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RÉSUMÉ
Ce travail vise à analyser les rapports entre les nouvelles Technologies de communication de
masse et l’émergence de la religion médiatique, prenant en compte les changements dans le
discours religieux et la pratique de foi dans la dénommée société du spectacle, ce qui implique
aussi bien des réflexions qu’une éducation religieuse centrée sur cette nouvelle réalité,
représenté par l’Eglise Universelle du Royaume de Dieu et le Renouveau Charismatique
Catholique. Ces deux expressions religieuses sont présentes sur tout le territoire brésilien,
comme porteuses du sacré, influencées par les nouvelles technologies de communication, de
marketing et des médias, et maintiennent un modèle d’uniformité de leurs pratiques, discours et
rituels. Ce phénomène religieux est accentuué par une survalorisation des images et des formes,
du discours pragmatique, de la place centrale de l’argent, du retour de la magie, au détriment de
la réflexion, de la prédication biblique, de la koinonia (communion), qui forment, dans la
tradition religieuse brésilienne, comme l’essence de la liturgie chrétienne. Cette nouvelle
configuration exige une pratique pédagogique et des politiques éducatives adéquates pour une
compréhension des nouvelles demandes religieuses dans le monde contemporain.
1. Introdução
1.1 Problematização
sagrado”, que assume diversas formas e conteúdos numa visibilidade sem precedentes na
história contemporânea. É a efervescência da religião performática, espetacularizada,
midiatizada e competitiva – a religião pós-moderna.
Dentre as suas muitas características, a pós-modernidade possui um caráter
migratório que, associado a outros indicadores como a velocidade, a transitoriedade, a
descartabilidade e a instabilidade, conduz o indivíduo para a eleboração de uma
religiosidade intimista, uma privatização do sagrado, por meio da qual o seu referencial
religioso é constituído de elementos e experiências apropriados segundo o seu arbítrio
e necessidade, geralmente, livre do controle institucional. É a religião à Ia carte, o
bricolage.
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Nombreuses sont les nuances théoriques dans les explications tentées de la post-
modernité. La discussion est ample et révèle la quasi-impossibilité de rendre compte de
ce concept dans sa complexité.
Malgré les difficultés de compréhension du terme, la majorité des chercheurs de
la post-modernité prennent la culture comme centre de la discussion. Selon Jameson
(1996, p.34), « dans notre vie, tout est devenu culturel ». Le développement de la
production de marchandises, associé aux nouvelles technologies de l’information, dans
la vision de Jameson, a produit le triomphe de la culture de représentation. Dans la post-
modernité, tout serait médiatisé par la culture.
Quand il caractérise la post-modernité, Jameson (1996) établit trois éléments
comme catégories d’analyse : 1) l’expérience des hyper-espaces dans l’architecture, qui
nous force à étendre nos sens et notre corps ; 2) la fragmentation du temps en présents
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distinction même entre réalité et fiction. S’il en est ainsi, l’actuel état de développement
du capitalisme a produit un « élargissement critique de la notion de valeur qui
s’étendrait à la sphère du symbolique ». Dans la post-modernité, les instances
culturelles de la société sont invalidées par la logique de la marchandise, y compris, les
sentiments, la connaissance et les croyances.
Dans cette perspective, au stade actuel du capitalisme, la valeur d’échange ne
s’épuise pas dans la marchandise en soi, elle traverse de part en part le culturel, le
symbolique et l’idéologique. Et cela parce que les objets culturels, les images, les
représentations et même les valeurs subjectives sont cooptées par l’économique.
S’il en est ainsi, dans le monde contemporain, la forme la plus développée de la
marchandise n’est pas l’objet matériel en soi mais l’image qui le représente. La post-
modernité, selon Baudrillard (1985), est une époque où prédomine le domaine du
simulacre, puisque que l’on ne se préoccupe plus de savoir si les signes correspondent
au monde qu’ils représentent. Dans la post-modernié de Baudrillard, la simulation prend
la forme d’objets et d’expériences qui se prétendent plus réels que la réalité elle-même.
Ce phénomène, l’auteur l’apppelle hyper-réalité.
spectacle s’impose comme obligation parce qu’il est en position d’exercer le monopole
visuel de la représentation légitime.» Le spectacle se confond avec la réalité elle-même.
Dans la société de l’image et du spectacle caractérisée par son omniprésence
dans les médias, où tout est transformé en marchandise, les désirs de l’individu qui sont
stimulés par les moyens de communication de masse, surgissent, alors, comme
émanations de ces moyens, conduisant l’individu à vivre dans les limites de la
falsification du spectaculaire.
On doit observer que ce concept de société du spectacle ne peut être compris en
sa plénitude si nous ne prenons pas en compte son rapport avec la théorie critique de la
société capítaliste. Pour Debord (1997), le concept de société du spectacle est une phase
spécifique de la société capitaliste et non pas son substitut. Pour lui, ce sont les
circonstances historiques et les conditions modernes de production du système
capitaliste qui ont donné naissance à la société du spectacle.
Selon lui :
Le spectacle n’est pas un ensemble d’images, mais un rapport social entre
personnes, médiatisé par des images. [...]. Le spectacle, compris dans sa
totalité, est en même temps le résultat et le projet du mode de production
existant. Il n’est pas un supplément au monde réel. Il est le coeur de l’irréalité
de la société réelle. Sous toutes ses formes particulières, information ou
propagande, publicité ou consommation directe de divertissements, le
spectacle constitue le modèle pésent de la vie socialement dominante. Il est
l’affirmation omniprésente du choix déjà fait dans la production, et son
corollaire, la consommation. Forme et contenu du spectacle sont
identiquement la justification totale des conditions et des fins du système
existant. Le spectacle est aussi la présence permanente de cette justification,
en tant qu’occupation de la part principale du temps vécu hors de la
production moderne (DEBORD, 1997, p. 10-11).
Le concept de société du spectacle, élaboré par Debord, est lié à une vision
marxiste de la société. Dans Le Capital, Marx (1975) avait déjà affirmé que dans le
mode de production capitaliste, les rapports entre les producteurs, où s’affirme le
caractère social de leurs travaux, assument la forme de relation sociale entre les produits
du travail.
[...] Un rapport social défini, établi entre les hommes, assume la forme
fantasmagorique d’un rapport entre choses. [....] J’appelle cela fétichisme, qui
est toujours collé aux produits du travail, quand ils sont générés comme
marchandises. Il est inséparable de la production de marchandises (Marx,
1975, p.81).
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