Escolar Documentos
Profissional Documentos
Cultura Documentos
Derrida 2 PDF
Derrida 2 PDF
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES
DERRIDA: O QUE É E O QUE NÃO É
PELA ESTRATÉGIA
RESUMO
A desconstrução deve ser entendida, que se afirma em
Derrida, como a tentativa de reorganizar, de certa maneira,
o pensamento ocidental, perante uma variedade heterogênea
de contradições e desigualdades não lógicas discursivas
de todos os tipos, que continua a assombrar as fissuras até
mesmo o desenvolvimento bem sucedido de argumentos
filosóficos e sua exposição sistemática. A desconstrução não
é uma doutrina, uma filosofia ou um método. Ela é somente,
de acordo com Derrida, uma “estratégia” de decomposição
para a metafísica ocidental. Entretanto, a desconstrução é
responsável por essas “contradições” constitutivas, através da
construção de arquétipos-sínteses, ou infra-estruturas, como
Derrida denominou futuramente. Contanto que seu objetivo
é acreditado para promover o livre jogo, acima mencionada,
niilista pelo cancelamento de opostos, a abolição das
hierarquias e desmistificação ou a des-ideologização dos
filosofemas ocidentais, procedimento definido e lógico da
desconstrução, que não pode ser apreendido em toda a sua
especificidade.
*
Instituto Politécnico de Saúde do Norte-Gandra, Portugal; Universidade Católica
Portuguesa, Portugal; Universidade Estatal, Varsóvia-Polónia.
Recibido: 10.09.12 Aceptado: 15.04.13
Universitas Philosophica 60, año 30: 177-204
enero-junio 2013, Bogotá, Colombia – ISSN 0120-5323
ABSTRACT
RESUMEN
Desde o final dos anos sessenta, até meados de oitenta, a corrente mais
criativa do Pós-estruturalismo denominou-se Desconstrução. A sua origem
é, contudo, a obra do pensador-filósofo francês, de origem argelina, que
viria a fazer escola na Universidade de Yale, onde leccionou por longos
anos. E tudo começou em 1966, quando num Colóquio organizado pela
“John Hopkins University”, sobre a controvérsia estruturalista, Derrida, à
época um pensador desconhecido, apresentou um ensaio que “corroia” os
fundamentos do estruturalismo, tendo contestado o conceito de “signo”, tal
como fora descrito por Saussure e, sobremaneira, reelaborado, em termos
lógicos-algébricos, por Hjelmslev (Cf. Bennington & Derrida, 1993: 4).
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
180 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
lhe minoravam os efeitos e que, por sua vez, já eram uma minoração do
estruturalismo e da “Destruktion” heideggeriana. A desconstrução surge,
no mesmo movimento, como metáfora anárquica (trabalho de apropriação)
e metáfora de destruição (trabalho de niilização), pretendendo manter-se
num estranho espaço intermédio, o da lógica dos “suplementos” (parerga).
A desconstrução, como hospitalidade, será desconstrução do “acolhimento
do outro”. A desconstrução é uma abertura do Outro. A desconstruçao é a
abertura do texto e da linguagem. Neste capítulo, abordaremos os sentidos
da desconstrução e suas aplicações.
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 181
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
182 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
1
Ver: Thorsteinsson, 2007: 145 “Autrement dit, cette pensée essaie de délimiter le champ
de son application, sa “ zone d’intérêt”; d’une manière plus générale, plus extensive,
plus inclusive et, par là même et pas moins décisivement, moins exclusive que toute
pensée antérieure. Loin d’être réductrice par rapport à la “réalité”, la déconstruction se
caractériserait donc par une “surenchère”, par un mouvement en “hyper”, qui viserait une
transformation du concept de réalité même, s’occupant ainsi d’une réalité plus réelle que
la réalité “elle-même”.
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 183
2
“La déconstruction du concept de souveraineté inconditionnelle est sans doute nécessaire
et en cours, car c’est là l’héritage d’une théologie à peine sécularisée. Dans le cas le
plus visible de la prétendue souveraineté des États-nations mais aussi ailleurs (car elle se
trouve chez elle partout, et indispensable, dans les concepts de sujet, de citoyen, de liberté,
de responsabilité, de peuple, etc.), la valeur de souveraineté est aujourd’hui en pleine dé-
composition. Mais il faut veiller à ce que cette déconstruction nécessaire ne compromette
pas, pas trop, la revendication de l’université à l’indépendance, c’est-à-dire à une certaine
forme très particulière de souveraineté, … ”. (Derrida, 2001: 20)
3
“La déconstruction est souvent représentée comme ce qui dénie toute extériorité au
langage, elle reconduirait tout à l’intérieur du langage. Comme j’ai écrit qu’”il n’y a rien
en dehors du texte”, tous ceux qui se plaisent à nommer langage ce que je nomme ”texte”
traduisent, veulent traduire: “il n’y a rien en dehors du langage”. Alors que, pour le dire
brièvement et schématiquement, c’est exactement l’inverse. La déconstruction a commencé
avec la déconstruction du logocentrisme, la déconstruction du phonocentrisme”. (Derrida,
2005: 108).
4
“Ne pouvant plus s´élever comme un maître-mot ou un maître-concept, barrant tout rapport
au théologique, la différance se trouve prise dans un travail qu´elle entraîne à travers une
chaîne d´autres concepts , d´autres mots , d´autres configurations textuelles ; et peut-être
aurai-je tout à l´heure l´occasion d´indiquer pourquoi tels ou tels autres mots ou concepts
se sont ensuite ou simultanément imposés ; et pourquoi il a fallu leur donner valeur
d´insistance (...) de supplément, pharmakon, de marge-marque - marche, etc. ”. (Derrida,
1972a: 54-55).
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
184 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
2. A desconstrução : as condições
5
“(…) La déconstruction n´ est pas le projet philosophique arbitraire d´un auteur: elle est
plutôt le principe de ruine qui est inscrit dans tout texte lors de son écriture, autrement dit,
elle agit comme un virtus inséminé à l´origine et qui démonte d´avance tout “montage”
textuel ou institutionnel. En ce sens, la deconstruction n´est ni une critique ni une critique
de la critique; elle ne surmonte pas les texts don’t elle parle. Elle n´est donc pas une théorie
puisqu´elle ne sort pas des texts et ne les surplombe pas, elle n´est pas une philosophie de
la philosophie”. (Goldschmit, 2003: 20-21)
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 185
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
186 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
6
“Dépendance complexe, cependant, puisque dans le concept de signifiant se marque aussi,
dans votre texte même, une autre chaîne qui ne se réduit pas (du moins à mon avis) à la
première; extériorité- hétérogénéité du signifiant (vous parlez aussi de corps, d´une écriture
du corps) par rapport à cette saisie directe du signifié selon le thème classique de la
métaphysique, dans la proximité immédiate de soi à soi d´une conscience. De la sorte,
au motif de la différance comme possibilité de la conceptualité, du procès et du système
conceptuel en général , se joint nécessairement un autre motif par lequel cette possibilité
est elle-même déterminée comme ne renvoyant jamais à un ego transcendental (l´unité
d´un je pense ), mais comme s´inscrivant au contraire dans une extériorité radicale au
sujet, lequel ne devient sujet parlant qu´en commerçant avec le système des différences
linguistiques , ou encore ne devient signifiant (en général, par parole ou autre signe) qu´en
s´inscrivant dans le système des différences . Or ces “différences”, dites-vous aussi, ne sont
pas “tombées du ciel”, pas plus inscrites dans un topos noetos que prescrites dans la cire
du cerveau ; elles seraient même d´entrée de jeu et de part en part historiques, si le mot
“histoire” ne comportait en lui le motif d´une répression finale de la différence”. (Derrida,
1972a: 105-106)
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 187
7
“Sans doute le centre d´une structure, en orientant et en organisant la cohérence du
système, permet-il le jeu des éléments à l´intérieur de la forme totale. Et aujourd´hui
encore une structure privée de tout centre représente l´impensable lui-même. Pourtant le
centre ferme aussi le jeu qu´il ouvre et rend possible. En tant que centre, il est le point où
la substitution des contenus, des éléments, des termes, n´est plus possible. Au centre, la
permutation ou la transformation des éléments (…) est interdite. Du moins est-elle toujours
restée interdite (et j´utilise ce mot à dessein). On a donc toujours pensé que le centre,
qui par définition est unique, constituait, dans une structure, cela même qui, commandant
la structure, échappe à la structuralité. C´est pourquoi, pour une pensée classique de la
structure, de centre peut être dit, paradoxalement, dans la structure et hors de la structure.
Il est au centre de la totalité et portant, puisque le centre ne lui appartient pas, la totalité a
son centre ailleurs”. (Derrida, 1967: 409 - 410)
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
188 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 189
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
190 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 191
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
192 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
8
“Cette structure de la double marque (pris - emprunté et enfermé - dans un couple
d´opposition, un terme garde son vieux nom pour détruire l´opposition à laquelle il
n´appartient plus tout à fait, à laquelle il n´aura d´ailleurs jamais cédé, l´histoire de cette
opposition étant celle d´une lutte incessante et hiérarchisante) travaille toute le champ
dans lequel se déplacent ces textes-ci. Elle y est aussi travaillée : la règle selon laquelle
chaque concept reçoit nécessairement deux marques semblables - répétition sans identité
-, l´une à l´intérieure, l´autre à l´extérieure du système déconstruit, doit donner lieu à
une double lecture et â une double écriture. Cela apparaîtra en son temps: à une double
science”. (Derrida, 1972b: 10)
9
“(…) il fallait faire droit, de façon encore plus radicale, plus analytique, à la requête
traditionnelle, à la loi même de ce qui venait à être déconstruit: d’où des concepts
impossibles, des quasi-concepts, des concepts que j’appelais quasi transcendantaux,
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 193
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
194 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
12
Ver: www.cecl.com.pt, acesso a 20.11.06.
13
“(…) une déconstruction rigoureuse et efficiente devrait à la fois développer la
critique (pratique) de l’institution philosophique actuelle et engager une transformation
positive, affirmative plutôt, audacieuse, extensive, et intensive, d’un enseignement dit
“philosophique” (…) Ces propositions offensives seraient réglées à la fois sur l’état
théorique et pratique de la déconstruction et prendraient des formes très concrètes, le plus
efficientes possible…”. (Derrida, 1990: 121)
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 195
14
Ver: html: fili:// G: / Désconstruction-Wikipédia.html, acesso a16.09.11.
15
“ (…); et une déconstruction, si elle ne s´y arrête pas, ne va jamais cependant sans
un travail second sur le système qui ajointe ce surarmement à lui-même, qui articule,
comme on dit, la psychanalyse au marxisme ou à quelque nietzschéisme, aux ressources
de la linguistique, de la rhétorique ou de la pragmatique, à la théorie des “speech acts”,
à la pensée heideggerienne sur l´histoire de la métaphysique, l´essence de la science ou
de la technique. Une telle démystification doit se plier à la plus fine diversité des ruses
apocalyptiques”. (Derrida, 1983: 66)
16
Ver: http://www.cecl.com.pt/rcl1/03/re103-02.html, acesso “online” a 20.11.06.
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
196 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
17
“(…) cela ne veut rien dire, ne procède plus en dernière instance du vouloir-dire. Partout
où elle opère, la pensée ne veut rien dire” (Derrida, 1972a: 67).
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 197
próprios limites. Se podemos dizer que será a margem que está dentro e
fora, então será aquilo que a Filosofia o diz, porque o discurso filosófico
entende orientar a sua margem, definir a linha, adaptar a página, etc. O seu
exterior é visto, como negativo, onde nada teria a fazer, negativo sem efeito,
está no texto, trabalhando ao serviço do sentido, como margem revelada na
dialéctica do Livro18.
18
“(…) parce que le discours philosophique entend connaître la marge, définir la ligne,
cadre la page, l’envelopper dans son volume. Dehors parce que la marge, son marge, son
dehors sont vides, son dehors : négatif dont il n’y aurait rien à faire, négatif sans effet dans
le texte ou négatif travaillant au service du sens, marge relevée (aufgehobene) dans la
dialectique du Livre” (Derrida, s.f.: 10).
Assim, a margem da filosofia, quer dizer a sua margem, incorporada, englobada, será
relegada ao estatuto de uma exterioridade negligenciada e sem efeito ou, inversamente,
submetida à categoria do negativo determinado. Logo, este negativo determinado é uma
desconstrução, como considera Fernanda Bernardo. (Cf. Derrida, 1972a: XX)
19
“La déconstruction, n’est-ce pas aussi une mise en question de l’heure, une mise en crise
de l’unité “heure” ? Il aurait aussi fallu suivre à la trace cette classification tripartite qui,
depuis les IXe et XIe siècles, divisait la société en trois ordres, les clercs; les guerriers, les
travailleurs (oratores, bellatores, laboratores); et puis la hiérarchie des métiers (nobles ou
vils, licites ou illicites, negotia illicita, opera servilia, interdites le dimanche). Le Goff le
montre si bien : l’unité du monde du travail, face au monde de la prière et au monde de la
guerre, “n’a pas duré longtemps”. “Si elle a jamais existé ” cette “ unité” présumée, pré-
cise au passage. Le Goff, avec une prudence si nécessaire et qui compte au moins autant, à
mes yeux, que la proposition qu’elle vient suspendre ainsi”. (Derrida, 2001: 62)
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
198 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 199
necessária, sem dúvida, e acha-se em curso, é por isso que tratamos aí como
herança de uma Teologia. No caso mais notório da pretensa soberania dos
Estados-nações, um entre outros e muitos (uma vez que aquela se sente em
casa e será indispensável nos conceitos de sujeito, de cidadão, de liberdade,
de responsabilidade, de povo, etc.), o valor da soberania encontra-se hoje em
plena decomposição. Mas é preciso velar para que a desconstrução necessária
não comprometa, ou não faça, em demasia, a reivindicação da universidade
à independência, ou seja, a uma certa e particular forma de soberania. Toda a
desconstrução é uma estratégia e uma soberania do Outro-estranho.
Conclusão
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
200 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
20
“La deconstruction est la tentative non de nier ces oppositions (ces negations) mais de
les neutralizer après les avoir renversées. L´exemple le plus connu est celui de l´inversion,
par Derrida, de la hiérarchie traditionnelle entre la parole et l´écriture, hiérarchie selon
laquelle l´écriture est pensée comme un instrument et une technique inessentielle, dérivée
de la parole vive et présente. Cette subordination métaphysique de l´écriture à la parole,
et le système d´oppositions qu´elle régit, est appelée par Derrida “phonocentrisme” ou
“phonologocentrisme”. Le “phonocentrisme” et ses presupposes structurent constamment
la métaphysique” (Goldschmit, 2003: 21).
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 201
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
202 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
A DESCONSTRUÇÃO EM JACQUES DERRIDA 203
Referências
Babo, M. A. (2006). “3-Textualidades, Junho de 1986”. www.cecl.com.pt acesso
ao texto “on-line” a 20/11/06.
Derrida, J. (1972a). Positions. Entrétiens avec Henri Ronse et al. Paris: Les
Éditions de Minuit.
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323
204 RAMIRO DÉLIO BORGES DE MENESES
Universitas Philosophica 60, Año 30, enero-junio 2013: 177-204 – ISSN 0120-5323