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B3L JO 18 11
Joi\NAL 0 FFICIAL
DA
Maçonaria Brazilcira.
PUBLICAÇÃO MENSAL,
BÍW:«<
tço
Secção Dogmática.
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Províncias (Registrado).
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Anno (12 números). . 7#000
Numero avulso líjOOO
**estes t r e s ^ de h—a
arma tremenda de poder exorbitante;
S m :-"erar
Officio. Fora uma
querem revivel-a e òm
pela vivíssima luz que se reflete dos modestos retiros dos ho-
mens que mais tem sido calumniados.
A Franco-maçonaria, instituição geralmente mal conhecida, uni-
versalmente calumniada c systcmaticamente desfigurada por aquel-
les que, conhecendo seu incontestável poderio, temião sua pre-
sença, tem de cumprir actualmente na Hespanha uma grande
missão quanto ao seu objecto, santa por seus resultados e des-
interessada e pura em vista de sua divisa.
Saúde! dulcissima palavra que o Maçon pronuncia ao estreitar
em seus braços um irmão, desejo constante e nobre da Maçona-
ria que busca salvar a sociedade dos horrorosos estragos que a
diferença da escola, da seita, da casta, da cor, da linguagem e
até mesmo da fortuna de continuo tem engendrado no mundo,
enchendo a historia de paginas que intitulão-se: a guerra dos
escravos, a invasão dos bárbaros, a jacqaeria franceza, a guerra
dos albigenses, a guerra da reforma, o assassinato dos brancos em
S. Domingos (Haiti) e a guerra franco-prussiana; e de nomes
como Spartaco, Carlos-o-Máo, Domingos de Gusmão, Ignacio de
Loyola e Toussaint Louverture. .
Factos e homens, homens e factos para os quaes e com quem
a Maçonaria não se envolveu, ainda que já existisse, porque não
era chegada a hora de cumprir sua missão.
Hoje porém, todas as vezes que a Maçonaria pronuncia esta
palavra, a distancia e as clissençoes extinguem-se e diminuem, e
vemos todos os homens que no mundo activo da vida social pro-
movião crua guerra, estreitarem-se com effusão fraternal, effusão
que muitas vezes a própria consangüinidade não sabe inspirar:
extinguindo pois as clissençoes, diminuindo as distancias, cada
vez mais nos approximamcs ao verdadeiro fim da pobre espécie
humana e com orgulho podemos dizer: Saúde!
Se ha paiz na Europa que necessite de uma organisação ro-
busta e completamente isempta de cálculos inconfessáveis é de
certo a nossa desventurada Hespanha, tão freqüente quão impia-
mente envolvida em lutas civis, discórdias internas e continuas
dissenções de povoações com povoaçoes, de famílias com fami-
lias, e de irmãos com irmãos.
Porém a Maçonaria com sua organisação cheia de modes-
tia, de humildade e de prudência; a Maçonaria inspirando-se
na Igualdade, filha legitima da Liberdade que é a fonte inexgo-
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tavel e o manancial puríssimo da fraternidade,
nho da paz aos que atrabilariamente separando-se ensinará o cami-
umversal querem com sua intolerância e da concola
cem sua irracS t
transigência alcançar o accordo
geral , a harmonia un,v5
A Maçonana pregando o amor ao trabalho
do aos desherdados de hoje sua verdadeira e assim assignahn
msp.rando os hábitos da virtude, da economia, heranl dStó
lo respeito ás opiniões alheias, realisará do amor á Si
todos os homens honrados da Hespanha a grande reúnão h
na Hespanha e7unt
verso inteiro e com orgulho legitimo dirá:
Saúde: paz aos homens de boa vontade!
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mas
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A fo« da Maçonana
M1 consiste na verdade de suas accões
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As maiores épocas da historia são
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Eleições
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mundo profano, ahi estão os nossos
prompt o s a juigar c cens,,rar *•*»°
gratuitos antagonistas, como
Secção Official.
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— 193 -
Secção Histórica.
- 196 —
Secção de Correspondência.
Ordo ab Ghao.
(timbre.)
SUPREMO CONSELHO DA BÉLGICA.
Sup.*. Cons.-., aos 21 dias do 9.° mez 5872.
Aos SSob.-. GGr:. llnsp.-. GGer.-., ás PPot.-. MMaçon:. nossas
aluadas e aos Corpos de nossa jurisdicção.
Ordo ab Ghao.
(timbre.)
SUPREMO CONSELHO DA BÉLGICA.
Sup.-. Cons.-., aos 6 dias do 10." mez 5872.
Aos SSob.-. GGr.-. IInsp.-. GGer.-., ás PPot.\ MMaçon.-. nossas
atuadas e aos Corpos de nossa jurisdicção.
«5ísGa33Q)Q>3Q)Qes^
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dans le
Quiconque seul à seul réfléchit sur ce qui se passe
morne mouvement antipathique pour les uns et d'attente pour les
nutres qui, dans ce moment, trouble notre paix sociale, n'ose pas
demander si les législateurs du pays, dans leur haute mission,
s'endorment sur les faits d'un clergé étranger qui envahit Tem-
pire et le met dans des convulsions de conscience.
II y a de plus que nous nous trouvons tous lés jours tête-à-
tête avec des ultramontains à paletot, irréprochablement habillés
selon le syllabus, et habilement reprochant toutes les idées, tou-
tes les opinions, toutes les institutions.
II devient Ia mode de voir des lazaristes, de leur parler, de
les visiter et d'avoir 1'apparence d'appartenir à leur intimité. Si
ce n'est qu'une mode, nous en sommes bien, parce que son
règne passera; mais si 1'habitude prend, si le lazarisme nous
reste comme une lourde couche noire sur notre ciei bleu, nous
en regretterons ia trouvaille, et le goút perverti de ceux qui le
protègent. J
Si notre habituelle indolence nous mène à croiser les bras de-
vant 1'insolente croisade lazariste, nous en sommes mal; et il
est certain qu'il nous attend une révolution cruelle et dure con-
tre ce pouvoir détestable des mauvais prêtres déchus en Europe.
Si Ia prudence est le caractéristique des administrateurs du
pays, nous leurs conseillons de mettre main forte dans ces af-
faires des prélats qui portent attente au pouvoir civil.
Les conséquences de ces haines religieuses sont malheureuse-
ment trop connues. L'histoire de tous les temps nous en dit
assez. Que ce beau et jeune pays, qui admet toutes les subli-
mes libertes, poursuive dans sa noble carrière de civilisation et
de tolérance.
Notre institution contemple avec surprise ce qui se passe
dans les dioceses du Brésil; et aussi le trop de patience qu'on
met à. éclaircir ces questions épiscopales contre notre Ordre, ad-
mis et accepté dans 1'Empire dès son indépendance.
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et
Que le gouvcraement imperial y preto peü d'attention,
nous aurons le malheur de commencer à sentir les inconvénients
de ce pouvoir clériçal intolérant dans Ia famille même. La
femme portera en silence une certaine méfiance du mari qui est
franc-maçon; les filies s'écarteront de leur pèrc, parce que leur
confessem-, leur guide d'âme et de conscience, leur aura debite
Tout ceei se pas-
quelques leçons contre Ia franc-maçonnerie.
será comme une convulsion interne, dont les résultats sont faci-
les de prévoir.
Ce pouvoir vilain qui saisit brutalement Ia conscience des gens
cc qui, comme un oiseau de proie, plane sur Ia
pieuses, pouvoir
famille, sur les faibles et les trop scrupuleux, doit trouver dans
les sociétés véritablement chrétiennes des obstacles invincibles,
une barrière solide contre son invasion. Les laisser librement
agir dans leur petite guerre d'infamie, c'est une lâcheté, c'est
un crime de lèse-société.
— Par nos réfutations solides et consciencieuses le monde
franc-maçonnique qui nous lit aura pu comprendre 1'acte néces-
saire de notre séparation d'un fragment de notre corps, qui
n'est pas recommendable par son irrégularité et de folies aspi-
N'ayant besoin de défense dans nos actes, nous ne
rations. pas
faisons que nous expliquei-, faisant Ia lumière dans les obscuri-
tés de compréhension, rendus encore plus épaisses à force d'ha-
une
bitude de ne lire qu'un nom, de ne se correspondre qu'avec
seule et cléterminée individualité. t .
Le monde indolent se trompe: comme le monde, notre ms ti tu-
tion marche aussi. Les noms n'y sont pour rien: c'est dans les
idées et leur prógrès que se basent Ia civilisation et rutilite de
Non possumus ne será pas dit à ceux, comme nous, qui nous
rendons dignes par nos actes et nos idées de progrès de posse-
der 1'amitié et Ia confraternité du vénérable craft d'Anglcterre
et dlrlande. ün respectable Fr.\, issu de ces (ir.-. Log.\, est
dans ce moment-ci dans notre ville, et averti de Ia vérité de
notre conduite nous rendra justice pleine et entière.
Parce qu'il faut que le monde entier sacbe bien, que Ia franc-
maçonneric au Brasil, qui, jusqu'ici n'était qu'un corps de faible
vie, a repris toute 1'activité, toute Ia force de cette digne Insti-
tution.
Nous avons retrempé nos forces dans une activité louable, et
notre Gr.'. MahV. nous donne 1'exemple de Ia prudence Ia plus
digne de 1'homme, et de Ia tenacité Ia plus recommendable chez
ceux qui sont chargés de Tépandre Ia lümière dans les sociétés
; obscurcies par les idées des deux pouvoirs exorbitants de Vac-
k tualité.
A tous ceux qui nous lisent nous recommandons Ia lccture de
notre article qui est une étucle sur ces deux pouvoirs, et qu'on
: trouvera à Ia section ãogmatique.
Nous combattons les excès, les exorbitances, 1'égoísme, Ia
cupidité, Ia tyrannie, le despotisme et Ia licence dans le pouvoir.
Nous voulons Ia vérité et Ia justice.
Nous voulons 1'éducation telle qu'elle doit etre, et rinstruction,
qui est Ia vie de 1'esprit et le garde de Pliumanité qui marche.
Car Téducation telle qu'on nous Ia donne, et rinstruction telle
qu'on nous Ia fait, a, sans doute, chez tous les peuples une fâ-
cheuse infiuence dans Ia vie sociale et aussi dans le développe-
ment physique de rhomme.
Puisque, comme dit Longfellow, Ia vie est — eamest and real
—rendons-la sérieuse et réelle.
L'enfant est encore malheureusement un jouet, un objet d'amours
insensés et stupicles.
La filie est généralement une petite poupée, à Ia portée des
gens du monde, qui s'habille et se íneut selou des conventions
ridicules du higli life.
On ne les aime pas; on les gâte. On ne les guide pas; on
les nourrit contre toutcs les règles. On ne les conseille pas;
on les laisse faire selon leur caprice.
L'enfant d^aujourdliui est moins garanti que les plantes pré-
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nos bras et nos coeurs n'étaient pas ouverts pour les embrasser et
Ips consoler!
Demandez aux orphelins et aux veuves si toujours nos portes
n'étaient pas grandement ouvertes pour les fairc entrer jusqu'à
autels, ou il a un grand dépôt de caresses, de bontés, de
nos y
conseils, de protection et d'aumônes!
Demandez aux invalides et aux malades si nous ne consolons
et si nous n'allons pas à côté de leurs lits leur offrir nos
pas
services et notre piété!
Et si nous avons toute cette richesse pour rhomme necessi-
toutes
teux, si nous avons des larmes pour toutes les peines et
les douleurs, pourquoi n'aurions nous pas un peu de compassion
tous ceux qui errent sans savoir ce qitils font, et un peu
pour
de patience pour souffrir les coups que nous portent les envieux
de notre grave et sainte mission?
Ils en veulent à nos mystères. Mais nos mystères ne sont
et chrétiens: la main gaúche ignore ce que donne la
que généreux
droite. .
Est-ce de Yimpiété de suivre la parole pieuse de 1'EvangileV
Est-ce à une telle Institution que Rome en veut?
Cest possible qu'il y ait là, en Italie, une association ou des
sociétés quelconques qui, sous le nom franc-maçonnique, abri-
tent des idées politiques; nous avons ici la parèille sous le titre
orient uni des benedictinos. Ce qui est certain et juste
grand
d'affirmer, c'est qu'au Brésil l'Institution franc-maçonnique, celle
Vai.', du
qui a pour véritable centre le Gr.-. Or.-. du Br.-, à la
Lavradio, garde toutes ses saintes doctrines, toutes ses fins
pieuses, toutes les libéralités et les libertes des idées généreuses
et dignes, et tout ceei sous 1'empire brillant et pur de la tolé-
rance la mieux comprise.
209
Secção Noticiosa
Revista Estrangeira.
da Loj.-. «Clemente Amitié,,,
Franca.-^ sessões magnas
Dezembro de 1872 e 2 de Janeiro do cor-
oÊS m 11 de ura numeroso audttono
«nt ato o Ir.-. Massol orou perante
c^urp ns nrincipios da moral independente.
S°o e^ da
do Ir.-. Bouttevffle
ZSZ era memória e Acc.-., foi maugmado
Tni- «Mutualité,, do Rit.-. Esc. Ànf.
Loj . ™al"e" cemiteri0 de Mont-Parnasse.
"0Et da obra intitulada La «»W
I • W not «r e autor
m.
K
- 214 —
seu irmão William Ellioíf. Pouco tempo depois cie sua iniciação
esta Loj/. foi trasladada para Dublim.
Noticiário Interno.
•4-
'da
tantas lagrimas, tanta melancholia por abi a demandarem
Ha
Cruz, que urgia que os humildes obreiros do honesto
os pés
e da desconhecida beneficência se congregassem para
trabalho
fim tão importante e serio.
isto, é nobre e justo, venhão os baldões, venhao
Feito que
venha a excommunbão ultramontanos dar brilho e realce
injurias,
não desdenhão uma coroa de espinhos no meio das
áquelles que
arraiadas de diademas de ouro e rubins.
pompas é aquelle
Ha uma humildade que engrandece magestosamente,
apodos dos encarrega-
do que se cala perante as injustiças e vis
dos de fazer mal seja lá como fôr.
—a
nossa Soberana Instituição a honra que sempre lhe coube
de ser honesta, livre, tolerante, culta e pia.
\
m
i
- 222 —
t
Cent/
CAP/. FRANCS-HIRAMLTES, ao Vai/, do Gr/. Pod/.
Sapientis/., José do Carmo e Oliveira, C.\ R/. í/.
l.° Vig/., Jean Cazeaux, C/. R.'. í/.
2.« Vig.-., Káhn Joseph, C.-. R/. í/.
Orad/., Clément (Jean F. Alexandre), C.\ R/.•&%
Secret/., Springaux (Jean Claude), C/. R/. 5.'.
Thes., Caumattes (Valéry), C/. R/. 5/.
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234
EXPEDIENTE.
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