Escolar Documentos
Profissional Documentos
Cultura Documentos
SharedArticle PDF
SharedArticle PDF
Vol. I
Edição: Golgona Anghel e Eduardo Pellejero.
5
Golgona Anghel – Eduardo Pellejero
6
A abóbora que se tornou cosmos
7
Golgona Anghel – Eduardo Pellejero
8
A abóbora que se tornou cosmos
9
Golgona Anghel – Eduardo Pellejero
10
A abóbora que se tornou cosmos
11
Golgona Anghel – Eduardo Pellejero
12
A abóbora que se tornou cosmos
13
Golgona Anghel – Eduardo Pellejero
14
A abóbora que se tornou cosmos
Golgona Anghel
Eduardo Pellejero
Notas
1
Deleuze, Pourparlers, Paris, Minuit, 1990/2000 (PP), p. 150.
2
Foucault, «Nietzsche, Freud, Marx», em Dits et écrits (vol. I), Galli-
mard, Paris, 1994
3
Cf. ID 161
4
Cf. Deleuze, Deux régimes de fous: Textes et entretiens 1975-1995, Paris,
Minuit, 2003 (DF); p. 146 “En philosophie: la philosophie classique
se donne une espèce de matière rudimentaire de pensée, une sorte de
15
Golgona Anghel – Eduardo Pellejero
flux, qu'on essaie de soumettre à des concepts ou à des catégories.
Mais de plus en plus, les philosophes ont cherché à élaborer un maté-
riau de pensée très complexe pour rendre sensibles des forces qui ne
sont pas pensables par elles-mêmes”.
5
Foucault, «La pensée du dehors», em Dits et écrits (vol. I), p. 525.
16
O «Fora» de Blanchot:
Escrita, imagem e fascinação
Patricia San Payo
17
Patricia San Payo
18
O «Fora» de Blanchot: Escrita, imagem e fascinação
19
Patricia San Payo
20
O «Fora» de Blanchot: Escrita, imagem e fascinação
21
Patricia San Payo
22
O «Fora» de Blanchot: Escrita, imagem e fascinação
23
Patricia San Payo
24
O «Fora» de Blanchot: Escrita, imagem e fascinação
25
Patricia San Payo
26
O «Fora» de Blanchot: Escrita, imagem e fascinação
27
Patricia San Payo
Notas
1
O encontro em questão reuniu alguns investigadores na Faculdade
de Ciências da Universidade de Lisboa em torno de um conceito, o
«fora», na obra de Sartre, Blanchot, Foucault, Deleuze e Derrida.
2
Sobre este assunto cf., por exemplo, Jacques Derrida,«La Mithologie
Blanche», Marges de la Philosophie, 1972.
3
Conforme definição do Dicionário Houaiss da Língua Portuguesa.
4
Cf. Derrida, «Pas» , Parages, 1986, onde este autor se refere à “sintaxe
do sem” em Blanchot, ao paradoxal passo sem passo, espécie de recuo
inaparente em qualquer progressão. Um passo assim considerado não
se sucederia a um outro de acordo com as regras de desenvolvimento e
prossecução lógicas de um raciocínio. Para Derrida o modo como os
textos de Blanchot evidenciam a colusão entre análise e paralisia
(“paralyse”) decorre da fascinação enquanto efeito de leitura, do que
neles conduz invariavelmente à aporia, à indecidibilidade.
5
Maurice Blanchot, «La sollitude essentielle», L’Espace Litéraire, onde
lemos, por exemplo, “voir est une sorte de touche (…) un contact à
distance (…) ce qui nous est donné par un contact à distance est
l’image, et la fascination est la passion de l’image”, pp. 28-29.
6
“Comme parole du dehors, accueillant dans ces mots le dehors
auquel il s’adresse, ce discours aura l’ouverture du commentaire: repe-
tition de ce qui au-dehors n’a cessé de murmurer. Mais comme parole
qui demeure toujours au dehors de ce qu’elle dit, ce discours será une
avancée incessante vers ce dont la lumière, absolument fine, n’a jamais
reçu langage. Ce mode d´’être singulier du discours – retour au creux
equivoque du dénouement et de l’origine – définit sans doute le lieu
commun aux “romans” au «récits» de Blanchot et sa «critique» Michel
Foucault, La Pensée du Dehors, pp. 25-26.
7
Cf. «De Ressemblance à ressemblance», Maurice Blanchot – Récits
critiques , Cristhophe Bident & Pierre Vilar (eds).
8
Maurice Blanchot, L’Espace Littéraire, p. 337, n.
9
“Dans l’image, l’objet affleure à nouveau quelque chose qu’il avait
maitrisé pour être objet, contre quoi il s’était édifié et defini, mais à
present que sa valeur, sa signification est suspendue, maintenant que
le monde l’abandonne au désoeuvrement et le met à part, la vérité en
lui recule, l´élementaire le revendique , apauvrissement, enrichisse-
ment qui le consacrent comme image”, Maurice Blanchot, Entretien
Infini, p. 348.
10
Cf. Maurice Blanchot, Entretien Infini, p. 476.
11
“Seul nous met au niveau du pouvoir poétique le retentissement,
appel de l’image à ce qu’il y a d’initial en elle, appel instant à sortir de
nous et à nous mouvoir dans l’ébranlement de son immobilité. Le
“retentissement” n’est donc pas l’image qui retentit (en moi, lecteur, à
partir de moi), il est l’espace même de l’image, l’animation qui lui est
propre, le point de jaillissement où, parlant au-dedans, elle parle dejà
tout au dehors”; Maurice Blanchot , Entretien Infini, p.470.
12
“Que telle image nous loge ou nous déloge, nous donne un senti-
ment du séjour heureux ou malheureux, nous resserre ou nous abrite,
nous deporte et nous transporte, cela ne veut pas seulement dire que
28
O «Fora» de Blanchot: Escrita, imagem e fascinação
29
Deleuze,
«Fora» da literatura
e com a casa tomada
Golgona Anghel
31
Golgona Anghel
locam para «Fora» sob a suspeita de uma ameaça que não pode
ser confrontada, e «eles» do não-nomeável que avança para
«dentro».
“Como tinha ficado com o relógio, vi que eram as onze da
noite. Cingi com o meu braço a cintura de Irene (eu acho que
ela estava a chorar) e saímos à rua. Antes de nos afastarmos tive
pena, fechei bem a porta da entrada e atirei a chave no canal de
esgoto. Não fosse que a algum pobre diabo lhe passasse pela
cabeça roubar e se metesse na casa, a essa hora e com a casa
tomada.” 2
32
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
33
Golgona Anghel
34
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
35
Golgona Anghel
36
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
37
Golgona Anghel
38
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
39
Golgona Anghel
40
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
41
Golgona Anghel
42
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
43
Golgona Anghel
44
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
45
Golgona Anghel
46
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
47
Golgona Anghel
Notas
1 Cf. Cortázar, Julio, “Casa tomada” in Bestiario, Madrid, Alfaguara,
1998, pp. 16-17 (Tr. A.): “El sonido venía impreciso y sordo, como un
volcarse de silla sobre la alfombra o un ahogado susurro de conversa-
ción. También lo oí, al mismo tiempo o segundo después, en el fondo
del pasillo que traía desde aquellas piezas hasta la puerta. Me tiré contra
la puerta antes de que fuera demasiado tarde, la cerré de golpe apoyan-
do el cuerpo; felizmente la llave estaba puesta de nuestro lado y además
corrí el gran cerrojo para más seguridad. (...) Tuve que cerrar la puerta
del pasillo. Han tomado la parte del fondo.
2 Cf. Ibid., pp. 20-21 (Tr. A.): “Como me quedaba el reloj pulsera, vi
que eran las once de la noche. Rodeé con mi brazo la cintura de Irene
(yo creo que ella estaba llorando) y salimos a la calle. Antes de alejarnos
tuve lástima, cerré bien la puerta de entrada y tiré la llave a la alcantarilla.
No fuese que a algún pobre diablo se le ocurriera robar y se metiera en
la casa, a esa hora y con la casa tomada”.
3 Cf. Deleuze, “Lettre à un Critique Sévère”, in Pourparlers, Paris, Minuit,
1990/2000 (PP), p. 17.
4 Deleuze-Guattari, Qu'est-ce que la philosophie?, Paris, Éditions de Minuit,
1991 (QPh); p. 80. Cf. “La philosophie ne consiste pas à savoir, et ce
n’est pas la vérité qui inspire la philosophie, mais des catégories comme
celle d’Intéressant, de Remarquable ou d’Important qui décident de la
réussite ou de l’échec” (QPh 80).
5 Deleuze, Foucault, Paris, Éditions de Minuit, 1986 (F); pp. 92 y 126.
6 QPh 59.
7 Cf. PP 17 : “on considère le livre comme une petite machine a-
signifiante ; le seul problème est «est-ce que ça fonctionne, et comment
ça fonctionne ?» Comment ça fonctionne pour vous ? Si ça ne fonc-
tionne pas, si rien ne passe, prenez donc un autre livre. Cette autre lec-
ture, c’est une lecture en intensité : quelque chose passe ou ne passe pas.
Il n’y a rien à expliquer, rien à comprendre, rien à interpréter. C’est du
type branchement électrique. Corps sans organes, je connais des gens
sans culture qui ont tout de suite compris, grâce à leurs «habitudes» à
eux, grâce à leur manière de s’en faire un. Cette autre manière de lire
s’oppose à la précédente, parce qu’elle rapporte immédiatement un livre
au Dehors”.
8 PP 18, “Un livre c’est un petit rouage dans une machinerie beaucoup
plus complexe extérieure. Écrire c’est un flux parmi d’autres, et qui n’a
aucun privilège par rapport aux autres, et que entre dans des rapports
de courant, de contre-courant, de remous avec d’autres flux, flux de
merde, de sperme, de parole, d’action, d’érotisme, de mannaie, de poli-
tique, etc. Comme Bloom, écrire sur le sable avec une main en se mas-
turbant de l’autre – deux flux dans quel rapport ? Nous, notre dehors à
nous, du moins un de nos dehors, ç’a été une certaine masse de gens
(surtout jeunes) que en ont marre de la psychanalyse”.
9 Pelbart, «Literatura e loucura: da exterioridade à imanência»: “Las
fuerzas del afuera (...) no son así llamadas apenas porque vienen de
afuera, del exterior, sino porque ponen al pensamiento en estado de
exterioridad, jugándolo en un campo informal donde puntos de vista
48
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
49
Golgona Anghel
rible ligne à baleine, dont parle Melville dans Moby Dick, que peut
nous emporter ou nous étrangler quand elle se déroule. Ce peut être la
ligne de drogue de Michaux, (...), ça peut être la ligne d’un peintre,
comme celles de Kandinsky, ou celle dont meurt Van Gogh. Je crois
que nous chevauchons de telles lignes chaque fois que nous pensons
avec assez de vertige ou que nous vivons avec assez de forces”.
19 Não há um sujeito prévio, a subjectividade deve ser produzida.
Dobrar a força é, portanto, dar consistência a novas modalidades de
existência, novas subjectividades.
20 PP 150.
21 Cf. PP 151: “Ployer la ligne pour arriver à vivre sur elle: affaire de vie
ou de mort. La ligne, elle ne cesse de se déplier à des vitesses folles, et
nous, nous essayons de plier la ligne, pour constituer «les êtres lents que
nous sommes» (...)”.
22 Cf. Zourabichvili, “Deleuze. Une philosophie de l’événement”in
AAVV, La philosophie de Deleuze, Paris, PUF, 2004, p. 49 : “1/le non-
représentable, ou le dehors de la représentation; 2/la consistance même
du non-représentable, à savoir l’extériorité des relations, le champ in-
formel des relations”.
23 QPh 59 : “On dirait que LE plan d’immanence est à la fois ce qui
doit être pensé, et ce qui ne peut pas être pensé. Ce serait lui, le non-
pensé dans la pensée. C’est le socle de tous les plans, immanent à
chaque plan pensable qui n’arrive à le penser. Il est le plus intime dans
la pensée, et pourtant le dehors absolu”.
24 Deleuze-Parnet, Dialogues, Paris, Flammarion, 1977 (D), p. 89 : “La
philosophie naît ou est produite du dehors par le peintre, le musicien,
l’écrivain (...). Sortir de la philosophie, faire n’importe quoi, pour pou-
voir la produire du dehors. Les philosophes ont toujours été autre
chose, ils sont nés d’autre chose”.
25 QPh 43.
26 Deleuze, Critique et clinique, Paris, Editions de Minuit, 1993 (CC); p.
15.
27 CC 14
28 Cf. todo o capítulo 3 de Qu’est-ce que la philosophie?, “Les personnages
conceptuels”.
29 QPh 158.
30 QPh 155; cf. QPh 155: “L’artiste crée des blocs de percepts et
d’affects, mais la seule loi de la création, c’est que le composé doit tenir
tout seul” ; cf.: QPh 158 : “Il est vrai que toute oeuvre d’art est un mo-
nument…”.
31 Deleuze, Présentation de Sacher-Masoch, Paris, Éditions de Minuit, 1967
(PSM); p. 33.
32 PSM 33.
33 CC 15. Cf. CC 19 : “Écrire est une affaire de devenir, toujours ina-
chevé, toujours en train de se faire, et qui déborde toute matière vivable
ou vécue”.
34 CC 14-15; QPh 162.
35 CC 13.
36 CC 13.
50
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
37 CC 9.
38 QPh 161; cf. ss: “Il a vu dans la vie quelque chose de trop grand, de
trop intolérable aussi, et les étreintes de la vie avec ce qui la menace…”.
39 PSM 16.
40 Cf. CC 15 : “le problème d’écrire : l’écrivain, comme dit Proust, in-
vente dans la langue une nouvelle langue, une langue étrangère en
quelque sorte”.
41 CC 9.
42 CC 67.
43 CC 44.
44 CC 71.
45 CC 9.
46 CC 9.
47 CC 16.
48 MP 9.
49 MP 66.
50 MP 72.
51 CC 139.
51
E cantam na planura
José Luis Pardo
53
José Luis Pardo
54
E cantam na planura
55
José Luis Pardo
4. E quero conhecê-los
56
E cantam na planura
6. Eu quero aprende-las
57
José Luis Pardo
58
E cantam na planura
59
José Luis Pardo
60
E cantam na planura
61
José Luis Pardo
9. Som da Loma.
62
E cantam na planura
significaria tanto como não ser. E, como seria possível ver sem
ser, sem poder dizer o que se vê? Só poderia ver a fachada alguém
que não habitasse a casa, alguém cujo ser não estivesse domi-
ciliado na linguagem. As bestas, os deuses, as plantas, as pedras,
os idiotas. Mas não, em todo o caso, na medida em que todos e-
les são, ou seja, não na medida em que os vemos da nossa casa,
falamos deles e compreendemo-los ou usamo-los, senão, ao
contrário, na medida em que eles não são nada (para nós), na
medida em que nos vêm de fora, com um olhar que nos resulta
ao mesmo tempo invisível e incompreensível; a verdade do que
dizemos só reside no silêncio que eles (todos os que não somos
nós, os que não são como nós) guardam acerca de nós (e que nos
resulta inaudível e ininteligível).
O que acontece é que uma casa sem fachada, sem pele, não é
uma casa sem ser ao mesmo tempo (mas não no mesmo sentido) a
intempérie do nada, o inclemente não ser. Como podemos
sequer dizer que temos uma morada? Porque um interior sem
exterior não é em absoluto um interior, não é cavidade sem ser
superfície ou protuberância, não é morada protectora sem ser
ao mesmo tempo a mais despida das intempéries, não é interior
sem ser ao mesmo tempo exterior. Ali onde não há pontos de
referência externos nem sequer tem sentido distinguir entre
profundidade poética, altura científica e vulgar mediania da
linguagem ordinária, nem sequer pode dizer-se que a casa tenha
pisos, assoalhadas diferentes, lugares discerníveis, porque o ser
não tem casa, (não) estamos presos em nenhuma parte.
Descobrimos assim uma saída da prisão da linguagem, mas só
para nos encontrarmos de novo no meio da noite, perdido o
caminho, cantando uma miserável ladainha de origem
desconhecida.
63
José Luis Pardo
64
E cantam na planura
Notas
1
O título da secção, como os das seguintes secções deste artigo, repro-
duzem os versos da famosa canção cubana de Miguel Matamoros
(1897-1971), Son de la loma (o Mamá, son de la loma, como fora intitu-
lada originalmente pelo próprio Matamoros): “Mamá, yo quiero
saber/de dónde son los cantantes,/que los encuentro galantes/y los
quiero conocer,/con sus trovas fascinantes/que me las quiero apren-
der./¿De dónde serán?/ ¿Serán de la Habana?/¿Serán de Santia-
go,/tierra soberana?/Son de la loma/y cantan en llano./Mamá, ellos
son de la loma./Mamá, ellos cantan en llano./Mamá, ellos son de la
loma./Mamá, ellos cantan en llano./Son de la loma/y cantan en lla-
no.” (Nota da tradutora).
2
M. Serres, Le Naissance das Phesique, París, Ed. de Minuit, 1977, p. 187
(trad. cast. Ed. Pre-textos, no prelo).
3
Deleuze, "Les intercesseurs", en Pourparlers, París, Ed. de Minuit, París,
1990, p. 165.
4
Mille Plateaux, Ed. de Minuit, París, 1980, pp. 395-396 (trad. cast. J.
Vázquez e U. Larraceleta, Mil Mesetas, Ed. Pre-textos, Valencia, 1988, p.
327)
5
Ibíd.
6
O que Artaud chamava «crueldade» era então uma técnica para refazer
o homem “fazendo-o passar, uma vez mais, a última, pela mesa da
autópsia para refazer a sua anatomia... O homem está enfermo porque
está mal construído... Que me atem se quiserem, mas não existe nada
mais inútil que um órgão. Quando lhe dermos um corpo sem órgãos,
então libertá-lo-emos de todos os seus automatismos e devolvido a sua
verdadeira liberdade. Então voltaremos a ensinar-lhe a dançar ao
contrário, como no delírio dos bailes populares, e esse revés será o seu
verdadeiro direito... Façam com que a anatomia humana dance por
fim” (Artaud, "El teatro das crueldad", trad. cast. R. Font, en Van Gogh,
el suicidado das sociedad e Para acabar de uma vez con el juicio de Dios, Ed.
Fundamentos, Madrid, 1977). É quase inevitável pensar nos
"tormentos" aos que tanto aludem os místicos: a mortificação do corpo
não pode ter nunca mais que um sentido preparatório ou metafórico.
Baste um só exemplo: na Introdução a uma obra posterior à Guía
Espiritual, a Defensa da Contemplación, Miguel de Molinos apoia-se em
São Jerónimo para defender a necessidade de se fabricar um corpo novo
-que chama "interior"- cujo sentido é "o sentido da vida", e cuja
construção exige a purga dos cinco sentidos para por de pé outros cinco
sentidos –digamo-lo assim- "espirituais": está a fabricar-se um monstro,
65
José Luis Pardo
66
De Sartre a Deleuze
Onde é que pára o compromisso literário?
Eduardo Pellejero
67
Eduardo Pellejero
68
De Sartre a Deleuze
69
Eduardo Pellejero
70
De Sartre a Deleuze
71
Eduardo Pellejero
72
De Sartre a Deleuze
73
Eduardo Pellejero
74
De Sartre a Deleuze
75
Eduardo Pellejero
76
De Sartre a Deleuze
77
Eduardo Pellejero
78
De Sartre a Deleuze
Notas
1
Sartre, Qu’est-ce que la litterature?, pp. 50 e 49.
2
Sartre, Qu’est-ce que la litterature?, p. 75 (modificado).
3
Cf. Sartre, Qu’est-ce que la litterature?, pp. 290, 293 e 292. Lição da
qual aprenderá Deleuze, quem numa entrevista de 1985 dizia: “Se um
criador não é tomado no gargalo de garrafa de uma série de impossibi-
lidades, não é um criador. Um criador é alguém que cria as suas pró-
prias impossibilidades ao mesmo tempo que cria o possível. Como
MacEnroe, é batendo com a cabeça que se encontrará a saída. Há que
bater contra a parede porque, se não se tem um conjunto de impossi-
bilidades, não se terá linha de fuga, essa saída que constitui a criação”
(Deleuze, Pourparlers 1972-1990, Paris, Éditions de Minuit, 1990; p.
183).
4
Sartre, Qu’est-ce que la litterature?, pp. 290-291 (modificado).
5
Richard Wright (1908-1960): Escritor afro-americano, autor de Nati-
ve Son e Black Boe, foi membro do partido comunista (com o qual
rompeu em 1944) e amigo de Sartre durante a sua estância em Paris
79
Eduardo Pellejero
80
De Sartre a Deleuze
19
Princípio da filosofia deleuziana: Não há agenciamento, nem lin-
guístico nem de nenhuma outra classe, que seja total, universal. Cf.
Golgona Anghel, «A literatura e o seu fora: uma leitura deleuziana».
20
Cf. “Deleuze. Une philosophie de l’événement”, in AAVV, La philo-
sophie de Deleuze, Paris, PUF, 2004, p. 49 : “1/le non-représentable, ou
le dehors de la représentation; 2/la consistance même du non-
représentable, à savoir l’extériorité des relations, le champ informel
des relations”. Cf. Anghel, «Deleuze, Fora da Filosofia e com a casa
tomada».
21
Deleuze faz questão de assinalar a dívida que sente para com Sartre.
E, assim, conhecemos este artigo que Deleuze lhe dedica na altura da
sua morte (“Ele foi o meu maestro”), ou inclusive as referências oca-
sionais como as dos Dialogues. Deleuze dizia: “Felizmente estava Sar-
tre. Sartre era o nosso Fora [Dehors] (...) um pouco de ar puro (...) um
intelectual que mudava singularmente a situação do intelectual”
(Deleuze-Parnet, Dialogues, Paris, Flammarion, 1977; p. 18).
22
Neste sentido, reencontramos o mesmo Kafka das situações sem
saída e das soluções criativas que encontrávamos em Sartre, como
reencontramos o problema da conexão da literatura com o Fora, ou
inclusive a posição anomal – ou de radical desclassamento – do escri-
tor.
23
Pelbart, «Literatura e loucura: da exterioridade à imanência»: “As
forças do fora (...) não são assim chamadas apenas porque vêm de fora,
do exterior, senão porque põem o pensamento em estado de exterio-
ridade, jogando-o num campo informal onde pontos de vista hetero-
géneos, correspondentes à heterogeneidade das forças em jogo,
entram em relação de não-relação”. Cf. François Zourabichvili, Deleuze,
une philosphie de l´événement, Paris, PUF, 1994, p. 45.
24
Nisto descobrimos sobretudo a influência de Nietzsche. Porque se
bem Deleuze põe de lado a possibilidade de um fora absoluto, de um
fora para além de tudo, e com isto o papel das minorias como «parte
do fogo», também põe de lado a ideia de totalidade, de totalização:
“Nada existe fora do todo. Mas «não há tudo»: «faz falta desfazer o
universo, perder o respeito do todo. A inocência é a verdade do múl-
tiplo»” (NPh 26). Cf. ID 356: “Nietzsche fonde la pensée, l'écriture,
sur une relation immédiate avec le dehors”. Cf. Pelbart, «Literatura e
loucura: da exterioridade à imanência»: “Deleuze deu do Fora uma
caracterização mais acentuadamente nietzschiana: menos referida à
literatura do que quis Blanchot na sua formulação explícita, menos
referida ao ser da linguagem do que quis Foucault num primeiro
momento, é como se Deleuze ressaltasse sua dimensão agonística. Daí
o privilégio absoluto das forças, «descoberta», aliás, que ele atribui
generosamente a Foucault. As consequências dessa perspectiva são
diversas: 1) O desafio do pensamento é liberar as forças que vêm de
fora; 2) o fora é sempre abertura de um futuro 3) o pensamento do
fora é um pensamento da resistência (a um estado de coisas) 4) a força
do fora é a Vida. Assim, não só a vida é definida como essa “capacida-
de de resistir da força”, mas o desafio é atingir a vida como potência
do fora”.
81
Eduardo Pellejero
25
MP #1. Cf. MP #1: “O que vale é que tudo o que aconteceu de
importante, tudo o que acontece de importante, procede por rizoma
americano: beatnik, underground, subterrâneos, bandos e gangues,
empuxos laterais sucessivos em conexão imediata com um fora”. A
outra grande figura do fora que Deleuze identifica nas sociedades
contemporâneas são estas “grandes máquinas mundiais, ramificadas
sobretudo o ecúmeno num momento dado, e que gozam de uma
ampla autonomia em relação aos Estados (por exemplo, organizações
comerciais do tipo «grandes companhias», ou então complexos indus-
triais, ou inclusive formações religiosas como o cristianismo, o isla-
mismo, certos movimentos de profetismo ou de messianismo, etc.)”
(MP #12).
26
MP #10.
27
S 126: “La frontière, c'est-à-dire la ligne de variation, ne passe pas
entre les maitres et les esclaves, ni entre les riches et les pauvres. Car,
des uns aux autres, se tisse tout un régime de relations et d'opposi-
tions qui font du maitre un esclave riche, de l'esclave un maitre pauvre,
au sein dl un même sestème majoritaire”.
28
Cf. S 129. Cf. S 129-130: “Minorité désigne d'abord un état de fait,
c'est-à-dire la situation d'un groupe qui, quel que soit son nombre, est
exclu de la majorité, ou bien inclu, mais comme une fraction subor-
donnée par rapport à un étalon de mesure qui fait la loi et fixe la
majorité. On peut dire en ce sens que les femmes, les enfants, le Sud,
le tiers monde, etc., sont encore des minorités, si nombreux soient-ils.
(...) Il e a tout de suite un second sens: minorité ne désignera plus un
état de fait, mais un devenir dans lequel on s'engage. Devenir-
minoritaire, c'est un but, et un but qui concerne tout le monde, puis-
que tout le monde entre dans ce but et dans ce devenir, pour autant
que chacun construit sa variation autour de l'unité de mesure despo-
tique, et échappe, d'un côté ou de l'autre, au sestème de pouvoir qui
en faisait une partie de majorité. D'après ce second sens, il est évident
que la minorité est beaucoup plus nombreuse que la majorité. Par
exemple, d'après le premier sens, les femmes sont une minorité; mais,
d'après le second sens, il e a un devenir-femme de tout le monde, un
devenir-femme qui est comme la potentialité de tout le monde, et les
femmes n'ont pas moins à devenir-femme qui les hommes eux-mêmes.
Un devenir-minoritaire universel”. E também: “Os judeus, os ciganos,
etc., podem formar minorias em tais ou tais condições; mas isso não é
suficiente para convertê-los em devires. Se reterritorializa, ou se deixa
reterritorializar numa minoria como estado; mas se desterritorializa
num devir. Inclusive os negros, diziam os Black Panthers, têm que devir
negro. Inclusive as mulheres têm que devir-mulher. Incluso os judeus
têm que devir-judeu (claro está, não basta com um estado). Mas se isto
é assim, o devir-judeu afecta necessariamente tanto o não judeu como
o judeu, etc. O devir-mulher afecta necessariamente tanto os homem
como as mulheres. Em certo sentido, o sujeito de um devir sempre é
«homem»; mas só é sujeito se entra num devir-minoritário que o
arranca da sua identidade maior. Como na novela de Arthur Miller,
Focus” MP 351. Cf. ABC, «G comme Gauche». Cf. MP 588: “O pró-
82
De Sartre a Deleuze
83
Eduardo Pellejero
pequena máquina, que relação, por sua vez mensurável, esta máquina
literária entretém com uma máquina de guerra, uma máquina de
amor, uma máquina revolucionária, etc.”.
36
Deleuze-Guattari, Qu'est-ce que la philosophie?, Paris, Éditions de
Minuit, 1991 ; p. 105.
37
Cf. AE 102-103. Politização da literatura, que leva Deleuze à fre-
quentação das minorias, onde o delírio histórico-mundial aparece
associado implicitamente a um devir-menor (“sou todos os pogroms
da história” (AE 104)). Devir-mulher, devir-besta, devir-negro de Rim-
baud, mas também devir-polaco de Nietzsche. Plano de variação con-
tinua ou linha de transformação onde os nomes da história já não dão
conta de uma identificação sobre o teatro da representação, senão da
frequentação de zonas de intensidade como «efectuação de um sistema
de signos» (forças e singularidades que, em condições de menoridade,
carecem de representação). Cf. AE 102: “Nunca se trata, não obstante,
de identificar-se com determinados personagens, como quando equi-
vocadamente se diz de um louco que «acreditava que era...». Trata-se
de algo distinto: identificar as raças, as culturas e os deuses, com cam-
pos de intensidade sobre o corpo sem órgãos, identificar os persona-
gens com estados que enchem estes campos, com efeitos que fulguram
e atravessam estes campos. Daí o papel dos nomes, na sua magia pró-
pria: não há um eu que se identifica com raças, povos, pessoas, sobre
uma cena da representação, senão nomes próprios que identificam
raças, povos e pessoas com umbrais, regiões ou efeitos numa produção
de quantidades intensivas. A teoria dos nomes próprios não deve
conceber-se em termos de representação, senão que remete à classe
dos «efeitos»: estes não são uma simples dependência de causas, senão
o preenchimento de um campo, a efectuação de um sistema de sig-
nos”.
38
Cf. S 89: “par opération, il faut entendre le mouvement de la sous-
traction, de l'amputation, mais déjà recouvert par l'autre mouvement,
qui fait naître et proliférer quelque chose d'inattendu”.
39
Cf. MP #11: “Agora, enfim, entreabrimos o círculo, nós o abrimos,
deixamos alguém entrar, chamamos alguém, ou então nós mesmos
vamos para fora, nos lançamos. Não abrimos o círculo do lado onde
vêm acumular-se as antigas forças do caos, mas numa outra região,
criada pelo próprio círculo. Como se o próprio círculo tendesse a
abrir-se para um futuro, em função das forças em obra que ele abriga.
E dessa vez é para ir ao encontro de forças do futuro, forças cósmicas.
Lançamo-nos, arriscamos uma improvisação. Mas improvisar é ir ao
encontro do Mundo, ou confundir-se com ele”.
40
IT 237.
41
Cf. MP #1: “encontrará o livro um fora suficiente com a qual ele
possa agenciar no heterogéneo, em vez de reproduzir um mundo?”.
42
Cf. AE 344: “peu de relation avec le dehors”.
43
Cf. S 120.
44
Cf. S 125: “Cette fonction anti-représentative, ce serait de tracer, de
constituer en quelque sorte une figure de la conscience minoritaire,
comme potentialité de chacun. (...) en dressant la forme d'une cons-
84
De Sartre a Deleuze
85
A clausura do fora
Peter Pál Pelbart
87
Peter Pál Pelbart
88
A clausura do fora
89
Peter Pál Pelbart
Ausência de obra
90
A clausura do fora
91
Peter Pál Pelbart
92
A clausura do fora
93
Peter Pál Pelbart
94
A clausura do fora
95
Peter Pál Pelbart
96
A clausura do fora
Notas
1 Blanchot, L’Entretien infini, Paris, Gallimard, 1969, p. 292.
2 Cf. Peter Pal Pelbart, Da clausura do fora ao fora da clausura. Loucura e
desrazão, São Paulo, Editora Brasiliense, 1989, pp. 21-121.
3 Serres, Hermes ou la communication, Paris, Minuit, 1968; pp. 171-2.
4 Cf. Peter Pal Pelbart, op. cit., pp. 163.
5 Cf. Idem, pp. 75-128.
6 Artaud, «Onde se Malham as Forças», in A Arte e a Morte, trad. Aníbal
Fernandes, Lisboa, Livreiros Editores e Distribuidores Ltda., 1987, pp.
31 e 33, respectivamente.
7 Foucault, História da Loucura, São Paulo, Perspectiva, 1978 (1961); p.
529.
8 Idem, p. 523.
9 Blanchot, op. cit., p. 617.
10 Foucault, op. cit., p. 513.
11 Blanchot, op . cit., p. 298.
12 Roger Bastide nota, por exemplo, a relação existente entre o pro-
cesso de secularização cultural e da medicalização (e somatização) da
loucura. Com o declínio dos rituais mágicos e sagrados aumenta a inci-
dência da loucura, de onde ele conclui que “a loucura é uma doença do
sagrado”. Nietzsche teria expressado a mesma ideia ao dizer: outrora,
refugiava-se em um convento, hoje não nos resta senão a loucura. Cf.
Roger Bastide, Sociologie dês maladies mentales, Paris, Flammarion, 1965, p.
299.
97
Michel Foucault: Pensar de fora o Ocidente
(ou como rir das nossas verdades)
José Luís Câmara Leme
99
José Luís Câmara Leme
100
Michel Foucault: Pensar de fora o Ocidente
101
José Luís Câmara Leme
102
Michel Foucault: Pensar de fora o Ocidente
103
José Luís Câmara Leme
104
Michel Foucault: Pensar de fora o Ocidente
105
José Luís Câmara Leme
106
Michel Foucault: Pensar de fora o Ocidente
107
José Luís Câmara Leme
108
Michel Foucault: Pensar de fora o Ocidente
Notas
1
Michel Foucault, Dits et écrits, vol.3, Gallimard, Paris, 1994, p. 77.
2
Michel Foucault, Les mots et les choses, Gallimard, Paris, 1966, p. 7.
3
Michel Foucault, L’ordre du discours, Gallimard, Paris, 1971, pp. 39-
40.
4
Michel Foucault, La volonté de savoir, Gallimard, Paris, 1976, p. 101.
5
“choix essentiels”; cf. Michel Foucault, Dits et écrits, vol. 1, Galli-
mard, Paris, 1994, p. 161.
6
“Par choix originel, je n'entends pas seulement un choix spéculatif,
dans le domaine des idées pures. Mais un choix qui délimiterait tout
un ensemble constitué par le savoir humain, les activités humaines, la
perception et la sensibilité. Le choix originel dans la culture grecque,
c'est Parménide, c'est Platon, c'est Aristote.” Dits et écrits, vol. 2, Galli-
mard, Paris, 1994, p.106.
7
Michel Foucault, Dits et écrits, vol. 1, Gallimard, Paris, 1994, pp.160-
162.
8
“…une culture rejette quelque chose qui sera pour elle l'Extérieur.”
Dits et écrits, vol. 1, Gallimard, Paris, 1994, p.161.
9
“vide creusé”, Dits et écrits, vol. 1, Gallimard, Paris, 1994, p.161.
10
“l'épaisseur originaire où elle se forme”, Idem, p.161.
11
“On échappait donc à une domination de vérité, non pas en jouant
un jeu totalement étranger au jeu de la vérité, mais en le jouant
109
José Luís Câmara Leme
110
Índice
31 Golgona Anghel
Deleuze, «Fora» da literatura e com a casa tomada
67 Eduardo Pellejero
De Sartre a Deleuze.
Onde é que pára o compromisso literário?
111