restos funerários sidéricos se localizarem apenas a pouco mais que 30
em urna, adjacentes à câmara, mas não na km a sudeste da sepultura de incineração da
câmara, após afastamento de um dos esteios Hortinha (fig. 1). Contudo, encontram-se
que fechava o monumento do lado nascente, já intrinsecamente ligadas ao território do
parece fazer-se em total respeito com as pré- Baixo Alentejo, a Sul da Serra de Portel/
existências, num gesto que pode representar Mendro, dando-nos a ideia de que estas
uma clara veneração ao espaço ancestral, serranias constituíram um efectivo territó-

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 119
rio de transição entre realidades humanas a bacia de bronze, estar profundamente
diferenciadas. conotado com o papel desempenhado por
As necrópoles de Pedrógão parecem este indivíduo em putativas celebrações, o
desenvolver-se ao longo do séc. VI aC, que levou a que fossem amortizadas com
eventualmente em meados, sendo bastante ele, ou junto a ele, já num avançado estado
provável que se tenham constituído num de uso (fig. 5).
espaço de tempo não muito longo. Este indivíduo poderia ter sido o elemen-
A necrópole do Poço Novo 1, mais a to fundador e agregador da comunidade,
Nascente, era dominada por sepulturas fe- resultando a implantação da sua sepultura
mininas, dispostas em torno de um pequeno da vontade/necessidade de criar e marcar
fosso em “L”. O único indivíduo masculino um Passado identitário bem visível na
identificado surgia em posição diferenciada Paisagem, em torno do qual se estruturaria
das restantes sepulturas, ao cortar a extremi- uma pequena comunidade rural, assentada
dade Este do próprio recinto. Nas sepulturas principalmente nas áreas mais baixas, próxi-
registou-se a presença essencialmente de mas das linhas de água, mas sempre com os
elementos de indumentária, como fechos seus antepassados posicionados na linha de
de cinturão do tipo Tipo 3 e 4a de Cerdeño cumeada do seu horizonte.
(1981), uma fíbula de tipo Alcores e algumas
contas de colar, a par de escassa cerâmica.
4. Paisagem e Memória: a criação do
A necrópole da Fareleira 2, situada entre
Campo no início da Idade do Ferro
o Poço Novo, a Nascente, e Fareleira 3,
a Poente, era composta por três núcleos O processo social tendente à complexifi-
dispersos, aparentando corresponder a pe- cação e hierarquização pode efectivamente
quenos núcleos sepulcrais de cariz familiar, conter momentos conjunturalmente regres-
compostos por homem-mulher e homem- sivos na sua progressão, não tendo que ser
mulher-criança. As deposições funerárias total e objectivamente linear e cumulativo52,
eram acompanhadas por espólio simples, nem um fim inexoravelmente irrefutável.
essencialmente contas de colar em vidro, Tal como aponta este autor53, geralmente
e num caso o que parece ser uma ponta de após o desmantelamento de um poder po-
lança e uma fíbula Acebuchal. lítico forte, como aparentemente existiu no
O recinto retangular de Fareleira 3, interior alentejano durante o final da Idade
aberto do lado sudoeste, enquadrava uma do Bronze54 é a solidariedade familiar que
única sepultura (v. fig 5), implantando-se emerge como elemento central e estrutura-
no limite SE, e mais elevado, do cerro apla- dor da sociedade.
nado onde se dispersavam as necrópoles Assim, creio que o início da Idade do Fe-
anteriores, detendo amplo domínio sobre a rro no interior alentejano, após o desmante-
paisagem envolvente, assumindo uma efecti- lamento total das malhas de povoamento do
va posição de destaque. O indivíduo ancião final da Idade do Bronze, será marcado por
aqui sepultado encontrava-se acompanhado uma nova realidade social, caracterizada por
por um diversificado espólio cerâmico e novas formas de entrosamento e integração
metálico, de que se destaca um “braseiro” das comunidades humanas, onde a diferen-
de tipo 2 de Jiménez Ávila51 depositado ciação social seria bem menos evidente, e
em separado do restante conjunto. À sua onde a unidade familiar sairia reforçada,
morte, o indivíduo parecia, então, deter um como base da estruturação social.
papel diferenciado junto das comunidades A exploração do território assentaria, en-
rurais da envolvente de Pedrógão, devendo tão, na instalação de uma rede diferenciada
o próprio conjunto ritual, e em particular e coordenada de ocupações rurais, do tipo

120 Rui Mataloto


Figura 5. Espólio funerário do ancião de Fareleira 3; planta das necrópoles de Fareleira 3, Fareleira 2 e Poço
Novo 1 (adaptado de Figueiredo e Mataloto, np).

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 121
“monte”, composta por unidades produtivo- patente a partilha do espaço e a convivência
habitacionais, que poderiam oscilar entre entre indivíduos, e provavelmente famílias,
as escassas dezenas e mais de um milhar de condição económica aparentemente dis-
de metros quadrados de área edificada55. A tinta. Todavia, insisto, numa perspectiva
nível social, surge-nos relativamente simples global, e mesmo atendendo a factores de
assumir, num momento avançado, tal como distorção, como os elementos cronológicos,
para outras áreas peninsulares, a presença de não vemos diferenças abruptas, o que não
grandes senhores terra tenentes, verdadeiros significa, como fica patente no ancião de
Senhores do Campo56, a par dos quais exis- Fareleira 3, que não existissem indivíduos
tiria um grupo de pequenos proprietários diferenciados, eventualmente derivado do
rurais e uma enorme massa de camponeses. seu papel no seio da comunidade.
Por outro lado, na margem das melhores Estas sociedades rurais viveram um pro-
terras, em territórios pouco atractivos e cesso social de grande complexidade e am-
escassamente produtivos, poder-se-iam ter biguidade, dada a própria ambivalência em
desenvolvido pequenas comunidades de que se encontravam. Por um lado, surgem-
cariz aldeão, vivendo em regimes de relativa nos como comunidades fortemente rurais,
autarcia. com o atavismo típico destas comunidades,
Este quadro social tem vindo a ser procurando enraizar-se através da disposição
esboçado a partir de múltiplos trabalhos dos seus mortos junto de marcos de ancestra-
baseados na documentação de unidades lidade, principalmente antigos monumentos
habitacionais de cariz rural, que nos fazem dolménicos, como na Hortinha, ou mesmo
transparecer uma realidade camponesa com- construindo monumentos de verdadeira lin-
plexa e diversa, mas certamente muito mais guagem megalítica, como na Tera ou criando
próxima e isonómica que a patenteada para o seu próprio passado ao sepultar um ele-
o final da Idade do Bronze. Todavia, como mento socialmente destacado em posição
se viu, os dados que temos vindo a coligir sobranceira e marcante, como em Fareleira
nas necrópoles apresentadas vêm sustentar 3. Por outro, participam de um processo de
de modo mais consistente esta perspectiva. total transformação social e de ruptura com
Na realidade, as necrópoles aqui gene- o mundo anterior, assimilando novas práti-
ricamente apresentadas terão sido geradas cas, como a própria criação de necrópoles e
por pequenas comunidades camponesas, do ritual de cremação, novas arquitecturas
certamente muito relacionadas por laços domésticas e funerárias ou, mesmo, novas
de sangue, as quais, apesar da sua modéstia, linguagens transregionais de representação
conseguem estar integradas em redes de dis- e estética, através da ostentação de elemen-
tribuição de produtos de grande circulação, tos de indumentária de grande circulação
sem que para tal tenhamos qualquer indício e distribuição, caso dos fechos de cinturão
claro da existência de hierarquias bastante e fíbulas. Certamente procurar-se-ia emu-
vincadas, ou qualquer sistema de opressão lar, a nível local, modos de estar e viver
efectiva ou ideológica. Assim, em necrópo- claramente forâneos, emanados a partir do
les como a da Tera vemos que, apesar das litoral. Este processo acabaria, certamente,
diferenças nos espólios funerários, onde por gerar novas dinâmicas que se viriam a
claramente se poderá falar de diferenciação, traduzir na emergência crescente de diferen-
mas mais dificilmente de hierarquias, fica ciação inter e intra grupal.

122 Rui Mataloto


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Valério et al. 2013: P. Valério, A. M. Soares, F. Araújo, R. Silva, F. Santos, The distintive grave godos
from Palhais (Beja, Portugal). New insights into the metallurgical evolution under Orientalizing
influence in the southwestern end of Iberia. Trabajos de Prehistória 70, nº 2, 361-371
Viana / Andrade / Ferreira 1957: A. Viana, R. F. Andrade, O. V. Ferreira, Monumentos megalíticos
dos arredores de Ourique. Comunicações dos Serviços Geológicos de Portugal 38 (2), 409-422.
Viana / Ferreira / Andrade 1961: A. Viana, O. V. Ferreira, R. F. Andrade, Descoberta de Dois Monu-
mentos de Falsa Cúpula na Região de Ourique. Revista de Guimarães LXXI (1-2), 3-13.
Vilaça / Cruz / Gonçalves 1999: R. Vilaça, D. Cruz, A. Gonçalves, A necrópole de Tanchoal dos
Patudos (Alpiarça, Santarém). Conimbriga 38, 5-29.

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 125
NOTES

* Município de Redondo; rmataloto@gmail.com


1
Mataloto 2010-2011. – Figueiredo / Mataloto np.
2
Mataloto 2004. – Calado / Mataloto / Rocha 2007. – Mataloto 2009.
3
Borges et al. 2012. – Cosme 2007.
4
Beirão 1986. – Maia 1988.
5
Calado / Mataloto / Rocha 2007.
6
Mataloto 2012.
7
Mértola, sendo um importante porto com ligação ao Mar, apresenta uma dinâmica distinta, sendo a sua efectiva inte-
rioridade apenas relativa.
8
Mataloto 2009.
9
Mataloto 2007.
10
Belén / Escacena 1995.
11
Antunes et al. 2012. – Mataloto / Martins / Monge Soares (n.p.).
12
Vilaça / Cruz / Gonçalves 1999.
13
Beirão 1986. – Correia 1993.
14
Beirão / Gomes 1983. – Beirão 1986.
15
Beirão 1986. – Correia 1993.
16
Arruda 2001. – Jiménez Ávila 2001.
17
Correia 1993, 356. – Arruda 2001, 270.
18
Langley et al. 2007. – Mataloto / Langley / Boaventura 2008.
19
Rocha 2003. – Mataloto 2010-2011.
20
Figueiredo / Mataloto np.
21
Santos et al. 2009. – Valério et al. 2013.
22
Mateos / Pereira 2012.
23
Arruda et al. neste volume.
24
Várias das necrópoles desta região foram apresentadas no encontro Sidereum Ana III, Mérida, 19-21 de Setembro 2012
25
Figueiredo / Mataloto np.
26
A necrópole da Quinta do Estácio 6 foi intervencionada pela empresa Era-Arqueologia/Omniknos, sob a direcção de
Tiago do Pereiro, com o qual nos encontramos a desenvolver o estudo.
27
Fabião 1998. – Arruda 1999-2000.
28
Fabião 1998.
29
Torres 2007.
30
v. Arruda 1999-2000. – Torres 2007.
31
Costa 1966.
32
Deus / Correia 2005.
33
Viana / Ferreira / Andrade 1961, 9.
34
Viana / Andrade / Ferreira 1957. – Leisner / Leisner 1959.
35
Halbwachs 1997 [1950], 196.
36
Mataloto 2007, 124.
37
Halbwachs 1997 [1950], 236.
38
Le Goff 1988, 111.
39
Rocha 2003.
40
O estudo do espólio antropológico tem vindo a ser coordenado pelo Doutor David Gonçalves.
41
Gonçalves et al. np.
42
Lorrio 2008.
43
Langley et al. 2007.
44
Cerdeño 1978.
45
Rocha 2012, 119.
46
Calado 2004.
47
Ingold 1993.
48
Rocha 2007. - Calado / Santos / Carvalho 2007-2008.
49
Mataloto 2010-2011.
50
Figueiredo / Mataloto np.
51
Jiménez-Ávila 2013.
52
Demoule 1999.
53
Demoule 1999, 130.
54
Mataloto 2012 e 2013.
55
Calado / Mataloto / Rocha 2007. – Calado / Mataloto 2008. – Mataloto 2009.
56
Rodríguez Díaz 2009. – Mataloto / Langley / Boaventura 2008, 297.

126 Rui Mataloto


Resumo: Abstract:

Com este trabalho pretendemos ensaiar uma In this work we intend to rehearse an at-
tentativa de explicação da forma como o tempted explanation of how the past played
Passado desempenhou um papel fulcral na a key role in structuring the Identities of
estruturação das identidades das comunidades rural communities in the interior Alentejo.
rurais do interior alentejano. Neste sentido, In this sense, the necropolis, despite the
as necrópoles, apesar da diversidade ritual, ritual diversity, help to create a new land-
ajudam a criar uma nova Paisagem, alicerçada scape, rooted in the Past, creating new rural
no Passado, gerando novas Identidades rurais. Identities.

Palabras Clave KeyWords

In memoriam: a criação do Passado nas necrópoles rurais do Alentejo Interior (Séc. VI-V a.C.) 127

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